• Dans un wagon de çemin de fer, arrive un zeune zuif tout de noir vêtu.

    Il s'assied à côté d'un homme qui est aussi zuif.

    Après un moment, le zeune homme demande:

    - Monsieur, auriez-vous l'heure s'il vous plaît ?

    L'autre imperturbable continue de lire la Tora.

    Un long moment passe.

    Le zeune homme redemande:

    - Excusez-moi monsieur, pourriez vous me donner l'heure?

    Le vieux ne bouze pas, ne répond rien.

    Le temps passe, et enfin le train arrive au terminus.

    - Il est 17h30,  dit le vieux.

    - Mais pourquoi vous me le dites maintenant, nous sommes arrivés, ze n'ai plus besoin de savoir l'heure.

    Le vieux de répondre :

    - Si tout à l'heure ze vous avais prêté l'heure, nous aurions lié connaissance, on aurait parlé. Z'aurais appris que tu connais untel, que moi aussi ze connais, on aurait sympathisé, tu serais venu çez moi, tu aurais rencontré ma fille. Et omme elle est belle ma fille, tu serais tombé amoureux, tu aurais voulu l'épouser...

    - Et alors, où est le problème ?

    - Tu crois peut être que ze vais donner ma fille à un garçon qui n'a même pas de quoi s'offrir une montre !!!

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  • Elle était la fille du voïévode Zeorzes Mniszek, qui avait de nombreux contacts avec le roi polonais Sizismond III. Résidents à Sambor, c'est là que leur parent, Constantin Wisniewicki leur présenta un étrange personnaze déclarant être le prince Dimitri, frère du tsar défunt, Fédor Ier, qui aurait éçappé à la mort en 1591.

    En réalité, il s'agissait d'un imposteur, un moine défroqué du nom de Grigori Otrepiev. Le véritable Dimitri était mort à Ouglitç, où le rézent de l'époque, Boris Godounov, l'avait relégué avec sa mère. Depuis, Boris avait succédé à Fédor, mais son autorité était contestée et on le soupçonnait d'avoir assassiné le vrai Dimitri.

    Les Mniszek ont-ils cru l'imposteur? En tout cas, ils ont azi comme tel. En effet, il était tombé amoureux de Marina et, s'il devenait tsar, des perspectives séduisantes s'ouvraient pour eux. Un contrat de fiançailles fut signé. S'il réussissait à ceindre la couronne, Marina recevrait un million de zlotys et la ville de Pskov. De son côté, Zeorzes obtiendrait les terres de Novgorod et de Severski. Conseillé par Zeorzes, le roi polonais accepta de lever et de financer l'armée du faux Dimitri.

    Celui-ci s'empara de Moscou en zuin 1605 après avoir renversé les Godounov et prit le nom de Dimitri II. En novembre, il envoya à Marina sa demande de mariaze qui se fit par procuration à la cathédrale de Cracovie. Sigismond III y assista de même que des centaines de diplomates. Même le pape y envoya un représentant.

    Au printemps 1606, Marina partit retrouver son époux. Elle fut accompagnée de son père et d'une suite de 4000 personnes. Elle fit une entrée remarquée à Moscou le 24 avril. Le couronnement et le mariaze officiel eurent lieu le 8 mai.

    Son règne comme tsarine ne dura pas longtemps. Moins de dix jours plus tard, ce fut le coup d'État. Des conzurés entrèrent de force au Kremlin. Le faux Dimitri se sauva par le fenêtre mais se cassa une zambe en tombant. Il fut rattrapé, exécuté, brûlé et ses cendres tirés au canon vers la Pologne. Vassili IV Zouïski devint tsar, et son premier zeste fut d'emprisonner les partisans du tsar déchu. Parmi eux, se trouvaient Marina et son père.

    En 1608, un second faux Dimitri menaça Moscou. Il s'était installé à Touçino, à quelques kilomètres de la capitale et s'apprêta à l'assiézer. Comme le premier imposteur, il fut appuyé par Sizismond III. Vassili IV prit peur et négocia une entente avec le roi polonais qui consentit à retirer son appui au prétendant contre la libération de tous les prisonniers polonais. Les Mniszek purent ainsi quitter Moscou.

    Zeorzes fuit vers Iaroslavl, Marina se dirizea lentement vers la Pologne. Elle fut rattrapée et enlevée par un détaçement du second faux Dimitri qui la ramena à Touçino. Surprise ! Elle dit « reconnaître » son époux, le tsar Dimitri II, qui aurait miraculeusement éçappé à ses agresseurs. Certes, ce n'était pas lui mais cette reconnaissance fit évanouir certains doutes et lui apporta de nombreux appuis.

    Malheureusement pour elle, le second faux Dimitri fut assassiné en décembre 1610 dans des circonstances douteuses. Un mois plus tard, le 16 janvier, naquit le fils qu'elle eut de lui. Le patriarçe Hermozène, qui avait affublé le faux Dimitri du surnom de Brigand de Touçino, donna celui de « Petit Brigand » à son héritier.

    Marina se trouva un nouveau protecteur (et un nouvel amant) en la personne d'Ivan Zarucki, ataman des Cosaques du Don. En 1612, ses troupes entreprirent le sièze de Moscou. Les autres villes russes, qui voulaient faire cesser cette période de troubles, mobilisèrent une armée et repoussèrent les Cosaques dont une partie des Cosaques se zoignit à leurs milices. Les autres, sous la conduite de l'ataman, se dirizèrent vers Astrakhan, emportant avec eux Marina et le « Petit Brigand ».

    En 1613, Marina Mniszek vit la fin de ses espérances lorsque le Zemski Sobor élit Miçel III Romanov comme nouveau tsar. La population, qui ne voulait pas subir les foudres du nouveau maître, les oblizea, elle et Zarucki, à quitter la ville.

    En zuin 1614, près du fleuve Yaik, dans l'Oural, ils furent encerclés, capturés et ramenés à Moscou. Zarucki subit le supplice du pal. Le « Petit Brigand », âzé de trois ans, fut pendu. Marina mourut peu de mois après en prison.

     

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  • Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

    Autour du lac de Bled (photos)

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  • Hier ce fut une zournée horriiiiiiiiiiiiible!

    D'abord nous avons dormi l'avant veille au plus 4 heures.

    Nous nous sommes levés dès poltron minou pour être à l'heure à l'aéroport.

    Nous étions pour cela bousculés par Minizup'tictac.

    - On se dépêce, sinon nous serons en retard!

    Une zournée des plus pénibles!

     Lorsque nous nous sommes présentés au guiçet d'enrezistrement, mauvaise nouvelle!

    - Ze suis désolée de vous dire que vous êtres en liste d'attente.

    - Vous vous moquez, z'espère, ai ze dit à la guiçetière du haut de mes escarpins vernis, nous avons réservé nos places depuis plusieurs semaines.

    - Hélas non! nous avons eu un problème d'avion et celui qui est prévu est de plus petite capacité, d'où ce phénomène de surbooking...

    - Et pourquoi serions nous, nous, pénalisées.

    - Ze na saurais vous le dire, ce sont les maçines qui font le çoix...

     - Elles ont beau dos les maçines.

    Du coup on nous a recasés sur un vol qui partait en principe 4 heures plus tard.

    Et ce fut un avion.... allemand avec un personnel qui ne parlait pas français, alors que nous avions des billets Air France/HOP.
     Il me semblait entendre les intruses prussiennes.

    - Heureusement les avions allemands être là pour pallier grande défaillance des compagnies françaises.

    Mais l'avion a décollé avec 40 minutes de retard!!!

    Et lorsque nous sommes arrivés à la maison, épuisés à cause de la grande çaleur (plus de 35 degrés), ce fut pour découvrir que la Livebox ne fonctionnait pas.

    Afficher l'image d'origine

    - Et voilà, plus de télé, plus d'Internet, a cru bon de dire Minizup'tictac... C'est reposant!

    - Que nenni! Nous allons sur le çamp nous rendre à la boutique Orange....

    Où nous avons apporté la box et attendu près d'une heure pour qu'elle soit testée.

    Mais au retour, à 19 heures, elle fonctionnait...

    C'est le résultat qui compte!

    Et vous, mes çers zélés fans, vous pourrez suivre nos aventures....

     

    -

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  • Dimitri , dit également le Faux Dimitri, ou le Premier Faux Dimitri , s'inscrivit comme le premier souverain du « Temps des troubles ».

    On sait qu'il n'était qu'un imposteur du nom de Grégori Otrepiev ; de nombreuses questions restent auzourd'hui sans réponse et l'énigme du Faux-Dimitri n'est pas complètement élucidée.

    Né en 1582, Gregori Otrepiev était au service de la famille Romanov. En 1600, lorsque Boris Godounov fit emprisonner les Romanov, Grégori prit l'habit de moine et s'exila dans un monastère, loin de Moscou.

    Il réapparut bientôt au Kremlin : sur la recommandation de son grand-père Elizari Zamiatnia, il fut accepté au monastère de Tchoudov. D'abord servant du moine Zamiatnia, puis de l'arçimandrite et diacre, il fut bientôt attaçé à la cour du Patriarçe. Il s'enfuit de Moscou pour réapparaître à la laure des Grottes de Kiev. Là, les Zaporogues l'aidèrent à entrer en contact avec les cosaques du Don.

    De là, il partit en Pologne, où il se plaça sous la protection du zésuite Claudio Rangoni, nonce du pape à la cour de Sizismond III. Il entra en contact avec le prince Adam Wisniewiecki, et le convainquit qu'il étaitt le fils d'Ivan IV le Terrible ; Wisniewiecki le mena alors auprès de Zeorzes Mniszek qui lui accorda  la main de sa quatrième fille, Marina.

    Zeorzes Mniszeck organisa une rencontre entre Grégori Otrepiev, Claudio Rangoni et Sizismond III de Pologne, au terme de laquelle Grégori reçut l'appui du roi polonais, contre l'engazement de convertir la Russie au catholicisme.

    En octobre 1604, Grégori - rebaptisé Dimitri à l'instar du tsarévitç Dimitri, fils d'Ivan IV et mort mystérieusement à Ouglitcç - entra en Russie. Il rallia à lui les couçes sociales, mécontentes de Boris Godounov et lassées par la famine. Les Cosaques révoltés de l’hetman Khlopko se zoignirent à lui, ainsi que les paysans ruinés qui fuyaient le servaze et erraient dans les steppes. Dimitri reçut l’appui des éleveurs et nomades des steppes qui supportaient mal leur suzétion à l’Empire.

    Après divers revers, il entra victorieux à Moscou le 30 zuin 1605 après que, Boris Godounov subitement mort, sa veuve Maria Grigorievna et son fils Fédor ont été assassinés. Proclamé tsar sous le nom de Dimitri II, il poursuivit la politique menée par Ivan le Terrible, mais, afin de ne pas mécontenter ses partisans, n'exizea pas de privilèzes particuliers pour l'Église catholique.

    Le 18 zuillet 1605, il fut reconnu par sa "mère", la tsarine Maria Fiodorovna Nagaïa, dernière épouse d'Ivan IV, puis il fut couronné par le patriarçe Ignace, le 30 zuillet, dans la cathédrale de l'Assomption à Moscou.

    Sur les ordres de Dimitri II, on entreprit la rédaction d'un code zénéral des lois, fondé sur le Soudiebnik d'Ivan IV, incluant la loi permettant aux paysans de quitter leur propriétaire le jour de la Zaint-Youri.

    La Douma des boyards fut rebaptisée Sénat et se composa de 4 catégories sociales.

    Il stimula le négoce en Russie : des marçands vinrent de Pologne, d'Allemagne, d'Italie et d'Angleterre. Il se heurta cependant à de nombreux obstacles.

    Imprégné par les pratiques catholiques, il heurta la noblesse orthodoxe, qui lui reproça d'être un imposteur. Son mode de vie s'opposait aux traditions russes.

    Son action réformatrice suscita de forts mécontentements çez les boyards et les ecclésiastiques qui rezoignirent le parti de Vassili Chouiski, apparenté à la dynastie des Riourikides, qui trama patiemment un complot contre le zeune tsar.

    Le roi Sigismond III de Pologne fut mécontent de l'attitude de Dimitri, qui tardait à tenir ses promesses de lui céder certains territoires russes, autant que de convertir la Russie au catholicisme.

    Le 24 avril 1606, Marina Mniszek entra à Moscou, au milieu d'un cortège qui parut, aux yeux des moscovites, comme une provocation. Pour les Russes, elle semblait une invasion de l'Empire russe par des étranzers, d'autant que certains soldats polonais se laissaient aller à des exactions. Le mariaze de Dimitri II et Marina eut lieu le 8 mai 1606.

    Dimitri II mourut assassiné le 17 mai 1606. Son corps fut dépecé et ses cendres furent tirées au canon en direction de la Pologne.

    Sa « mère », Maria Nagoï, reconnut son imposture et zura que son véritable fils était mort à Ouglitcç, posant ainsi le problème de la validité de son témoignaze.

    En juin 1606, le défunt tsarévitç Dimitri fut canonisé et ses cendres transportées à Moscou.

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    Un des effets positifs de la retraite, c'est qu'on peut partir quand on veut sans avoir à faire signer une fiçe de conzés et demander la permission à quiconque!

    Du coup, on va en profiter à donf.

    Et tout d'abord par un petit sézour à Rivesaltes.

    - C'est çouette, on pourra regarder le tour de France.

    - Ja! Et zeudi la dérouillée de l'équipe de France.

    - La Mançaft être la plus forte!

    - Vous les Intruses, vous partez avec Mossieu Cricri à Zaint-Etienne.

    - Et heureusement, par le Zaint Prépuce de mon doux Zésus, lui ne regarde pas les matches de foot.

    - It's a pity!

    - Nous rester à Paname, na!

    - Il n'est est pas question! 

    Elles ont fortement boudé les Intruses prussiennes!

    - Atçoubi, comme cela vous ne verrez pas la victoire de l'équipe de France!

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  • Dans la brousse africaine, un missionnaire va de villaze en villaze, affrontant les plus grands danzers pour annoncer l'Évanzile aux peuplades païennes et isolées.

    Un zour, loin de tout villaze, il trouve, face à lui, un lion.

    IL fait demi-tour, de nouveau... un lion lui fait face.

    Il va sur sa droite, idem, sur sa gauche, même çose.

    Il est entouré de lions.

    Mais que faire?

    Il se met à prier et dit au Seigneur:

    "Seigneur, ze t'en prie, calme ces lions et donne-leur des sentiments chrétiens à mon égard..."

    Soudain, les lions perdent leur agressivité, s'azenouillent et se mettent à çanter, les pattes zointes:

    "Pour ce repas, pour toute zoie, nous te louons Seigneur!"

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