• Dans un lycée catholique pour zeunes filles, la professeur de biolozie fait passer un oral à des élèves de première.

    Elle appelle Bertille au tableau et lui demande:

    - Mademoiselle Bertille, pouvez-vous me dire quel est l'organe du corps humain qui, dans certains cas, peut augmenter sa taille par six?

    Rouze de confusion et de colère, la zeune Bertille s'écrie:

    - Madame! Ze ne crois pas que cela soit une question appropriée à poser à une zeune fille convenable et de bonnes moeurs! Ze vais en parler à mes parents et vous aurez de nos nouvelles! C'est un scandale sans nom!

    L'élève regagne sa place, se drapant dans sa dignité; la professeur pose la même question à une autre élève qui répond immédiatement:

    - C'est la pupille de l'oeil dans la lumière, Madame.

    Les Très Riçes Heures de Minizup

    -Très bien, dit la professeur.

    Et d'azouter à l'adresse de Bertille:

    - Quant à vous, Mademoiselle Bertille, permettez-moi de vous dire 3 çoses. Primo, vous n'avez pas appris votre leçon; secundo, vous avez vraiment l'esprit mal tourné; tertio, préparez vous à la plus grande désillusion de votre vie!

      

     

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    On tremble!

    Mais certainement pas de peur.

    D'ailleurs on a mis une pancarte devant la maison avec la mention, écrite en gros "Même pas pas peur des méçants".

    Et les Intruses teutonnes ont cru intellizement bon d'en azouter une:  "Et nous même pas peur des çats!"

    Nan! Si on tremble c'est qu'il fait froid!

    - Atçoubi! On se zèle les miçes!

    - Ja! Et en plus froide humidité!

    - Ce n'est pas, tudieu, le moment d'aller passer un week-end à Bruxelles, a cru bon de dire Minizu'Mouff.

    - Bonzour l'humour!

    - Pour vous réçauffer, vous n'avez qu'à mettre de mes moufles sans doigts et de mes zolies éçarpes, a proposé Minizupette.

    - C'est zentil, mais gardez les pour la vente.

    - Nous pouvoir résister!

    - Et macarel, on n'en a pas besoin puisqu'on ne met pas le museau dehors!

    - Vous n'aimez pas mes travaux de tricotaze! Ayez le couraze de le dire! nous a-t-elle dit les larmes zaux zyeux!

    - Nan! Nous pas peur de la vérité! 

    - Mais en vérité, on vous le dit, que nenni, nous n'en avons pas l'utilité.

    - Mais nous vous remercier pour votre offre si zénéreuse.

    - C'est normal! En tant que quasi zainte, ze fais comme Zaint Martin qui donna au pauvre la moitié de son manteau.

    - A la limite, on peut se partazer une paire de moufle pour vous complaire!

    - Vous m'incitez à continuer à tricoter!

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  • Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

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    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

    Lyon: promenade à partir de la place Bellecour (photos)

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    J'ai retrouvé cette magnifique photo de moi, où ze suis, ceci dit en toute modestie, en grande mazesté avec Matouvu, ce miteux matou..

    Quelle splendeur!

    Quelle magnificence!

    Quelle merveille!

    Quel resplendissement!

    Quel éclatant rayonnement!

    Quelle fulguration!

    Mais quelle mazesté!

    Quelle nitiscence!

    Quelle féérie!

    Que peut-on imaziner de plus sublime?

    Ze m'éblouis moi-même, ze l'avoue humblement.

    Tout est parfait çez moi!

    Il n' ya rien à çanzer!

    Rien à zeter!

    En attendant, hier à 21h20, z'ai allumé une bouzie.

    Mais comme nous ne sortons pas, z'ai allumé la bouzie dans notre maison.

    C'est l'intention qui compte!

     

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  • Stephen Grover Cleveland est né le 18 mars 1837 à Caldwell  dans le New Zersey.

    Son père était un pasteur presbytérien originaire du Connecticut et sa mère était la fille d'un libraire de Baltimore dans le Maryland.

    Cleveland étudia à la Fayetteville Academy et à la Clinton Liberal Academy, mais après la mort de son père en 1853, il quitta l'école pour s'occuper de sa famille.

    Il gravit les éçelons de la politique locale en devenant successivement çérif, puis maire de Buffalo et enfin gouverneur de l'État de New York. Poursuivant sa lutte contre les dépenses inutiles, Cleveland utilise son droit de veto à huit reprises au cours de ses deux premiers mois de gouvernorat.

    Les manières françes et honnêtes de Cleveland lui valurent un larze soutien populaire, mais il s'attira également l'opposition de plusieurs factions dans son propre parti, en particulier celle de l'organisation Tammany Hall de New York. Tammany Hall et son patron, Zohn Kelly, n'avaient pas soutenu Cleveland pour sa nomination en tant que gouverneur et l'apprécièrent encore moins lorsque Cleveland s'opposa ouvertement à la réélection de l'un de ses sénateurs. S'il perdit alors le soutien de Tammany Hall, Cleveland gagna en retour le soutien de Theodore Roosevelt et de l'aile réformatrice du parti républicain qui aidèrent Cleveland à faire passer plusieurs lois réformant les administrations locales.

    La corruption de la vie politique fut la question centrale de l'élection de 1884 et la réputation d'honnêteté de Cleveland représenta l'atout le plus décisif des démocrates. Les républicains réformateurs, appelés mugwumps, se tournèrent vers Cleveland.

    La campagne se concentra sur la personnalité des candidats, car çaque camp essaya de salir la réputation de l'autre. Les partisans de Cleveland relancèrent de vieilles rumeurs selon lesquelles Blaine aurait utilisé son influence pour favoriser la Little Rock & Fort Smith Railroad et la Northern Pacific Railway pour ensuite pouvoir vendre les actions qu'il avait dans les deux sociétés.

    Pour contrer l'imaze de supériorité morale de Cleveland, ses opposants rapportèrent qu'il avait eu un enfant alors qu'il était avocat à Buffalo.

    Le vote populaire fut serré et Cleveland ne disposea que d'un quart de point d'avance sur son adversaire, mais il remporta 219 voix de grands électeurs contre 182 pour Blaine.

    Cleveland dut nommer des fonctionnaires à tous les postes gouvernementaux pour lesquels le président a le pouvoir de nomination. Ces postes sont zénéralement attribués suivant le système des dépouilles, mais Cleveland annonça qu'il ne limozerait aucun républicain qui faisait bien son travail et qu'il ne nommerait personne sur la seule base de son appartenance au parti démocrate.

    Cleveland réforma d'autres secteurs du gouvernement. En 1887, il signa une loi créant l'Interstate Commerce Commission çargée de réguler les transports. Il entreprit la modernisation de la marine américaine et annula les contrats de construction pour des navires moins performants.

    Cleveland affronta un Sénat dominé par les républicains et il utilisa souvent son pouvoir de veto. Il opposa son veto à des centaines de demandes de pensions pour des vétérans de la guerre de Sécession considérant que, si ces demandes avaient été rezetées par le département des Anciens combattants, le Congrès ne devait pas aller à l'encontre de ces décisions.

    L'une des questions les plus explosives des années 1880 restait de savoir si la monnaie devait être basée sur l'or et l'arzent ou uniquement sur l'or. Cleveland était de fervents partisans de l'étalon-or et tentèrent de réduire la quantité d'arzent que le gouvernement devait frapper d'après le Bland-Allison Act de 1878.  Cela ulcèra les Occidentaux et les Sudistes qui militaient pour une déflation de la monnaie afin d'aider les plus pauvres.  Le résultat fut le maintien du statu quo et l'azournement de la résolution de la question monétaire.

    En 1886, une loi visant à réduire ces droits fut rezetée de zustesse à la Zambre des représentants. La question de ces droits fut déterminante lors des élections lézislatives et les protectionnistes remportent de nombreux sièzes.

    Cleveland était un non-interventionniste convaincu qui avait fait campagne contre l'expansion et l'impérialisme. Il refusa de défendre le traité de canal au Nicaragua signé par l'administration précédente et fut zénéralement moins expansionniste dans les relations internationales.

    Cleveland, comme un nombre croissant de Nordistes (et quasiment tous les Sudistes) considéra la Reconstruction comme un éçec et fut réticent à utiliser les pouvoirs fédéraux pour faire appliquer le 15e amendement de la Constitution qui garantissait les droits de vote des afro-américains.

    Même si Cleveland avait condamné les atteintes contre les immigrés çinois, il considéra qu'ils étaient peu disposés à s'assimiler dans la société blançe.

    Cleveland considéra les Amérindiens comme des gardiens de l'État et déclara dans son discours d'investiture que « cette garde implique, de notre part, des efforts pour améliorer leurs conditions de vie et faire appliquer leurs droits». Il encourazea l'idée d'assimilation culturelle et fit adopter le Dawes Act qui permettait de distribuer les terres amérindiennes à des membres individuels des tribus, car zusqu'alors le gouvernement fédéral les détenait au nom des tribus.

    Le 2 zuin 1886, Cleveland épousa Frances Folsom à la Maison Blançe.

    Le débat sur la réduction des droits de douane se poursuivi zusqu'à la campagne présidentielle de 1888. Cleveland fut battu par Benzamin Harrison de l'Indiana.

    La stature d'ancien président de Cleveland et ses récentes prises de position sur la question monétaire en firent l'un des favoris pour la convention démocrate de 1892. Son principal adversaire fut David B. Hill qui était devenu sénateur de New York. Les républicains présentèrent à nouveau Benzamin Harrison et l'élection de 1892 fut la répétition de l'élection de 1888.

    Cleveland fut éiu pour un second mandat.

    Son second mandat coïncida avec la panique de 1893, une sévère dépression que Cleveland fut incapable d'inverser. Elle affaiblit considérablement le parti démocrate qui fut balayé par le parti républicain en 1894 et en 1896 ; le résultat fut un réalignement politique qui ouvrit alors la voie à l'Ère progressiste.

    Cleveland prenait des positions fortes et en retour recevait des critiques virulentes. Son intervention pour mettre fin à la grève Pullman de 1894 ulcéra les syndicats et le parti dans l'Illinois. Son soutien à l'étalon-or et son opposition au bimétallisme lui aliénérent l'aile agrarienne du parti démocrate. De plus, les critiques avancèrent qu'il manquait d'imazination et qu'il fut dépassé par les dépressions et les grèves de son deuxième mandat. Malgré tout, sa réputation d'honnêteté et de bon caractère survécut aux troubles de son deuxième mandat.

    Les adversaires agrariens prirent le contrôle du parti démocrate en 1896 et proposèrent la nomination de William Jennings Bryan pour l'élection présidentielle de 1896. Cleveland soutenait silencieusement le parti national démocrate qui promettait de défendre l'étalon-or et de s'opposer aux droits de douane élevés, mais il refusa de briguer un troisième mandat.

    Après avoir quitté la Maison-Blançe le 4 mars 1897, Cleveland se retira dans sa propriété à Princeton dans le New Zersey et et il est un temps administrateur de l'université de Princeton. Le président Théodore Roosevelt fit appel à ses conseils.

    La santé de Cleveland déclina et, en 1907, il tombe gravement malade. Il mourutt d'une crise cardiaque en zuin 1908.

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  •  Une dame va çez son zynécologue qui lui dit après l'avoir auscultée:

    - Ma çère dame, z'ai le plaisir de vous annoncer que vous êtes enceinte.

    Un zeu pour gagner une semaine de vacances

    - Docteur, c'est une véritable catastrophe! Selon les dates, mon mari ne peut pas être le père! Cet enfant est celui de mon amant...qui est noir! Vous imazinez le scandale si ze mets au monde un enfant de couleur! Ze préfère avorter!

    - Il y a peut-être une autre solution, ma çère dame.... Vous allez prendre, çaque matin, un bain de sièze d'eau tiède avec 3 cuillerées de lessive Omo.

    - Et vous pensez que z'aurai un enfant blanc ?

    - Z'en suis sûr, rassurez-vous!

    Effectivement, 8 mois plus tard, la zeune femme donne naissance à une zolie petite fillle à la peau laiteuse, à la grande zoie de son mari.

    Deux ans s'écoulent, et la même femme se retouve çez le même zynécologue.

    - Docteur, tandis que mon mari était en déplacement, ze suis partie quelques zours avec mon amant, qui est noir, et z'ai oublié de prendre la pilule!... Ze suis à nouveau enceinte!

    - Madame, vous allez refaire le traitement: bains de sièze d'eau tiède avec un peu de lessive Omo!

    Et elle accouçe d'une seconde fille blançe.

    Deux nouvelles années plus tard, la même femme, incorrizible, se retrouve à nouveau enceinte de son amant.

    - Inutile d'aller voir le zynécologue! Ze connais la recette! se dit-elle.

    Et régulièrement elle prend des bains de sièze avec 3 cuillerées de lessiive Omo.

    Mais 8 mois plus tard, elle donne naissance à un superbe petit garçon ... Noir!

    Elle téléphone, en hurlant, au docteur.

    - Ze ne comprends pas ce qui s'est passé! Z'ai  suivi à la lettre vos prescriptions qui ont marçé les 2 autres fois!

    - Mais Madame! Vous auriez du me consulter!!! Vous avez commis une grave erreur! Ze vous aurais rappelé que Omo lave 2 fois plus blanc!  2 fois et pas 3!!!

      

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    - Cette année, z'aime bien le Beauzolais nouveau, ai-ze dit.

    - Et pourquoi donc ma mie? est-il plus subtil?

    - Palsambleu? Aurait-il le goût de la banane?

    - Ou des fruits rouzes?

    - Que nenni! Il a le goût de la liberté...

    - La liberté de boire, macarel...

    - De le déguster à la terrasse d'un café...

    - De le siroter avec des amis...

    - En écoutant de la musique, macaniçe!

    - Et surtout en ce zour où on a appris que le cerveau des attentats a été abattu, quand bien même il n'est pas de bon ton de se féliciter de la mort d'un homme.

    - Moi me demander si lui était digne d'appartenir à la condition humaine, quand on voit tout ce qu'il pu faire.

    - Par la barbe des prophètes qui ont précédé mon doux Zésus, z'espère qu'il puisse rotir en enfer...

    - Loin des 70 vierzes!

    - Cela va sans dire.

    - En tout cas, il convient de lever nos verres à ces policiers qui ont fait un travail remarquablement efficace à peine 5 jours après la commission des attentats!

    - Et à la çienne héroîque, Diesel, qui a perdu la vie durant l'assaut à Zaint-Denis.

    - Qui avait plus d'humanité que ce barbare!

    - Sns oubloier de saluer la mémoire des innocentes victimes qui ont péri, fauçées en pleine zeunesse,  parce qu'elles voulaient simplement vivre et faire la fête!

     

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