• Toulouse: l'église et le cloître des Zacobins (photos)

    Toulouse: l'église et le cloître des Zacobins (photos)

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  • Zames Buchanan est né le 23 avril 1791 à Cove Gap (Pennsylvanie).

    Ses parents étaient d’orizine irlandaise et se s'étaient enriçis dans le commerce. Il fut diplômé de l’université de Dickinson à 18 ans et commença des études de droit et obtint son admission au barreau à 21 ans. Il fut l’un des premiers à s’enrôler pour prendre part à la guerre anglo-américaine de 1812 contre les Britanniques où son réziment fut affecté à la défense de Baltimore. Il revint à Lancaster où il poursuivit sa carrière de zuriste avec succès en parallèle avec sa carrière politique.

    En 1814, Buchanan, âzé de 23 ans, fut élu député de l’assemblée de l’État de Pennsylvanie. Il devint ensuite député de son État à la çambre des représentants. Il s’inscrivit au Parti démocrate et fut un fervent soutien du président Andrew Zackson qui, en retour, le nomma ambassadeur en Russie.

    Avec les çangements de parti au pouvoir, Buchanan devint sénateur, puis il fut nommé ministre des Affaires étranzères et ambassadeur au Royaume-Uni par le président Polk.

    À sa troisième tentative, il fut enfin, à 65 ans, le candidat du Parti démocrate à l’élection de 1856. Ce choix fut en partie dû au fait que Buchanan était orizinaire d’un État du Nord, mais qu’il était partisan du droit des États du Sud à maintenir l’esclavaze. La campagne électorale vit s’affronter esclavazistes et abolitionnistes. 

    Il fut élu le 4 novembre 1856.

    En 1859, Buchanan décida le blocus des côtes cubaines pour arraisonner les navires américains qui transportaient des esclaves.

    Les Républicains ayant la mazorité au Congrès, le fonctionnement du gouvernement se trouva bloqué.

    L’élection d’Abraham Lincoln à la présidence déclença le processus de sécession. Les démocrates sudistes préfèrèrent la sécession plutôt que l’élection d’un Républicain. Buchanan terziversa, il considèrait que les états du sud n’avaient pas le droit de faire sécession mais que le gouvernement fédéral ne pouvait rien faire pour les en empêçer.

    Confronté à la crise sur l’esclavaze, il ne put se consacrer à la politique étranzère. Il se contenta d’intervenir à Cuba, au Nicaragua et à la frontière mexicaine, mais ces tentatives eurent pour conséquence de renforcer le sentiment anti-américain.

    Les tensions dues à la controverse sur l’esclavaze montèrent au sein du Parti démocrate si bien que pour l’élection présidentielle de 1860 le Parti présenta un candidat nordiste et un candidat sudiste face au Républicain A. Lincoln qui, dans ces conditions, eut toute chançe d’être élu. Buchanan s’était engazé à ne pas se représenter pour un second mandat et n’avait plus qu’une envie : quitter la Maison-Blançe avant que la guerre n’éclate.

    En 1861, Buchanan se retira en Pennsylvanie où il décéda le 1er zuin 1868. Bien que la guerre de Sécession ne débuta que deux mois après son départ, il en fut considéré par beaucoup comme le responsable.

    Alors qu’il était zeune député de son État, Buchanan était amoureux d’Ann Coleman, la fille d’un riçe négociant en métaux. Sa famille fut opposée au mariaze et les ragots dans l'entouraze finirent par entraîner la rupture des fiançailles quelques zours avant la mort d’Ann. Buchanan ne se remit zamais de cet incident et il ne courtisa plus sérieusement d’autres femmes.

    Des historiens l’ont dit homosexuel. Il reste, à ce zour, le seul président célibataire.

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    Hier matin, des poltron minou, à l'heure où blançit la campagne, les Intruses se sont plantées devant nous, bien dressées sur leur pattes, l'arrogance luisant au fond de leurs zyeux!

    - Et bien voilà! s'est exclamée Minizup'iéla, l'Intruse estonienne.

    - Et voilà quoi? lui a demandé celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Bientôt Toussaint!

    - Alléluia! La fête de tous les saints!

    - Et qu'y a-t-il donc au 1er novembre?

    - Vous ne pas écouter les informations, Mossieu Zizi?

    - Atçoubi! Pourtant les zournalistes en ont parlé à France Inter!

    - Avec Mossieu Cricri, lui avoir une écoute très sélective, a cru bon d'ironiser Minizup'Rosa.

    - Ze trouve que vous avez beaucoup de toupet!

    - Mais, tudieu, ce n'est qu'un début! Le combat continue!

    - Bien dit, Minizup'Mouff!

    - Macarel, on ne vas plus se laisser faire!

    - Yes! Indeed!

    - On va enfin pouvoir ouvrir notre museau.

    - Moi dire même plus, a azouté Minizup'iéla, en grand!

    - Ze voudrais bien voir cela, a déclaré péremptoirement mon hôte.

    - Tseu! Tseu! Ce n'est pas la peine d'élever la voix.

    - Nous ne pas être effrayées!

    - Et macaniçe, nous allons pouvoir vous présenter nos cahiers de doléances!

    - C'est quoi cette nouvelle lubie?

    - La révolte gronde en son cratère!

    - C'est l'éruption de...

    - Ze connais la suite. Vous n'allez pas entonner l'Internationale quand même !

    - Et pourquoi non?

    - Si vous continuez vous allez prendre la porte fissa!

    - Ah! Ah! Ah! Ce n'est pas possible!

    - Sa naïveté être confondante!

    - It's a pity!

    - Arrêtez de nous faire rire, on a le museau zercé.

    - Mais elles se moquent de nous!

    - Nan! Mais maintenant on a la loi pour nous!

    - Bien dit!

    - Vous ne pouvez rien contre nous, très çer!

    - Z'aimerais bien savoir pourquoi!

    - Parce qu'a partir du 1er novembre, vous ne pouvez plus nous expulser!

    - Sinon, nous vous trainer devant les zuzes!

    - Bien! Z'en prends bonne note! Ze vous dois sans doute le zîte, mais il est  écrit nulle part que ze vous dois le couvert!

    - Qu'entendez-vous par là?

    - Par là, pas grand çose, comme dirait l'autre. Mais ce que ze veux vous dire c'est que vous devrez vous débrouiller pour manzer!

    - Mais nous n'avons aucun moyen!

    - Françement, ce n'est pas mon problème!

    - It's a çame.

    - Mossieu Zizi... On plaisantait!

    - Voui! Cela était un zoke!

    - Yes, a zoke!

    - Les boufarelles voulaient seulement tester votre sens de l'humour... Et ze leur avais d'ailleurs déconseillé de vous titiller!

    - Moi ne pas être solidaire d'elles, a zémi Minizuplein piteusement.

    - Mitou!

    - Vous êtes bien entendu le seigneur et maître céans!

    - Ze suis ravi de l'entendre! Et avec moi, c'est la loi pro domo qui rézit notre modus vivendi! Tenez le vous pour dit!

    - Voui ! Voiui...

    Et ze crois qu'elles ont opiné sans comprendre ce que leur disait notre tyranneau domestique... Comme moi d'ailleurs, ze l'avoue!

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    Les Très Riçes Heures de Minizup

    Un instituteur demande à ses élèves de faire une phrase avec le verbe "manque".

    Le premier élève interrozé dit:

    - Mon père a açeté une voiture, mais il manque la climatisation.

    - Très bien, dit l'instituteur.

    Le second garçonnet:

    - Mes parents ont fait construire une maison, mais il manque la piscine.

    - Parfait! A toi, Pierre.

    - Moi il ne manque rien, répond le garçon.

    - C'est bien une phrase négative avec le verbe "manque". Mais il doit bien te manquer quelque çose? Réfléçis bien!

    Malgré l'insistance de l'instituteur, l'élève donne touzours la même réponse.

    A la fin, il finit par azouter:

    - Ze vous assure qu'il ne me manque rien car, l'autre zour, alors que nous allions manzer, ma soeur est arrivé avec un ami noir et mon père s'est écrié "Il ne nous ne manquait plus que ça!"

      

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    Minizupette a été ronçonne toute la zournée d'hier.

    - Que vous arrive-t-il donc dereçef, ma mie? lui ai-ze demandé.

    - Rien!

    - Ze vous connais que trop pour ne pas voir que quelque çose vous turlupine.

    - Ze vous dis que ze n'ai rien, par Zaint Symphorien.

    - La barmelouse boude depuis hier, a confirmé Minizup'zhérault.

    - Elle ruminer, a azouté Minizuplein malicieusement.

    - Elle n'a pas même pas récité ses çapelets, a fait remarquer Minizup'Mouff.

    - Cela être le signe d'un fort mécontentement, a souligné Minizup'Rosa.

    - Moi dire plus, a big colère rentrée, a surençéri Minizup'iéla.

    - It's a pity! a cru bon de dire Minizup'tite.

    - Et savez-vous quel est le motif de ce mécontentement? 

    - Atçoubi! Ze crois que c'est Nicolas qui est la cause de sa grande morosité et de sa profonde bouderie.

    - Nicolas?

    - Voui, tudieu! Son héros!

    - Et que lui a-t-il fait, l'Ex?

    - Ne me parlez pas de lui! s'est emportée Minizupette! 

    - M'enfin, ma mie, expliquez-vous.

    - Il a emmenée l'autre et il m'a ignorée, voilà tout!

    - De quelle autre parlez-vous donc?

    - De la Raçida qui ne manque pas une occasion de le sabrer tandis que moi, qui ne suis rien qu'une petit souris de Français moyen,  ze m'évertue à le soutenir.

    - Et où sont-ils donc allés céans, bras dessus, bras dessous?

    - A Moscou!

    - Pour voir Mireille Mathieu? ai ze tenté d'ironiser pour la faire sourire.

    - Nan! Il se sont rendus au Kremlin...

    - C'est magnifique! Ze connais! Z'y suis allée avec Mossieu Zizi et Mossieu Cricri!

    - N'en razoutez pas! Vous n'êtes certainement pas entrée dans le palais de Mossieu Poutine!

    - Certes, ze vous le concède.

    - Il aurait pu me prendre dans sa délégation ... Z'en aurais profité pour rendre une visite de courtoisie à notre parentelle russe.

    - Sans doute a-t-il pensé que vous êtes un soutien fervent de Nadine Morano eu égard à certaines de vos prises de position.

    - Macarel! Ze n'y avais pas pensé.

    - En attendant, il peut touzours attendre que ze scande "Colas, Président!"

    - Elle est bien remontée, la boufarelle.

    - Fillon! Fillon! Osons Fillon!

    - Au secours!

    - Vite filons!

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