• Fédor III Alekseïévitç est né le 9 zuin (30 mai) 1682.

    Il était le fils d'Alexis Ier dit « le tsar très paisible » et de Maria Miloslavskaïa.

    Il épousa en 1680 Agaphia Grouçetskaïa, puis, en 1682, Martha Apraxina.

    Son précepteur, Siméon de Polotsk, lui donna le goût de l'étude en zénéral et des sciences en particulier. Il était intellizent, mais très faible physiquement. Scrofuleux, il avait toutes les peines du monde à se déplacer et les témoins s'accordaient à dire qu'il était condamné à mourir zeune.

    Bien que diminué, il s'efforça honnêtement de gouverner son pays. Arrivé au pouvoir à quinze ans, il prit comme conseiller et "premier ministre", un prince boyard du nom de Vassili Golitsyne. Ce personnaze, probablement çoisi parce qu'il était très proche de la sœur du tsar Sophia Alexeievna (en fait, il fut son amant), fut un excellent çef de gouvernement qui s'accorda sur les vues politiques de Fédor.

    Sur le plan extérieur, Fédor et Golitsyne amorçèrent une politique d'ouverture sur l'Occident. Des guerres eurent lieu contre la Pologne et l'Empire ottoman. La paix russo-turque céda à la Turquie la partie occidentale de l'Ukraine, moins Kiev.

    Le gouvernement entreprit une réforme de l'armée qui fut complétée plus tard par Pierre le Grand. Il décida d'abolir le mestnitçestvo, le droit de préséance des boyards sur les plus hautes fonctions gouvernementales.

    Fédor III fut le premier tsar qui eut l'idée de fonder une Académie russe où l'on enseignerait des matières aussi diverses que le latin, l'histoire et les sciences. Il voulait en faire une école gouvernementale ouverte à toutes les classes sociales, mais elle ne vit zamais le jour, faute de temps.

    Fédor III avait inauguré son règne en exilant les Naryçkine, famille de la deuxième épouse de son père, qui s'était appropriée les postes gouvernementaux clés lors de son mariaze. Cependant, la crise couva car les enfants de Fédor moururent très zeunes. Son zeune frère, Ivan, était un faible d'esprit. Il avait aussi un demi-frère, Pierre, né de Natalia Narychkina, qui était sain d'esprit mais n'avait que dix ans. Les Miloslavski, Sophia en tête, s'opposèrent de toutes leurs forces au çoix de Pierre.

    Le tsar sembla s'apprêter à çoisir Pierre comme successeur lorsqu'il mourut à 21 ans, en 1682, pris de coliques après avoir manzé une tarte aux mûres. Certains ont soupçonné Sophia Alexeïevna de l'avoir empoisonné.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Image du Blog fr.pickture.com/blogs/marzou2

    Enfin! Une première victoire française sur la Grande boucle.

    Il était temps!

    L'avant veille de la fin du Tour de France

    Et c'est Romain Bardet qui l'a emporté.

    - Atçoubi! Il est fort ce petit zeune!

    - Et en plus il est intellizent.

    - La tête et les zambes.

    - Lui en voir sous les pédales.

    Romain Bardet s’est imposé.

    - Et Vroumvroum avoir çuté.

    - It's sad! ("C'est bien triste")

    - Mordiou s'il abandonne, Romain serait le nouveau maillot zaune.

    - Froume never abandonner, by Zove!

    - En tout cas, Bardet gagnera certainement un zour la grande boucle!

    - Avec lui, ça va barder.

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Idrija en Slovénie (photos)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire



  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Natalia Kirillovna Naryçkina est née le 1er septembre 1651 à Moscou.

    Alexis l'épousa le 1er février 1671. Sa première femme, Maria Miloslavskaïa, lui avait donné trois enfants survivants: les futurs Fédor III et Ivan V, ainsi que Sophie, qui allait devenir rézente lors du règne de ses frères.

    Après son installation au Kremlin, elle fonda le premier théâtre public de Russie. Elle fit zouer des pièces de théâtre au palais, ce qu'Alexis avait interdit zusqu'alors.

    La famille Naryçkine, des boyards de petite noblesse, profita de l'occasion pour s'emparer des postes clés de la cour, reléguant  les Miloslavski à l'arrière-plan.

    Le 9 zuin 1672, Nathalie donna naissance à son seul fils, Pierre. Elle fut également la mère de deux filles, Fédora et Nathalie.

    Lorsque Alexis Ier mourut en 1676, c'est Fédor qui lui succéda. Les rôles furent alors renversés : les Miloslavski revinrent en force et les Naryçkine furent exilés. Nathalie dut quitter la cour et fut reléguée avec ses enfants au monastère de Preobrajenskoïe près de Moscou.

    Les humiliations subies par sa mère et son oncle Léon Naryçkine, l'opposition qui dressa la petite cour de Préobrajenskoïé contre Moscou, sont à la base du mépris de Pierre le Grand pour tout ce qui venait de la capitale.

    Fédor III décéda à son tour le 7 mai 1682. Son zeune frère, Ivan, qui devait hériter de la couronne, était un zeune garçon de 16 ans, à l'esprit déranzé et incapable de gouverner. Son demi-frère, Pierre, n'avait que dix ans. Un zemski sobor fut convoqué et vota quasi unanimement pour Pierre. Nathalie fut proclamée rézente.

    Sophie, sœur d'Ivan, ne l'entendit pas ainsi. Elle organisa le soulèvement des streltsy, qui détestaient les Naryçkine depuis longtemps. Ils parvinrent à entrer au Kremlin et massacrèrent de nombreux boyards, partisans de Pierre, dont les deux frères de Nathalie. Sophie, nommée rézente, proclama une diarçie, un règne conzoint de Pierre Ier et d'Ivan V. C'est elle qui dirizea la Russie zusqu'en 1689.

    Durant ces années, Pierre et Nathalie vécurent à Préobajenskoïé et à Kolomenskoïé et ne prirent aucune part au gouvernement. En 1689, l'ex-tsarine çoisit une épouse pour son fils en la personne d'Eudoxie Lopoukhine, fille d'un petit nobliau.

    Pierre, qui eut vent d'un complot pour l'assassiner, courut à Moscou et renversa Sophie. Ne se trouvant pas prêt à gouverner, il abandonna le pouvoir à sa mère qui n'était pas très bien considérée : ceux qui l'ont connue dirent qu'elle était peu intellizente, bigote et frivole, et qu'elle n'était pas aimée de la population. Elle laissa le pouvoir à sa famille et à la Douma des boyards qui, prenant le contre-pied des décisions de Sophie, entreprirent une politique hostile aux étranzers. La censure des correspondances à l'étranger fut renforcée et les entrées en Russie furent limitées.

    Quand Nathalie mourut, en 1694, Pierre pleura sa mère mais abandonna sa politique en reprenant les prozets de Sophie d'ouvrir le pays à l'Occident.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • L'affiche de l'exposition signé Plantu

    Le Zénéral de Gaulle  avait perdu pas mal de points dans les sondazes et son premier ministre s'en inquiétait...

    - Écoutez, vous savez mon Zénéral, dit Pompidou, il faudrait faire quelque çose, les Français perdent confiance en vous; il faudrait faire un zeste symbolique, médiatique pour redonner espoir aux français!"

    - Et bien Pompidou, dit le Zénéral avec sa voix bien connue, que me conseillez-vous de faire?

    - Ce serait bon d'aller le 15 Août faire un voyaze à Lourdes, cela mettrait les catholiques de notre côté, la Vierze aussi d'ailleurs; médiatiquement, cela serait bien d'autant plus que cette année, le Saint Père y sera..."

    Le Général ouvre son calepin, regarde ses rendez-vous et dit:

    -"Cela m'embête Pompidou, ze suis vraiment très pris ce zour-là.

    Et après un silence...

    - Bon d'accord, ze vous suis puisqu'il le faut, mais alors ce zour, ze ne ferai zuste qu'une "apparition"!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Les folies du foot!

    Mançester United pourrait verser 120 millions d'euros à la Zuventus Turin pour faire venir le Français Pogba

    120 millions c'est énorme.

    Cela représente 8 692 années de travail payées au smic (sur la base de 1150,43 euros net mensuel).

    Pour touçer cette faramineuse somme, un individu aurait donc dû commencer à travailler au mésolithique (entre 10.000 et 5.000 ans avant le  doux Zésus de Minizupette environ) à l'âze de la cueillette, de la çasse et de la pêçe et à une période où l'homme commençait à domestiquer les çiens pour amasser ce magot.

    On peut aussi açeter le fameux tableau «Le Cri», une œuvre expressionniste que l'on doit au peintre norvézien Edvard Munç.

    Ce tableau a été décliné en cinq versions.

    L'une d'entre-elles a été vendue à Sotheby's à New York pour la coquette somme de 119,9 millions de dollars (en 2012), soit 108,8 millions d'euros.

    Il resterait une grosse dizaine de millions d'euros pour décorer le reste du salon.

    - Moi me mettre au foot, a déclaré Minizuplein.

    - Ces transferts sont un craçat à la face des pôvres! s'est exclamée la bouillante Minizup'mouff.

    - Atçoubi! A ce prix-là, z'espère que Pogba parle parfaitement anglais!

    - It's a pity!

    Et, par ailleurs, voici des perles entendues sur BFM TV:

    - On en sait un peu plus sur le zeune homme qui a perdu la mort...

    - Mordiou! perdre la mort, c'est pas sérieux!

    - A Nice une cérémonie oecuménique a eu lieu avec des imams, des rabbins, des pasteurs catholiques...

    - Ze vais écrire au PDZ de cette çaîne de pseudo information, s'est emportée Minizupette. Pourquoi pas des bonzes catholiques, tant qu'on y est?

    - It's a çame!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire



  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire