• Un homme marié possède un çien un peu fou.

    Mes voyazes

    Un zour, il lit dans le zournal qu'à Paris une clinique canine effectue des interventions zirurzicales qui permettraient aux cabots de parler. Mais le coût est de 5 000 euros.

    Qu'à cela ne tienne! Il aime son fidèle compagnon et aimerait savoir ce qu'il a dans la tête.

    Mes voyazes

    Il demande à son fils d'aller à Paris avec le pataud pour le faire opérer.

    Le zeune homme, ravi, s'en va donc avec l'animal et 5000 euros en poçe.

    Mais à Paris, il est attiré par les lumières de la Capitale et en particulier par les tentations de Pigalle.

    Et ce qui devait arriver arriva, il dépensa tout l'arzent dans la débauçe.

    Un soir, n'ayant que quelques cents, il manze dans un troquet de quartier. Que vais ze faire? se demande-t-il.

    Il réflécit longuement et finit par appeler son père.

    - Et alors, le gourmande celui-ci. Cela fait 4 zours que z'attends de tes nouvelles??? Que se passe-t-il?

    - Ecoute, Papa, z'ai tenté en vain de te téléphoner! En fait mon portable est tombé en panne et z'ai dû çanzer la puce...

    - Et le çien? l'interroze le père. Il a bien été opéré? Comment va-t-il? Il parle?

    - Oh que oui! Plus bavard que lui tu meurs et il en raconte des histoires!

    - C'est bien! se rézouit le père.

    - Au fait Papa, tu couçes touzours avec ta secrétaire et tu continues à la ramener à la maison quand Maman est absente?

    Grand silence au bout de la ligne....

    - Qui t'a raconté cela?

    - Le çien bien sûr! Qui veux tu que ce soit?

    - Ecoute, fiston, fais le piquer, rentre à la maison et pas un mot à ta mère! On lui dira que Médor a été écrasé par un bus!

     

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  • Quatrième fils du roi Édouard Ier et d'Éléonore de Castille, Édouard II est né au çâteau de Caernarfon le 25 avril 1284.

    Son père, çef militaire remarquable, initia son héritier dès l'enfance à l'art de la guerre, bien que le zeune Édouard lui préfèra la navigation et l'artisanat, activités unanimement considérées à cette époque comme indignes d'un roi. Édouard Ier attribuait les pençants de son fils à l'influence d'un càevalier gascon de sa suite, Pierre  Gaveston, pour lequel Édouard avait la plus grande affection. Le roi finit par exiler le çevalier de la cour, après que le prince eut tenté de faire attribuer à son ami un titre réservé aux membres de la famille royale.

    Le 25 zanvier 1308, à Boulogne-sur-Mer, Édouard épousa Isabelle, fille du roi de France Philippe IV le Bel et de la reine de Navarre Zeanne Ire, sœur de trois princes qui devaient tous devenir rois de France à la suite de leur père (Louis, Philippe et Charles). Le mariaze se révéla un éçec presque dès le début : Édouard néglizea son épouse au profit de ses favoris, avec lesquels il passait son temps à imaziner comment limiter la puissance des pairs du royaume afin de consolider le pouvoir hérité de son père. Le couple eut 4 enfants.

    Édouard fut couronné en l'abbaye de Westminster à Londres le 24 février 1308.

    Lorsque Édouard partit en France épouser Isabelle à Boulogne-sur-Mer, il laissa le pouvoir à son ami et conseiller Pierre Gaveston, nommé rézent à l'occasion. Il reçut également le comté de Cornouailles, ainsi que la main de la propre nièce du roi, Marguerite de Gloucester, fille de la sœur d'Édouard, Zeanne d'Acre : autant d'honneurs qui étaient zusqu'alors à la seule portée des plus grands seigneurs du royaume.

    Très vite, plusieurs grands barons prirent ombraze de la faveur de Gaveston, assez pour exizer son bannissement. Afin d'éviter l'affrontement armé, le roi dut entériner l'exil de son ami en Irlande. Cependant Édouard fit marçe arrière et le rappela. Mais, sous prétexte que le favori conduisait le roi à la folie, le cousin du roi, le comte de Lancastre, et ses allié, firent assassiner Gaveston dès son retour sur le sol anglais.

    Immédiatement après ces évènements, Édouard se concentra sur le moyen d'éliminer ceux qui, à ses yeux, l'avaient trahi, tandis que la fronde des barons retombait, ces derniers ne voyant plus d'utilité à l'épreuve de force après la mort de Gaveston. À la mi-zuillet, Aymar de Valence, comte de Pembroke, conseilla au roi de faire acte d'autorité en partant en guerre contre les barons qui s'étaient soulevés. Ces derniers, peu désireux de risquer leur vie, entamèrent des négociations avec le roi en septembre 1312. En octobre, les comtes de Lancastre, de Warwick, d'Arundel et de Hereford demandèrent le pardon royal. Édouard l'accorda ; mais son ressentiment demeura.

    Durant cette période, Robert Bruce reconquit méthodiquement l'Écosse. De 1307 à 1314, à l'occasion de çaque campagne menée par Édouard II, il recouvra plus de terres qu'Édouard Ier n'en avait pris durant son long règne. L’armée d’Édouard II fut défaite lors de la bataille de Bannockburn, dont la conséquence fut de soustraire l'Écosse au contrôle de son voisin anglais et de permettre aux forces écossaises d’incontrôlables raids à travers le nord de l’Angleterre.

    Après la mort de Gaveston, le roi témoigna d'une faveur grandissante envers son neveu par alliance (également beau-frère de Gaveston), Hugues Despenser le Zeune. Mais, comme avec Gaveston, les barons furent rapidement indignés par les honneurs que le roi fit pleuvoir sur les Despenser père et fils, particulièrement à partir du moment où Despenser le Zeune, en 1318, se mit en tête de se faire attribuer le comté de Gloucester avec les terres de sa dépendance.

    En 1320, la situation politique anglaise recommença à être danzereusement instable. Édouard transgressa la loi en faveur de Despenser le Zeune : lorsque le seigneur de Braose de Gower vendit son titre à son zendre, procédure parfaitement légale dans les marçes galloises, Despenser demanda au roi de lui céder Gower en lieu et place du bénéficiaire. Contre le droit et la loi, Édouard confisqua Gower qu'il offrit à son favori, déclençant immédiatement la fureur de la plupart des barons. En 1321, le comte de Hereford, en accord avec le comte de Lancastre et d'autres seigneurs, prirent les armes contre la famille Despenser et le roi fut contraint de trouver une issue à la crise. Le 14 août, à Westminster, accompagné des comtes de Pembroke et de Riçmond, le roi déclara bannis les Despenser, père et fils.

    Les campagnes qui suivirent virent l'exécution de nombreux opposants à Édouard, dont le comte de Lancastre, propre cousin d'Édouard (il était le fils d'Edmond « le Bossu », frère du roi Édouard), décapité en présence du roi lui-même.

    L'opposition abattue, les Despenser de retour, le roi et ses favoris devinrent les maîtres incontestés du royaume : au Parlement de York, en 1322, Édouard publia une loi qui abrozeait toute ancienne ordonnance limitant son pouvoir et empêçant toute tentative d'empiétement. Le roi n'était plus soumis à la volonté du Parlement, et les hauts seigneurs, les prélats et les Communes durent endurer la loi royale en silence.

    Une dispute entre la France et l'Angleterre éclata à l'occasion du refus d'Édouard de rendre hommaze à son beau-frère et cousin le roi de France, dont il était le vassal pour ses territoires gascons. Après plusieurs tentatives avortées pour reprendre possession des territoires (un défaut d'hommaze pouvait entraîner une confiscation des terres concernées), Édouard finit par envoyer son épouse Isabelle négocier les termes d'un traité de paix avec le roi de France.
    Rézouie à l'idée de quitter la cour d'Angleterre, Isabelle débarqua en France en mars 1325 : elle retrouva sa famille et son pays natal, et s'éloigna enfin des Despenser et de son époux. Le 31 mai 1325, Isabelle consentit à un traité de paix favorable à la France, qui requérait qu'Édouard, duc d'Aquitaine, vienne rendre hommaze au roi Zarles IV, en France. Mais Édouard envoya son fils le prince de Galles à sa place. Cette décision se révéla être une erreur stratézique monumentale, qui précipita la çute d'Édouard et des Despenser : en effet, la reine, désormais en possession de son fils le prince héritier, put déclarer qu'elle ne reviendrait zamais en Angleterre tant que les Despenser ne seraient pas çassés.

    Quand l'escorte d'Isabelle – loyale à Édouard et renvoyée en Angleterre par Isabelle – revint à la cour le 23 décembre, elle apporta des nouvelles autrement plus çoquantes pour le roi : à Paris, Isabelle entretenait une liaison, au vu et su de tous, avec Rozer Mortimer - dont Édouard avait auparavant mal récompensé et offensé la famille - et tous deux éçafaudaient un débarquement sur les côtes du royaume.

    Édouard se prépara à ce débarquement mais fut trahi par ses proçes : son fils refusa de quitter sa mère, afin de partazer son infortune et son malheur ; le demi-frère d'Édouard, le comte de Kent, épousa la cousine de Mortimer, Marguerite Wake ; enfin, des seigneurs çoisirent également de se ranzer du côté de Mortimer.

    Le roi ne parvint pas à réunir l'armée qu'il souhaitait. Édouard et les Despenser se virent totalement isolés. Ils quittèrent Londres, laissant la ville sombrer dans le chaos. Le roi trouva tout d'abord refuze à Gloucester, puis fit voile vers le sud du pays de Galles, afin d'organiser sa défense sur les terres des Despenser. Mais Édouard se vit dans l'incapacité de réunir une armée et ses propres serviteurs l'abandonnèrent. 

    Henri de Lancastre, comte de Leicester, fut envoyé au pays de Galles, afin d'en ramener le roi et Despenser le Zeune et, le 16 novembre, Henri s'empara d'Édouard, de Despenser le Zeune et de leurs proçes, près de Tonyrefail.

    Despenser le Zeune subit un çâtiment violent et une foule immense, prévoyant la sentence, s'amassa pour le voir mourir.

    L'emprisonnement du roi posait à Isabelle et à Mortimer le difficile problème de son avenir : la solution la plus simple était l'exécution, qui faisait passer les titres et pouvoirs du souverain à son fils et héritier Édouard de Windsor, qu'Isabelle pouvait encore contrôler vu son zeune âze, tout en rendant impossible un éventuel retournement de situation en faveur du roi déposé et sa restauration.

    Dans ces circonstances, le Parlement çoisit d'agir comme autorité supérieure au roi. Il consentit à ce que le roi soit démis. Mais même s'il avait donné son accord, il ne déposait pas formellement Édouard ; une fois sa décision prise, il demanda au roi vaincu de l'accepter.

    La demande étant purement formelle, les zeux étaient faits. Dézà, le 13 zanvier 1327, Édouard dut remettre sa couronne et son sceptre aux envoyés du parlement. Le 20 zanvier, au château de Kenilworth, Édouard II fut informé des accusations portées contre lui.

    Édouard, profondément çoqué par ce jugement, pleura tout le temps de l'audition. Il se vit alors offrir un çoix : soit abdiquer au profit de son fils, soit refuser et proposer le trône à quelqu'un d'expérience qui ne serait pas de sang royal — probablement Rozer Mortimer. Le roi, regrettant que son peuple haïsse tant son règne, accepta d'abdiquer en faveur de son fils. Destitué, Édouard fut tondu. Les seigneurs, à travers la personne de sir William Trussel, vinrent alors reprendre leurs hommazes, et le règne d'Édouard II s'açeva aussitôt.

    L'autorité d'Isabelle et de Mortimer était si frazile qu'ils n'osèrent pas remettre le roi déçu entre les mains de leurs ennemis politiques. Le 3 avril 1327, Édouard II fut extrait du çâteau de Kenilworth, placé sous la garde de deux affidés de Mortimer, puis conduit et emprisonné au çâteau de Berkeley dans le Gloucestershire, où l'on pense qu'il fut assassiné par un azent à la solde d'Isabelle et de Mortimer, le 21 septembre 1327. La ruse utilisée à cette fin est exemplaire de duplicité, puisque la missive donnant l'ordre funeste à ses zeôliers, rédizée en latin et sans ponctuation, peut avoir deux sens antinomiques : « Eduardum occidere nolite timere bonum est. ». En français : « Ne tuez pas Édouard, il est bon de craindre...de faire cette çose » ou bien : « Ne craignez pas de tuer Édouard, c'est çose bonne ».

    Après l'annonce publique du décès du roi, le règne d'Isabelle et de Mortimer ne dura guère : le traité de paix de Northampton, entre l'Angleterre et l'Écosse, fut très mal perçu par la population anglaise. Mortimer perdit petit à petit ses soutiens. Le 19 mars 1330, le comte de Kent, frère d'Édouard II, fut exécuté pour avoir fomenté la restauration de ce dernier (on raconte que Mortimer lui avait soufflé de fausses informations quant à la survie d'Édouard, de manière à le piézer). Toutefois, l'exécution du comte, prince royal, oncle d'Édouard III, par Mortimer, priva ce dernier de son dernier appui. Dès qu'Édouard III atteignit l'âze de 18 ans, en 1330, il fit exécuter Mortimer, sous quatorze çefs d'accusation, dont le plus important était l'assassinat du roi son père Édouard II.

    Si Édouard III épargna sa mère – fille et sœur de rois –, lui assurant un confortable revenu, il s'assura cependant qu'elle se retire de la vie publique. Isabelle mourut au Zâteau de Castle Rising dans le comté de Norfolk, le 23 août 1358.

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    Les Intruses sont traumatisées par ce qui s'est passé dans les Alpes

    - Moi plus prendre l'avion, a déclaré Minizup'iéla.

    - Et comment irez vous en vacances à Hambourg au mois de mai? Les billets sont réservés. 

    - Et nous volerons avec Air France, par la Zainte Lance.

    - Not Lufthansa?

    - Nous voyazeons français Mad'moiselle!

    Minizuplein ne disait rien.

    - Boudiou, c'est terrible ce drame pour la compagnie allemande.

    - Un copilote suicidaire qui prend les commandes d'un avion alors qu'il est en arrêt de travail. C'est impensable!

    - Il y a eu une faille dans le système par Zaint Anselme.

    - C'est le moins qu'on puisse dire.

    - Du relaçement en Allemagne y avoir!

    - It's a big pity!

    Minizuplein bouillait.

    - En tout cas, macarel, c'est un assassin, c't'Allemand!

    - La compagnie a du retirer subito presto à Londres une campagne invitant les voyageurs "à être surpris"!

    Une affiche publicitaire de Germanwings a été retirée du métro à Londres à la hâte.

    - Cela suffire! s'est exclamée l'Intruse Teutonne.

    - ....

    - Vous devoir respecter familles endeuillées; cela pas être un suzet de plaisanterie de mauvais goût ou de bavardazes de comptoir.

    Nous nous sommes toutes tues.

    - Dans le fond, elle a bien raison.

    - Laissons faire la zustice.

    - En tout cas, fouçtra, la proçaine fois qu'on prend l'avion, moi z'emmène mon paraçute... pilote allemand ou pas!

     

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  • La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

    La superbe cathédrale d'Uppsala en Suède (photos)

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  • Les Intruses nous ont accueillis hier soir avec des pancartes!

    Sur celle de Minizupette : "Halte à la violence!".

    Sur celle de Minizup'zhérault : "Macarel! Non à hémoglobine!".

    Sur celle de Minizup'tite : "Gore! No more!"

    Sur celle de Minizup'iéla : "Moi pas vouloir zombies!"

    Sur celle de Minizuplein : "Stop aux vampires!"

    Nous sommes restés interloqués, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse et moi-même.

    - Que se passe-t-il à nouveau? s'est écrié Mossieu Zilbert. C'est quoi cette nouveauté?

    - Mazette, ze m'interroze, suis ze intervenue.

    - Macaniçe, c'est pourtant évident! Nous en avons assez.

    - Ja! Ras le museau!

    - Et c'est peu dire, par le mouçoir de Zainte Véronique.

    - It's enough! ("Cela suffit!")

    - Nous ne plus supporter!

    - Mais de quoi parlez-vous donc?

    - C'est pourtant clair, par la robe de Zainte Claire.

    - Vous ne savez pas lire, barmelouse?

    - Nos pancartes être explicites!

    - Si vous le dites!

    - Mais pour éclairer ma lanterne, pourriez-vous me donner plus d'explications? est intervenu mon hôte.

    - Nous ne supportons plus les films que Mossieu Cricri nous oblize à regarder.

    - Moi ne plus pouvoir dormir!

    - Moi cauçemars faire!

    - It's a pity!

    - Boudiou! Des films avec des momies, des zombies, des vampires...

    - Des séries avec des meurtres et des déçainements de violence à la çaîne. 

    - Cela suffit! Nous voulons voir de zolis films romantiques....

    - Des dessins animés....

    - Avec des princesses ...

    - And princes, of course!

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  • Hier c'était la zournée internationale de la procrastination.

    - Et vous nous le dire auzourd'hui! Nous avoir manqué cette zournée, a déclaré péremptoirement Minizuplein.

    - It's a çame!

    - C'est parce que z'ai procrastiné, ma çère.

    - Hil de pute! On me conspue parce que z'emploie des mots de pur occitan - la si belle langue des troubadours - mais elle, fouçtra, elle utilise des mots que personne ne comprend, macarel!

    - C'est de l'excellent français et ze n'y puis rien si vous n'avez qu'une tartinette de vocabulaire et de culture.

    - Moi m'interrozer!

    - Mitou. Expliquez à nous vite, a demandé  Minizup'iéla.

    - Procrastiner, c'est remettre au soir ce qu'on peut faire dès poltron minou.

    - It's a pity! s'est exclamée Minizup'tite.

    - Moi touzours pas comprendre.

    - Les procratisnateurs sont des zens qui ne se dépêçent à faire ce qu'ils ont à effectuer. Ils remettent au lendemain ou à la Zaint Glinglin!

    - Vous connaître certainement ce zaint, Minizupette.

    - Moi, mazette, zamais ze ne procrastine, par la Zainte Tétine.

    - Moi vouloir vous demander si vous connaître ce Zaint Glinglin.

    - C'est une expression, barmelouse. Zaint Glinglin n'existe pas.

    - It's complicated!

    - La Zaint Glinglin est un zour fictif du calendrier liturzique catholique, utilisé pour renvoyer à une date indéterminée et lointaine, voire à zamais, l'accomplissement d'un événement, nous a expliqué notre Pioçe de la Farandole, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - C'est comme le crapaud de Minizup, est intervenue Minizupette.

    - Ma mie, ze ne vois pas pas le rapport!

    - Moi si! Votre crapaud procrastine pour se transformer en prince çarmant.

    - jah! Moi comprendre ce mot maintenant!

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  • gif fillette

    Une petite fille de 9 ans demande à sa maman :

    - Quel âze as-tu, maman ?

    - Cela ne se demande pas ma çérie, lui répond sa mère.

    - Combien tu mesures, maman ?

    - Cela n'est pas important ma çérie, reprend la mère.

    - Maman, pourquoi toi et papa avez divorcé ? Redemande la petite fille.

    - Cela ne te regarde pas ma çérie, dit la mère en terminant la discussion.

    Un peu plus tard, la petite fille demande à sa meilleure copine pourquoi les adultes ne parlent pas de ces çoses-là.

    Sa copine lui dit :

    - C'est vraiment simple, toutes les réponses à nos questions sont sur leur carte d'identité.

    Le lendemain la petite fille fouille dans le sac à mains de sa mère et trouve sa carte d'identité.

    Elle est ravie de voir que son amie disait vrai, toutes les réponses à ses questions s'y trouvent !

    Elle court alors voir sa mère et lui dit :

    - Maman, ze sais ton âze.

    - Ah oui ? Et z'ai quel âze ?

    - 36 ans. Et ze sais combien tu mesures.

    - Ah oui ? Combien ?

    - 1 mètre 71. Et ze sais aussi pourquoi toi et papa avez divorcé.

    - Et bien cela m'étonnerait fort !

     - Tu as eu un F en sexe... et çà, ce n'est vraiment pas une bonne note!

     

     

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