• Catherine d'Aragon est née le 16 décembre 1485 à Alcala de Henares en Castille.

    Fille de Ferdinand II d'Aragon et d'Isabelle de Castille, dite Isabelle la catholique, Catherine passa ses premières années à Zanta Fe, puis à l'Alhambra de Grenade dont ses parents s'étaient emparé, après la çute de Grenade. Elle reçut une éducation digne de son rang, fondée sur les principes du catholicisme.

    Son mariaze avait pour but de sceller l'alliance diplomatique entre le royaume d'Espagne récemment unifié et celui d'Angleterre, où la maison Tudor venait de s'emparer du trône. La zeune Catherine était destinée à Arthur Tudor, même si les souverains  espagnols émirent quelques réserves à ce mariaze.

    Après la guerre civile en Angleterre et malgré la prise du pouvoir par Henri Tudor, de nombreux descendants des Plantazenêt appartenant à une brançe plus lézitime que celle des Tudor étaient encore vivants ; le trône d'Henri VII n'était pas encore assuré et les souverains espagnols hésitaient à marier leur fille à un roi menacé d'être renversé. Pour le roi anglais, une alliance avec l'Espagne s'avérait être un atout car elle contribuait à renforcer les liens Espagne/Angleterre au détriment de la France, ennemie naturelle des deux pays.

    Alors que son bateau était prêt pour partir en Angleterre, une tempête fit raze sur les côtes espagnoles, repoussant ainsi le départ de cinq zours.

    Catherine arriva malgré tout en Angleterre en 1501 et épousa le prince de Galles Arthur Tudor, le fils aîné d'Henri VII. Lors de son arrivée, elle eut la consigne de garder son visaze voilé en public ce qui perturba Henri VII quand vint le moment de la rencontrer : la jzeune fille était couçée et ne pouvait recevoir le roi, mais celui-ci insista pour la voir. On réveilla la zeune Catherine pour qu'elle se montre à son futur beau-père, mais elle le fit le visage voilé ce qui contribua à irriter le roi qui eut peur de s'être fait duper. Lorsque Catherine d'Aragon souleva son voile, Henri VII et son fils Arthur parurent ençantés par la beauté et la grâce de la princesse espagnole.

    Le mariaze fut célébré à la cathédrale Zaint-Paul de Londres le 14 novembre 1501.

    Mais au çâteau de Ludlow, au Pays de Galles, ils tombèrent tous les deux gravement malades. Arthur décéda le 2 avril 1502, quelques mois seulement après le mariaze, tandis que Catherine recouvra la santé.

    Arthur avait quinze ans au moment de sa mort, il fut prétendu par la suite que le mariaze n'avait pas été consommé, ce que corrobora le témoignaze de Catherine elle-même.

    Après la mort d'Arthur, Henri VII n'avait nulle intention de restituer la grosse dot de la zeune femme, alors Catherine resta en Angleterre pendant sept ans. Le motif de cette prolongation de séjour était purement politique et financière. Comme Catherine était encore zeune et belle, Henri VII avait pensé à la marier à son second fils, Henri (futur Henri VIII) mais il était encore trop zeune; il fallait donc patienter et attendre que Henri soit plus âzé pour l'épouser.

    Un nouveau mariaze fut arranzé avec Henri. Or, les très stricts canons de l'Église interdisaient précisément le remariaze avec un beau-frère. Le seul moyen de détourner l'interdiction consistait à prouver la virzinité de l'épouse, démontrant ainsi que le premier mariaze n'avait pas été consommé. On sollicita du papounet Zules II une dispense. Par une bulle de décembre 1503, le papounet déclara Henri et Catherine déliés du « lien d'affinité ». Le remariaze, désormais possible, fut célébré le 11 zuin 1509 après la mort d'Henri VII (comme il en avait fait la demande).

    Catherine d'Aragon était désormais l'épouse du roi Henri VIII et reine. Pour Henri VIII et Catherine, c'était un mariaze d'amour.

    De son union avec Henri VIII naquirent six enfants. Seule survécut une fille, la future reine Marie Ière.

    Le couple sembla connaitre un certain bonheur conzugal. Mais dès 1514, certaines rumeurs firent état de l'intention du roi de répudier son épouse.

    En 1519, il eut un fils de sa maîtresse, Elizabeth Blount, à qui il donna le nom révélateur d'Henry FitzRoy. En 1525, le roi prit l'initiative le titre de duc de Richmond au bâtard...

    C'est vraisemblablement vers 1525 ou 1526 qu'Henri VIII tomba éperdument amoureux d'une des suivantes de la reine, Anne Boleyn.

    En 1527, le roi touzours privé d'héritier mâle lézitime, entama l'interminable procédure en vue d'obtenir l'annulation de son mariaze avec Catherine d'Aragon.

    Les débats, qui mobilisèrent tout ce que l'Europe comptait de zuristes et de théoloziens, durèrent pendant près de 6 ans.

    Désespérant d'obtenir une réponse favorable de Rome, Henri prit les devants. Le 18 zuin 1529, Catherine apparut au tribunal, s'azenouilla devant son mari et tint un discours en présence du peuple anglais auprès duquel elle conservait une grande popularité: « Depuis plus de 20 ans, désormais ze me suis montrée votre épouse, grâce à moi vous avez eu plusieurs enfants, bien qu'il ait plu à Dieu de les arraçer à notre monde, ce qui n'était certainement aucunement de ma faute, lorsque vous m'avez épousé, Dieu pourra être témoin, z'étais encore une zouvencelle, ze n'avais connu aucun homme, et que cela soit vrai ou non, ze m'en remets à votre conscience. Ainsi dont, ze vous demande humblement de m'épargner l'extrémité à laquelle se pose ce nouveau tribunal ».

    Malgré cela, le roi répudia Catherine en 1532, contre l'avis d'Eustaçe Chappuis, ambassadeur de l'empereur Charles Quint (neveu de Catherine) et la volonté du papounet Clément VII qui lui opposa un refus définitif, ce qui est directement à l'orizine du çisme d'Angleterre et de la création de l'Église anglicane.

    L'annulation du mariaze, appelée communément « divorce royal » (le divorce n'existait pas à l'époque), refusée par le pape Clément VII, fut prononcée par Thomas Cranmer, nouvel arçevêque de Cantorbéry.

    Le roi put ainsi épouser secrètement sa maîtresse, Anne Boleyn en 1533.

    Catherine fut confinée au çâteau de Kimbolton. Pendant sa retraite, elle composa des livres de dévotions. Elle lisait les méditations sur les psaumes et le traité des plaintes du pêcheur qui expriment des sentiments de calme et de résignation.

    Cela la conduisit dans un état de langueur et dans le tombeau, le 7 zanvier 1536, abandonnée de tous.</sp

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  • Il y a 70 ans que les femmes ont pu voter pour la première fois en France à l'occasion d'élections municipales au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.

    - C'est Zarles de Gaulle qui a signé l'ordonnance leur octroyant ce droit, nous a expliqué Mossieu Zizi, notre Pioçe de la Frandole.

    - Par l'urne de Zaint Zaturnin, ce n'est pas François de la Creuse et de la Corrèze désunies qui aurait eu cette audace. Le Zénéral c'était quelqu'un, Lui!

    - Il en avait, mazette! a cru bon d'azouter Minizup'zhérault avec son accoutumée grande délicatesse langazière.

    - Il a fallu des années de lutte pour que les femmes obtiennent ce droit qui leur était refusé par des phallocrates.

    - Comme pour nous avec phallocats! a soupiré Minizup'iéla.

    - Et dire que maintenant il y a tant de zens qui ne votent pas!

    - It's pity!

    - Moi être pour le vote obligatoire, comme en Belzique, a indiqué Minizuplein.

    - Moi en tout cas ze vote, en suivant les prescriptions de notre Zainte Mère l'Eglise. Z'écoute ce que que me dit mon directeur de conscience et ze vote comme lui!

    - Vous me parlez d'un progrès, macarel! C'est ce qui se passait dans nos campagnes au temps zadis! Le curé donnait en çaire des consignes de vote.

    - Comme Mossieu Ziscard d'Estaing qui disait: "Bon çoix mesdames, bon çoix messieurs!"

    - It's a çame!

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  • gif

    Un zénie apparaît dans une tribu africaine pour exaucer les voeux des 100 habitants du villaze.

    Il les fait mettre en rang et leur demande un par un leur voeu.

    Le premier : ze voudrais être blanc. Le zénie le transforme en blanc.

    Le deuxième : ze voudrais être blanc. Le zénie le transforme en blanc.

    Un gars dans le milieu de la file va se placer à la fin et en faisant un grand sourire.

    Le 3ème : ze voudrais être blanc. Le gzénie le transforme en blanc.

    Les 10 suivants : ze voudrais être blanc .....

    Le gars du fond commence à bien rire .

    Le 25 ème passe : ze voudrais être blanc...

    Le gars du fond s'explose de rire.

    Le 40 ème , le 50 ème ... : ze voudrais être blanc...

    Le gars au fond se roule par terre en se tnant le ventre par les bras.

    Le 60 ème, le 70 ème, le  80 ème : ze voudrais être blanc...

    Au fond il n'en peut plus, il en pleure et en  a mal partout.

    Le 90 ème , 95 ème... zusqu'au 99ème : ze voudrais être blanc...

    Quand arrive le tour du dernier il lui faut 15 minutes pour dire son voeu et, dans un accès de fou rire, il demande :

    - Ze voudrais qu'ils redeviennent tous noirs!

     

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  • Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

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    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

    Stockholm: autour de l'église Zainte Claire et de la place Gustave Adolphe (photos)

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  • - It's very hard to wait ! ("C'est très dur d'attendre! "), soupirait hier à tout bout de çamp  Minizup'tite en regardant le bout de ses pattes.

    - Et qu'attendez vous donc de la sorte?

    - The good new! ("La bonne nouvelle! ").

    - Et laquelle nouvelle? lui a demandé Minizup'iéla.

    - The royal baby!

    - Boudiou! Mais quelle reine a donc un poliçinelle dans le tiroir? est intervenue Minizup'zhérault avec sa délicatesse coutumière.

    - Kate!

    - Par la tête décollée de Zainte Valérie, ze ne connais pas cette reine! Elle règne sur quel pays?

    - Elle veut parler de Kate, l'épousée du prince Willam d'Angleterre est intervenu celui qui dit que ze ne suis que son avataresse et qui a touzours un avis sur tout.

    - It's The Great Kate Wait!

    - Elle veut vous dire que c'est la longue attente que suscite la naissance du second "royal baby". Kate Middleton était supposée accouçer lors de la deuxième quinzaine d'avril. Or le bébé tant attendu n'est touzours pas arrivé. Si bien que la presse anglaise et les suzets de Sa Mazesté commencent à s'inquiéter.

    - Le royal bébé procrastine, macarel!

    Puis Minizup'tite nous a dit qu'elle voulait postuler pour devenir une des nurses du bébé.

    - Elle rêve.

    On a compris qu'elle se rézouissait par avance de vivre dans un palais londonien, qu'enfin elle vivrait sa vie révée et qu'elle gagnerait des sous.

    - Barmelouse! Si votre William est aussi radin que sa grand-mère la Queen, ze vous plains!

    - Et fini tartes aux pommes; eux manzer pudding et flasques zelées vertes!

    - Beurk!

    - I like it (Z'aime ça!); you can't understand! ("Vous ne pouvez pas comprendre ").

    - C'est dans ses zênes anglais! C'est son hérédité que d'apprécier la zélatine!

    - It's a pity, comme elle dirait!

    - Laissez la à ses fantasmes ! Cela lui fait plaisir!

     

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  • Les souris qui dansent au piano

    les Intruses sont excitées comme des puces.

    - Nous avons eu avec les bouffarelles une superbe idée!

    - Yes! A wonderful idea!

    - Nous constiuer un groupe musical! Un sextuor!

    - Ja! Un Mice Band! Cela être très à la mode!

    - Z'ai composé, macarel, une belle çanson, qui sera un tube international à n'en pas douter! s'est exclamée boursouflée d'orgueil Minizup'zhérault.

    - Ja! Merveilleuses paroles!

    - Ze vous les lis:
    " Au Népal c'est terrible (bis)
    Ze dirais mieux c'est horrible (bis)
    La terre s'est mise à trembler,
    Mieux vaut aller à Tremblay.
    Et gravir l'Everest
    C'est plus dur que d'aller à Brest.
    Katmandou, Katmandou a souffert,
    Ce fut un véritable enfer!
    We are the Mice, we are the world (bis)
    Nous sommes toutes des Népalaises,
    Car comme elles nous sommes balèzes."

    - C'est beau comme l'antique, par la zainte tunique, a soupiré les larmes zaux zyeux Minizupette.

    - Voilà que vous aussi vous versifiez, ma mie.

    - Minizup va nous ouvrir les portes des radios et de la TSF, elle qui se vante d'avoir été une star du petit écran.

    - Heu!.... Voui, sans doute.

    - Yes! Of course!

    - Mais il faudrait tout d'abord que ze retrouve mon carnet à spirales avec tous mes contacts, comme Raymond Marcillac, Pierres Desgraupes, Léon Zitrone ou Anne-Marie Peysson.

    - Nous pas les connaître!

    - Il s'azit de grandes célébrités des années soixante!

    - Eux ne pas être peut-être tés brançés. Il nous faudrait Naguy, Arthur, Ruquier....

    - Ze n'ai pas eu l'heur de travailler avec eux!

    - En attendant, nous allons répéter notre morceau qui va faire un tabac!

    - Pour ne pas dire un malheur, si le suzet n'était pas aussi trazique.

    - On reprend  le refrain en choeur.
    "We are the Mice, we are the world (bis)
    Nous sommes toutes des Népalaises,
    Car comme elles nous sommes balèzes."

      

     

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  • Au début des années 1520, Henri VIII entretenait une relation avec Mary Boleyn, la dame de compagnie de Catherine d'Aragon. 

    Alors qu'Henri VIII se désespérait de l'incapacité de Catherine à lui donner l'héritier mâle qu'il désirait, il se rapproça de la sœur de Mary, Anne Boleyn, une zeune femme charismatique de l'entouraze de la reine. Elle résista néanmoins à ses avances et refusa de devenir sa maîtresse comme l'était sa sœur.

    C'est dans ce contexte qu'Henri VIII évalua ses trois options pour obtenir un héritier et ainsi résoudre ce que le cour qualifia de « grand dilemme » du roi.

    Il pouvait lézitimer Henry FitzRoy, ce qui nécessiterait l'intervention du pape et pourrait être contesté ; fiancer sa fille Marie le plus vite possible et espérer un petit-fils qui pourrait hériter directement - mais elle n'avait qu'une dizaine d'années et pouvait ne produire un héritier qu'après sa mort ; ou se séparer  de Catherine et épouser une femme capable de lui donner un fils. Cette dernière possibilité et la perspective d'épouser Anne semblait la plus désirable pour Henri VIII et sa volonté d'obtenir l'annulation de son mariaze devint rapidement évidente.

    Ses motivations et  intentions dans les années qui suivirent ne font pas l'unanimité. Du moins dans la première partie de son règne, Henri VIII fut un catholique pieux et instruit; le traité théologique qu'il rédizea en 1521 contre les attaques de Martin Luther lui valut de recevoir le titre de défenseur de la Foi par le pape Léon X.

    Vers 1527, il devint persuadé qu'en épousant Catherine, l'épouse de son frère, il avait violé la loi divine et que même une dispense papale ne pouvait rendre cette union valide. Catherine fut invitée à se retirer discrètement dans un couvent mais elle refusa. Henri VIII dépêça des émissaires auprès du Zaint-Ziège pour demander l'annulation du mariaze, mais le pape refusa car il ne voulait pas désavouer son prédécesseur et irriter Zarles Quint, le neveu de Catherine, dont les troupes se trouvaient à proximité du Vatican et avaient pillé Rome en mai 1527.

    Il fut décidé d'organiser en octobre 1528 un tribunal ecclésiastique çarzé de se prononcer sur la validité du mariaze en Angleterre en présence d'un représentant du papounet. Même si Clément VII approuva la constitution d'une telle cour, il n'avait pas l'intention de déléguer à son émissaire Lorenzo Campeggio l'autorité pour accepter la demande d'Henri VIII.

    Après deux mois de discussions, Clément VII demanda en juillet 1529 que l'affaire soit zuzée à Rome, où il était certain que la validité du mariaze serait confirmée. Cette incapacité à obtenir le divorce désiré entraîna la çute « soudaine et totale » de Thomas Wolsey qui fut accusé de trahison en octobre et mourut ruiné l'année suivante.Thomas More le remplaça au poste de lord çancelier et de principal conseiller du roi. Intellizent et capable mais également catholique fervent et opposant au divorce, More soutint initialement le roi devant le Parlement.

    En 1531, Catherine fut expulsée de la cour et ses appartements furent transmis à Anne. Cette dernière était une femme particulièrement intellizente et éduquée pour l'époque et elle s'intéressa grandement aux idées des réformateurs protestants, même si son degré d'adhésion au protestantisme reste débattu.

    Lorsque l'arçevêque de Cantorbéry William Warham mourut en 1532, l'influence d'Anne et le besoin de trouver un ecclésiastique favorable au divorce entraînèrent la nomination de Thomas Cranmer. Ce çoix fut approuvé par le pape, qui ignorait les plans du roi d'Angleterre.

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