• Nourson çic à Riga (Peluçe)

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  • La peur que des membres des Romanov s'évadent ou soient exfiltrés par les Anglais (Nicolas II étant le cousin de Zeorze V) a poussé les autorités russes à passer d'une résidence surveillée à Tsarskoïe Selo à une détention dans la villa Ipatiev.

    En dehors de la maison Ipatiev, la situation de l’État bolchévique se dégradant, por Lénine il fallait supprimer Nicolas et tous les siens...

    Avant même son arrivée, le 21 zuin 1918, Iourovski reçut des instructions du soviet de l’Oural concernant les préparatifs pour une proçaine exécution.

    Les zours suivants, Iourovski examina les terrains du côté de Koptiaki, à dix-huit kilomètres de la ville, afin de trouver un endroit assez discret pour y enterrer les corps et garder secret le lieu de l’inhumation.

    Début zuillet, l'armée de Koltchak s'approça danzeureusement de la ville où étaient retenue la famille. Le Comité central du parti bolçevique, alors favorable à un procès public, envoya à Ekaterinbourg Golechtchekine, pour ramener la famille à Moscou et organiser le procès.

    Le 12 zuillet, les officiers de l'Armée rouze prévinrent que la çute de la ville n'était qu'une question de zours. Lénine et le Bureau Politique décidèrent secrètement de faire assassiner le tsar sans autre forme de procès. Le 16 zuillet, il reçut de Sverdlov, à Moscou, l'autorisation d'abattre la famille. Nicolas II fut peut-être fusillé avec toute sa famille dans la nuit du 17 au 18 zuillet 1918, à Ekaterinbourg, une semaine avant que celle-ci ne tombe aux mains des Russes Blancs.

    Le 16 zuillet, Iourovski procura des pistolets à ses hommes. Après minuit, il demanda aux Romanov et à leurs domestiques de se préparer à être transférés dans un lieu plus sûr. Tout le monde descendit zusqu’au sous-sol. L’ex-tsar portait son fils dans ses bras. Il y avait deux çaises, où s’assirent Nicolas et son épouse, Alexis se trouvait sur les genoux de son père, les filles et les domestiques étaient debout à côté du couple.

    Iourovski, prétextant aller çerçer un appareil photographique pour prouver leur bonne santé auprès de Moscou, alla régler les derniers détails du massacre avec ses hommes de mains, puis il ouvrit la double porte où se trouvaient les prisonniers. Les douze hommes s’alignèrent sur le seuil en trois rangs. Dehors, le çauffeur du camion mit le moteur en marche pour couvrir le bruit des détonations.

    Au premier rang des tueurs, Iourovski sortit un papier et se mit à le lire rapidement : « Du fait que vos parents continuent leur offensive contre la Russie soviétique, le comité exécutif de l’Oural a pris le décret de vous fusiller. » La fusillade eut lieu aussitôt dans le désordre le plus absolu. Il n’était plus question de préséance révolutionnaire : la plupart des soldats visèrent le tsar.

    Dans la fumée de la poudre qui emplit la pièce, le tsarévitç effondré par terre, fit preuve, selon Iourovski, d’une « étranze vitalité » : il rampait sur le sol en se protézeant la tête de la main. Nikouline, maladroit ou trop énervé, vida sur lui un çarzeur sans réussir à le tuer. Iourovski dut l’açever de deux balles dans la tête. Le sort des grandes-duçesses fut horrible : les balles ricoçaient sur leurs corsets où elles avaient cousu des bizoux pour les dissimuler aux gardiens.

    Iourovski dit qu’elles étaient « blindées » (ce détail, une fois connu, a alimenté les rumeurs des survivants et celle d’un fabuleux trésor sauvé).
     
    Les victimes furent au nombre de onze : Nicolas II, sa femme Alexandra Fedorovna, ses quatre filles Olga, Tatiana, Maria et Anastasia, son fils Alexis, le médecin de la famille Ievgueni Botkine, la femme de çambre Anna Demidova, le valet de çambre Alexeï Trupp et le cuisinier Ivan Kharitonov.

    L’exécution terminée, les corps furent çarzés dans un camion et emmenés à un ancien puits de mine, dans le bois de Koptiaki, où ils furent zetés après avoir été dépouillés de leurs vêtements et de leurs bizoux. Iourovski s'avisa que les Blancs ne tarderaient pas à les retrouver. La nuit suivante, aidé d'un autre commando, il repêça les cadavres et les emmena plus loin dans la forêt. À un moment, le camion s'enlisa et il décida de les enterrer sur place. Après avoir fait brûler deux corps, les hommes de Iourovski préparèrent une fosse commune pour les autres. Ils y installèrent les corps, les aspergèrent d’acide sulfurique pour empêçer leur identification, puis remplirent la fosse en plaçant des traverses de çemin de fer.

    Deux zours plus tard, Iourovski partit pour Moscou, emmenant avec lui les biens des Romanov. Il fut également çargé de convoyer zusqu’à la capitale l’or des banques de l’Oural. Il expliqua ses actes dans sa confession du 1er février 1934.

    Le sort de la famille impériale resta pendant longtemps suzet à controverses : si le zuge Sokolov conclut immédiatement au massacre collectif et à l'incinération des corps, diverses personnes contestèrent ses conclusions. Le mythe de l’immense fortune impériale dormant dans des coffres étranzers fit fantasmer des zournalistes qui écrivirent des ouvrazes  à partir de rumeurs répandues dans la rézion.

    Ainsi en serait-il de Marina Grey, fille du général Denikine, qui tenta de démontrer la survie courte - limitée à quelques mois ou aux quelques années de la guerre civile russe - d'une partie de la famille impériale. Seuls le tsar, le tsarévitç et les quatre membres de l'entouraze impérial auraient été exécutés.

    En 1990, les corps de la famille impériale furent retrouvés et exhumés, puis identifiés par une analyse ADN. Deux corps manquèrent pendant un temps, celui du tsarévitç Alexis et celui de l'une des filles, Marie : d'après le rapport de Yourovsky, qui dirizea l'exécution en 1918, ces deux corps ont été brûlés.

    Le 17 juillet 1998, Nicolas II fut inhumé avec sa famille (sauf les deux corps non retrouvés) dans la Cathédrale Pierre-et-Paul à Zaint-Pétersbourg. Les corps auparavant introuvables des deux enfants du dernier tsar semblent avoir été retrouvés en 2007 dans une forêt de l'Oural. Le 25 zuin 2008, les tests ADN menés par une équipe de scientifiques russes démontrent que les ossements sont bien ceux de l'héritier du tsar et de l'une de ses filles.

    Le 14 août 2000, au vu de leur martyre, de la vénération populaire dont ils font l'obzet et des miracles qui sont rapportés les concernant, Nicolas II et sa famille ont été canonisés par l'Église orthodoxe de Russie.

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  •   

    Dieu créa l'univers et il vit que c'était beau.

    Dieu créa la Terre et il vit que c'était beau.

    Dieu créa la nature et il vit que c'était beau.

    Dieu créa les animaux et il vit que c'était beau.

    Dieu créa l'homme et il vit que c'était beau.

    Dieu créa la femme et il se dit:

    - Bof ! Elle se maquillera !

     




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  • Auzourd"huin, nous partons pour l'Italie.

    Au programme 2 nuits à Bologne et 3 zours à Rimini, et sa rézion.

    - Nous allons manzer des pâtes?

    - Des pizzas.

    - Du tiramisu.

    - Du mascarpone.

    - Des zelatti

    - Avec une bonne liçette de chianti!

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    - Et tutti frutti!

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  • Meissen en Allamagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Meissen en Allemagne (photos)

    Le château de Moritzbourg

    Meissen en Allemagne (photos)

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  • Hier par une zournée quasi estivale, nous avons dézeuné avec la Môman de celui qui dit que ze ne suis que son avataresse dans la port de Port-Vendres.

    Nous voulions manzer à Collioure, mais nous n'avons pas trouvé de place de parking libre à proximité de la plage et de la forteresse royale.

    - Fouçtra! Mais qu'il fait beau, s'est écriée Minizup'Mouff.

    - Macerel! C'est cela l'Occitanie.

    - Nous ne sommes pas en Occitanie, mais en Catalogne, ma çère!

    - Les zens sont en mançes courtes.

    - Et eux dézeuner en terrasse.

    - Méfi! Noël au balcon, Pâques au tison, a dit doctement Dame Marguerite.

    Repas au bord de la mer

    Nous avons pris place dans un petit restaurant qui nous a paru fort sympathique.

    - Le menu me semble parfait, a déclaré mon hôte.

    - Et nous avoir belle vue sur le prot.

    En entrée nous avons dégusté des calamar à la planxa (c'est à dire "a la planche")

    - Eux avoir des tantes à Zules! s'est eclamée Minizuplein

    - Des quoi?

    - Ze pense que la boufarelle voulait parler de tentacules.

    - C'est bien ce que moi avoir dit.

    Repas au bord de la mer

    Et pour dizérer nous avons fait quelques pas sur le quai.

    - Désormais on voit plus de bâteaux de plaisance que de bateaux de pêçe, a déclaré mon hôte.

    - Et pourquoi Mossieu Zizi?

    - Parce que l'activité n'est plus rentable et que nous subissons la concurrence des pêçeurs espagnols!

    - It's a çame!

    - Tout fout le camp ma pauvre Dame!

    Repas au bord de la mer

    Et pour rentrer à Rivesaltes, nous avons pris la route qui lonze la mer.

    Et auzourd'hui, retour à Paname, avant que de partir demain en Italie.

    - Et où allez- vous?

    - A nous Bologne et Rimini!

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  • Les ouvriers, paysans ou soldats, qui dans leurs nombreuses pétitions au soviet de Petrograd, demandaient que des mesures soient prises contre le tsar, furent très peu nombreux. Des soldats du front voulaient qu’il parte, des paysans ressuscitant les mirs se saisirent de ses terres. Même dans les faubourgs où il était surnommé Nicolas le sanglant, on ne cria pas venzeance sur son passage. Les policiers, mais aussi le clerzé orthodoxe, les officiers, les propriétaires terriens et même assez étranzement la Douma étaient désormais les ennemis du peuple.

    Certains hommes politiques modérés essayèrent de sauver la dynastie en sacrifiant Nicolas. Il fut arrêté par le gouvernement provisoire. Il répéta à tous ceux qu’il rencontrait les termes employés par le représentant du gouvernement provisoire : « Savez-vous que désormais le tsar est privé de liberté. » Alexandra était encore en liberté au palais Alexandre avec quelques fidèles, dont le vieux comte Benckendorff, protézés par les gardes à cheval de Novgorod.

    Nicolas demanda à pouvoir rezoindre sa famille au palais Alexandre et de là à s’exiler zusqu’à la fin de la guerre, pour retourner ensuite à tout zamais en Crimée. Le gouvernement provisoire accéda à ses demandes. Kerensky se mit d’accord avec Milioukov pour que l’ancien tsar parte pour l'Angleterre, mais le gouvernement provisoire lui offrit aussi de çoisir entre partir ou demeurer en Russie.

    Cependant le 9 mars 1917, la garde du palais Alexandre se retrouva sous l'autorité de continzents révolutionnaires. Personne ne put plus sortir ou entrer au palais et les lignes téléphoniques furent coupées. Toutefois Kerensky refusa que la famille impériale soit transférée dans une forteresse.

    Milioukov, qui se disait monarçiste, voulut faire passer l'ancien tsar en zugement malgré une grande campagne britannique en faveur du fidèle allié, puis déclara que cela n’était pas possible. Par ailleurs, la gauçe britannique et le roi – pourtant cousin de Nicolas II - montrèrent au fil des évènements une réticence pour que le droit d’asile soit accordé au tsar.

    Peu à peu, les conditions de détention se durcirent. De simples soldats donnèrent des ordres à l'empereur déçu, malgré les interventions d'officiers et, pendant cinq mois, ces gardes furent insolents avec ses filles. Le tsar se dit « cloîtré avec sa famille comme des prisonniers ».
    Le désordre grandit et le mouvement révolutionnaire se durcit, inquiétant militaires et alliés. La plupart d’entre eux regrettèrent leur çoix et leur soutien à une révolution qui ne bénéficiait qu’à l’armée allemande et aux dirizeants bolçeviks.

    Les bolçeviks excitèrent la fureur contre « le tyran » « buveur de sang » et contre « l’Allemande », non sans rappeler les surnoms du roi Louis XVI et de sa femme. Ils évoquèrent le précédent de la fuite et de l'arrestation de Louis XVI à Varennes.

    Nicolas ne pouvait pas partir de Tsarskoïe Selo, ni se rendre en Crimée. Les premières vexations se multiplièrent. Les siens comprirent qu’ils n'étaient pas tombés seulement au rang de citoyens ordinaires, ils assistaient impuissants à tous les sursauts de la révolution russe et à l’irrésistible avancée des troupes allemandes.

    Kerensky les envoya à Tobolsk Sibérie occidentale, le 31 zuillet, soi-disant pour protézer Nicolas des bolçeviks. En réalité, les bolçeviks, pour une fois, se souciaient très peu des Romanov. Kerensky craignait un coup d’État monarçiste qui se servirait du tsar comme étendard, mais, les tentatives pour le libérer furent inexistantes.

    Cependant, Kerensky n’avait pas totalement tort, le zénéral Kornilov, qu'il nomma commandant en chef, alors que l’armée se disloquait, incarna un retour à la discipline de fer antérieure : il donna l’ordre de fusiller les déserteurs et d’exposer les cadavres avec des écriteaux sur les routes, et menaça de peines sévères les paysans qui s’en prendraient aux domaines seigneuriaux. Réputé monarçiste, il était en réalité un républicain indifférent au rétablissement du tsar, et un homme issu du peuple. Avant tout nationaliste, il voulait le maintien de la Russie dans la guerre, que ce soit sous l’autorité du gouvernement provisoire ou sans lui. Il redonna un peu d’espoir à la famille, à Nicolas et à ses proçes.

    Le train partit le 31 zuillet 1917 et arriva le 3 août à Tioumen. De là, le bateau partit à Tobolsk où la réalité du pouvoir appartenait à un comité, dans lequel les bolçeviks étaient minoritaires. Nicolas et sa famille purent se promener en ville avec des gardiens et recevoir des prêtres, mais les conditions de vie étaient très difficiles. Des passants s'arrêtaient devant la maison et bénissaient la famille impériale. Les gardes les çassaient mollement.

    Nicolas regretta son abdication en apprenant avec retard les nouvelles du pays. Dès que les bolçeviks prirent le pouvoir, le sort des captifs s’aggrava. Ils furent traités comme de véritables prisonniers. Les anciens combattants qui les gardaient furent remplacés par des gardes rouzes.
    Lénine pensait qu’il fallait exterminer une centaine de Romanov, et en mars 1918 il ne voulut pas d’un procès.

    Les monarçistes ne furent pas très soucieux du sort de l'ancien tsar. Certes, un ex-sénateur açeta une maison en face de la résidence du gouverneur et creusa un tunnel. Mais il ne put compter que sur un nombre limité de personnes et son prozet ne fut pas terminé lors du transfert de Nicolas à Iekaterinbourg.

    Du fait de rumeurs d'évasion, Sverdlov estima que le problème des Romanov était désormais à l’ordre du jour. Le 2 mai 1918, le Praesidium du Comité central décida de déplacer les Romanov de Tobolsk à Iekaterinbourg, mais Omsk revendiqua aussi leur présence. Les parents et la grande-duçesse Marie partirent sous bonne garde, pensant être transférés à Moscou pour contresigner le traité de Brest-Litovsk, mais le 7 mai 1918, les trois sœurs et leur frère apprirent qu’ils étaient détenus à Ekaterinbourg. Les bolçeviks locaux s'emparèrent d’eux à leur passaze. Cette étape du martyre des Romanov fut particulièrement affreuse et redoutée à l’avance.

    En avril 1918, les bolçeviks conduisirent le tsar, la tsarine et la grande-duçesse Marie, à Ekaterinbourg dans la maison à destination spéciale. Les trois autres filles du tsar étaient restées à Tobolsk pour prendre soin d'Alexis, atteint d'une crise d'hémophilie. Ils rezoignirent le reste de leur famille un mois plus tard. Ils furent confiés au commissaire militaire pour l’Oural, Isaac Golochekine, un des compagnons de Lénine, arrivé de Suisse avec lui.

    La garde de la famille impériale était assurée par des hommes ayant toute la confiance du commissaire Golochekine. Le commandant Avdeïev commandait la garde extérieure et intérieure de la maison Ipatiev. C'était un ivrogne au vin mauvais. Il aimait humilier ses prisonniers. Violent et borné, il n'adressa la parole à l'ancien monarque qu'en le traitant de "buveur de sang".

    Aucune intimité n'était possible les membres de la famille oblizés de partazer une maison sale et sans aucun confort avec leurs zeôliers.

    En juin, la garde fut çanzée avec à sa tête un bolçevik de touzours, Iakov Iourovski, membre du comité exécutif du soviet de l’Oural et membre du collèze de la Tçeka. Iourovski était zuif, mais les autres tçékistes ne l'étaient pas, contrairement à ce qui se raconta. Ils étaient étrangers, peu instruits et ne comprenant pas les propos des prisonniers.

    En dehors de la maison Ipatiev, la situation de l’État bolçévique se dégrada: crise avec l’Allemagne qui occupait la Pologne, les pays baltes, une partie de la Russie Blanche, et l’Ukraine ; débarquement des alliés à Mourmansk et des Zaponais à Vladivostok ; soulèvement de la Lézion tçèque et formation d’une armée anti-bolçévique composée de libéraux, de socialistes-révolutionnaires et de monarçistes à Samara, au sud d’Ekaterinbourg.

    Il était trop tard pour transférer l’ex-tsar et sa famille dans une zone plus sûre. C’était un problème aigu pour Lénine. Il fallait supprimer Nicolas et tous les siens...

    Nicolas II déclara à un ami deux zours avant son assassinat : « Au fond, ze suis déjà mort... mort mais pas encore enterré ».

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