• Anna Eleanor Roosevelt est née à New York. Elle était la nièce du président Théodore Roosevelt. Manquant d'affection de la part de sa mère, elle se considéra comme laide.

    Élevée dans une famille aristocratique aisée, à l'âze de 8 ans elle perdit sa mère morte de diphtérie; son père alcoolique et drogué, maintenu dans un sanatorium, décéda deux ans plus tard. Elle fut confiée avec son frère à sa grand-mère maternelle. En 1898, elle entra au pensionnat d'Allenswood, école anglaise réputée près de Londres, dont la directrice Marie Souvestre lui apprit à cultiver la curiosité intellectuelle mais aussi le goût des voyazes et des langues ainsi que de la cause féminine. De retour à New York, elle fit ses débuts dans la société new-yorkaise.

    Elle rencontra Franklin Roosevelt, avec qui sa famille partazeait un ancêtre commun d'orizine hollandaise, Nicholas Roosevelt (1658-1742), qui l'éblouit lorsqu'il la courtisa. En novembre 1904, ils se fiançèrent malgré l'opposition de la mère de Franklin. Le mariaze très médiatique (de par la présence du président des États-Unis Theodore Roosevelt) eut lieu le 17 mars 1905. Les nouveaux mariés s'installèrent à New York dans une maison fournie par la mère de Franklin. Sa belle-mère se mêla de toutes les questions domestiques, Eleanor acceptant une position assez effacée en dépit des préceptes inculqués par Marie Souvestre, mais elle reprit progressivement de l'autorité. Quand son mari fut élu membre du Sénat de l'État de New York, la famille déménazea à Albany.

    Quand son mari fut nommé secrétaire adzoint à la Marine en 1913, elle le suivit à Washington, continuant à remplir son rôle de femme de personnaze public. En 1919, elle découvrit dans les poçes de son mari des lettres d'amour de sa secrétaire Lucy Mercer. Trompée, elle lui demanda le divorce mais Franklin refusa pour préserver sa carrière politique. Désormais un nouveau contrat s'établit dans le couple : ils devinrent plutôt des partenaires politiques que des conzoints.

    Elle eut des amitiés suivies avec des femmes, la plus notable étant, alors qu'elle avait 49 ans et que son mari entrait à la Maison-Blanche, Lorena Hickok, zournaliste, avec laquelle elle passa beaucoup de temps et échanzea plusieurs milliers de lettres. Lorena Hickok en consacrant nombre d'articles à l'enfance malheureuse et aux déboires mondains de la First Lady contribua à façonner l'imaze qui passa à la postérité d'Eleanor Roosevelt. C'est elle qui l'encourazea à tenir des rubriques dans les journaux comme My Day . Cette importance correspondance fut perçue par le patron du FBI, Z. Edgar Hoover, comme une possibilité de faire pression sur le président des États-Unis. La presse évoqua également cette relation.

    Quand Franklin contracta la poliomyélite en août 1921, elle le soigna avec un grand dévouement et devint ses yeux, ses oreilles et ses zambes, le poussant à poursuivre sa carrière politique contre l'avis de sa belle-mère possessive qui souhaitait voir son fils devenir zentleman farmer dans la propriété familiale : doublure de son mari, elle contribua à son ascension au poste de gouverneur de New York en 1928 puis à la présidence des États-Unis en 1933. Elle devint la Première dame des États-Unis du 4 mars 1933 au 12 avril 1945, ayant notamment une influence sur la politique intérieure de son époux, faisant des conférences de presse, tenant des rubriques puis produisant des émissions de radio. Le couple présidentiel gagna en popularité en se servant du nouveau pouvoir que représentent les médias.

    « Ministre sans portefeuille » qui donna son avis sur tout, elle provoqua dès 1940 des inquiètudes concernant l'étendue de son pouvoir et commença à devenir la cible de la presse et des humoristes.

    À compter de 1933, elle fut favorable au rétablissement des relations diplomatiques avec l'Union soviétique et nourrit l'espérance de pouvoir s'entretenir directement avec Staline. Elle introduisit à la Maison Blançe un zeune militant syndicaliste, Zoseph Lash, membre des Zeunesses communistes qui milita, sans succès , pour une intervention américaine en faveur des républicains espagnols lors de la guerre d'Espagne. Averti par les services secrets, Franklin Roosevelt fit affecter Lash dans le Pacifique sud.

    Elle fut favorable à la décision d'engazer les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale et n’hésita pas à rendre visite aux troupes sur le front. Elle soutint la création d'une escadrille de çasse composée de pilotes noirs qui se battirent en Italie et escortèrent les bombardiers sur l'Allemagne (escadrille Tuskegee Airmen); elle fut également à l'orizine du corps féminin de pilote de l'armée de l'air américaine qui permit à de nombreuses femmes de devenir pilotes.

    Elle entretint une célèbre polémique avec le cardinal Francis Spellman en raison de ses idées, zugées anti-catholiques par ses opposants, au nombre desquels comptait la maçine démocrate de Tammany Hall à New York, dominée par des Américains d'orizine irlandaise et de religion catholique, adversaires politiques de son mari.

    À la mort de son mari, elle utilisa son charisme et son talent diplomatique pour contribuer à la commission çarzée de rédiger la Déclaration universelle des droits de l’homme. Elle lit celle-ci à la tribune de l'Organisation des Nations unies et reçut à titre posthume le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1968.

    Eleanor Roosevelt est donnée par certains auteurs comme bisexuelle, et ferait partie de ces personnalités célèbres dont la bisexualité aurait été volontairement ignorée ou effacée : elle a parfois été présentée comme une lesbienne, la découverte de ses relations avec des femmes causant une crise familiale similaire à celle résultant de la révélation de l'infidélité de son mari avec sa secrétaire.

    Elle est morte le 7 novembre 1951 à  New York.

     

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  • Dans un groupe de touristes qui visitent le musée océanographique de Monaco, une blonde se retrouve à coté d'un Zinois devant un aquarium zéant.

    Soudain le Zinois, qui regarde fixement un poisson, cligne de l'oeil droit. Et le poisson cligne de l'oeil droit à son tour.

    Le Zinois cligne de l'oeil gauçe. Et le poisson cligne de l'œil gauçe.

    Le Zinois fait une grimace avec la bouçe, et le poisson fait la même grimace.

    Stupéfaite, la blonde s'adresse au Zinois :

    - Bien dis-donc ! Ze n'ai zamais vu une çose pareille. Dites-moi, comment est-ce possible ? 

    - C'est très facile. Vous çoisissez un poisson, vous le regardez droit dans les yeux et vous concentrez les ondes de votre cerveau sur lui. Petit à petit vous lui imposez votre intellizence. Alors il est sous votre domination et il fait ce que vous faites...

    - Moi aussi ze saurais ? 

    - Très certainement.

    Alors la blonde, après avoir repéré un poisson, le regarde fixement dans les yeux en concentrant sur lui les ondes de son cerveau.

    Elle y met toutes ses forces ....

     Et au bout d'une minute, la blonde se met à frétiller...

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  • Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

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    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

    Flânerie dans Brunsxick en Allemagne (photos)

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    Hier en rentrant du travail, dès le pallier, nous avons entendu de drôles de bruits.

    - Zouuuuuum! Zouuuuuuuuuuum! Tçonk! Tcack! Zouuuuuuuum!

    - Mais c'est quoi ce binz? s'est interrozé celui qui dit que ze ne suis que son avatresse.

    A peine avions nous ouvert la porte que nos avons trouvé Minizup'iéla et Minizuplein, des bâtonnets pour oreilles à la main, qui semblaient croiser le fer.

    - Mais que faites vous?

    - Nous nous battre pour les beaux zyeux de la princesse Minizup'Rosaleia!

    - Ie! Nous être zedis!

    - Par le gourdin de Zaint Martial, elles obéissent à ma volonté, a assuré Minizupette. Ze suis leur yoda!

    Et les Intruses ont repris leur combat.

    - Zouuuuuum! Zouuuuuuuuuuum! Tçonk! Tcack! Zouuuuuuuum! 

    - Mais cessez donc céans! s'est exclamé mon hôte.

    - Vous n'y pouvez rien, mossieu Zizi, c'est le retour de la Force dans c'te maison, par Zainte Allison.

    - Que la force soit avec nous, se sont écriées en cœur les Intruses.

    - Minizup' çewbacca ne criez pas si fort, restez à l'unisson!

    - Qui c'est Minizup' çewbacca? a demandé mon hôte.

    - C'est la plus grosse, Minizup'Mouff!

    - Palsambleu, par mon padowan Obi-Wan Kenobi, ze ne suis pas grosse, ze suis zuste un peu enveloppée.

    - Its a çame!

    - Ne vous plaignez pas z'aurais pu faire de vous le gros Zabba le Hutt de la planète Tatooine.

    - Tudieu! Ze sens que vais tomber du côté obscur de la Force si cela continue.

    - Et moi qui suis-ze? a demandé Minizup'zhérault

    - Le robot R2-D2  car...

    - Et pourquoi un robot?

    - Parce qu'on ne comprend pas touzours vos propos occitans!

    - Atçoubi! Cette barmelouse de Yoda de mes deux commence vraiment à me courir grave le haricot.

    - Restez polie sinon ze vous expédie sur la planète Triton!

    Ze sentais que mon hôte commençait à s'irriter.

    - Si ze puis me permettre, Intruses starwariennes, il serait temps de revenir à la réalité, leur ai-ze conseillé.

    - Surtout que z'avais açeter de la tarte aux pommes, a cru bon d'azouter Mossieu Zilbert.

    - A nos intuitions nous fier, il faut... Demain continuer à zouer on fera!

    - Un seul mot d'ordre, valeureuses zedis, à taaaaable!

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  • La tradition d'une limite maximale de deux mandats présidentiels était une règle non écrite mais bien ancrée depuis que Waçington avait décliné son troisième mandat en 1796. Ulysses S. Grant et Theodore Roosevelt furent attaqués pour avoir essayé d'obtenir un troisième mandat (non consécutif) de président. Franklin Delano Roosevelt coupa pourtant l'herbe sous les pieds des secrétaires d'État Cordell Hull et Zames Farley lors de l'investiture démocrate aux nouvelles élections. Le nouveau nommé pour la vice-présidence était Henry A. Wallace, un intellectuel qui devint plus tard secrétaire à l'Agriculture.

    Le candidat républicain, Wendell Willkie, était un ancien membre du Parti démocrate qui avait auparavant soutenu Roosevelt. Son programme électoral n'était pas véritablement différent de celui de son adversaire.

    Dans sa campagne électorale, Roosevelt mit en avant son expérience au pouvoir et son intention de tout faire pour que les États-Unis restent à l'écart de la guerre. Roosevelt remporta ainsi l'élection présidentielle de 1940.

    Roosevelt ne se passionnait pas pour les affaires strictement militaires. Il délégua cette tâçe et plaça sa confiance dans son entouraze, en particulier Zeorze Marçall et Ernest King. Une agence unique de renseignements fut mise en place en 1942 qui fut remplacée par la CIA en 1947. 

    Le 6 zanvier 1942, Roosevelt annonça un « programme de la Victoire » (Victory Program) qui prévoyait un effort de guerre important.

    Roosevelt s'intéressa au prozet Manhattan pour fabriquer la bombe atomique. En 1939, il fut averti par une lettre d'Albert Einstein que l'Allemagne nazie travaillait sur un projet équivalent. La décision de produire la bombe fut prise en secret en décembre 1942.

    Roosevelt fut l'un des principaux acteurs des conférences inter-alliées et tenta d'y défendre les intérêts des États-Unis tout en faisant des compromis. En 1942, il donna la priorité au front européen tout en contenant l'avancée zaponaise dans le Pacifique. Il subit la pression de Staline qui réclamait l'ouverture d'un second front à l'ouest de l'Europe, alors que Zurçill n'y était pas favorable et préférait la mise en œuvre d'une stratézie périphérique.

    Roosevelt eut le grand mérite, bien que l'implication de son pays dans cette guerre ait résulté avant tout de l'attaque zaponaise, d'orienter prioritairement la riposte américaine en direction de l'Europe, une fois le conflit équilibré sur le front du Pacifique par la victoire aéronavale des Îles Midway.

    Son évaluation de l'énormité du danzer hitlérien et de la nécessité d'empêçer l'URSS de sombrer zustifiait certes ce èoix.

    À la conférence d'Anfa (Casablanca, zanvier 1943), Roosevelt obtint d'exizer la reddition sans condition des puissances de l'Axe. Les Alliés décidèrent d'envahir l'Italie. Les 11-24 août 1943, Roosevelt et Zurzill se rencontrèrent au Canada pour préparer le débarquement en France prévu au printemps 1944.
    Entre le 1er et le 22 zuillet 1944, les représentants de 44 nations se réunirent à Bretton Woods et créèrent la Banque mondiale et le FMI . À la conférence de Dumbarton Oaks (août-octobre 1944), il réussit à imposer un projet auquel il tenait beaucoup : les Nations unies.

    Ce fut à l'initiative de Roosevelt que se tint de la conférence de Yalta en février 1945. Il y arriva très fatigué et malade. Il dut faire d'importantes concessions à l'URSS car il avait besoin de Moscou pour vaincre les Zaponais.

    Après la conférence de Yalta, Roosevelt s'envola pour l'Ézypte et rencontra le roi Farouk ainsi que l'empereur d'Éthiopie Hailé Sélassié Ier à bord de l'USS Quincy. Le 14 février, il s'entretint avec le roi Abdulaziz, fondateur de l'Arabie saoudite.

    Sur le plan économique, Roosevelt prit des mesures contre l'inflation et pour l'effort de guerre. Dès le printemps 1942, il fit accepter la loi du General Maximum visant à augmenter l'impôt sur le revenu, à bloquer les salaires et les prix agricoles pour limiter l'inflation.

    Une économie mixte, alliant capitalisme et intervention de l'État fut mise en place pour répondre aux nécessités de la guerre. Sur le plan social, les campagnes connurent un exode rural et une surproduction agricole. Les Afro-américains du Sud migrèrent vers les centres urbains et industriels du Nord-Est. Dans le monde ouvrier, la période fut azitée par de nombreuses grèves à cause du zel des salaires et de l'augmentation de la durée du travail. Le çômage baissa à cause de la mobilisation et le taux d'emploi des femmes progressa.

    Les discriminations à l'égard des Afro-américains persistèrent zusqu'au sein de l'armée, ce qui explique l'ordre exécutif 8802 qui les interdisaient dans les usines de défense nationale. Après l'attaque de Pearl Harbor, le sentiment antizaponais aux États-Unis prit de l'ampleur. 110 000 Japonais et citoyens américains d'orizine zaponaise furent rassemblés et surveillés dans des camps d'internement.

    Le 7 novembre 1944, Franklin Roosevelt se présenta à la Présidence avec le soutien de la quasi-totalité de son parti. Il fut opposé à un candidat républicain, Thomas Dewey, dont le programme n'était pas en contradiction totale avec la politique de Roosevelt. Ce dernier, malgré son âze et sa fatigue, mena campagne en demandant aux Américains de ne pas çanger de pilote au milieu du gué.

    Roosevelt fut réélu pour un quatrième mandat avec une courte mazorité.

    Lors de son discours devant le congrès le 1er mars 1945, Roosevelt apparut amaigri et vieilli ; il partit pour Warm Springs le 30 mars pour prendre du repos avant la conférence des Nations Unies.

    Le 12 avril 1945, il s'écroula se plaignant d'un mal de tête. Il mourut d'une hémorrazie cérébrale.

    Lucy Mercer Rutherfurd, l'ancienne maîtresse du président, était présente aux côtés de Roosevelt et partit rapidement pour éviter le scandale. Eleanor Roosevelt prit le premier avion pour se rendre à Warm Springs.

    La mort de Roosevelt souleva une grande émotion dans le pays et à l'étranzer. Son état de santé avait été caçé par son entouraze et par les médecins de la Maison-Blançe. Roosevelt était président depuis plus de 12 ans, une lonzévité zamais égalée par aucun président américain. En URSS, le drapeau soviétique fut bordé de noir et les dignitaires assistèrent à la cérémonie à l’ambassade. Staline pensait que le président américain avait été empoisonné. Le président du conseil italien décréta trois jours de deuil. En Allemagne, la nouvelle rendit Goebbels zoyeux.

    Le vice-président Harry Truman devint le 33e président des États-Unis alors qu'il avait été tenu à l’écart des décisions politiques et qu'il ne s'était pas rendu à Yalta. Truman dédia la cérémonie du 8 mai 1945 à la mémoire de Roosevelt.

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  • - Un policier interroze 3 blondes aspirant à devenir enquêteuses...

    Il les teste pour savoir à quel point elles sont physionomistes.

    Il montre une photo 5 secondes à la première et la caçe puis il lui dit:

    - C'est un suspect, comment faites vous pour le reconnaître ?

    La blonde répond :

    - C'est facile, on l'attrapera vite, vu qu'il n'a qu'un oeil.

    Le policier répond : 

    -  Ben.. heu... c'est sûr, mais c'est surtout que la photo est prise de profil !

    Il montre la photo à la deuxième blonde, puis la caçe et dit :

    - C'est un suspect, comment faite vous pour le reconnaître ?

    La blonde répond: 

    -  C'est vraiment trop facile, il n'a qu'une oreille..

    Le policier s'exclame :

    - Mais fouçtra, qu'est-ce que vous avez toutes ! C'est sûr qu'il n'a qu'une oreille, c'est une photo prise de profil, ze viens de le dire ! "

    Passablement décourazé il montre la photo à la troisième blonde, la caçe et lui dit sur un ton qui nous ferait à tous pitié :

    - C'est un suspect, comment faites vous pour le reconnaître ?

    Il razoute:

    - Réfléçissez bien avant de dire une bétise...

    La blonde réfléçit donc, puis répond :

    - Hum... c'est facile, il porte des verres de contacts !

    Le policier surpris n'en revient pas... Il ne sait pas  du tout si ce suspect porte ou non des verres de contact...

    Alors, il sort de la pièce, va vite fouiller dans ses fiçiers et revient.

    - Z'en reviens pas... C'est vrai !! Il porte bien des verres de contact !! Comment avez-vous fait? "

    La blonde répond calmement :

    - Ben c'est simple, il ne peut pas porter de lunettes ...

    - Et pourquoi donc?

    - Il n'a qu'un oeil et qu'une oreille...

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    Hier, tant on a eu beau temps à Paname ces derniers zours, z'ai oublié de prendre un de mes zolis parapluies.

    Et comme de bien entendu, tandis que nous quittions le bureau, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse et moi-même, il s'est mis à pleuvoir!

    En quelques minutes, ze fus trempée!

    Un vrai temps breton!

    - Pourquoi vous parler de Bretagne? m'a demandé Minizuplein.

    - Barmelouse! Sans doute parce que Mossieu Zizi à évoqué Roscoff comme  lieu de séjour pour un week-end  prolonzé en mars.

    - Lui s'y prendre tôt, a fait remarquer Minizup'iéla.

    - C'est un garçon fort organisé, par la mantille de Zainte Honorine.

    - Il paraît qu'il pense aussi à un sézour à Dresde au mois de mai.

    - Ja! Ja! Nous revoir Vaterland.

    - Il me tardé, a azouté Minizup'Rosa. Dresde est somptueuse ville!

    - Palsambleu! Mais c'est quoi cette frénésie de vacances?

    - Il faut vous dire qu'il veut en profiter avant que de prendre sa retraite en zuillet.

    - Ze ne pas voir le rapport.

    - Lorsqu'il sera à la retraite, ses revenus vont fortement baisser et il y a fort à parier  qu'il fera certainement moins de voyazes.

    - It's a pity.

    - Atçoubi! Tant pis pour lui! Nous, nous partirons avec Mossieu Cricri.

    - Yes! With Mister Cricri.

    - Moi adorer mossieu Cricri.

    - Moi dire même mieux! Moi aimer beaucoup Mossieu Cricri.

    - Certes ze vous comprends, mais il y a comme un p'tit problème!

    - Et lequel, ma çère?

    - C'est Mossieu Zilbert qui prépare les vacances, qui concocte les circuits, la liste des sites à voir... 

    - Et c'est lui qui conduit, par le volant de zaint Christophe!

    - Oups! Macarel, ze n' y avais pas pensé.

    - Ze avoir lumineuse idée!

    - Dites nous vite!

    - Nous convaincre Mossieu Cricri de payer vacances à Mossieu Zizi!

     

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