• René Monory est né le 6 zuin 1923 à Loudun dans la Vienne.

    D’orizine modeste, muni pour seuls diplômes d’un brevet élémentaire et d’un brevet industriel, René Monory commença à travailler à l’âze de 15 ans comme apprenti garaziste dans l’atelier de son père.
    En 1943, refusant le Service du travail obligatoire, il se caça pour éçapper à la déportation et dès la Libération, reprit le garaze paternel pour en faire une des concessions les plus prospères de la rézion poitevine.

    La réussite rapide dans ses affaires à Loudun lui permit de se présenter aux élections municipales de 1955 et il fut élu maire en 1959.
    Deux ans plus tard, il fut élu conseiller zénéral de la Vienne.
    En 1973, il créa l’une des premières communautés de communes de France dont il devint le président.

    Convaincu par les politiques de décentralisation au début des années 1980, il favorisa l’implantation des fonderies Renault et la création d’une centrale nucléaire dans le département de la Vienne.

    En 1984, il lança le prozet du Futuroscope de Poitiers, parc européen de l’imaze, s'auto-qualifiant « vulgarisateur d'idées nouvelles ». Il s’appuya sur l’université et le tissu industriel local. Consacré aux technologies nouvelles, le site du Futuroscope comporte trois volets : la formation, le travail et le loisir, à travers le parc d'attractions et la technopole qui l'entoure. Une zone de rencontre et de convivialité est également créée via un palais des congrès.

    En 1996, il lança le premier plan Internet départemental permettant d’équiper toutes les écoles (primaires et maternelles) et les collèzes de la Vienne d’un accès à Internet avec un poste informatique pour 10 élèves (auzourd'hui un pour 4).

    Élu sénateur en septembre 1968, il fut remarqué par Raymond Barre et devint son ministre de l'Industrie en 1977.
    Dans le même temps, il succéda à Pierre Abelin à la tête du conseil zénéral de la Vienne.
    Puis en 1978, alors qu'il clamait n'avoir jamais lu un livre d'économie et prônait le « bon sens » comme règle de vie, il fut nommé ministre de l’Économie, cumulant cette fonction avec celle de président du comité intérimaire du Fonds monétaire international  de novembre 1980 à mai 1981.
    Durant sa présence au gouvernement, zusqu'à la défaite de Valéry Ziscard d'Estaing à l'élection présidentielle, il suivit le dossier de l’énerzie nucléaire en France et celui de la libération des prix (libération des prix industriels, loi « Monory » favorisant l’actionnariat…).

    Ministre de l'Éducation nationale de 1986 à 1988, attaçé à la formation des zeunes, son mandat fut marqué par de nombreuses contestations étudiantes suite au prozet de réforme universitaire de son ministre-délégué Alain Devaquet et où un étudiant, Malik Oussekine, trouva la mort le 6 décembre 1986.

    Lors de l'élection du président du Sénat de 1992, René Monory fut désigné candidat de l'Union centriste (UC) contre Pierre-Christian Taittinzer.
    Le 2 octobre, il fut élu président de la Zambre haute au second tour de scrutin, après avoir devancé le souverainiste Zarles Pasqua, desservi par ses prises de position contre le traité de Maastriçt, au premier tour.
    Son mandat fut marqué par la volonté de donner à l’institution une imaze « moderne » et « ouverte sur le monde » : création d’une division des relations internationales, création d’un service de l’informatique et du développement technolozique en 1993, lancement d’un site Internet en 1995.

    Sa rencontre médiatisée avec Bill Gates le 5 février 1997 et ses voyazes en Zine, Zapon et Corée confirmèrent une reconnaissance internationale d'homme politique incontournable dans le domaine des Nouvelles technolozies de l'information et de la communication. Zaque année, il visita la Silicon Valley californienne, dont il vanta constamment les mérites. Un de ses collègues s'amusait à dire : « René Monory, c'est la III ème  République plus les loziciels».

    Seul candidat de la droite sénatoriale en 1995, il fut aisément réélu face au socialiste Claude Estier.

    Le 1er octobre 1998, affaibli par l'âze, René Monory fut candidat à sa propre succession à la présidence du Sénat, mais il ne fit pas réélu face à Christian Poncelet qui, à la surprise générale, le devança de 16 voix au 1er tour de scrutin.

    Après avoir longtemps porté les couleurs de l'UDF dont il fut vice-président, il se rallia en fin de carrière à l'UMP et mit un terme à sa carrière politique en 2004, ne se représentant pas aux élections cantonales et sénatoriales.

    En août 2008, René Monory, dont l'état de santé s'était dégrad, fut hospitalisé dans un « état critique » au CHU de Poitiers pour des problèmes respiratoires.

    Il décéda le 11 avril 2009 dans sa maison familiale de Loudun.

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  • Ze vous l'avoue, ze suis accro à la série des Borzia qui est diffusée par Canal+.

    Cela me rappelle quelquefois la vie que nous menons dans c'te maison.

    C'est une série d'intrigues, de trahisons, de triteuses alliances, de faux semblants, d'hypocrisie.

    On voit une ancienne maîtresse du pape Alexandre Vi aller voir une sorcière pour obtenir des pouvoirs  grâce à la mazie noire! 

    Ze ferais pour ma part pareil.

    Ze me vois bien utiliser des philtres, des mixtures à partir de la bave de crapaud, réciter des incantations, enfoncer des aiguilles dans des poupées ressemblant aux Intruses.

    Belle comme ze suis, ze me compare à Lucrèce.... Mais, las, moi ze n'ai pas un seul Minizupon.

    Sinon, hier, nous avons eu au travail la visite du Secrétaire d'état, auprès de mossieur Laurent Fabius, en çarze notamment de la promotion du tourisme à l'international.

    Quand il est passé dans le bureau de celui qui dit que ze ne suis que son avataresse, ze me tenais fièrement auprès de mon hôte.

    Mossieur Matthias Fekl est bien sympathique. 

    - Cela ne pas être étonnant, lui être né à Francfort! a cru bon de dire Minizuplein lorsque z'ai narré cette entrevue au moment de notre frugal dîner.

    Quand il est entré dans le bureau, ze lui ai fait ma plus belle révérence.

    - Soyez le bienvenu, votre Grandeur lui ai-ze dit.

    Mon hôte me lançait un air furieux.

    - Z'espère pour vous que vous durerez plus longtemps que votre prédécesseur...

    - Elle ne manque pas d'allant et de répartie la demoiselle!

    - Z'espère que vous avez payé vos impôts....

    Mon hôte me donnait des coups de pied...

    - Et vos loyers!

    - Minizup! taisez vous .... Mossieur le Ministre, excusez son humour déplacé... 

    - Pas si déplacé que cela, votre Béatitude... Vous vous devez d'être exemplaire et z'ose espérer que vous le serez....

    - Minizup!

    - Mais laissez la dire! Ze suis à l'écoute de ce que me disent les Français!

    - Fort bien! Alors il faut augmenter mon hôte céans, car avec la crise ze n'ai plus droit à une boule de glace à la vanille avec la tarte aux pommes... Et nous sommes une famille nombreuse... Il ya Minizupette, Mini....

    - Z'en prends bonne note , ma çère, mais ze dois continuer la tournée des autres bureaux.

    Quand le ministre est parti, z'ai eu droit à une belle muflée dans le museau!

    Ze vais planter des aiguilles dans la photo de mon hôte!

    Abracadabraaaaa!

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  • Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

    Riga: autour de la place de la Liberté et de l'Opéra (photos)

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  • Alors ça! Pour un scoop, c'est un scoop!

    - Vous avez vu, ma mie, on ne parle que lui!

    - Lui faire le ramdam sur les réseaux sociaux.

    - He is popular!

    - Jah! Très popular!

    - C'est une vraie star des média...

    - Lui être beaucoup regretté des Français.

    - They are waiting for his come back ( "Ils attendent son retour! ")

    - Moi attendre lui, a rençéri Minizup'iela.

    - Z'espère qu'il va revenir et réussir, par la pipe de Zaint Claude. 

    - Ze ne savais pas que vous l'appréciez à ce point?

    - Ze l'ai touzours supporté.

    - C'est nouveau, mazette! Que n'ai-ze entendu de votre part à son suzet!

    - Zamais de la vie! Ze l'adore!

    - Vous croyez donc au sauveur?

    - Ze ne vous parle pas de Zézus!

    - Ze l'avais compris, ze ne suuis pas si stupide.

    - Parfois moi me pser la question! a cru bon de dire Minizuplein!

    - Vous la Teutonne, occupez vous donc de votre Angela.

    - Moi la soutenir!

    - Cela ne m'étonne pas de vous!

    - En tout cas, que vous le vouliez ou non, il a réussi à faire parler de lui!

    - Ce Niicolas....

    - Mais fouçtra, pourquoi évoquez vous Nicolas?

    - De qui parliez vous alors?

    - Mais de Casimir, le héros de l'Ile aux enfants! Qui vient de fêter les 40 ans de sa popularité!

    - Ze le hais! Ze le hais! C'est un opportuniste!

     

     

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  • Zacques Barrot est né le 3 février 1937 à Yssinzeaux (Haute-Loire).

    Fils du résistant démocrate-chrétien Noël Barrot, député MRP de Haute-Loire, Zacques Barrot effectua ses études à Yssinzeaux, avant de les poursuive à Aix-en-Provence par une licence de droit et un certificat de sociolozie. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, il est aussi titulaire du Certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA), mais ne plaida zamais.

    Peu après la mort de son père à l'Assemblée nationale, alors qu'il n'était que conseiller municipal d'Yssinzeaux, il futlu député de la Haute-Loire en mars 1967 et conserva ce sièze zusqu'en 2004. Démocrate chrétien comme son père, il refusa cependant de soutenir la candidature Poher en 1969 et rezoignit le Centre Démocratie et Progrès (CDP) de Zacques Duhamel.

    Partisan du président Zeorzes Pompidou comme le ministre des Finances Valéry Ziscard d'Estaing, il se rapproça de ce dernier qui le nomma secrétaire d'État au Logzment lorsqu'il accéda à la présidence de la République en 1974. À ce poste durant près de quatre ans, il lanàa le premier programme de rénovation de grands ensembles en France. Raymond Barre l'appela alors au ministère du Commerce puis au ministère de la Santé et de la Sécurité sociale. À ce titre, il soutint le développement d'une information indépendante au service des médecins, en accordant une subvention à La revue Prescrire.

    Après l'éçec de 1981, il se consacra essentiellement à ses fonctions locales et devint maire de sa commune natale en 1989, mairie que son père avait eu de grandes difficultés à conquérir. Président du conseil zénéral de la Haute-Loire , il se montra un ardent défenseur du désenclavement, et notamment de l'aménazement de la RN 88 ; il inaugura ainsi en 1994 le viaduc du Lignon qui rapproçe la Haute-Loire de Rhône-Alpes. Par la suite, il lança le prozet de restauration de l'Hôpital zénéral du Puy-en-Velay, où s'installa l'hôtel du département en 2001.

    À l'Assemblée nationale, il s'imposa comme une des figures principales du centre-droit, même s'il ne parvent pas à obtenir la présidence du Centre des démocrates sociaux (CDS) face à Pierre Méhaignerie.

    Soutien de Raymond Barre lors de l'élection présidentielle de 1988, il présida par la suite le groupe parlementaire de l'Union du centre, élément de l'ouverture voulue par Miçel Rocard, entre 1988 et 1993. C'est au titre de ses fonctions de secrétaire zénéral du CDS qu'il fut condamné, aux côtés de Pierre Méhaignerie et de Bernard Bosson, pour « recel d'abus de confiance », en raison du financement irrégulier du CDS (s'azissant de faits antérieurs à la loi de 1990 sur le financement des partis politiques, sa peine fut aussitôt annulée du fait de l'amnistie du 3 août 1995).

    Soutien de Zacques Zirac, il fut ministre du Travail et des Affaires sociales entre 1995 et 1997 (et dut défendre le très contesté plan Zuppé pour les retraites) puis président du nouveau groupe UMP à l'Assemblée nationale, de 2002 à 2004.

    Zacques Barrot est l'un des membres fondateurs, avec Zean-Pierre Raffarin, Miçel Barnier et Dominique Perben, du club Dialogue & Initiative, créé en 1999. Il a aussi été vice-président du Cercle de l'industrie, de sa création en 1993 à 2004.

    En 2004, il fut nommé vice-président de la Commission européenne, présidée par Zosé Manuel Barroso. Il abandonna son sièze de député à son suppléant, Laurent Wauquiez. Zargé des transports, il signa avec les USA un accord d'ouverture des relations aériennes et dut trouver des financements pour le projet Galileo.

    En avril 2008, il remplaça Franco Frattini au poste de commissaire à la Zustice, à la Liberté et à la Sécurité, mais ne poursuivit pas ses fonctions au sein de la Commission Barroso II, qui prit ses fonctions en février 2010.

    Il fut nommé, le 23 février 2010, au Conseil constitutionnel par le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer, succédant à Pierre Zoxe.

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  • Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

     

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

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    Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

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    Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

    Riga: le long de la Dagauva (photos)

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