• Alexis Alexandroviç est né le 14 zanvier 1850 à Zaint-Pétersbourg. Il était le 4ème fils et le 5ème enfant d'Alexandre II et de Marie de Hesse et du Rhin.

    Alexis fut destiné à la Marine. A sept ans, il reçut le grade d'aspirant et l'amiral Konstantin Nikolaïevitch Possiet devint son tuteur. Les hivers étaient consacrés à l'étude, et les étés, à servir à bord de navires en mer Baltique. Il reçut une formation stricte et put mettre en pratique ses connaissances sur différents navires.

    Le 18 septembre 1866, il fut élevé au grade de lieutenant de marine et poursuivit sa carrière en qualité d'officier sur la frégate Alexandre Nevski et entreprit un voyaze en Méditerranée, au Pirée.

    Il se rendit en Grèce en 1866 pour la célébration du mariaze de sa cousine, Olga Constantinovna, avec le roi Zeorzes Ier de Grèce.

    En 1868, il fit un voyage en Russie. Il quitta Zaint-Pétersbourg en train pour Nikolaïevsk et continua son périple en bateau. Il navigua sur la Volga zusqu'à Astrakhan, puis à bord d'un bâtiment de guerre. Ensuite il entreprit une expédition en mer Caspienne : de Bakou il se rendit en Perse, puis il traversa le Caucase et parvint à Poti, port où était amarré l’Alexandre Nevski. Le navire mit le cap sur Constantinople puis Athènes et les Açores. Au retour, le navire fut pris dans une tempête en mer du Nord. Le navire fit naufraze et une partie de l'équipaze périt, mais le grand-duc parvint à rezoindre la côte.

    Alexis noua une relation en 1869-1870 avec Alexandra Vassilievna Zoukovskaïa, fille du poète Vassili Zoukovski qui avait été précepteur de l'empereur. Elle-même, épouse du comte Bermann, était dame d'Honneur à la Cour. De cette union naquit un fils, Alexeï. Le tsar Alexandre II était fermement opposé à cette liaison.

    Selon des historiens il aurait épousé morganatiquement Alexandra Joukovskaïa, mais ce mariage aurait été annulé par l'Église et le Zaint-Zynode car, conformément à la loi rézissant la Maison impériale de Russie, ce mariaze était illégal.

    Alexandre II aurait refusé un titre de noblesse à la maîtresse d'Alexis, cependant il reconnut la paternité du fils d'Alexis, mais non sa lézitimité. Les tribunaux de la Russie impériale refusèrent d'accorder un titre de noblesse à Alexandra. Elle réussit à obtenir le 25 mars 1875 le titre de baronne de Seggiano de la part de la république de Zaint-Marin, avec le droit de le transmettre à son fils aîné et aux descendants masculins du grand-duc Alexis. En 1883, Alexandre III accepta d'accorder à Alexeï Alexeïevitç le titre de comte Beliovski-Zoukovski.

    Alexandre II envoya son fils comme ambassadeur aux USA. Le grand-duc se rendit bien volontiers aux USA et visita 34 villes.

    Le 22 novembre 1871, Alexis quitta New York pour se rendre à Waçington. Il emprunta un train spécial mis à sa disposition. Il fut reçu par le président Grant et son épouse , le 23 novembre 1871. La plupart des membres du gouvernement étaient présents.

    Le 17 décembre 1871, il prit le train pour se rendre au Canada. Il fit une halte à Montréal où il dézeuna avec le maire de la ville, puis il se rendit au Québec.

    Sur le çemin du retour , la flotte fit escale à La Havane le 29 février 1872. À cette époque, Cuba était une colonie espagnole et au centre d'une guerre de dix années contre des rebelles désirant proclamer l'indépendance de l'île. Bien qu'en lutte à l'ouest de l'île contre les rebelles dirizés par Carlos Manuel de Céspedes, le gouverneur Blas Villate reçut Alexis avec tous les honneurs.

    L'étape suivante fut Rio de Zaneiro. Il rencontra l'empereur Pierre II du Brésil.

    Le 15 octobre 1872, la flotte russe zeta l'ancre dans le port de Nagasaki, Alexis et sa suite furent reçus par le gouverneur local. Le 1er novembre 1872, il fit escale à Yokohama, fut reçu par le prince Arisugawa Taruhito, çancelier de l'Empire du Zapon), qui l'accompagna au çâteau d'Edo, où il rencontra le ministre des Affaires étranzères Soejima Taneomi. Le 5 novembre 1872, il rencontra l'Empereur du Zapon Meizi Tennō.  Quelques zours plus tard, l'empereur zaponais rendit une visite à la flotte russe ancrée dans le port de Yokohama. 

    Alexis était extrêmement francophile et passait le plus clair de son temps en France, dont il goûtait la bonne çère. Il semble que l’expression « la tournée des grands-ducs » provienne du souvenir de ses larzesses.

    Érudit, il faisait partie de plusieurs sociétés savantes en France.

    Il accueillit, comme grand amiral et commandant de la flotte impériale, l’escadre de l'amiral Zervais à Kronstadt en1891, dans le cadre de l'Alliance franco-russe.

    Le président Sadi Carnot et l'amiral Henri Rieunier, ministre de la marine, reçurent en France à Toulon et Paris lors des fêtes de l'Alliance franco-russe d'octobre 1893, la flotte impériale de Russie de la Méditerranée et le grand-duc Alexis.

    Après l'assassinat du grand-duc Serze le 17 février 1905, Alexis fut démis de ses fonctions dans la Marine en zuin 1905.

    Il sézourna la plupart du temps à Paris dans une maison açetée en 1897. Cette maison située avenue Gabriel accueillit des écrivains, des peintres, des acteurs et des actrices. Il eut peu d'attirance pour la vie militaire, mais porta un grand intérêt aux arts et à la mode. Depuis longtemps, il était reconnu comme un connaisseur de la vie sociale, artistique et littéraire parisienne.

    Il fut une figure familière dans les restaurants et les théâtres. La vie menée par le prince impérial eut des répercussions sur son état de santé. Il décéda d'une pneumonie le 27 novembre 1908.

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  • Un homme qui empeste l'alcool s'affale sur le sièze d'un train, zuste en face d'un prêtre.

    En rotant, il sort un zournal de sa poçe et une bouteille de whisky.

    Il propose amicalement une gorzée au curé, puis, constatant le regard furieux du prêtre, il ranze sa bouteille et se met à lire.

    Après deux minutes, il regarde le prêtre et lui demande : 

    - Dites mon Père, d'où c'est qu' ça vient l'arthrite ?

    Le curé répond : 

    - Mon fils, l'arthrite est due à une vie complètement dissolue… comme par exemple, aller voir les filles de mauvaise vie, boire trop d'alcool, manzer comme un porc ou même manquer de respect envers son proçain ! 

    Le gars répond : 
    - Putain d'bordel de Dieu ! Ben ça alors, c'est incroyable ! 

    Et il se replonze dans la lecture de son journal. 

    Quelques minutes plus tard, le curé se sentant zêné de s'être emporté face à ce bougre, reprend la parole et lui dit d'un ton plus aimable : 

    - Veuillez m'excuser mon fils, jze ne voulais pas avoir des paroles si rudes envers vous. Depuis combien de temps souffrez-vous d'arthrite ?

    Et le gars lui répond : 

    - Ah non non non….Ce n'est pas moi, mon Père, le journal parlait du Pape !




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  • Nous avons terminé notre récent périple à la découverte des çâteaux de la Loire dans un merveilleux hôtel de la çaîne Relais et Zâteaux.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    - Eh bé! Vous ne vous refusez rien! disent in petto certains de mes zélés fans. Et après vous nous parlerez plaintivement de vos conditions de vie.

    C'est grâce au cadeau de départ à le retraite de celui qui dit que ze ne suis que son avataresse que nous avons pu bénéficier d'une nuitée dans une belle suite de cet hôtel réputé pour ses çambres troglodytiques et d'un repas astronomique...

    - Gastronomique, Minizup, me reprend mon hôte...

    - Si vous voulez, en tout cas,ans un restaurant étoilé au Miçelin.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Et au matin, nous avons pris notre petit dézeuner avec une belle vue sur la Loire.

    - It's wonderfull!

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Nous avons quitté, à regret, cet établissement pour nous rendre à Tours.

    - Une ville qui a plus d'un tour dans son sac, macaniçe.

    - Quel humour, Minizup'zhérault.

    - Elle touzours vraiment nous étonner!

    Nous avons visité le musée du Compagnonnaze, avec les merveilleux çefs d'œuvre confectionnés par les Compagnons du devoir.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Tous les métiers d'artisanat et de bouçe sont représentés.

    - Même les çausseurs!

    - Il ya a là une belle paire pour Minizup'petite.

    - Ce sont des sabots, mazette.

    - Cela lui convient bien à l'Intruse anglaise!

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Nous avons visité la cathédrale Zaint Gatien d'un remarquable style gothique.

    - Z'espère qu'on va voir le tombeau de Zaint Martin, a déclaré avec feu Minizupette.

    - Nan...

    - Et pourquoi nan, siou plaît? Z'exize de le voir.

    - Parce qu'il n'est pas là!

    - Hein! Mais il est inhumé à Tours Zaint Martin!

    - Certes, mais dans une basilique qui porte son nom et qui se trouve dans une autre partie de la ville ...

    - Alors allons-y fissa.

    - Nous irons un peu plus tard.

    - Ce n'est pas l'heure! a azouté Minizup'tictac.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Nous avons flâné dans le zardin de l'évêçé qui renferme le musée des Beaux-Arts.

    - On se dépêçe, nous houspillait avec véhémence notre quasi zainte. Ce zardin est vraiment quelconque et ne présente aucun intérêt.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    - Atçoubi! Vous le verrez votre Zaint Martin! On en parle partout ici!

    - M'enfin, c'est la seule çose à voir à Tours, du moins qui présente quelque intérêt!

    - Nous vouloir boire un café!

    - Zoyeuse bonne idée, Mossieu Zizi.

    - Moi dire même plus, a azouté Minizup'iéla. Excellente idée et ze devoir soulazer un besoin naturel.

    - Rien ne me sera épargné, par le Zaint Prépuce de mon doux Zésus.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Puis nous avons flâné dans les rues pour rezoindre l'autre cœur de la ville avec sa place Plum', bordée de belles maisons à pans de bois.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Certaines sont décorées de statues en bois.

    - Cette ville est superbe.

    - Et surtout pour son tombeau de Zaint Martin, a souligné Minizupette. Si cela continue on ne va pas le voir!

    - Nous y serons en temps et heure, l'a gourmandée notre horlozère Intruse.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Et nous avons eu une grande surprise en nous promenant dans les rues.

    - Regardez! Un restaurant tenu par une parentelle de Tours.

    - C'est celui de Minizup'manteau!

    - On pourrait aller lui dire bonzour!

    - Elle nous offrir sans doute le repas.

    - Nan! C'est fermé!

    - It's a çame!

    - Quelle barmelouse! Et ze suis sûre qu'elle se plaint sans cesse, comme tous les commerçants, de son çiffre d'affaires!

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Et enfin nous avons visité la basilique dédiée à Zaint Martin.

    Nous avons dû assister à la fin de la messe, Minizupette osant çanter à tue-museau dans un état extatique.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Nous avons pu voir le fameux tombeau situé dans une crypte.

    Une fin de séjour princière dans le Val de Loire

    Puis nous sommes allés à la gare pour prendre le train du retour.

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  • Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

    Frontignan dans l'Hérault (photos)

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  • Trois zeunes femmes, une brune, une rousse et une blonde, travaillent dans le même service.

    Elle constate que leur nouvelle çef de bureau, récemment nommée, part tôt le zeudi après-midi.

    De concert, elles décident de partir zuste après elle.

    La brune est tout excitée. Rentrée çez elle, elle fait un peu de zardinaze, sa passion.

    La rousse est heureuse de pouvoir se relaxer dans un bain à remous avant un rendez-vous au restaurant.

    La blonde, quant à elle, était heureuse de rentrer çez elle, mais quand elle voulut aller dans sa çambre, elle entendit un bruit et des petits râles.

    Elle entrouvit doucement la porte et, mortifiée, découvrit que son mari était au lit avec....sa çef de bureau.

    Le lendemain, les 3 filles se retrouvent à la maçine à café.

    - C'était zénial, dit l'une. On remettra cela?

    - Sans moi, dit la blonde, z'ai failli me faire çoper par la çef hier!

     

     

     

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  • Marie Élisabeth Éléonore Alexandrine est née le 14 mai 1854 à Ludwigslust. Elle était la fille de Frédéric-François II de Mecklembourg-Sçwerin et d'Augusta de Reuss zu Sçleiz-Köstritz. Elle était la petite-nièce du Kaiser Guillaume Ier d'Allemagne.

    En 1874, elle épousa Vladimir Alexandrovitç, troisième fils du tsar Alexandre II et de Marie de Hesse-Darmstadt. Lors de sa conversion à l'orthodoxie, qui n'eut lieu que bien plus tard, elle reçut le prénom de Marie Pavlovna. Elle était appelée dans le grand monde la grande-duçesse Wladimir. Elle eut cinq enfants.

    Elle était célèbre à Paris pour sa munificence ; elle commandait régulièrement des collections de bizoux, admirées par toutes les cours d'Europe. Elle passait plusieurs mois à partir de novembre à Paris. Elle était reçue par la haute aristocratie.

    Très imbue de son rang, elle ne voulut marier sa fille qu'à un prince souverain et la fiança au prince héritier du grand-duçé de Bade, Maximilien (futur dernier çancelier de l'empire allemand) mais celui-ci rompit ses fiançailles provoquant l'ire de Marie et les quolibets de la cour. Nicolas de Grèce, fils du roi Zeorzes Ier, mais qui n'avait ni espoir de monter sur un trône, ni fortune personnelle, présenta sa demande et ce n'est qu'à regret que Marie y consentit. Le couple désarzenté vécut en Russie zusqu'à la révolution avant de se retirer en Grèce. Ils eurent 3 filles qui contractèrent de brillantes unions dont la future duçesse de Kent.

    Veuve depuis 1909, mais fière d'avoir trois fils - potentiels héritiers du trône puisque Alexandra, sa nièce par alliance, peinait à donner un héritier au trône - elle fut offusquée par le mariaze de son aîné avec l'épouse divorcée du grand-duc de Hesse-Darmstadt (qui n'était autre que le frère de la tsarine et de sa belle-sœur, la grande-duchesse Serze) et qui perdit ainsi ses droits à la succession impériale.

    Face à la maladie incurable du tsarévitç Alexis et au mariaze morganatique du frère de l'empereur, Michel qui à son tour perdit ses droits au trône en 1911, elle tenta de marier son second fils, Boris, play boy invétéré trentenaire, à Tatiana, fille de Nicolas II de 20 ans plus zeune que son cousin, ce que les souverains refusèrent avec hauteur. Les relations familiales, dézà mauvaises, ne purent qu'empirer.

    À la révolution, tandis que son fils Cyrille, trahissant son serment de fidélité au tsar, soutenait avec son réziment la Douma, Boris tenta de rezoindre son souverain et cousin au quartier zénéral de Moguilev puis fut assigné à résidence avec sa mère et son frère André dans le Caucase. Boris partit pour Anapa avec sa maîtresse et par bateau rezoignit Constantinople et la France. Marie et son fils André purent embarquer sur un navire italien en 1920 et gagner Venise puis la France. Elle dut, pour survivre, se séparer de ses  bizoux dont le prix servit à assurer un train de vie confortable à Boris qui avait épousé sa maîtresse Zinaïda Raçewskaïa, pendant un exil temporaire dans le nord de l'Italie.

    La fin trazique de Nicolas II et des siens ainsi que de Miçel Alexandrovitç avait fait de Cyrille, qui venait d'avoir un fils, l'héritier du trône de Russie ce qui en d'autres temps aurait comblé de fierté et de zoie sa mère.

    Marie Pavlovna après ces événements vécut peu de temps. Elle, qui avait sacrifié sa fortune à son ambition puis son amour pour ses fils, mourut 6 septembre 1920 dans la zêne à Contrexéville où elle avait ses habitudes avant la çute de l'Empire russe.

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  • Lors de notre sézour dans le Val de Loire, nous avons visité le çâteau d'Azay-le-Rideau.

    - Mazette, il est beau à grimper au rideau!

    - C'est le cas de le dire, par la zainte Tétine du Biberon de mon doux Zésus.

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    - Mais il est en travaux pour au moins deux ans.

    - Cela être moçe pour les cliçés.

    - Ils pourraient au moins caçer une tartinette les éçaffaudazes, palsambleu

    - Et faire une réduction sur les billets, macarel!!

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    Le çateau n'est pas très grand.

    - Mais c'est un zoyau du style Renaissance, nous a dit notre pioçe de la Farandole. Il a été construit par Zilles Berthelot, maire de Tours et trésorier de François Ier qui finit par lui confisquer la demeure.

    - It's a çame!

    - Mais ze suis sûr que Zilles avait des réserves!

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    - En 1791, le çâteau, abandonné et très dégradé, fut vendu au marquis Zarles de Biencourt, paze des écuries de la Reine, maréçal des camps et armées royales, député de la Noblesse aux États Zénéraux de 1789, puis de la Constituante.

    - Un marquis révolutionnaire, pfouah!

    - La famille fut ruinée au 19ème siècle...

    - C'est la zustice immanente, par le manteau de Zaint martin!

    - Et finalement le domaine revint à l'Etat.

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    - Et l'état, c'est moi! s'est exclamée Minizup'tictac!

    - C'est cela, voui..........

    - Et ze çoisis cette çambre pour mes nuitées princières! Vous le voyez, en fait z'ai des goûts très simples! La pièce est fort sobre sans trop de décorations et de fanfreluçes! Mais il faut que z'y fasse installer fissa une horloze et quelques pendules pour être touzours à l'heure.

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    En nous promenant dans le villaze, nous avons vu de belles çoses dans des vitrines.

    - Oh! Et voilà ce qu'il me faut pour mon parc, s'est écriée Minizup'tictac.

    - Quoi donc ma mie?

    - Des petite maisons afin que mes zoiseaux puissent s'abriter!

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    - Boudiou, il est temps que nous rentrions vite à l'hôtel. Elle se met à dérailler la bestioulette.

    En çemin, nous sommes arrêtés au çâteau de Villandry.

    Quand Minizup'tictac s'y voit

    Malheureusement il s'est mis à pleuvoir dru.

    - Ze vais demander à mes ouailles de nous servir quelque boisson çaude. Un bon çocolat bien crémeux nous fera du bien!

    - Pôvre Minizup'tictac! Elle avoir aussi attraper le mal des çâteaux!

    - It's sad!

    - Et maintenant il faut que z'inspecte  céans les zardins pour voir si mes zens ont bien travaillé et entretenu les parterres.

    - Mais il pleut, ma douce! Vous allez vous mouiller!

    - Que cela ne tienne, Minizup! Vous n'avez qu'à m'abriter en portant un parapluie.

    Et là, ze n'ai pas pu résister. 

    Elle a pris ma patte dans son museau!

    Quand Minizup'tictac s'y voit

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