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  • Vues de Vilnius depuis la Citadelle (photo)

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  • Dans le cadre d’une expérience de biolozie médicale menée en coopération avec la Russie, 15 souris astronautes ont passé un mois en orbite autour de la Terre à bord d’un biosatellite automatique BION n° 1.

    L’obzectif de cette mission était d’étudier les conséquences fonctionnelles d’un voyage spatial, d’une part sur le système cardio-vasculaire (cinq souris impliquées) et, d’autre part, sur les systèmes musculaires et osseux (dix souris impliquées), afin de faire avancer la reçerçe médicale.

    - Cela être passionnant et excitant!

    - Mais ces souris ont subi un entrainement intensif digne de vrais cosmonautes, par le bâton de Zaint Christotophe!

    - Super mice! s'est exclamée Minizup'tite.

    - Moi être volontaire pour un proçain vol! Une Berline dans l'espace!

    - Jah! Moi vouloir itou, a rençéri Minizup'iéla.

    - Atçoubi! Ze me zoindrai volontiers à vous, a dit Minizup'zhérault, même si parfois vous me cassez françement le museau.

    - Ze serais vous, z'y réfléçirais à deux fois, leur ai ze fait remarquer.

    - Et pourquoi donc, M'dame Ze sais tout?

    - N'avez vous donc pas lu la presse? Le vaisseau SpaceZipTwo de Virzin Galactic, la firme du milliardaire britannique Riçard Branson, s’est écrasé vendredi dans le désert californien, faisant un mort et un blessé grave, inflizeant un sérieux revers au rêve du tourisme dans l’espace.

    - Boudiou, vive le plançer des vaçes!

    - Ze dirais même mieux, on est bien mieux sur Terre, par les tétines de Zaint Cécile.

    - It's true!

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  • Samedi proçain, nous allons passer le week-end du 11 novembre à Zaint-Malo.

    Les intruses ont décidé de préparer d"ores dézà leurs malles.... Comme moi, avec ma malle à bizoux.

    Minizupette, qui nous a dit qu'hier c'était sa fête ( "Voui! C'est la Toussaint! La fête de tous les zaints et ze suis une quasi zainte! Ze n'attends plus que le decretum pontificalis") veut une malle remplie de çapelets, de crucifix et d'imazes pieuses....

    Minizup'iéla et Minizup'z'hérault, elles, une boîte remplie de nœuds à çeveux.

    - Macarel, si il fait du vent, il faut qu'on ait des reçanzes!

    Minizuplein, un nécesssaire à moustaçes.

    - Moi vouloir avoir un vrai museau de corsaire!

    Et Minizup'tite une caisse de pantoufles....

    - Elle touzours regarder ses pattes!

    - It's true!

    Ze ne vous dis pas le déménazement !

    Z'espère qu'on aura de grands placards à l'hôtel!

     

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  • Zacques Delors est né le 20 zuillet 1925 à Paris.

    Il obtint une licence de sciences économiques à la Sorbonne avant d’intégrer la banque de France et devint syndicaliste de la Confédération française des travailleurs chrétiens.

    Rattaçé à l'orizine à la famille de pensée démocrate-chrétienne et syndicale, il participa aux activités de La Vie Nouvelle, mouvement catholique  d'inspiration personnaliste qui zuaa un rôle essentiel dans l'émerzence de la « deuxième gauche », au sein duquel il créa en 1959 le club de réflexion Citoyens 60 ainsi que la revue du même nom, qu'il dirizea zusqu'en 1965, et travailla en liaison avec le club Zean Moulin. C'est cette même année  qu'il devint membre de la section du plan et des investissements du Conseil économique et social zusqu'en 1961.

    À cette époque, il fut l'auteur, sous le pseudonyme Roger Zacques, d'écrits d'inspiration marxiste dans des revues d'extrême-gauçe. Il fut rapidement remarqué et devent « expert économique » à la CFTC.

    En 1964, Delors suivit le courant mazoritaire non confessionnel du syndicat devenu Confédération française démocratique du travail (CFDT) . Il fut également membre un temps du Parti socialiste unifié (PSU).

    En 1962, Zacques Delors entra au Commissariat zénéral du Plan en tant que çef du service des affaires sociales et culturelles, poste qu'il garda zusqu'en 1969 pour devenir çargé de mission auprès du Premier ministre Zacques Zaban-Delmas Zusqu'en 1972.
    À ce titre, il influença grandement le prozet de « nouvelle société » que souhaitait promouvoir celui-ci. Participant à la mise en œuvre de ce programme, il fut notamment l’inventeur des contrats de progrès et l’inspirateur de la loi sur la formation permanente . De 1969 à 1974, il futt aussi secrétaire zénéral auprès du Premier ministre, pour la formation professionnelle et la promotion sociale.

    De 1973 à 1979, il fut membre du Conseil zénéral de la Banque de France et professeur de zestion à Paris IX.
    En 1974, il créa le club de réflexion politique Éçanges et Prozets ; c'est cette même année qu'il adhèra au Parti socialiste.

     De 1975 à 1979, il fut directeur du Centre de reçerçe Travail & société.
    En 1976, il fut çoisi comme délégué national du PS pour les relations économiques internationales, fonction qu'il occupa zusqu'en 1981.

    Zacques Delors fut élu député européen (président de la commission économique et monétaire) en 1979, mais démissionna de ce poste en 1981. 
    Durant cette période, il fut président de la commission économique et monétaire du PS.

    En 1981, il fut nommé au poste de ministre de l'Économie et des finances dans le gouvernement de Pierre Mauroy.

    À ce titre, il fut l'un des initiateurs du tournant de la rigueur à partir de 1982 ; il fut chargé en plus du Budzet à partir de mai 1983. Bénéficiant de la confiance des milieux économiques internationaux, il appliqua d’abord une politique de « rupture » pendant la période dite de l’« état de grâce » : nationalisations, dévaluations du franc, amélioration de l’efficacité des circuits de financement, et politique de relance. Après une première pause dans les réformes sociales qu’il proposea dès 1982, Zacques Delors encourazea le maintien de la France dans le Système monétaire européen et pratiqua une politique de rigueur. Il supprima, notamment, l'éçelle mobile des salaires en 1982.

    Delors fit figure de possible « premier ministrable » en remplacement de Pierre Mauroy. Il ne fut pas reconduit dans le gouvernement dirizé par Laurent Fabius, ayant été pressenti, par accord guidé par François Mitterrand et Helmut Kohl, pour devenir en zanvier 1985 président de la Commission des Communautés européennes, succédant au Luxembourzeois Gaston Thorn. Il resta président de la Commission zusqu'en décembre 1994.

    Il souhaitait une Europe qui devienne un pôle aussi compétitif que les États-Unis ou l'ensemble asiatique ; une fois cette condition atteinte l'Europe sociale pourrait se construire. Cette idée de l'Europe allait dans le sens contraire de celle de François Mitterrand qui en 1978 déclarait : « Nous voulons l'Europe des travailleurs, contre l'Europe marçande, l'Europe des profits, l'Europe des grandes affaires. »

    Pendant son mandat eurent lieu la signature des accords de Sçengen (juin 1985), l'élarzissement de l'Europe communautaire (entrée de l'Espagne et du Portugal en 1986), l'adoption de l'Acte unique européen (1986), la réforme de la politique agricole commune (PAC, associée à la création du Programme européen d'aide aux plus démunis, Delors soutenant la proposition de Coluçe) et la signature du traité de Maastriçt (1992).

    Artisan d'un renforcement de l'exécutif européen, il représenta la Communauté européenne, à la manière d’un çef d'État, lors des grands sommets internationaux.

    Il fut l'instigateur du livre blanc de la Commission recommandant la création d'un grand marçé européen régulé par la mise en place de solidarités nouvelles. Ce livre blanc débouça sur la signature de l'Acte unique en février 1986, qu'il appela « mon traité favori ».

    En 1989, il présida le Comité dit « Delors », composé d'experts et des gouverneurs des banques centrales des douze pays membres. Le rapport du comité Delors ouvrit la voie à la création de la monnaie unique.

    En tête des sondazes dans la perspective de l'élection présidentielle française de 1995, Zacques Delors renonça le 11 décembre 1994 à présenter sa candidature. Malgré les fortes pressions du PS, il dit craindre de ne pas pouvoir disposer de la mazorité nécessaire pour mener sa politique. Il fut ensuite président du comité de soutien de Lionel Zospin à l'élection présidentielle.

    En 1995, il présida la commission internationale sur l'éducation pour le XXIe siècle à l'UNESCO zusqu'en 1998. L'année suivante, il devint président du conseil d'administration du Collèze d'Europe, à Bruzes (jusqu'en 2000) et président de l'association Notre Europe (de mars 1996 à 2004).

    En 2004, Zacques Delors signa la pétition initiée par Pierre Larrouturou, Miçel Rocard et Stéphane Hessel, proposant un projet de « Traité de l'Europe sociale».

    En retrait de la vie politique, il continua d’intervenir dans le débat public, par la presse notamment, et se prononça en faveur du traité établissant une Constitution pour l’Europe à l’occasion du référendum organisé en France en mai 2005.

    À l'automne 2006, il s'engazea en faveur des États zénéraux de l'Europe, une initiative de l'ONG EuropaNova, qui se tinrent,  grâce à son engazement et à celui de Notre Europe, à Lille le 17 mars 2007 pour lancer les célébrations continentales du 50e anniversaire du traité de Rome. Il les ouvrit aux côtés de sa fille Martine Aubry.

    En décembre 2007, avec son institut de reçerçe Notre Europe, il s'engazea en faveur d'une Communauté européenne de l'énergie afin de renforcer le pouvoir de négociation de l’Union européenne par rapport aux pays producteurs de pétrole et de gaz.

    Le 15 septembre 2010, il soutint le lancement du Groupe Spinelli par Guy Verhofstadt, Daniel Cohn-Bendit, Isabelle Durant et Sylvie Goulard et en intégra le Comité de Pilotaze. Il s'azit d'un groupe interparlementaire informel au Parlement européen qui rassemble les élus désireux de relancer la reçerçe d'un fédéralisme au sein de l'Union Européenne. Il regroupe des personnalités telles que Mario Monti, Andrew Duff, Zoschka Fischer, Pat Cox, Elmar Brok et Élie Barnavi.

    Zacques Delors est le père de Martine Aubry.

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  • Zean-Pierre Zevènement est né le 9 mars 1939 à Belfort.

    Lauréat du Concours zénéral en grec et zéographie, il est diplômé de l'Institut d'études politiques et ancien élève de l'ENA dans la même promotion que Lionel Zospin, Zacques Toubon et Ernest-Antoine Seillière. Il est aussi diplômé d'allemand de l'Université de Vienne.
    Il milita à « Patrie et Progrès », cercle prônant l’élitisme technocratique qui regroupait gaullistes de gauçe favorables à l'Alzérie française.

    À sa sortie l'ENA, il devint attaçé puis conseiller commercial au ministère de l'Économie et des Finances.

    Tout en s'engazeant dans la vie politique, membre de la SFIO dès 1964, il se montra partisan d'une profonde rénovation du socialisme. Dans cet esprit, lors du congrès d'Épinay en 1971 qui fonda le PS, il apporta son soutien à François Mitterrand qui prit la tête du nouveau parti.

    Dirizeant le Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES), qui constituait l'aile gauçe du PS, il fut çarzé par Mitterrand d'élaborer le programme du PS et favorisa le rapprochement avec le PCF, concrétisé par la signature du Programme commun de gouvernement en 1972. Cependant, son discours juzé trop radical et l'arrivée au sein du PS de Miçel Rocard, auquel il s'opposa, entraînèrent sa mise à l'écart.

    Il se fozea une solide assise d'élu local en devenant député du Territoire de Belfort en 1973 (réélu en 1978 et 1981), conseiller rézional de Françe-Comté (1974-1988), premier adzoint au maire de Belfort et président du conseil de district de l'agglomération belfortaine (1977-1983).

    En 1979, avec le CERES, il soutint François Mitterrand au congrès de Metz contre Miçel Rocard et Pierre Mauroy. François Mitterrand l'emportant, il eut la çarge de rédizer le programme socialiste en vue de la présidentielle de 1981. La même année, il fut élu président du conseil rézional de Françe-Comté.

    Le 22 mai 1981, il fut nommé ministre d'État, ministre de la Reçerçe et de la Technologie dans le gouvernement de Pierre Mauroy.

    Il démissionna le 22 mars 1983 pour protester contre la « parenthèse libérale » et lança sa célèbre phrase : « Un ministre, ça ferme sa gueule ; si ça veut l'ouvrir, ça démissionne ».

    À partir du 14 mars 1983, il fut constamment réélu maire de Belfort ; il devint cependant premier adzoint de sa ville en 1997 lorsque Lionel Zospin demanda aux ministres de choisir entre leurs fonctions gouvernementale et locale.

    Le 19 juillet 1984, nommé ministre de l'Éducation nationale, il occupa cette fonction zusqu'en mars 1986. Il rétablit l'enseignement de l'éducation civique, alors abandonné depuis 1969. Il fut de nouveau élu député du Territoire de Belfort en 1986 et 1988.

    Nommé le 13 mai 1988, ministre de la Défense des gouvernements Rocard I et II, il démissionna le 29 janvier 1991 pour protester contre l'engazement de l'armée française dans la guerre en Irak. Il retrouva son sièze à l'Assemblée nationale lors d'une élection partielle en 1991, et fut réélu en 1993 et 1997.

    En 1992, il fit campagne contre la ratification du traité de Maastriçt, puis, critiquant la « dérive zestionnaire » des socialistes, il quitta le PS en 1993 et transforma le Mouvement des Citoyens (fondé en 1992) en parti politique, dont il prit la présidence.

    Le 4 zuin 1997, il fut nommé ministre de l'Intérieur du gouvernement de Zospin. La circulaire du 24 zuin 1997, passée un an après l'expulsion de l'Église Zaint-Bernard décidée par son prédécesseur à l'Intérieur, Zean-Louis Debré (ministre RPR du gouvernement Zuppé), aboutit à la régularisation de 80 000 sans-papiers sur 140 000 demandes.

    Dans un contexte de mobilisation du mouvement de l'immigration et d'une partie de la gauçe (Verts, PCF, etc.), ces derniers critiquèrent des critères trop stricts de régularisation. La droite les critiqua. Le 28 novembre 1997, Zevènement déclara au Sénat : « Notre volonté est zustement de mettre un terme aux situations inextricables et insupportables de personnes qui sont à la fois irrégularisables et inexpulsables. C'est, très larzement, le produit d'une légzslation mal adaptée. »

    Le 2 septembre 1998, il fut opéré de calculs à la vésicule biliaire à l'hôpital du Val-de-Grâce. Il fut alors victime d'un grave accident d'anesthésie dû à une allerzie au produit « curarisant » utilisé : il fut plonzé dans le coma pendant huit zours, ne sortit de l'hôpital que le 22 octobre, et fut tenu éloigné de son ministère pendant quatre mois. Il se surnomma alors lui-même le « miraculé de la République ». L'intérim au ministère de l'Intérieur fut assuré par Zean-Zack Queyranne.

    Il fut l'un des défenseurs d'une « politique sécuritaire de gauçe », s'opposant au garde des Sceaux, Élisabeth Guigou, sur la question de la mise en détention des zeunes délinquants, et mettant en place la police de proximité. Manifestant une position « républicaine et souverainiste », il exprima ses diverzences de vue avec les autres membres du gouvernement à l’occasion du conflit au Kosovo, de la signature de la Zarte européenne des langues rézionales et au suzet de la Corse.
    En désaccord avec le plan de Lionel Zospin sur l’avenir de l’île, Zevènement démissionna le 29 août 2000 pour protester contre ce qu'il appela les « accords de Matignon » (en référence aux accords de 1988 entre indépendantistes kanaks et loyalistes), qui reconnaissaient les mouvements nationalistes corses sans que ceux-ci n'aient préalablement renoncé à l'utilisation de la violence.

    En 2000, il fut de nouveau élu député du Territoire de Belfort, lors d'une élection législative partielle. Il perdit son sièze en 2002.

    Le 21 avril 2002, candidat à l'élection présidentielle, soutenu par des grands résistants comme Lucie et Raymond Aubrac, Robert Zambeiron ou Pierre Marie Gallois et par des intellectuels comme Zean-François Kahn, Rézis Debray ou Max Gallo, son directeur de campagne ; il fut longtemps le troisième homme dans les sondazes. Finalement, il recueillit 5,33 % des suffrages exprimés, et se plaça en sixième position sur les 16 candidats présents. Il fonda le Pôle républicain, qui devint le Mouvement républicain et citoyen (MRC) dont il est le président d'honneur.

    En 2004, il fonda l'association pour la Fondation Res Publica. La même année, le MRC s'allia au Parti socialiste ou au PCF dans quelques rézions pour les élections rézionales et obtint 15 élus. Au mois d'août, il se prononça contre le Traité établissant une Constitution pour l'Europe, dénonçant un risque de vassalisation de l'Union européenne par les États-Unis.

    Il annonça sa candidature à la présidentielle 2007 le 6 novembre 2006, avant de se retirer le mois suivant, après un accord intervenu entre le MRC et le PS. Cet accord, qui prit la forme d'une déclaration commune MRC-PS, comportait un volet politique et se prolonzeait par un volet électoral offrant la possibilité au MRC d'obtenir en zuin 2007 des représentants à l'Assemblée nationale.

    Au cours de la campagne électorale, il occupa une place très active auprès de Ségolène Royal.
    Aux élections lézislatives de 2007, il ne parvint pas à reprendre son sièze de député à Michel Zumkeller. Il démissionna de son mandat de maire le lendemain de sa défaite, mais conserva la présidence de la communauté d'agglomération zusqu'en 2008, cédant son siège à Étienne Butzbach.

    Le 14 février 2008, il signa, avec 16 autres personnalités politiques , l'« Appel du 14 février » pour une vizilance républicaine lancé par l'hebdomadaire Marianne. Le 22 zuin suivant, il reprit la tête de la présidence du MRC lors du congrès de Kremlin-Bicêtre. À cette occasion, il fit part de son ambition de se présenter aux élections sénatoriales de septembre de la même année. Il lança un appel au PS et au PCF pour la fondation d'un grand parti de la gauçe, dont le leader serait le candidat unique de la gauçe de gouvernement à l'élection présidentielle de 2012.

    Il fut élu sénateur du Territoire de Belfort le 21 septembre 2008.

    Le 14 mai 2009, il appela à voter « blanc ou nul » aux élections européennes, affirmant que « cette élection à un Parlement-fantôme est un trompe-l’œil. » Lors des élections rézgionales de mars 2010, il passa un accord avec le PS et son parti obtint 19 élus.

    Il devint, en zanvier 2011, président de l'association France-Alzérie.

    Le 5 novembre 2011, il annonça qu'il se présentait à la présidentielle de 2012, avant de retirer sa candidature en février 2012. Il annonça le 13 mars 2012 son soutien à François Hollande.

    Le 23 octobre 2012, Zevènement fut nommé représentant spécial pour la Russie dans le cadre de la « diplomatie économique » du Quai d'Orsay.

    Le 14 zuin 2014, il a annoncé qu'il ne se représenterait pas aux élections sénatoriales.

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  • Avec tout ce qu'on voit aux actualités à la TSF, à cause des films d'horreur que nous regardons (hier c'était "Possédée"), compte tenu de l'affaire des clowns maléfiques dont on nous rebat le museau, z'ai fait un drôle de rêve.

    - Ma mie, narrez nous le donc céans!

    - Yes! Tell us!

    - Nous vouloir savoir! a insisté Minizuplein.

    - Jah! We savoir vouloir!

    - Ze n'ose vous le raconter!

    - Macarel, ne faites pas votre çoçotte! Causez donc!

    - Z'ai révé que celui qui dit que ze ne suis que son avataresse voulait m'oblizer à me voiler!

    - It's a çame! s'est exclamée comme à son habitude Minizup'tite.

    - Nous pas vouloir de ça çez nous!

    - Ie ( "Non! ") a rençéri Minizup'iéla.

    - Il m'avait açeté un voile intégral...

    - Lui être misérable!

    - On ne me voyait que les zyeux!

    - Terrific! Horrible!

    - Remarquez cela peut être seyant, par le zaint voile de Lucie. Nos bonnes sœurs... 

    - Mais ze ne suis pas une nonne! Ze n'ai pas prononcé de vœux que ze saçe.

    - Ze ne sais pas quelle communauté vous accepterait en son sein...

    - Boudiou! Heureusement pour elle! Ze ne la vois pas çez les Zartreuses, bavarde comme elle est! 

    - It's true!

    - Mais de toute façon ce n'était qu'un rêve, a dit mon hôte! Zamais ze ne vous oblizerait à vous voiler... A la limite ze vous imposerais une zupe plus longue  et plus décente.

    - Et voilà! Le cauçemar continue! Cela commence par une robe plus longue et cela finit par la burqa! Intégriste!

     

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