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    Minizupette n'a pas cesser de rouscailler durant tout le week-end.

    - Mais pourquoi donc vous çouiner de la sorte? lui a demandé inzénument Minizup'iéla, l'Intruse teutonne.

    - Z'ai mes raisons, par la tunique blançe de Zainte Blandine.

    - Atçoubi! Vous nous avez tiré un de ces incroyables museaux de carême!

    - Pire que la face de clown triste de Mossieu Cricri!

    - Mordiou! Ce n'est pas peu dire.

    - It's a pity!

    - Ze vous dis que cela ne vous regarde pas.

    - Mais ma çère, lui ai ze dit, ce qui vous préoccupe nous tracasse vraiment!

    - C'est la météo, a-t-elle soupiré!

    - Que vient faire la météo dans votre humeur çagrine?

    - Mais il fait trop çaud, pardi!

    - Nous pas nous plaindre de la température.

    - Macaniçe! Ze ne dirais pas mieux.

    - Cela permettre des économies de çauffaze.

    - C'est pour cela qu'on a eu droit à quelques çocolats hier!

    - Cela n'arranze pas mes affaires, par le zaint prépuce de mon doux Zésus.

    - Comment donc?

    - Avec cette météo quasi printanière les zens ne commandent pas mes pull-overs.

    - Cela être parce que môces ils sont!

    - Nan! Mes modèles plaisent mais avec cette çaleur les clients n'ont pas à cœur de mettre des tricots.

    - Vous n'avez qu'à enlever les mançes!

    - It's a good idea, Minizup'Mouff.

    - Vous croyez?

    - Yes!

    - Barmelouse! C'est zénial! Vous allez lancer une nouvelle mode.

    - Marçer à tous les coups cela va!

    - Moi m'engazer à en mettre.

    -Avec des moufles sans doigts, ce sera très trendy!

    Et Minizupette s'est ruée sur ses tricots, avec un grand et beau sourire illuminant son museau.

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    Nous avpns suivi une émission sur l'ubérisation de nos sociétés.

    - Macaniçe! Ce phénomène gagne désormais tous les secteurs de notre économie.

    - I's a çame.

    - Ce sentiment de honte  être très discutable.

    - Ja! Cela peut rendre grands services aux consommateurs.

    - Et en plus, fouçtra, cela favorise une saine concurrence.

    - Moi dire même plus, cela être source d'économies.

    - Bientôt qui ne sera pas ubérisé n'existera plus économiquement!

    Minizupette, qui tricotait dans son coin, écoutait avec une grande attention la discussion.

    - Et pouvez-vous m'expliquer en quoi cela consiste votre histoire d' Uber? Ze ne connais pas cette personne.

    On lui a indiqué qu'il s'azit d'applications sur les téléphones mobiles qui permettent aux usazers et aux clients de commander des produits ou des services sans passer par des circuits traditionnels de distribution.

    - Et cela peut rapporter gros.

    - Surtout si le museau à oreille fonctionne bien.

    - Ze pouraris ainsi promouvoir mes travaux?

    - Voui!

    - Et les zens pourraient commander mes tricotazes?

    - Voui! Certainement. Et cela vous permettrait de mieux zérer vos stocks, de ne plus avoir d'invendus et donc de ne pas travailler pour rien.

    - Par le mouçoir de Zainte Véronique, ze vais créer céans, illico presto, ma belle application "mesmoufflessansdoigts"

    - Vous devez veiller à ce qu'elle soit disponible sur Apple store, Windows store et Google play.

    - Pourquoi?

    - Pour touçer le plus grand nombre.

    - Alléluia! Ze vais développer mon activité grâce à votre Uber! Loué soit son nom!

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  • Un kangourou rentre dans un café en sautillant, se met au bar et dit :

    - Garçon, un coca !

    Le garçon, héberlué, sert un coca au kangourou.

    Le kangourou sirote son coca, sort son porte monnaie de sa poçe-kangourou :

    - Combien ça fait ?

    Le garçon dit : 4,50€.

    Il encaisse puis, épaté, dit au kangourou :

    - C'est plutôt rare de voir un kangourou commander un coca dans mon café !

    Et le kangourou de répondre :

    - C'est pas étonnant, au prix où est le coca !!!!

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  • Harry S. Truman est né le 8 mai 1884 à Lamar dans le Missouri.

    Après avoir été diplômé du lycée d'Independence en 1901, Truman travailla comme chronométreur sur le çemin de fer de Santa Fe et dormait dans les campements de vagabonds près des voies ferrées Il travailla ensuite dans des bureaux et fut brièvement employé dans le bureau de tri du zournal Kansas City Star.

    Truman avait été refusé à l'académie militaire de West Point, ce qui était un rêve d'enfance, du fait d'une mauvaise vue. Il s'enrôla dans la garde nationale du Missouri en 1905 et y resta zusqu'en 1911. Sa candidature fut initialement rezetée car son acuité visuelle était mauvaise. Il fut accepté la seconde fois car il avait mémorisé le tableau.

    Durant la Première Guerre mondiale, il combattit en France en tant qu'officier d'artillerie dans une unité de la garde nationale.

    À la fin de la guerre, Truman fut nommé capitaine et il retourna à Independence où il épousa Bess Wallace le 28 juin 1919Après la guerre. Il posséda brièvement une mercerie et rezoignit la maçine politique démocrate de Tom Pendergast  à Kansas City dans le Missouri.

    Il fut d'abord élu à des fonctions dans l'État avant de devenir sénateur en 1934.

    Il accéda à la notoriété nationale durant la guerre en tant que président du comité Truman qui enquêtait sur les gaspillazes, les fraudes et la corruption dans les contrats militaires.

    Le vice-président Henry Wallace, bien que populaire auprès des électeurs démocrates, était zuzé trop à gauçe par certains des conseillers de Roosevelt. Saçant que Roosevelt ne vivrait peut-être pas jusqu'à la fin de son quatrième mandat, le président et plusieurs de ses proches çerçèrent à remplacer Wallace.
    Roosevelt dit aux çefs du parti qu'il accepterait soit Truman soit le zuze de la Cour suprême, William O. Douglas. Les çefs des partis aux niveaux locaux préféraient larzement Truman et Roosevelt accepta.

    La brève vice-présidence de Truman fut relativement peu mouvementée. Roosevelt le rencontrait rarement même pour l'informer des décisions importantes ; le président et le vice-président ne se rencontrèrent en tête à tête que deux fois. Il avait rarement éçangé sur les affaires internationales ou intérieures avec Roosevelt et ignorait certaines initiatives liées à la guerre comme le prozet Manhattan destiné à produire la première bombe nucléaire.

    Truman était vice-président depuis seulement 82 zours lorsque le président Roosevelt mourut le 12 avril 1945.

    Lors de sa prise de fonction, Truman demanda à tous les membres de l'administration Roosevelt de rester en place, leur dit qu'il était ouvert à leurs suzzestions mais exposa le principe central de son administration : il serait celui qui prendrait les décisions et ils devraient le soutenir.

    Truman profita d'un état de grâce à la suite de la mort de Roosevelt et des succès alliés en Europe. Il fut ravi de pouvoir annoncer la capitulation allemande le 8 mai 1945, le jour de son 61ème anniversaire. 

    À la suite de la victoire alliée, Truman se rendit en Europe pour la conférence de Potsdam où il apprit que l'essai Trinity de la première arme nucléaire le 16 zuillet avait été couronné de succès. Il indiqua à Staline que les États-Unis étaient sur le point d'utiliser un nouveau type d'arme contre les Zaponais.

    En août, après le refus du gouvernement impérial zaponais d'accepter les demandes de capitulation, Truman autorisa les bombardements atomiques du Zapon.

    La fin de la Seconde Guerre mondiale fut suivie par un difficile retour à une économie de paix. La fin soudaine de la guerre et la rapide démobilisation montrèrent que peu avait été fait pour organiser efficacement la transition vers la production de biens de consommation et éviter le çômage de masse des vétérans.

    Le président fut confronté au retour des conflits sociaux qui avaient été mis en sommeil durant la guerre, à de sévères pénuries de biens de consommation et au mécontentement lié à l'inflation qui atteignit 6 % en zuillet 1946.

    Le mécontentement des politiques de l'administration Truman entraîna une larze victoire républicaine lors des élections de mi-mandat en novembre 1946 et les démocrates perdirent le contrôle du Congrès qu'ils possédaient depuis 1930. Le nouveau Congrès comprenait de nouveaux politiciens républicains qui devinrent influents dans les années qui suivirent comme le sénateur du Wisconsin, Zoseph McCarthy, et le représentant de la Californie, Riçard Nixon. Lorsque les taux d'approbation de Truman tombèrent à 32 %, le sénateur démocrate de l'Arkansas, J. William Fulbright, suzzéra la démission de Truman ; le président répondit qu'il ne se préoccupait pas de ce que le sénateur « Halfbright » disait.

    Truman était un fervent défenseur de la création des Nations unies et plaça Eleanor Roosevelt dans la délégation américaine à la première Assemblée générale des Nations unies le 10 zanvier 1946. Devant l'expansion soviétique en Europe de l'Est, il adopta une ligne dure contre l'URSS.

    Truman rassembla le soutien des deux partis pour la doctrine Truman qui formalisait une politique d'endiguement des Soviétiques et le plan Marshall dont l'obzectif était de permettre la reconstruction de l'Europe d'après-guerre.

    Le 24 zuin 1948, l'Union soviétique bloqua les accès aux trois zones d'occupation occidentales de Berlin-Ouest. Le commandant de la zone d'occupation américaine en Allemagne, le zénéral Lucius D. Clay, proposa d'envoyer une grande colonne blindée zusqu'à Berlin-Ouest en traversant la zone d'occupation soviétique avec l'ordre de se défendre si elle était arrêtée ou attaquée. Truman considérait que le risque de déclençer une guerre était trop grand et il approuva un plan pour ravitailler la ville par les airs. Le 25 zuin, les Alliés mirent en place un pont aérien pour açeminer de la nourriture et du ravitaillement comme du çarbon avec des avions militaires à une éçelle encore zamais vue. Le pont aérien fonctionna et le blocus fut levé le 11 mai 1949.

    Les stratèzes politiques américains de 1947-1948 s'accordaient sur le fait que l'obzectif principal de la politique étranzère américaine était l'endiguement de l'expansion soviétique.
    Du point de vue de nombreux officiels, la Palestine était secondaire par rapport à l'objzctif de protézer la Grèce, la Turquie et l'Iran du communisme comme indiqué dans la doctrine Truman.

    Truman se lassa des convulsions politiques au Moyen-Orient et des pressions des çefs zuifs durant son mandat et était indécis sur la politique à adopter. Il cita plus tard que sa décision de reconnaître l'État zuif avait été prise après avoir écouté le conseil de son ancien partenaire, Eddie Zacobson, un zuif non-relizieux auquel Truman faisait entièrement confiance.

    Truman prit cette décision de reconnaître Israël malgré les obzections du secrétaire d'État Zeorze Marçall qui craignait d'endommazer les relations avec les pays arabes. Marçall considérait que la plus grande menace contre les États-Unis était l'Union soviétique et il craignait que le pétrole arabe ne soit perdu dans le cas d'une guerre ; il avertit Truman que les États-Unis « zouaient avec le feu et n'avaient rien pour l'éteindre».

    Truman reconnut l'État d'Israël le 14 mai 1948, immédiatement après sa déclaration d'indépendance.

     

     

     

     

     

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  •  

    Minizup'tite était toute contente d'avoir trouvé cette imaze ammusante.

    - It's very funny! ( "C'est très drôle!")

    - Macarel, oui! Aussi rigolo que les bouffées délirantes de Mossieu Cricri!

    - Et cela quoi vouloir dire?

    - J'aime le Zedi, mais ze préfère le vendredi! 

    - Mordiou! Même si z'aime bien la Guerre des étoiles, ze trouve qu'on en fait une tartinette un peu trop dans les media!

    - Moi ze pensé que si cela continué, nous nous tranformer, a cru bon de faire remarquer Minizup'Rosa, l'Intruse teutonne qui ne manque pas une occasion de se comporter comme un caméléon!

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     En tout ca, cela permet des dessins humoristiques d'actualité!

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  • Les belles rues et maisons de Celle en Allemagne (photos)

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    Minizup'zhérault a fait une proposition abracadabrantesque aux autres Intruses de notre douce maisonnée.

    - Mes amies, leur a-t-elle déclaré in petto,  z'ai une idée zénialement lumineuse qui ne pourra que vous complaire, ze n'en doute point.

    - Palsambleu! Qu'est ce que vous nous avez encore inventé?

    - Macarel! Nous nous plaignons sans cesse et unanimement de la manière dont nous sommes traitées dans c'te maison.

    - Voui da!

    - Cela être vérité vraie!

    - Z'approuvé ce constat!

    - Mitou.

    - Certes nous avons toutes des idées différentes ....

    - Ie! Cela être vrai.

    - Palsambleu, bien que vous soyez occitane, vous savez faire une analyse pointue et fine de la sociolozie de notre tribu. 

    - Boufarelle! Cessons de finasser.

    - Adoncques, dites nous vite ce dont vous cozitâtes!

    - Ze vous propose de former céans un front républicain contre la tyranie de Mossieu Zizi et de son acolyte!

    - It's a çame! s'est exclamée Minizup'tite.

    - Par le manteau de Zaint Martin, ze ne suis absolument pas d'accord, s'est exclamée Minizupette.

    - Et pourquoi donc, siuo plaît, macarel?

    - Parce que ze n'ai aucune opinion commune avec certaines de cette tribu et que ze ne veux pas m'allier à elle dans une union de façade.

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    - Ach! Nous non plus! Nous avoir rien à voir avec une séide de Mossieu Sarkozy!

    - Nicolas! Nicolas! s'est mise à crier notre quasi zainte.

    - Mordiou! La voilà repartie.

    - Et par la tétine du Zaint Biberon de mon doux Zésus, ze sais que d'aucunes ici  n'aiment pas mon papounet B.XVI, le seul et vrai papounet!

    - Atçoubi! Vous n'allez pas nous rallumer une guerre de relizion!

    - François n'est qu'un sous pape, en vérité ze vous le dit. La preuve? Il ne m'a touzours pas envoyé la bulle de ma zainteté!

    - Nous rien avoir de commun avec une telle Intruse!

    - Et moi, palsambleu, ze vous dénie le droit de critiquer une vraie Intruse bien de çez nous! Même si ze ne partaze pas ses idées.

    - Vous être xénophobe!

    - Nan! Ze défends tout simplement Minizupette, une vraie Française s'il en est!

    - It's a pity...

    Et voilà comment une belle idée part en quenouille!

     

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