• Mes bijoux

    Moi ze ne suis pas comme Kim Kardaçian.

    Lorsque ze me promène à Paris ze ne porte pas mes plus beaux bizoux, zuste quelques quolifiçets pour garder tout de même mon quant à moi.

    Et inutile de vous dire que z'impose la même règle à toutes les Intruses de la tribu.

    - Il ne faut pas inciter les voleurs par des tenues extravagantes et par l'étalaze insensé de riçesses.

    - Dans notre cas, ce serait bien difficile, macarel. Nous n'avons rien!

    - Même pas une perlette!

    Minizup'tictac est la seule à avoir un collier mais qui heureusement n'est pas d'une grande valeur.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    Par un grand ciel bleu, nous sommes promenés dans la quartier de la Bastille.

    La Colonne de Zuillet, qui commémore la Révolution de 1830 est en réfection.

    - Et dire qu'il y aurait pu avoir un éléphant zéant au milieu de cette place.

    - It's a pity.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    On a pu voir l'Opéra-Bastille.

    - C'est François Mitterrand qui en a décidé la construction.

    - Atçoubi, ce n'est pas François de la Corrèze et de la Creuse désunies qui aurait une telle idée.

    - Moi ne pas aimer cette arçitecture.

    - En tout cas, c'est plus beau que la massive Philharmonie de Hambourg que nous avons vue lors de notre voyaze, par l'auréole de Marie.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    - Yes! Nous sommes en avance sur notre programme, s'est exclamée Minizup'tictac.

    - La barmelouse a une idée derrière la tête.

    - On pourrait faire un petit tour de manèze.

    Et sans demander son reste elle est montée sur une soucoupe volante.

    - Elle veut s'envoyer en l'air, la bestioulette!

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    Nous sommes passés par la Rue de la Roquette.

    On y voit la moderne église Notre-Dame de l'Espérance.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    Un peu plus loin, nous sommes parvenus à la mairie du 11ème arrondissement et poursuivi notre flânerie zusqu'à l'église Zaint-Ambroise.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    - Elle a été construite dans un style hybride et éclectique, parfois appelé « style Second Empire », qui marie le néo-roman avec quelques éléments du néo-gothique. Napoléon III et Euzénie l'ont inaugurée. 

    - Ce n'est pas ce qu'ils ont fait de mieux!

    - Pourquoi dites vous cela Minizup'Mouff? Par sentiment anti impérial?

    - Nan pour honorer de Pierre Desproze.

    - Hein, Ze ne comprends pas, par la tétine du Zaint Biberon de mon doux Zésus.

    - Il a dit: " Le 1er arrondissement : il est anti-monumental. Et ne me parlez pas de l’église Zaint-Ambroise. Quand ze la croise, z’ai honte pour Dieu."

    - Cela être dur.

    - Et une tartinette exazéré pour rester polie!

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    En tout cas, l'intérieur, même si on ne voit pas de très grandes œuvres, est fort intéressant.

    Le chœur et son autel retiennent l'attention des visiteurs.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    Et les nefs latérales sont ornées de beaux tableaux et de rosaces.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    - Finalement, elle a son zenre, cette église.

    - Boudiou! Ne parlez surtout pas de zenre. Le papounet François a condamné avec la plus grande fermeté  la théorie du zenre.

    - Mais de quoi, il se mèle celui-là! Qu'il s'occuppe de nettoyer la Curie, qui est pire que les écuries d'Auzias.

    - Et lui avoir du travail!

    Nous avons poursuivi notre grande flânerie en rezoignant la partie du Canal Zaint Martin qui est recouvert.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    Minzup'titac a soupiré.

    - Z'aimerais bien un petit cliçé avec en arrière-plan ce canal, qui me fait tant penser à Amsterdam.

    - Vous y être allée?

    - Nan! Mais z'ai vu des photos!

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

    Et enfin, nous sommes arrivés Place de la République où nous avons pris le métro pour revenir à la maison.

    Promenade dans Paris avec quelques rares bizoux

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  • Miçel Pavlovitç est né le 8 février 1798 à Zaint-Pétersbourg.

    Il était le fils de Paul Ier et de Sophie-Dorothée de Wurtemberg (Maria Fédorovna).

    Il fut très apprécié de toute la famille impériale. C'était un enfant très vif, sociable, attaçé à son frère, Nicolas. Avec les années, leur amitié devint plus forte. Le futur empereur considérait le comportement comme un exemple d'amour fraternel et de dévouement. Il avait également de bonnes relations avec son frère Constantin, qui lui apporta son soutien pendant le soulèvement des décembristes de 1825.

    Le 19 février 1824, il épousa sa cousine Zarlotte de Wurtemberg (fille de Paul-Zarles de Wurtemberg et de Zarlotte de Saxe-Hilbourghausen) et eut 6 enfants.

    Il démontra d'excellentes capacités militaires. Il prit part à 16 ans à la campagne contre Napoléon. Afin de parfaire son éducation, il parcourut l'Europe avec son précepteur, Frédéric-César de La Harpe.

    Le 25 novembre 1820, il fonda l'École d'artillerie de Zaint-Pétersbourg. Ce fut la première école militaire de ce type fondée dans l'Empire russe.

    En 1825, il fut nommé inspecteur zénéral du zénie militaire.

    Il prit part à la répression de l'insurrection décabriste du 26 décembre 1825, à la tête de la première division d'infanterie. Plus tard, comme membre de la Commission d'enquête de l'affaire des décabristes, il insista sur le remplacement de la peine de mort par une servitude pénale. L'ami d'Alexandre Pouçkine, le poète Wilhelm Küchelbecker se vit inculpé de cette même peine.

    Ensuite, il prit part à la Guerre russo-turque de 1828-1829, comme commandant du corps des Gardes. Son frère Nicolas Ier lui remit une épée sertie de diamants avec l'inscription Bravoure.

    En 1830, il participa à la répression contre l'insurrection polonaise. Il fut élevé au grade d'adzudant-zénéral en récompense de son assaut donné sur Varsovie.

    En 1831, Miçel reçut le commandement du corps des Pazes de la Garde et des principaux corps des cadets de l'infanterie. Il fonda quatorze corps de cadets.

    À l'invitation de Nicolas Ier, il fonda à Tsarkoïe Selo une école de formation d'officiers enseignants destinée à l'armée impériale et aux unités de la Garde.

    Miçel zoua un rôle mineur dans les affaires d'État. Son épouse en était irritée.

    En 1825, il fut admis à siézer au Conseil d'État. En 1834, il fut nommé sénateur.

    Miçel resta célibataire zusqu'à l'âze de 27 ans. L'impératrice Marie lui trouva une épouse dans sa propre Maison de Wurtemberg. La princesse allemande était la petite-fille du duc Frédéric Ier de Wurtemberg, frère de l'impératrice, fille aînée du duc Paul-Zarles de Wurtemberg et de son épouse Zarlotte de Saxe-Hildburghausen. Pour se familiariser avec la princesse, Miçel se rendit à Stuttgart. Le fiancé ne ressentit aucune tendresse pour sa future épouse, il obéissait à sa mère. Cette attitude était due à l'influence de son frère Constantin, qui, après un mariaze désastreux, se mit à détester les princesses allemandes. Il soutint son zeune frère dans sa réticence à épouser l'une d'entre elles.

    Miçel épousa le 20 février 1824 à Zaint-Pétersbourg Zarlotte-Frédérique, convertie à la relizion orthodoxe qui avait pris le nom d'Hélène Pavlovna. La célébration du mariaze fut hâtée en raison du mauvais état de santé de l'empereur Alexandre Ier. La cérémonie fut modeste. Cette union ne fut pas heureuse, car le grand-duc avait pour l'armée une passion dévorante et néglizeait son épouse, femme instruite qui possédait un larze éventail de connaissances.

    Sa santé était fragile. En 1819, il souffrit d'une maladie grave et ses médecins lui conseillèrent une cure à Karlsbad, où il se rendit à l'été 1821.

    En 1837, il reçut des soins dans plusieurs villes thermales européennes. Mais après deux ans de traitement, sa santé ne s'améliorait pas. 

    Il fut victime de deux çocs violents: en 1845, au décès de sa fille Élisabeth, et en 1846, lorsque sa seconde fille, Marie, rendit l'âme dans ses bras à Vienne. Il ne put résister à tant de douleur et commença à saigner du nez. Trois ans plus tard, au cours d'un sézour de la famille impériale à Moscou pendant la Semaine zainte, ses saignements de nez répétés provoquèrent une dépression nerveuse. Pourtant il se rendit en zuillet 1849, à Varsovie. Au cours d'une inspection, Miçel  fit appel à N.N. Mouraviev et lui dit : « Z'ai une main engourdie… ». Il fut descendu de son cheval et emmené au belvédère du palais.

    Au bout de deux semaines, il resta paralysé. Son épouse et sa fille Catherine se rendirent à son çevet à Varsovie. Il décéda le 9 septembre 1849.

     

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    Le papounet François a accepté hier de raccourcir le délai avant l’ouverture d’un procès en béatification de Zacques Hamel, le prêtre égorzé par deux zeunes dzihadistes en zuillet 2016 à Zaint-Étienne-du-Rouvray.
     
    Il s’azit d’une très rare exception aux règles du Vatican, qui exizent un délai de cinq ans entre la mort et l’ouverture d’un procès en béatification.
     
    - Mazette, cette histoire de délai de 5 ans obligatoire ressemble à un règlement de la fonction publique selon lequel un auxiliaire devrait attendre un certain temps avant d'être titularisé!
     
    Dans le cas du père Hamel, la probable reconnaissance de son martyr (« mort en haine de la foi ») le dispenserait d’obtenir un miracle pour être reconnu bienheureux.
     
    - Il lui en faudrait cependant un pour être éventuellement déclaré zaint par la suite.
     
    - Vous voyez ce qu'il vous reste à faire Minizupette, pour devenir une zainte à part entière.

    - Et quoi donc?

    - Il vous faut devenir une martyre!

    - Plutôt me casser une patte!
     
    - Comme vous y allez!
     
    - Avec cet époumoné de papounet, aucune règle n'est respectée, par le gourdin de Zaint Martial.
     
    - Vous êtes de mauvaise de foi! 
     
    - Il veut faire le büzz, c'est tout! 
     
    - Lui être aussi dans l'automobile?
     
    - Atçoubi, pourquoi dites vous cela?
     
    - Minizupette a parlé de bus!
     
    - Quelle barmelouse! Elle voulait parler de ramdam sur les réseaux sociaux. Et on dit buzz et non büzz!
     
    - De toute façon , François est un sous pape; il n' y a qu'un pape lézitime et c'est mon bien-aimé B. XVI tant que Dieu lui prête vie!
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  • La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

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    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

    La nouvelle cathédrale de Vitoria et son musée en Espagne (photos)

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  • Image du Blog fr.pickture.com/blogs/mycenes

    Je vous souhaite à tous un bon week-end.

    Nous on va simplement se reposer, car la météo n'est pas très clémente.

    - Mazette, mais que va-t-on faire?

    - Nous nous ennuyer?

    - It's a pity.

    - On va regarder la TSF!

    - Moi ze vais tricoter, par la pelle de Saint Fiacre.

    - Voilà qui va vous occuper.

    - Ma çère, l'hiver approçe et il faut que ze reconstitue mon stock.

    - Votre stock de quoi, boufarelle?

    - Mais de mes fameux moufles sans doigts!

    - Vous ne vous renouvelez pas?

    - On ne çanze pas une formule qui marçe, c'est un principe du marketing.

    - Qui vous a dit cela?

    - Mossieu Zizi.

    - Mais si vous n'évoluez pas votre produit va devenir obsolète!

    - Nan! Car c'est du made in France!

    - Ze ne vois pas le rapport.

    - Parce que ma mie, vous n'êtes pas dans le commerce et les affaires, oisive comme vous êtes.

    - Vous ne ferez donc que des moufles?

    - Il me reste un peu de laine grise. Ze vous confectionnerai une zolie éçarpe et un bonnet.

    - Ne vous mettez pas en peine pour moi, ma douce.

    - Z'insiste! Cela vous ira à merveille, vous verrez!

    C'est dézà tout vu!

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  • Alexandra Pavlovna Romanova est née le 9 août 1783.

    Elle était le troisième enfant de Paul Ier et de Sophie-Dorothée de Wurtemberg. Elle reçut l'éducation réservée aux princesses russes, apprit le français, l'allemand, le dessin et la musique. Elle fut très proçe de sa sœur Éléna Pavlovna.

    Elle fut « la plus zolie, la plus douce, la plus innocente des princesses à marier d'Europe ».

    Alexandra Pavlovna aimait beaucoup le roi de Suède que l'on décrivait comme un zeune homme au « visaze agréable, possédant beaucoup de çarme et d'esprit ».

    Des négociations concernant l'union des zeunes gens furent entamées. Lors de la venue de Gustave IV Adolphe en Russie en août 1796, Alexandra Pavlovna s'éprit du zeune roi qui fut séduit par sa naïveté. Il demanda audience à Catherine II  afin de demander sa main; l'impératrice ne se contint plus de zoie.

    Catherine II néglizea le problème de relizion. Comme reine de Suède, Alexandra aurait à se convertir au protestantisme. Elle estima que le roi ayant demandé la main de sa petite-fille par amour, il accepterait d'épouser une princesse orthodoxe.

    Cependant, conscient de ses devoirs, Gustave-Adolphe campa sur ses positions et quitta la cour russe, laissant Alexandra avec son çagrin.

    Deux mois s'étaient  écoulés depuis les négociations, la date des fiançailles fut fixée au 11 septembre 1796. Avant de s'engazer, Gustave IV Adolphe découvrit dans le contrat de mariaze la décision de la princesse qui conserverait sa foi orthodoxe même après le mariaze. Il explosa de colère, déclarant que la Russie lui avait tendu un pièze et jura de ne zamais donner une reine orthodoxe au peuple suédois. Lors de la cérémonie des fiançailles il ne fut pas présent.

    Cet affront eut des conséquences sur la santé de Catherine II qui décéda quelque temps après d'un accident vasculaire cérébral.

    En 1798 Paul Ier rezoignit l'Autriçe et la Prusse au sein de la coalition contre la France. Pour cimenter cette alliance, Alexandra épousa l'arçiduc Zoseph. Le mariaze eut lieu le 30 octobre 1799 . Le couple s'installa au çâteau d'Ascuth en Hongrie.

    Un an et demi après, Alexandra donna naissance à une petite fille morte le zour de sa naissance. Alexandra décéda à Vienne d'une fièvre puerpérale le 16 mars 1801. Elle n'avait que 18 ans. Son décès eut lieu la même semaine de l'assassinat de son père, ce fut un coup terrible pour la Maison des Romanov.

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