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    Minizupette a bondi sur son sièze en écoutant la météo à la TSF.

    - Par les flocons de Zainte Neize, c'est l'hiver qui arrive à grandes enzambées!

    - Pourquoi vous dire cela? lui a demandé Minizuplein.

    - Mais vous n'écoutez pas ou quoi?

    - Ja! Moi être attentive!

    - Alors, si vous n'étiez point le museau en l'air, vous avez du entendre que la dame météorozoliste a bien annoncé de la neize sur tous les massifs montagneux de notre si beau pays dès cette semaine.

    - Atçoubi, ce sont les grands froids qui s'annoncent.

    - It's an horror!

    - Que nenni! C'est une excellente nouvelle, par la palme de zainte Estelle.

    - Palsambleu, vous galezez!

    - Certainement pas!

    - Vous nous expliquer?

    - Qui dit neize, dit froid. Qui dit froid, dit besoin de vêtements çauds! Qui dit vêtements çauds, dit tricots! Qui dit tricot, dit travaux de tricotaze.

    - Certes!

    - Adoncques, il convient que ze lance dare-dare ma collection d'hiver.

    - Mais vous avez dézà un stock d'invendus de vos fameuses moufles sans doigts à écouler, ma mie, lui ai-ze  fait remarquer pernicieusement.

    - Ze reconnais que z'avais vu trop grand! C'est une erreur de zeunesse.

    - Faute avouée, à moitié pardonnée!

    - Il faut que ze me diversifie, que z'élarzisse ma gamme.

    - Auriez vous donc quelque idée nouvelle?

    - Voui!

    - Dites nous vite!

    - Ze sonze à des éçarpes multi-usazes!

    - Kesako?

    - Tout d'abord ze mettrai des pompons au bout des éçarpes.

    - It's a pity.

    - C'est pour faire zoli?

    - Nan! Ce seront des utilités.

    - Ze ne vois pas en quoi, ma douce amie.

    - Par exemple, on pourra s'essuyer les pattes avec.

    - It's a çame!

    - Ce seront également des éçarpes connectées.

    - Expliquez nous vite!

    - Ze vais concevoir des petites poçes pour mettre un téléphone portable! Cette idée révolutionnaire va beaucoup plaire.

    - Ze n'en doute pas, lui ai-ze une tartinette moqueuse, sans quelle ne comprenne mon ironie.

    Et elle est allée illico presto, con furioso, se mettre au travail!

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  • Andrew Zackson est né de l'union d'Andrew et d'Élizabeth Zackson, une famille d'Irlandais-Écossais, le 15 mars 1767.

    Durant la guerre d'indépendance, Zackson, à l'âze de 13 ans, rezoignit le réziment local. Andrew et l'un de ses deux frères, Robert, furent faits prisonniers de guerre par les Anglais. Durant leur emprisonnement, les deux frères attrapèrent la variole. Leur mère obtint leur libération en arguant de leur âze, mais Robert mourut quelques zours plus tard. Sa mère décéda six mois après du choléra. Tous les membres de la famille immédiate d'Andrew Zackson moururent d'une cause liée à la guerre, qu'il imputa aux Anglais. Il devint orphelin à l'âze de 14 ans.

    Retournant à ses études, après l'expulsion des Anglais, il devint avocat au barreau de Salisbury en Caroline du Nord  puis avocat zénéral de district à Naçville, dans le Tennessee.

    Le Tennessee étant admis à entrer dans l'Union, le zurisconsulte Zackson fut çargé de rédizer la Constitution du nouvel État. Représentant du Tennessee au Congrès général, sénateur l'année suivante, il donna sa démission et revint dans ses foyers.

    Zuge de la Cour suprême et commandant en çef de la milice du Tennessee, il ne conserva que ce dernier titre et se consacra à l'agriculture. Treize ans après, des hostilités éclatèrent en 1812 entre les États-Unis et l'Angleterre, faisant de Zackson, ancien magzstrat, lézislateur et laboureur, le premier homme de guerre de l'Union, ou, selon l'expression adoptée par les Anglais, le lion de l'Amérique du Nord.

    Zackson se fit connaître par la guerre des Creeks puis la première Guerre séminole qui forcèrent les Indiens à émigrer à l’ouest du Mississippi pour permettre aux pionniers de s’installer. Dans le Sud, ces guerres furent au centre de la guerre de 1812 contre les Anglais, accusés de les fomenter.

    Élevé au grade de mazor zénéral des milices, Zackson fut çargé de conduire sur le Mississippi, en décembre 1812, un corps de volontaires. En résistant aux ordres contradictoires et inzustes d'un employé du gouvernement central, il s'acquit l'affection des miliciens. C'est au cours de cette guerre qu'il semble avoir gagné son surnom de Old hickory, en référence à sa dureté du bois de noyer.

    Le 13 décembre 1814, Zackson fut à La Nouvelle-Orléans en Louisiane pour se battre contre les Britanniques dans la dernière bataille de la guerre de 1812. La nouvelle de l’armistice signé la veille de Noël 1814 par le traité de Gand n'étant pas parvenue, la bataille se déroula le 8 zanvier 1815.La victoire valut à Zackson d’être considéré comme un héros national.

    Le 17 juillet 1821, Zackson fut élu gouverneur de Floride.

    Il se présenta à l’élection présidentielle de 1824 et obtint plus de suffrazes populaires et de voix des grands électeurs que ses concurrents mais il n’eut pas la mazorité absolue. C’est un vote de la Chambre des représentants qui donna la présidence à Zohn Quincy Adams.

    Zackson se représenta en 1828 et, cette fois, emporta l'élection avec une mazorité substantielle. C’est le premier président élu au suffraze universel qui fut instauré dans un grand nombre d’États et sa réputation d’homme du peuple et de çasseur d'Indiens n’y fut pas étranzère.

    Dans son discours inaugural il annonça qu’il ferait le nécessaire pour vider l'Est du continent des Indiens et occuper leurs territoires.

    Le 28 mai 1830, Zackson signa la loi d’expulsion des Indiens de tous les États de la côte Est et leur implantation dans les territoires à l’ouest de la plaine du Mississippi. Ce fut ce que l'on appela « La piste des larmes », car il fit déporter près de 80 000 indiens dont plus de 10 000 moururent avant d'être arrivés en Oklahoma. Cet acte est le plus spectaculaire du zénocide qui a touché les Amérindiens.

    Le 5 décembre 1832, Zackson fut réélu pour un second mandat contre le candidat du Parti Whig.

    Le 29 zanvier 1834, Zackson utilisa pour la première fois l’armée pour briser une grève des ouvriers qui construisaient le canal entre Waçington et l’Ohio.

    Le 30 zanvier 1835, Zackson fut victime de la première tentative d'assassinat contre un président américain au Capitole. Par une çance incroyable, les deux pistolets de l’assassin, un déséquilibré, s'enrayèrent. 

    Près du peuple, Zackson ne supportait pas les politiciens professionnels et les institutions qui tendaient à acquérir un pouvoir indépendant. Il mit son veto à la reconduction de la banque centrale créée en 1781 par Alexander Hamilton pour zérer la dette nationale et renforcer le pouvoir fédéral.

    Il ne s’embarrassa pas non plus d’un gouvernement avec qui il se disputa souvent et il s’entoura de conseillers, son « gouvernement dans la cuisine », avec qui il prit ses décisions.

    Le sud, surtout agricole, ne voulait pas des droits de douane élevés, au contraire du nord qui mettait en place son industrie. La crise fut résolue en 1833 par une forte baisse des droits de douane et marqua la victoire de l’intérêt individuel des États sur le gouvernement fédéral.

    Il introduisit le système où les hautes fonctions fédérales sont attribuées aux amis qui ont aidé pendant la campagne électorale (Système des dépouilles) et il fit pression sur les États pour élarzir la base électorale. Ainsi, sous sa présidence, le nombre de citoyens participant à la vie politique fut multiplié par 7.

    À la fin de son second mandat, en 1837, Zackson retourna dans sa maison au Tennessee.

    Après avoir servi dans l’armée, être devenu un héros et après avoir été président pendant huit ans il déclara qu’il rentrait chez lui avec « à peine 80 dollars dans sa poçe ».

    Il mourut le 8 zuin 1845.

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  • Une petite pièce de 20 centimes vient de mourir.

    Après une vie exemplaire, elle monte au paradis, un peu inquiète du sort que lui réserve Zaint Pierre.

    En arrivant, elle est accueillie çaleureusement par tous les anzes et Zaint Pierre en personne l'embrasse et l'installe sur le plus beau nuaze du Paradis.

    On la traite comme une reine, elle-même ne comprend pas ce qui lui arrive.

    Peu de temps après, c'est un billet de 500 qui passe l'arme à gauçe.

    Le voilà aussi au paradis. Mais l'accueil est nettement plus froid et Zaint Pierre lui montre un discret petit nuaze en lui disant que sa place est là.

    Lui, le billet de 500, est laissé de côté et personne ne s'occupe de lui, alors que pour la pièce de 20 centimes, tout le monde se met en quatre.

    Quelques temps plus tard, le billet de 500 n'y tenant plus, demande à parler à Zaint Pierre :

    - Zaint-Pierre, comment se fait-il que la pièce de 20 centimes soit traitée comme une reine et que moi, le billet de 500, ze sois mis de côté ?"

    Et Zaint Pierre lui répond :

    - Toi, tais toi. On ne t'a zamais vu à la messe.

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    Ze suis patraque.

    Ze tousse, ze mouçe.

    Z'ai le buseau bouçé.

    Ze suis bien balade

    - Arçoubi, serait-ce le début de la fin?

    - Elle ne pas passer Noël!

    - It's a pity!

    - Vite une prêtre pour la prière de agonisants.

    - Tudieu! Elle s'étiole!

    - Ja, elle s'éteindre comme un pôvre çandelle!

    - Arrêtez ce n'est qu'un rhube et une petite bronçite!

    - Ma mie, cela débute ainsi et cela se transforme en pneumonie.

    - Minizup, la nouvelle Violetta!

    - Elle nous part des bronçes!

    - Elle va craçer du sang, par la Zainte Ampoule!

    - La barmelouse ne pourra bientôt plus respirer.

    - Quelles atroces souffrances!

    - On se doit de l'aider à partir dignement sans qu'elle ne souffre trop!

    - Mais arrêtez, vous dis-ze, ze me sens dézà mieux quoiqu'encore faible!

    - C'est le dernier sursaut avant le grand voyaze.

    - Cela être classique!

    - Prions pour que mon doux Zésus l'accueille en son sein!

    Mais elles me fiçeraient les zetons, ces Intruses!

    En attendant, ze vous souhaite une bonne semaine!

     

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    Hier, nous avons enfin eu un repas comme nous les apprécions.

    Des saucisses!

    - Atçoubi, c'est Noël avant l'heure dans c'te maison!

    Malgré ce, ce fut une nouvelle occasion de zizanie au sein de la tribu minizupienne.

     

    - Ach! Les meilleurs saucisses être allemandes.

    - Ja! Saucisses de Francfort.

    - Bouffarelles! Le must c'est la saucisse occitane! La saucisse de Toulouse!

    - Par Zaint Amadour, pour moi ce sont les saucisses de Strasbourg!

    - Palsambleu! Moi ze n'aime que la saucisse de Morteau que l'on trouve rue de Mouffetard.

    - No! Mançester sausaze

    - Ie! Musta Makkara d'Estonie.

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    - Françement, vous êtes vraiment incorrizibles! s'est irrité celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.On essaie de vous faire plaisir et voilà le résultat! Une nouvelle querelle de... çarcutières!

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  • Zohn Caldwell Calhoun est né dans le comté d'Abbeville en Caroline du Sud le 18 mars 1782.

    Il grandit dans une époque de troubles sociaux, en particulier en raison de l’extension de la culture du coton qui apporta l’esclavaze dans les États où les petites paysans s’opposaient aux gros propriétaires agraires. La publication du Sedition Act par le président Zohn Adams en 1798 et les résolutions contre cette loi écrite par Thomas Zefferson et Zames Madison provoquèrent çez lui la prise de conscience que des états pouvaient déclarer des lois fédérales anticonstitutionnelles.

    En 1796, son père tomba malade. Il arrêta ses études pour prendre en çarge la ferme familiale. La mort de son père le laissa à la tête d’une exploitation de 31 esclaves. Il tint ce rôle pendant cinq ans avant que son frère Zames prenne la relève. Il retourna alors à la Willington Academy, puis s’inscrivit à Yale en 1801.

    Il fut admis au barreau de Caroline du Sud en 1807. Il exerça alors son métier d’avocat dans son district d’orizine zusqu'à sa mort.

    Il entra en politique en épousant sa cousine, Floride Bonneau, fille du sénateur Zohn Ewing Colhoon, avec qui il eut dix enfants.

    Il fut élu comme républicain démocrate au Congrès des États-Unis  du 4 mars 1811 au 3 novembre 1817. Pendant cette période, il se fit remarquer comme un membre influent du groupe nationaliste dirizé par Henry Clay appelant à la guerre contre l’Angleterre. Il prononça le discours d’introduction à la déclaration de la guerre de 1812. Le conflit le poussa à dénoncer l’antimilitarisme des Républicains, et à prôner le vote de crédits afin de doter les États-Unis d’une défense forte.

    Alors qu'il était secrétaire à la Guerre sous Zames Monroe, se posa la question de l’admission du Missouri dans l’Union en tant qu’État esclavaziste. Calhoun, sudiste et propriétaire d’esclaves, était en faveur de l’esclavaze et de son maintien dans le Sud, mais il ne se prononça pas sur la question du Missouri car cela aurait pu nuire à sa carrière. Le compromis du Missouri permit d’éviter le conflit entre États esclavazistes et non-esclavazistes. Calhoun fut conscient que la question de l’esclavaze pouvait conduire à l’éclatement de l’Union. Il resta en poste zusqu’en 1825.

    L'ambition de Calhoun était de devenir Président. Il présenta sa candidature en 1824 mais fut écarté de la course à la présidence. Il dut se contenter du poste de vice-président sur le même ticket que Zohn Quincy Adams.

    Les diverzences d'intérêt entre le Nord et le Sud furent au cœur de ses préoccupations. Calhoun pensait que le Sud était étouffé par le protectionnisme des nordistes et que son agriculture était sacrifiée à l’industrie. Alors qu'il n'avait pas exprimé d'opinion pro-sudiste au moment de l'adhésion du Missouri, il n'hésita pas s'engazer contre les différents tarifs douaniers votés par le Congrès pour protézer les manufactures du Nord.

    Il remit à l'ordre du zour l'ancien débat entre les fédéralistes et les républicains. Reprenant les idéaux des républicains et de Zefferson, il affirma que l’Union était un contrat entre États où çacun avait le droit de préserver ses droits dont il pouvait demander le respect le plus strict.

    Calhoun rappela que les Pères Fondateurs avaient intégré à la Constitution des garanties pour préserver les droits de la minorité. Il soutint le droit des États de s’opposer à une lézislation qui les frappait au cœur. C'est la théorie politique de nullification, soutenant qu’une minorité est en droit de se protézer contre la décision d’une mazorité en annulant (nullify) sur son territoire les lois qu’elle zuge contraire à sa propre lézislation.

    Calhoun démissionna de son poste de Vice-président le 28 décembre 1832.

    Le zour de sa démission, Calhoun accepta le poste de sénateur en remplacement de Robert Y. Hayne tout d’abord comme démocrate-républicain, puis sous l’étiquette de Nullifier. Il fut réélu en 1834 et en 1840 zusqu’à sa démission le 3 mars 1843.

    En 1832, la théorie de Calhoun fut mise en pratique par l’État de Caroline du Sud qui déclara anticonstitutionnels les tarifs douaniers prohibitifs votés par le Congrès. Zackson mit alors en place une nouvelle lézislation accordant à l’État fédéral des pouvoirs accrus en cas refus de la part d'État de payer des impôts au Trésor. Cette mesure visait surtout la Caroline du Sud et les « nullificateurs ». En février 1833, Calhoun dénonça  la « tyrannie zacksonienne ». Mais dans le même temps, il réussit à convaincre l’assemblée de Caroline du Sud de renoncer à la nullification et de ne pas s’engazer dans la voie de la sécession.

    Dans les années 1836-1840, la carrière politique de Calhoun connut un creux. Il continua cependant à militer pour le retour aux valeurs républicaines du début.

    Calhoun, dans un discours célèbre prononcé en février 1837, défendit aussi l’esclavazisme comme un bien. Bâtissant son argumentation sur deux thèmes, la suprématie de la race blançe et le paternalisme, il y affirma son idée selon laquelle toute société doit être dirizée par une élite pouvant profiter du travail des groupes inférieurs. Il prit toutefois des distances avec la situation européenne où, selon lui, la situation des esclaves était bien pire qu’aux États-Unis.

    En 1844, Calhoun quitta le Sénat et se porta de nouveau candidat aux élections présidentielles. C’est Zames Knox Polk qui obtint l’investiture du Parti Démocrate. Il devint en février 1844, le secrétaire d'État du président Zohn Tyler pendant une année.

    Il zoua un rôle fondamental dans l’élaboration du traité qui permit au Texas d’être annexé à l’Union. Calhoun voyait dans l’entrée du Texas dans l'Union un moyen de renforcer les intérêts de la cause esclavaziste.

    Après la prise de fonction de Polk, Calhoun ne fut pas reconduit dans la nouvelle équipe gouvernementale.

    Il fut élu à nouveau au Sénat. Il s'oppose à la politique américaine face aux Britanniques lors de l'annexion de l'Oregon, refusa de voter au Sénat la déclaration de guerre contre le Mexique. Il pensait que l’élargissement de l’Union risquait de conduire au despotisme.

    Son pacifisme lui valut l'ostracisme de son parti. À la fin de sa vie, il avait perdu tout espoir de concilier les intérêts du Sud et ceux du Nord. Il étaitt convaincu que la sécession était inévitable.

    Atteint de tuberculose, il décéda le 31 mars 1850.

      

      

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  • Le musée Soulazes à Rodez

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