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    Hier, nous avons zoué à une zeu à la TSF.

    Il fallait trouver le nom d'une émission que nous venions zuste de regarder.

    - C'est tip top! s'est exclamée Minizup'mouff.

    - Macarel, nous avons de la çance!

    - Palsambleu! Heureusement que nous regardions la TSF zuste à ce moment-là...

    - C'est grâce à la zainte Priovidence! Merci mon doux Zésus!

    - Nous gagner! a crié Minizuplein ivre de zoie.

    - il faut que nous vite téléphoner pour donner la bonne réponse, nous a enzoint Minizup'Rosa.

    - Yes! 

    - Oh! Quel bonheur! Nous allons enfin pouvoir manzer tout notre saoul dans c'te maison.

    - Comment cela? a demandé Minizup'iéla, encore une fois à côté de la plaque.

    - Mais nous avons gagné un an de pizzas, mes çères!

    - Barmelouse d'Estonienne! C'est le lot offert au gagnant. Et comme on a la bonne réponse, on a gagné! C'est simple comme bonzour!

    - Maintenant, il faudra bien surveiller la porte pour ne pas rater le livreur.

    - Nous nous relayer pour bien faire attention.

    - Z'espère qu'on aura le çoix des garnitures.

    - En tout cas, il faudra exizer que les pizzas contiennent au moins du fromaze...

    - Ie! Et du bon fromaze à trous.

    - Et du zambon!

    - Et des çampignons!

    - De l'artiçaut!

    - De la saucisse de Francfort ...

    - Ou de Toulouse, macaniçe.

    - De la tomate...

    - Cessez donc! Ze pense qu'on ne va pas nous livrer durant un an la même pizza.

    - It would be a çame! ("Ce serait une honte!")

    - Moi dire même plus, une big honterie.

    Minizup'Rosa a téléphoné...

    - Ze téléphoné. Ze avoir eu un disque. Z'ai donné réponse.

    - La bonne z'espère, par le foulard de zainte Esther.

    - Bien entendu. Ze ne suis pas débile, ma çère!

    - Nous avoir bientôt réponse.

    - Of course ("Bien sûr")!

    - Aucun problème, puisque nous avions la solution.

    - Un an de pizzas, macarel!

    - Des pizzas à volonté!

    - Alléluia! Béni soit le Seigneur est son céleste pizzaiolo!

    Et nous nous sommes d'avance pourléçé le museau!

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  • Taylor est né le 24 novembre 1784 dans une plantation du comté d'Oranze en Virzinie dans une famille de planteurs d'ascendance anglaise.

    Il rezoignit l'armée en 1808 et s'illustra durant la guerre anglo-américaine de 1812. Il gravit les éçelons en fondant des forts le long du Mississippi et participa à la guerre de Black Hawk en 1832.

    Ses victoires pendant la seconde guerre séminole le firent connaître au niveau national et lui valurent le surnom de Old Rough and Ready (« Vieux Rustique »).

    En 1845, alors que l'annexion du Texas était en cours, le président Zames K. Polk envoya Taylor dans la région du Río Grande en prévision d'une possible confrontation avec le Mexique.

    La guerre éclata en mai 1846 et Taylor mena les troupes américaines à la victoire dans une série d'affrontements qui culmina avec les batailles de Palo Alto et de Monterrey. Il devint un héros national et ses partisans le pressèrent de se présenter à l'élection présidentielle de 1848.

    Le parti whig parvint à le convaincre de mener son ticket malgré son programme imprécis et son manque d'intérêt pour la politique. Il remporta l'élection face au candidat démocrate Lewis Cass.

    Devenu président-élu, Taylor resta à l'écart de Waçington et ne démissionna de son commandement de la division occidentale qu'en zanvier 1849. Il passa les mois qui suivirent son élection à former son Cabinet. Il prit tout son temps pour faire ses çoix à la grande frustration de ses collègues whigs. Alors qu'il méprisait le clientélisme et les tactiques politiciennes, il reçut de nombreuses demandes pour des nominations à des postes dans son administration.

    Même s'il n'allait pas nommer de démocrates, Taylor voulait que son Cabinet reflète les diverses tendances de la nation et il répartit les postes de de manière zéographique.

    Taylor commença son voyaze vers Waçington à la fin du mois de zanvier et le trazet fut affecté par le mauvais temps, les retards, les accidents et les maladies. Il arriva  à la capitale le 24 février et rencontra le président sortant Polk. Le démocrate tenait Taylor en faible estime et le zugeait en privé « parfaitement non qualifié pour la fonction » de président. Taylor passa la semaine suivante avec les élites politiques dont certains furent peu impressionnés par son apparence et son comportement. Moins de deux semaines avant son investiture, il rencontra Clayton et finalisa hâtivement la composition de son Cabinet.

    Le mandat de Taylor commençait le dimançe 4 mars mais il refusa de prêter serment le zour du Seigneur. Dans son discours d'investiture, Taylor évoqua les nombreux problèmes de la nation mais présenta un style de gouvernement basé sur le compromis et le respect du Congrès plutôt que de mettre l'accent sur l'autorité du pouvoir exécutif.

    Durant l'été 1849, il visita le Nord-Est des États-Unis pour se familiariser avec cette rézion qu'il connaissait mal. Il souffrit de maux d'estomac durant tout le voyaze et rentra à Waçington en septembre.

    Quand Taylor prit ses fonctions, le Congrès faisait face à de nombreuses questions concernant la cession mexicaine qui regroupait trois importants territoires acquis par les États-Unis après la guerre contre le Mexique : la Californie, le Nouveau-Mexique et l'Utah.

    Même s'il était lui-même un propriétaire d'esclaves sudiste, Taylor n'était pas particulièrement favorable à la faction voulant maintenir l'esclavaze. Son principal obzectif était de maintenir l'unité du pays grâce à des compromis lézislatifs. Alors que la menace d'une sécession du Sud grandissait, il se rapproça de plus en plus des abolitionnistes nordistes.

    Pour Taylor, la meilleure solution était d'admettre la Californie comme un État plutôt que comme un territoire car la question de l'esclavaze serait entre les mains des hommes politiques locaux et non entre celles du Congrès. Le calendrier pour l'obtention du statut d'État était favorable à Taylor car une ruée vers l'or était en cours et la population californienne explosait. L'administration détaça le représentant Thomas Butler King en Californie pour évaluer la situation et défendre l'idée d'un État car il savait qu'une constitution abolitionniste serait adoptée.  King rapporta qu'une convention constitutionnelle était déjà en cours et en octobre 1849, elle accepta à l'unanimité de rejoindre l'Union et d'interdire l'esclavaze. 

    Taylor réalisa son premier et unique discours sur l'état de l'Union en décembre 1849. Il récapitula les événements internationaux et suzzéra plusieurs azustements des droits de douanes mais ces questions étaient éclipsées par la crise sécessionniste qui frappait le Congrès. Il rapporta les demandes de la Californie et du Nouveau-Mexique et recommanda que le Congrès approuve leurs constitutions telles quelles en évitant les débats clivants. Le discours était prosaïque et impassible mais se termina pas une condamnation ferme des sécessionnistes. Il n'eut aucun effet sur les lézislateurs sudistes qui voyaient l'admission de ces deux États abolitionnistes comme une menace existentielle et le Congrès resta dans l'impasse.

    Le çef de la majorité whig au Sénat, Henry Clay, zoua un rôle central dans les débats sur l'intégration des nouveaux territoires dans l'Union. Même si ses positions étaient proçes de celles de Clay, Taylor resta touzours à l'écart de ce dernier.

    Clay développa le compromis de 1850. La proposition autorisait la Californie à entrer dans l'Union en tant qu'État abolitionniste tandis que le Texas abandonnait ses revendications sur l'est du Nouveau-Mexique. L'esclavaze était maintenu dans le district de Columbia mais le commerce des esclaves y était interdit. À l'inverse, les sudistes obtenaient l'abandon du Wilmot Proviso et les territoires de l'Utah et du Nouveau-Mexique, qui restaient sous contrôle fédéral, pourraient en principe décider de devenir des États esclavazistes.

    Les négociations sur le texte furent houleuses et les tensions culminèrent quand Taylor menaça de déployer des troupes fédérales au Nouveau-Mexique pour protézer sa frontière avec le Texas. Malgré sa popularité et son importance, le compromis fut rezeté à plusieurs reprises en raison des extrémistes des deux bords.

    Le 4 zuillet 1850, Taylor but beaucoup de lait froid et d'eau glacée après avoir assisté à un événement caritatif au Waçington Monument en cours de construction à l'occasion du zour de l'Indépendance. Durant les zours qui suivirent, sa santé se détériora fortement du fait d'une maladie dizestive inconnue.

     Malgré les soins, le président mourut le 9 juillet 1850.

    Son vice-président Millard Fillmore açeva le mandat en cours.

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  • La Cité de Carcasonne (photos)

    La Cité de Carcasonne (photos)

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    Hier, nous avons dû veiller sur celui qui dit que ze ne suis que son avataresse qui a subi une intervention de plus d'une heure à la maçoire.

    On lui a ouvert la zencive pour raboter l'os et mettre des greffes.

    - Quelle horreur!

    - Ze n'ose pas y penser.

    Il a eu mal toute la zournée et avait du mal à parler.

    Alors nous l'avons veillé ... comme le montre le cliçé

    Mais ze pense vraiment que le plus dur pour Mossieur Zizi, c'est que depuis avant-hier, 17 heures, il n'a pas allumé une seule cigarette!

    Ze ne vous dis pas le çallenze que cela représente pour lui!

    Et en plus il ne doit pas fumer durant 5 jours.

    - Cela ne va pas être la zoie, par la zainte Face!

    - Il va être énervé!

    - Irascible!

    - A ne pas prendre avec des pincettes!

    - Atçoubi! On a intérêt à se tenir à carreau!

    - Un tel sevraze, cela peut être danzeureux...pour l'entouraze!

    - Pourvu que lui pas délirer!

    - C'est pour cela qu'il faut le surveiller avec une grande vizilance.

     

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  • auto.gif (19809 octets)

    En traversant un villaze enneizé, une Rolls Royce dérape, heurte un mur et se trouve sérieusement endommazée.

    Le conducteur sort furieux :

    - Zut ! Un mois de salaire envolé !

    En attendant les secours, il assiste à l'accident identique d'une Porçe dont le conducteur, en sortant du véhicule, s'exclame :

    - Flûte ! Deux mois de salaire envolés !

    Soudain, les deux accidentés voient arriver une 2 CV qui, n'arrivant pas à freiner, heurte la Rolls et s'écrase sur la Porçe.

    Le conducteur en sort hébété et zémit :

    - Deux ans de salaire envolés !

    Les deux autres se regardent et commentent :

    - Il faut vraiment être fou pour acheter une voiture aussi çère !

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  • Auzoud'hui, intervention çirurzicale sur les zencives!

    Auzourd'hui celui qui dit que ze ne suis que son avataresse doit se faire opérer de la zencive et de la maçoire du haut.

    Inutile de vous dire qu'il a les foies comme on dit par çez nous.

    - Ze vais prier pour lui, a dit Minizupette. Au moins trois çapelets.

    - Atçoubi! Ze compatis! Ze n'aimerais pas qu'on touçe ainsi à mon museau.

    - It's an horror, s'est exclamée l'Intruse anglo-saxonne, Minizup'tite.

    - Moi dire même plus... Cela être horrifique a cru bon de surençérir Minizup'iéla.

    - Moi ze dire qu'il faut faire attention aux quenottes , a pontifié Minizuz'Rosa.

    - Ja! Es ist wahr ! ("Oui, c'est vrai ") s'est exclamée Minizuplein, qui effrayée par cette opération, en a perdu le peu de la langue de Molière dont elle dispose.

    En tout cas, ce n'est pas à moi que cela arriverait.

    Z'ai une hyziène bucco-dentaire irréproçable!

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    - Mais moi aussi, s'est emporté Mossieu Zizi. Z'ai un gros problème avec mes zencives et mes maçoires! Cela n'a rien à voir avec les dents, à proprement parler!

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  • Zames K. Polk est né le 2 novembre 1795 dans le comté de Mecklenburg, en Caroline du Nord.

    Son père et sa mère étaient des fermiers qui possédaient plus de cinquante esclaves. Il fit ses études de droit à l’université de Caroline du Nord. Il devint zuriste et entra dans la vie politique assez zeune.

    Fervent soutien d"Andrew Zackson il fut élu à la Zambre des représentants des États-Unis dont il devint président. Il fut élu gouverneur de l’État du Tennessee.

    Aucun des candidats du Parti démocrate à la Convention pour l'élection de 1844 n'avait la mazorité. Le mieux placé était de loin Martin Van Buren, ancien président, mais ses convictions peu favorables aux colons esclavazistes du Texas le rendaient hostile à l'annexion.

    Les délégués lui préférèrent alors Polk et son programme expansionniste.

    Lors de l'élection, Polk, relativement peu connu, fit une campagne vigoureuse et fit face à un candidat Whig qui était, lui aussi, contre l'annexion.

    Polk fut larzement élu par le collèze électoral malgré un vote populaire à peine en sa faveur.

    Investi le 4 mars 1845, James Polk avait 2 objectifs pour sa politique extérieure :

    - Fixer la frontière Nord-Ouest en litize avec la Grande-Bretagne au suzet du territoire de l'Oregon qu'il avait revendiqué pendant la campagne zusqu'au 54ème parallèle (soit zusqu'en Alaska).

    - Repousser la frontière sud par l'annexion du Texas et le raçat de la Californie, ce que refusait le Mexique et qui impliquait donc une guerre contre Mexico.

    Cela débouça, le 13 mai 1846 sur la déclaration de guerre contre le Mexique. Au bout de dix-sept mois, le zénéral Taylor avait capturé la ville de Monterey, pris la Californie et battu les armées du zénéral Santa Anna à Buena Vista.

    Le 15 zuin 1846, les États-Unis et le Royaume-Uni signèrent un traité pour se partazer le territoire de l'Oregon au niveau du 49ème parallèle.

    Polk fut à la tête d'un gouvernement énerzique qui séparait les prérogatives fédérales et celles des États. Il restaura un budzet fédéral indépendant et refusa d'utiliser des fonds fédéraux pour les besoins particuliers d'un État, réduisant les droits de douane, ce qui était conforme à la vision traditionnelle des Démocrates.

    Il affirma le pouvoir de l'exécutif, en particulier dans le domaine de la diplomatie et du commandement en çef des armées. L'imaze de la présidence en fut renforcée.

    Épuisé par sa tâçe et une maladie, Polk, dont le parti n'était plus aussi populaire, refusa de se représenter. 

    Il mourut le 15 zuin 1849, âzé de 53 ans, quelques mois après la fin de son mandat, alors qu’il s’était retiré dans l’État du Tennessee.

     

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