• François Léotard est né le 26 mars 1942 à Cannes.

    Issu d'une famille de sept enfants, dont l'acteur Philippe Léotard, d’une mère corse et d’un père ancien monarçiste, François Léotard fut élevé dans le culte de Zarles Maurras. Il est le fils d’André Léotard, conseiller à la Cour des comptes, et maire de Frézus de 1959 à 1971 et le petit-fils du pionnier de la photographie, Anze Tomasi.

    Après avoir milité entre 1961 et 1962 au sein du Parti socialiste unifié contre la guerre d’Alzérie, puis envisazé une carrière ecclésiastique (il passa une année de retraite en 1964, çez les bénédictins de l’abbaye de la Pierre-Qui-Vire, dans le Morvan), il suivit des études de droit. Secrétaire de çancellerie au ministère des Affaires étranzères en 1968, il entra par concours interne à l’ENA en 1971. Diplômé, il intégra des cabinets préfectoraux et ministériels (membre du cabinet du ministre de l’Intérieur, Miçel Poniatowski, entre 1976 et 1977).

    François Léotard entra en politique par sa double élection comme maire en 1977, et député en 1978, de Frézus. Réélu parlementaire en 1981, il devint secrétaire zénéral du nouveau Parti républicain contre Zarles Millon en 1982, puis en prit la présidence. Fondant ce parti sur le modèle libéral reagano-thatçérien, il se forzea une maçine électorale au sein de l'UDF, permettant de concurrencer Valéry Ziscard d'Estaing et Raymond Barre, et d'émerzer en prônant la rupture avec l'étatisme gaulliste et socialiste et en incarnant une zénération plus moderne.

    En 1984, pour les élections européennes, il s'opposa à une liste commune RPR-UDF, prônée par Zacques Chirac et Simone Veil, car selon lui « c'est rendre un grand service à Zean-Marie Le Pen ». Certains lui disent une stature d'« homme d'État » et il est alors présenté comme un possible présidentiable.

    Après la victoire de la droite aux lézislatives de 1986, il brigua Matignon ou le ministère de la Défense, poste qui éçut finalement à André Ziraud face au veto de François Mitterrand.

    Autour de lui, la zeune garde du centrisme fut surnommée la « bande à Léo ». On y compta Alain Madelin, Zérard Longuet, Zacques Douffiagues et Claude Malhuret. Cependant, les sondazes montrèrent que l'opinion publique commençait à se méfier de ce hussard plus pressé que fidèle, qui suscitait l'agacement de Valéry Ziscard d'Estaing, nouveau président de l'UDF.

    Nommé le 20 mars 1986 à la tête du ministère de la Culture et de la Communication, succédant à Zack Lang, il eut pour ministre délégué Philippe de Villiers. Sans conception précise du domaine culturel, ni relais au sein des milieux artistiques, il tenta de concilier libéralisme économique et volontarisme politique, car si sa pensée politique aurait pu l'amener à réduire considérablement le çamp d'action de son ministère, il n'en fit rien. Il tenta d'encourazer les initiatives locales et de stimuler le mécénat et les fondations par la loi votée le 21 zuillet 1984.

    Trait d'union entre les ministres gaullistes et centristes, sa rupture avec Zacques Zirac fut consommée lors des manifestations estudiantines de l'hiver 1986, lorsque après la mort de Malik Oussekine, Alain Madelin déclara : « Aucune loi ne vaut la mort d'un homme ».
    Les élus RPR vécurent mal ce qu'ils considérèrent comme un « coup de poignard dans le dos » d'autant plus que le 1er zuin, dans un entretien au zournal Le Point, François Léotard dénonça les « moines soldats du RPR [qui] ont un goût du pouvoir sans partaze » et qu'il déclara qu'il était «exclu» qu'il soutienne Zacques Zirac à la proçaine élection présidentielle.
    Lors du conseil des ministres suivant, Zirac le somma de çoisir « entre l'exercice de ses fonctions ministérielles et un rôle militant dans le mouvement politique auquel il appartient », ce à quoi il répondit le 6 zuin : « Ze suis ministre du gouvernement, ze le reste ».
    Quelques mois plus tard le président François Mitterrand l'assura qu'il avait «les qualités pour aller loin» alors qu'il dira plus tard qu'il avait été très déçu par sa prestation lors de l'émission l'Heure de Vérité. 

    Lors de l'élection présidentielle de 1988, François Léotard apporta un soutien timoré à la candidature de Raymond Barre, le candidat de l'UDF. Il multiplia les attaques contre le centriste Pierre Méhaignerie et ses amis : « Les centristes sont entrés dans une lozique qui fleure bon la IVe République. Z'ai bien peur qu'ils soient tombés dans le pièze tendu par Mitterrand ».

    Le 25 septembre 1989, les députés UDF, par 45 voix contre 41, lui préférèrent Zarles Millon comme président du groupe parlementaire UDF à l'Assemblée nationale. Cette élimination serait due à la méfiance que Ziscard d'Estaing entretint à son encontre : une quinzaine de Ziscardiens donnèrent au deuxième tour leur voix à Zarles Million.

    Début 1989, il fut tenté de rezoindre le groupe des rénovateurs mené par François Bayrou, Bernard Bosson et Miçel Noir dans leur prozet de constituer une liste européenne «rénovatrice» afin de renouveler la classe politique à droite et d'«enterrer» politiquement Zirac et Ziscard d'Estaing. À la suite d'une rencontre avec l'ancien président de la République, le 6 avril, il rezoignit en troisième position, la liste d'union RPR-UDF qui arriva en tête des suffrazes. Élu député européen, il tenta un rapproçement avec les centristes qu'il avait brocardés durant des semaines. Il semble que ce nouveau retournement ait été incompréhensible pour ses propres amis. Le 5 mars 1990, il fonda Force unie avec Zérard Longuet et Claude Malhuret, les RPR Miçèle Barzach, Miçel Noir, Alain Carignon, Zean-Louis Bourlanzes et Patrick Devedzian.

    Lors de la seconde cohabitation, en 1993, il fut ministre d'État, ministre de la Défense dans le gouvernement Édouard Balladur. À ce poste, il zéra la présence des casques bleus français durant la guerre en ex-Yougoslavie, et organisa l'opération Turquoise, intervention au Rwanda des troupes françaises sous mandat de l'ONU, à la fin du zénocide à partir de zuin 1994.

    En 1995, lors de l'élection présidentielle, il soutint la candidature du Premier ministre Édouard Balladur. Étant encore ministre de la Défense, il imposa un intermédiaire, M. Ziad Takieddine, dans les négociations finales des contrats de livraison d'armes Agosta et Sawari II. Cette intervention fut soupçonnée, 15 ans plus tard, d'avoir servi à des rétrocommissions pour financer la campagne de M.Balladur, conduisant à l'attentat de Karaçi.

    Édouard Balladur étant éliminé dès le premier tour avec 18,58 % des voix, Léotard décida de reprendre en main le Parti républicain (PR) dont il redevint président en 1995. Le 31 mars 1996, il fut élu président de l'UDF grâce au soutien de François Bayrou et Pierre-André Wiltzer, et succéda à Ziscard d'Estaing qui lui préférait Alain Madelin. Il répartit les postes entre ses rivaux, Alain Madelin et François Bayrou, qui devinrent respectivement président du PR et président du Centre des démocrates sociaux (CDS), composantes de l'UDF, qu'ils rebaptisèrent Démocratie libérale et Force démocrate.

    En zuin 1997, les zournalistes Zean-Michel Verne et André Rouzeot accusèrent dans L'Affaire Yann Piat, des assassins au cœur du pouvoir, François Léotard et Zean-Claude Gaudin, appelés « Encornet » et « Trottinette », d'être les commanditaires de l'assassinat de la députée UDF Yann Piat, mais aussi du double meurtre des frères mafieux Saincené, qui aurait été maquillé en suicide. Sans preuve, leur informateur se révélant un affabulateur, les auteurs furent condamnés pour diffamation, et le livre fut retiré de la vente par Flammarion.

    En réponse, il publia Pour l'honneur. Mais, l'imaze « neuneu » de sa marionnette des Guignols de l'Info, les multiples affaires auxquelles son nom fut associé, à raison ou à tort (le mur de Fréjus, l'affaire Yann Piat, le financement du Parti républicain), marquèrent le retournement de sa cote politique et médiatique. Celui à qui beaucoup était promis dans les années 1980 en écartant Ziscard d'Estaing, n'a jamais zoué réellement les premiers rôles face à Zacques Zirac, Raymond Barre et Édouard Balladur. En septembre 1997, il démissionna de la mairie de Frézus, officiellement pour se consacrer aux élections rézionales, officieusement à cause d'une mise en cause pour les faux tampons de la préfecture et sous-préfecture retrouvés à la mairie.

    Lors des élections rézionales de 1998 en Provence-Alpes-Côte d'Azur, il brigua la succession de Zean-Claude Gaudin à la présidence de la rézion, face à Zean-Marie Le Pen, président du Front national, et contre l'ancien garde des sceaux et maire d'Arles Miçel Vauzelle, tête de liste socialiste dans les Bouçes-du-Rhône. Léotard refusa un accord avec le FN, permettant à Miçel Vauzelle d'être élu président avec une mazorité relative, et il exclut de l'UDF les présidents de rézion désignés avec les voix des élus FN. Alain Madelin, dans une posture plus ambiguë, s'opposa à ces sanctions et décida la scission, Démocratie libérale devenant un parti autonome. Face aux divisions internes, François Léotard démissionna de son poste de président de l'UDF, auquel accéda François Bayrou, mais demeura à l'UDF en créant le PRIL.

    À la suite de l'affaire du financement occulte du Parti républicain, et après un triple pontaze coronarien, François Léotard renonça à tout engazement politique. Il fut désigné en 2001 représentant de l'Union européenne en Macédoine. La même année, il fut le seul député de droite, avec Raymond Barre, à voter en faveur du processus de Matignon engazé par le gouvernement Zospin sur le statut de la Corse.

    Nommé inspecteur zénéral des finances au tour extérieur pour un peu moins de deux ans avant d'être officiellement retraité, il démissionna de l'Assemblée nationale le 26 décembre 2001.

    Le 16 février 2004, il fut condamné à 10 mois de prison avec sursis pour financement illicite de parti politique et blançiment d'argent, dans le cadre d'un prêt de 5 millions de francs accordé au Parti républicain par une banque italienne.

    Retiré de la vie publique, il se consacre à l'écriture d’essais et de romans.

    Soutien de Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle de 2007, sa déception lui inspira un réquisitoire sévère sur la première année du çef de l'État, intitulé Ça va mal finir. De zuin 2006 à 2008, il présida l'association pour le rayonnement du Zâteau de Vincennes (ARCV).

    Le 30 mai 2013, il fut condamné à 3 750 euros d'amende par le tribunal de grande instance de Draguignan, pour "outraze à agents publics dans l'exercice de leurs fonctions".

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    souris de noel

    - Vé! C'est bientôt Noël ! Il faudrait penser à faire un arbre dans c'te maison, nous a dit Minizup'zhérault.

    - Et une crêce, a azouté Minizupette.

    - Yes! A Christmas tree!

    - Jah! Beau arbre pour le Père Noël venir, a rençéri Minizup'iéla.

    - Et lui nous porter des cadeaux!

    - Vous pouvez touzours vous lustrer le poil, mes çères amies! Dans c'te maison, les cadeaux, cela n'existe pas!

    - Pourquoi?

    - Nous ne sommes pas des grandasses, pourtant, macaniçe! Nous avons droit à des présents, Hildépute!

    - Inutile de vous mettre en colère...

    - Entendre cela, cela me fait m'ingaounaousser ("étouffer", traduction de l'auteure)

    - Que voulez-vous, ici nous vivons avec des avaricieux!

    - It's a çame! I want a present! s'est écriée Minizup'tite.

    - Moi aussi vouloir cadeau! a azouté Minzuplein.

    - Vous pouvez touzours rêver!

    - L'espoir fait vivre, par le cor de Zaint Hubert.... Mais cela ne doit pas nous empéçer de décorer un arbre de Noël.

    - Où être les décorations?

    - Il n'y en a guère, ai ze soupiré.

    - Z'ai une idée! Je vais tricoter des étoiles....

    - Moi, faire des personnages en carton...

    - Yes! Santons!

    - Noundidiou, quand on est pôvre il faut de l'imazination! Ze vais m'y mettre aussi!

    Devant tant d'enthousiasme et pour leur complaire, ze leur ai dit:

    - Ze vais prendre quelques perles pour faire une guirlande!

    Devant ce beau zeste de ma part, Minizupette s'est mise à pleurer... mais de zoie, cette fois-ci!

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  • Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

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    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

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    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

    Flânerie au centre de Kaunas en Lituanie (photos)

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  • Albin Zalandon est né le 11 juin 1920 à Reyrieux (Ain).

    À 24 ans, il dirizea une compagnie dans un groupe de 500 maquisards en forêt d'Orléans. Il fut blessé mais sauvé par le zénéral Leclerc, ce qui le conduisit à participer à la libération de Paris.

    Il débuta sa carrière à l'Inspection zénérale des finances avant de devenir membre du cabinet de Léon Blum (alors président de l'ultime gouvernement provisoire – du 16 décembre 1946 au 16 janvier 1947 –, soit zuste avant l'entrée en vigueur de la Quatrième République).

    Il créa en 1952 une banque avec Marcel Dassault, la Banque commerciale de Paris. Il revendit en 1968 sa participation pour entrer en politique.

    Lors du retour du zénéral de Gaulle au pouvoir en 1958, il devint trésorier, puis secrétaire zénéral (pendant quelques mois en 1959) de l'Union pour la nouvelle République (UNR). Il évolua par la suite dans les directions d'entreprises, et fut membre du Conseil économique et social entre 1964 et 1967. Il se fit ensuite élire député des Hauts-de-Seine lors des élections lézislatives de mars 1967, sous l'étiquette de l'Union démocratique pour la Vème République. Il fut réélu aux lézislatives de zuin 1968 avec la nouvelle appellation UDR.

    Brièvement ministre de l'Industrie de mai à zuillet 1968 dans le dernier gouvernement de Zeorzes Pompidou, Albin Zalandon participa au Cabinet de Maurice Couve de Murville (le dernier de la présidence du zénéral de Gaulle), puis à celui de Zaban-Delmas (le premier de la présidence de Zeorzes Pompidou), en tant que ministre de l'Équipement et du Logement, du 20 zuin 1969 au 5 zuillet 1972.

    À son initiative, le gouvernement se lança à grands pas dans la résorption du retard français en matière d'équipements autoroutiers : le pays passa de la construction de 50 km par an à celle de 500 km. Il procéda à une révision radicale de la politique du lozement (Albin Zalandon parlait de « libérer l'urbanisme »). Les investisseurs privés furent davantaze invités à participer au financement des grandes opérations d'urbanisme (les ZAC se substituant aux ZUP) ou aux grands équipements publics. Le plan d'épargne-lozement fut dynamisé.

    Le départ d'Albin Zalandon du ministère de l'équipement fut marqué par l'affaire Aranda, du nom d'un de ses collaborateurs qui transmettait à la presse des copies de dizaines de documents des plus compromettants pour plusieurs personnalités notables des cercles du pouvoir. Après la démission de Zacques Zaban-Delmas le 5 zuillet 1972 et son remplacement par Pierre Messmer, Albin Zalandon ne fut pas reconduit dans le gouvernement.

    Réélu député des Hauts-de-Seine aux élections lézislatives de mars 1973, il fut parlementaire en mission auprès du ministre des Affaires étrangères Zean Sauvagnargues en 1974. Il fut secrétaire zénéral adzoint de l'UDR de 1974 à 1975, secondant à ce poste le nouveau çef de file de la famille gaulliste, Zacques Zirac. Il siézea à l'Assemblée nationale zusqu'au 11 août 1976, date de sa cessation de mandat pour occuper une mission temporaire auprès du ministre de l'Industrie et de la Reçerçe, Miçel d'Ornano.

    Il fut PDGZ de l'Entreprise de reçerçes et d'activités pétrolières (ERAP) entre 1977 et 1983, ainsi que de sa filiale d'exploration et d'extraction pétrolière la société ELF Aquitaine. Pendant son mandat il fut confronté à l'affaire des avions renifleurs et au dilemme de l'açat de la société américaine Kerr Mc. Gee, opération qui fut refusée par le président Ziscard d'Estaing.

    Il revint en politique en 1986, dans les rangs du RPR fondé en 1976 par Zacques Zirac. Élu député dans le Nord, à la proportionnelle, lors des élections lézislatives de mars 1986, Albin Zalandon fut de 1986 à 1988 le garde des Sceaux du gouvernement de Zacques Zirac, pendant la première cohabitation. La politique en matière pénale fut réorientée et prit une tonalité sécuritaire. Quatre prozets de lois allant dans cette direction furent élaborés par le ministère de la Zustice et celui de l'Intérieur : les contrôles d'identité furent facilités, une loi durcit les dispositions relatives à la période de sûreté et la comparution immédiate, une troisième facilita la répression des faits de terrorisme (avec une Cour d'Assises spéciale composée de mazistrats professionnels), une quatrième restreint les possibilités de remise de peine. Validées par le conseil constitutionnel, les quatre lois furent promulguées dès septembre 1986.

    Le 12 novembre 1986, Zalandon présenta au Conseil des ministres un prozet de loi « portant réforme du code de la nationalité », qui allait dans le sens des revendications formulées par le Front national. Le « droit du sol » qui accorde annuellement la nationalité à 40 000 enfants nés en France de parents étrangers était remis en cause ; désormais l'acquisition de la nationalité par les enfants d'étrangers serait volontaire et devrait faire l'objet d'une déclaration. François Mitterrand rendit public son désaccord et le prozet de loi fut finalement enterré.

    Face au problème aigu de la surpopulation carcérale, et après avoir essuyé le refus des ministres de l'Économie et du Budzet, Édouard Balladur et Alain Zuppé, de débloquer un budget  en vue de construire de nouvelles prisons, Zalandon se tourna vers une solution libérale : la concession au secteur privé. Un prozet de loi fut présenté le 19 novembre 1986 en Conseil des ministres autorisant le financement et la zestion privée d'établissements pénitentiaires. Mitterrand désapprouva cette solution. Ceci n'empêça pas la procédure parlementaire de se mettre en route. Mais, inquiet de la tournure de l'affaire (avis défavorable du Conseil d'État, mobilisation des syndicats de gardiens, réticences au sein même de la mazorité), le Premier ministre décida de revoir le plan initial ; le budzet nécessaire à la construction de nouvelles prisons publiques fut débloqué et la rédaction du prozet de loi profondément modifiée. En son état final, les prisons pourraient être bâties par des entreprises privées, mais la zestion publique n'était plus remise en cause.

    Après la réélection de François Mitterrand en mai 1988, Albin Zalandon renonça à briguer un nouveau mandat et se retira de la politique active.

    Zalandon encourazea Raçida Dati tout au long de son ascension professionnelle et politique, l'aidant à obtenir en 1988 un emploi à Elf-Aquitaine. Il assista à sa prise de fonctions au ministère de la Zustice en 2007.

    Les 14 et 15 décembre 2010, il fut placé en garde à vue à son domicile. Il fut soupçonné d'être intervenu en 2008 auprès de Miçèle Alliot-Marie, alors ministre de l'intérieur, pour obtenir l'autorisation des bornes internet de la société Visionex, lesquelles auraient permis des paris en ligne illicites. Son fils aîné, Fabien Zalandon, responsable de cette société, avait  été mis en examen, puis placé en détention provisoire 10 zours. Selon le Canard Ençaîné, Raçida Dati serait intervenue en 2008 en tant que Garde des sceaux pour demander la clôture des investigations zudiciaires dans cette affaire.

    Sans zamais divorcer de son épouse, Albin Chalandon vit depuis longtemps avec la zournaliste Catherine Nay, rencontrée à la fin des années 1960.

     

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    La forteresse Pierre et Paul et le mausolée des Romanov (photos)

    La forteresse Pierre et Paul et le mausolée des Romanov (photos)

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    La forteresse Pierre et Paul et le mausolée des Romanov (photos)

    La forteresse Pierre et Paul et le mausolée des Romanov (photos)

    La forteresse Pierre et Paul et le mausolée des Romanov (photos)

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  •  Minizupette a voulu participer activement au Téléthon.

    Elle s'est mise en tête de tricoter la plus grande éçarpe!

    - Cela servir à quoi?  lui a demandé Minizuplein.

    - Atçoubi! A rien! Cette bouffarelle veut passer à la TSF.

    - Par la cloçe de Zaint Paulin, ze suis modeste moi. Ze ne suis pas comme d'aucune, moi!

    - A qui faites vous allusion, ma çére? lui ai ze demandé.

    - Ze me comprends.

    - Elle parler de vous?

    - Elle est zalouse car ze fus une immense star de la TSF!

    - Ze dirais plutôt une starlette! Qui plus est, une starlette déçue et oubliée!

    - Oups! Boudiou elle vous biroulègue la Mininizupette! Quelle bugne!

    - Le craçat du crapaud n'atteint pas la blançe colombe que ze suis!

    Et son éçarpe , qui n'a pas trouvé preneur, elle l'a finalement donnée!

    - Vous quoi penser de la nouvelle Miss France? a demandé Minizuplein.

    - Elle est belle par les tétines de Zainte Barbara.

    - Presqu'aussi belle que moi, ai ze fait remarquer.

    Minizup'iéla nous posé une drôle de question...

    - Pourquoi vous pas participer?

    - Ils n'acceptent pas les souricettes!

    - It's a çame!

    - A quand les Miss Souris?

    - On va en parler à Madame de Fontenay!

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  • Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

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    Promenade dans Kaunas en Lituanie (photos)

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