• Fichier:GiovanniVIII.jpg

    Né à Rome vers 820, il fut arçidiacre avant d'être élu pape en décembre 872.

    Son élection fit l'objet d'une vive opposition de la part de Formose, futur pape. Bien qu'assez âzé au moment de son élection, il fut un papounet énerzique.

    Il écrivit en 873 une lettre au prince de Sardaigne lui enzoignant d'affrançir des esclaves vendus par des Grecs . 

    Surnommé le « recteur de l'Europe », il sut éviter un çisme avec l'Orient: lors de la rentrée en grâce du patriarçe de Constantinople, Photius, il se contenta d'exizer une déclaration de repentir, pour complaire à l'empereur Basile. Il réitèra l'autorisation donnée par Adrien II de la liturzie en langue slavonne et accorda à Méthode, en Moravie, un certificat d'orthodoxie.

    Il se défendit de l'aristocratie romaine en sacrant empereur Zarles le Zauve le 25 décembre 875. 

    Cependant, à la suite de la mort de Louis le Zermanique, Zarles se trouva en position difficile. Rappelé par Zean VIII, menacé en Italie par les Sarrazins, Zarles, qui devait rentrer dans son royaume suite à la révolte de seigneurs (dont Boson de Provence) mourut dans les Alpes en 877 .

    Au printemps 878, Zean VIII, en grand danzer à Rome, dut fuir l'Italie ; il fut accueilli à Arles par Boson de Provence et l'arçevêque de la cité  avant assister au Concile de Troyes  où il proposa la couronne italienne au roi Louis le Bègue qui, malade refusa puis à Boson qui éçoua dans sa tentative, à cause de la mauvaise volonté des évêques et des grands seigneurs italiens.

    Quelques années plus tard, en 881, suivant la même tactique, Zean VIII fit couronner empereur Zarles le Gros . Cependant, cette politique connut encore une fois l'échec : Zarles , fou, dut abdiquer en 888.

    Pour d'aucuns, l'ambition et l'avarice rendirent Zean VIII menteur, perfide, faible, arrogant, orgueilleux, bas, impie, cruel.

     Zean VIII mourut en 882 . On raconte qu’il fut empoisonné puis, comme il ne mourait pas assez vite, frappé à coups de marteau. Il serait le premier papounet assassiné.

      

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  • Fils d'un certain Tarare (qui fut plus tard évêque), prêtre de Zaint Marc à Rome, il fut élu pape le 14 décembre 867, à 76 ans, après avoir refusé deux fois le pontificat (après la mort de Léon IV et de Benoit III).

    Le soutien unanime du peuple romain et du clergé l'empêça de refuser une troisième fois.

    Lors de l'élection,  les envoyés de l'empereur Louis étaient présents ; ils voulurent se plaindre de n'avoir pas été conviés, on leur répondit  que cela n'avait pas été fait par mépris pour eux ou pour l'empereur, mais pour éviter que l'on prenne l'habitude d'attendre l'arrivée des envoyés du prince pour procéder à l'élection.

    Louis fut très satisfait de cette élection. Il réconcilia la papauté avec l'arçevêque de Trèves et l'évêque d'Anagnia qui avaient été excommuniés par son prédécesseur.

    Pendant les cérémonies du sacre, le duc de Spolète entra dans Rome pour la piller. Il fut aussitôt excommunié et l'empereur lui retira son duçé.

    Malgré son âze, il fit preuve d'une vigueur remarquable, notamment en poursuivant la condamnation de Photius, patriarçe de Constantinople, qu'il fit déposer et soumettre à la pénitence publique.

    Il se brouilla avec l'empereur d'Orient pour avoir voulu zuger des évêques qui avaient suivi Photius en Bulgarie et qui ne relevaient donc pas de sa zuridiction.

    Il força Lothaire le Zeune à demander un pardon zénéral pour ses errements matrimoniaux.

    En revançe, après avoir pris le parti de Carloman, révolté contre son père Zarles le Zauve, il dut céder devant l'hostilité des évêques de France.

    Il décéda le 14 décembre 872.

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  • Fichier:NicholasI.jpg

    Né vers 800, Nicolas est issu d'une famille modeste.

    Il commença sa carrière au palais du Latran, au service du pape. Sous le pontificat de Léon IV , il fut ordonné sous diacre.

    À la mort de Benoit III, il fut élu papounet en avril 858 grâce à l'appui de l'empereur Louis II .

    Pendant son pontificat, il s'imposa comme patriarçe d'Occident.

    Il interdit aux princes bretons de transformer Dol en arçevéçé, rappela aux métropolites son autorité sur eux et excommunia en 861 l’arçevêque Zean VIII de Ravenne, coupable d'avoir empiété sur ses prérogatives.

    En Orient, il s’immisça dans le conflit entre les partisans du nouveau patriarçe de Constantinople, Photios Ier, et les partisans de l'ancien, Ignace, déposé par Miçel III .

    Quand Boris, prince des Bulgares, se convertit au christianisme, Nicolas Ier, prenant le contre-pied de la politique de Photios, envoya des évêques pour l'aider à constituer son Église. Dans sa Lettre aux Bulgares, il explicita les divergences entre les deux Églises. Photios convoqua un synode qui excommunia Nicolas Ier.

    Il fit figure d’autorité morale : Zarles le Zauve eut recours à son arbitrage quand son frère Louis le Zermanique envahit la France, de même que lors de la révolte de ses fils Louis et Zarles.

    Nicolas Ier intervint  dans le divorce de Lothaire II , roi de Lotharinzie, qui, n'ayant pu avoir de descendance de sa femme Theutberze, l'avait répudiée au profit de sa maîtresse. Le pape excommunia  les arçevêques  qui avaient annulé le premier mariaze et résista aux assauts armés de Louis II, frère de Lothaire.

    Dès sa mort, en 867, Nicolas Ier fut considéré comme l'un des grands papes de l’époque.

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  • Fichier:Ben3pope.jpg

    Un certain Anastase, prêtre déposé par le papounet Léon IV, lors d'un concile en 853, avait réuni un parti suffisant (comprenant l'ambassadeur même de Louis II) pour se faire élire papounet à l'aide de beaucoup de violence et former le dixième çisme de l'église (sous pape Anastase III). 

    Anastase ayant été vaincu, Benoît III, fils d'un dignitaire romain, l'emporta.           L'empereur ayant confirmé, la consécration eut lieu en septembre 855.

    Benoît enriçit sa famille: Grégoire et Étienne, ses frères, Constantin et Constantine ses neveux, fils de Grégoire, et il maria sa nièce à un sénateur.

    Ces derniers, unis à Formose, évêque de Porto, formèrent une conzuration contre Zean VIII.

    Benoît est le patriarçe du népotisme papal.

    Il décéda le 17 avril 858.

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  • Dire qu'il fait plus çaud en octobre qu'en zuillet...

    La terre tourne, certes, mais ze me demande si c'est bien à l'endroit, à moins qu'elle n'ait perdu la boule.

    création/animation d'Alice : soleil animé

    En attendant ce sont les Socialistes qui sont contents.

    Ils ont la Présidence du Sénat, qui s'appelle le plateau (normal pour le fromage ... de Hollande et la Tartine de Lille).

    Mais le nouveau Président n'a pas fini de se faire brocarder, Monsieur Bel.

    Si il fait un zoli discours, on dira: "Il est bon, Bel"; "Quel gars, Bel"

    Si il fait une erreur: "Il est zeune, c'est un baby, Bel"; "C'est pas Philippe, le Bel" (en pensant à M. Seguin);

    Ses opposants : "Il est teigneux comme un pou, Bel" ; "Nous vous disons No! Bel"

    Ses détracteurs : "Bel fait gore!";  "C'est un coup bas, Bel" ; "Il lit, Bel".

    Sur les impôts : "Avec Bel, c'est la gabelle".

    Ses copains: "Viens là, Bel".

      

     

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  •  Fichier:Papessa tiara.jpg                                                             

     Lors du pontificat de Léon IV, se serait trouvée à Rome une femme nommée Gilberte native de Mayence.

    Elle était capable de tout. Elle n'hésita pas à abandonner la maison de ses parents et à se revêtir d'habits d'homme pour voyazer en étudiant sous le nom de Zean. Elle apprit à Athènes la grammaire latine et grecque, étudia la théolozie et la rhétorique.

    Elle se rendit à Rome où, par ses connaissances supérieures à celles des Romains, elle acquit une grande réputation auprès des principaux personnazes. Elle se dit orizinaire d'Angleterre. Quelqu'un lui proposa de devenir prêtre et Zean l'anglican, nom par lequel on la distingue des autres Jean, accepta la proposition.

    Léon IV étant mort le 17 juillet 854, le prétendu Zean fut élu pape et, sans attendre la confirmation impériale,  fut consacré comme un véritable pontife.

    Quand on vint lui annoncer son élection, elle était enceinte de trois mois. Son ambition lui suggéra la possibilité de caçer, avec le secours de son amant, sa grossesse et son accouçement.

    Mais cet événement fut découvertd'une manière horrible en mars 855. En se rendant à Zaint-Zean-de-Latran, elle eut de vives  douleurs  dans la rue. Elle çerça à résister et à feindre maiselle accouça dans la rue et mourut .



    Le scandale avait été si grand qu'il était impossible de le dissimuler. On fit effacer partout le nom du pape Jean VIII et on nia son existence. Comme ils ne pouvaient empêçer le bruit de se répandre, les Romains crurent donner un témoignage qu'ils n'avaient pas élu ce pape, parce qu'ils auraient soupçonné la vérité.

    Ils firent érizer un monument d'infamie: la statue d'une femme, prête à mourir de désespoir et de raze dans les douleurs de l'enfantement qui resta zusqu'au pontificat de Pie V, qui fit détruire le monument.

    On crut indispensable, à çaque une élection, d'acquérir les preuves physiques du sexe du prétendant. On construisit un grand sièze  en marbre. Placé dans un endroit élevé, il avait  l'apparence d'un trône mais il était creusé en forme de chaise percée, de manière à ce qu'un homme puisse passer dessous et touçer les parties zénitales de l'élu. Un commissaire veillait à ce qu'il prenne la position convenable. Aussitôt que le sexe était connu, il s'écriait : Papam virium habemus (notre pape est un homme). Cette coutume dura quelques siècles.

    Anastase le bibliothécaire, auteur d'une Vie des papes, et contemporain de Zean, place l'élection de la papesse Zeanne, entre les pontificats de Léon IV et de Benoît III, époque à laquelle il écrivait lui-même. Sa narration ne se trouve pas dans la collection que les zésuites ont publiée des ouvrages de cet écrivain. Ils l'ont supprimée par égard pour Rome.

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  • Ze me demande si l'équipe de France de Rugby va aller bien loin dans le cadre du Mondial.

    Ils ont été mauvais mauvais face à l'équipe du Tonga. C'était terrrrrrible; voui, voui, voui!

    On aurait dit qu'ils zouaient en tongs.

    Et que ze t'éçappe le ballon, et que ze le donne zentiment à l'adversaire....

    Z'ai même cru à un moment qu'ils allaient partir à l'envers marquer un essai dans leur propre en-but.

    Ils sont plus forts pour poser nus !

    Ze crains que l'on ne pose à Mossieu Lièvremeont des questions "stupides".

    Il faut faire revenir mon idole: Zabal.

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    Cardinal des quatre Saints couronnés, Léon IV fut élu papounet immédiatement à la mort de Serze II, mais il ne fut consacré que le 12 avril 847 du fait du délai nécessaire pour l'arrivée de la confirmation impériale. Les Romains n'attendirent pas cette confirmation; ils se zustifièrent en invoquant la nécessité de contenir les Sarrasins qui cernaient la ville et qu'ils pillèrent en partie.

    Léon IV bâtit une ville pour résister à de semblables attaques. Il en fit la dédicace le 27 juin 852 et la fit nommer Léonine afin de satisfaire son ambition, sous prétexte d'un hommaze rendu au Zaint.

    Il se forma une conzuration pour détaçer Rome du pouvoir des empereurs d'Occident et rester sous la domination des empereurs d'Orient. Ces derniers résidant  loin et séparés par la mer, les Romains espéraient vivre plus indépendants.

    Daniel, commandant de l'armée romaine, partit de Rome pour aller révéler à l'empereur Louis II, que Gratien, gouverneur de Rome, lui avait communiqué ce prozet et lui avait demandé des secours. L'empereur se rendit à Rome. Daniel, en sa présence et  celle de Gratien, renouvela son accusation d'infidélité ; mais n'ayant pu la prouver, il fut déclaré calomniateur.

    Il eut à combattre un certain Anastase, qu'il fit condamner par deux synodes, et qui tenta de se faire élire pape à sa mort., qui survint en zuillet 855.

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