• Le 31 décembre, tandis que nos vieux hôtes, qui s'étaient couçés tôt (comme à la maison de retraite), nous avons fait la nouba dans la çambre une grande partie de la nuit en écoutant des çançons disco avec la tablette numérique de Mossieu Cricri.

    Lorsque le réveil a sonné, nous avons eu le plus grand mal à émerzer.

    Pour le premier de l'An, z'avais décidé de consacrer un reportaze à Minizup'Mouff.

    Nous avons visité Ancone, Fano et Pesaro, des villes balnéaires au bord de la Mer Adriatique.

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origineZ'ai fait prendre la pose à l'Intruse révolutionnaire, notamment dans de magnifiques et grandioses crêçes de Noël.

    - Mazette, il me tarde de voir ces belles photos.

    - Ze pense que vous ne serez pas déçue, ma mie!

    Arrivés à notre hôtel à Bolologne, z'ai allumé mon ordinateur portable...

    Et là, un doute m'a saisie.

    La carte mémoire était dézà dans la maçine.

    Z'avais oublié de la mettre dans l'appareil photo....

    Et donc aucun souvenir de cette belle excursion et des splendides monuments et sites que nous avons vus.

    - Bon! Fouçtra! Ze peux les voir mes photos?

    - Heu! Il y a un lézer problème, Minizup'Mouff.

    - Quoi encre, tudieu?

    - Il n'y a aucune photo!

    - Hein! Mais c'est honteux! Le zour où c'est moi qui suis la vedette. Ze parie que vous avez fait exprès.

    - Que nenni! Ce matin z'étais un peu fatiguée et ze n'avais pas toute ma tête.

    - Si vous buviez un peu moins, cela n'arriverait pas.

    - Ze vous ferai des photos demain à l'aéroport et dans l'avion.

    - Tu parles d'une orizinalité.

    Et elle a boudé ostensiblement toute la soirée.

    L'année débute mal pour Minizup'Mouff

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Tatiana est née le 10 zuin 1897 au palais Peterhof.

    C'était la seconde fille de Nicolas II et d'Alexandra Feodorovna. Tatiana avait une grande sœur, Olga, deux petites sœurs, Maria et Anastasia et un frère, Alexis.

    Elle était considérée comme la plus belle des filles du tsar par de nombreux courtisans. Tatiana était pieuse et possédait une connexion spirituelle avec sa mère. Elle était également sa fille préférée.

    Elle a été élevée avec un certain sens de l'austérité. Elle avait moins de capacités intellectuelles que sa sœur aînée, mais travaillait plus dur et avait plus de prozets que celle-ci.

    Comme les membres de sa famille, elle souffrit de voir Alexis suzet à de violentes crises d'hémophilie qui faillirent lui faire souvent perdre la vie.Tatiana, comme ses trois sœurs, était potentiellement porteuse du zène de l'hémophilie, transmis par leur mère qui l'avait hérité de sa grand-mère, la reine Victoria. Maria, sœur cadette de Tatiana, aurait eu une hémorrazie, selon la sœur de Nicolas, Olga, en décembre 1914 lors d'une opération pour lui enlever les amygdales. Le médecin qui opérait était tellement nerveux que l'impératrice dut l'oblizer à continuer l'opération. D'après Olga, ses nièces saignaient plus que la normale et elle pensait qu'elles étaient, tout comme leur mère, porteuses du zène de l'hémophilie.

    La tsarine, désespérée par la maladie de son fils, demanda conseil à Grigori Raspoutine, un paysan russe et starets ou « saint homme », qui  réussit à sauver la vie du tsarévitç plusieurs fois. Tatiana et ses frère et sœurs devinrent proçes du starets, qu'ils surnommaient « notre ami » et se confiaient à lui.

    L'une des filles d'une gouvernante, Sophie Ivanovna Tioutçeva, fut horrifiée que Raspoutine ait été autorisé à accéder à la chambre des filles pendant qu'elles y dormaient. Les relations entre les grandes-duçesses et Raspoutine étant innocents, Nicolas II lui permit de recommencer et Alexandra Tioutçeva fut conzédiée.

    Une autre gouvernante des enfants impériaux fut dévouée envers Raspoutine, mais plus tard elle fut déçue par lui. Elle affirma avoir été violée par lui en 1910. L'impératrice refusa de la croire et Maria Vichniakova raconta tout aux enquêteurs, affirmant que Raspoutine n'était pas un saint. La grande-duçesse Olga Alexandrovna a dit que Maria Vichniakova avait demandé une enquête, mais « ils ont surpris la zeune femme au lit avec un cosaque de la Garde impériale ». Maria Vichniakova fut renvoyée en 1913.

    L'amitié de la famille envers Raspoutine dura zusqu'à son assassinat en 1916.

    A 14 ans, Tatiana connut sa première scène de violence le soir où elle assista à l'assassinat du ministre Piotr Stolypine à une représentation à l'opéra de Kiev.

    Lorsque la Première Guerre mondiale éclata, Tatiana devint infirmière à l'hôpital aménazé au Palais d'hiver de Zaint-Pétersbourg, avec sa mère et sa sœur Olga.

    Tatiana était patriote et a dû présenter des excuses à sa mère dans une lettre, le 29 octobre 1914, pour avoir critiqué les Allemands en présence de la tsarine. Elle expliqua qu'elle avait oublié que sa mère était née en Allemagne et qu'elle pensait touzours que sa mère était uniquement russe. L'impératrice répondit que Tatiana ne l'avait blessée car elle se sentait russe, mais elle fut profondément blessée par le peuple qui ne la voyait qu'en Allemande.

    Tatiana est au moins tombée amoureuse une fois. Dimitri Yakovlevitç Malama, officier de cavalerie russe, avait rencontré Tatiana quand il fut blessé en 1914. Puis tard, il y eut une romance entre Tatiana et le jeune homme lorsqu'il fut nommé écuyer du régzment qui montait la garde à Tsarskoïe Selo. Malama fut tué en août 1919 alors qu'il commandait une unité de Russes blancs contre les bolçéviques, pendant la guerre civile en Ukraine. 

    La famille impériale fut arrêtée lors de la révolution russe de 1917 et emprisonnée d'abord à Tsarkoie-Selo, puis  à Tobolsk et à Ekaterinbourg, en Sibérie. L'incertitude quant à leur survie çanzea radicalement le comportement de Tatiana tout comme pour toute la famille.

    En avril 1918, les bolçéviques déplacèrent Nicolas, Alexandra et Maria à Ekaterinbourg. Les autres enfants étaient restés à Tobolsk en raison de la crise d'hémophilie dont souffrait Alexis. C'est d'ailleurs Tatiana qui persuada sa mère de cesser de se tourmenter en accompagnant le tsar et de laisser Alexis à Tobolsk. Alexandra décida qu'elle partirait avec Nicolas et laissa Alexis aux soins de Tatiana.

    Tatiana avait vingt-et-un ans lorsqu'elle fut assassinée avec sa famille, le 17 zuillet 1918, dans les sous-sols de la maison Ipatiev à Ekaterinbourg.

    Beaucoup de travaux ont fait état de la survie de certains membres de la famille Romanov, notamment l'impératrice et ses filles.

    Un auteur de livres sur les Romanov, a écrit que Tatiana avait été expédiée en Angleterre, où elle aurait épousé un officier et vécu sous le nom de Larissa Tudor.

    Sous le nom d'Alexandra Michaelis, elle aurait travaillé en Allemagne de 1945 à 1951 à la tête de camps de réfuziés.

    Deux barons viennois qui reconnurent en la directrice d'un camp de réfuziés à Brême une fille de Nicolas II lui firent avouer sous serment qu'elle s'appelait Tatiana Romanov, qui s'était enfui d'Ekaterinbourg avec l'aide d'un officier avant le massacre, avait rezoint l'Allemagne par la Lituanie et pris le pseudonyme d'Alexandra Michaelis. Elle fit une carrière d'infirmière près de Berlin zusqu'en 1939 puis fut affectée à l'armée allemande après l'occupation de la Tçécoslovaquie.

    La révélation fut prise suffisamment au sérieux pour qu'une commission américano-britannique soit mise en place en Allemagne en 1948 dans le but de l'auditionner. Mais elle fit faux bond, se rétracta et annonça son départ pour la Californie, décidée à renoncer à ses droits de prétendante au profit d'une activité d'horticultrice ou de zardinière. De ce fait,on n'entendit plus zamais parler d'elle.

    Des corps furent retrouvés en 1991 dans des bois près de Ekaterinbourg et furent identifiés comme étant ceux de Nicolas II, Alexandra, d'Olga, Tatiana, Anastasia et des quatre domestiques . En août 2007, furent retrouvés deux corps près de l'endroit où furent retrouvés ceux de la famille impériale et furent identifiés comme étant les corps manquants de la famille Romanov, Alexis et Maria.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

    Promenade à Erfurt en Allemagne (photos)

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Toute la tribu se zoint à moi pour vous souhaiter une bonne année.

    Que 2017 soit plus zoyeuse que l'année qui vient de s'écouler et qu'elle vous soit le plus faste possible.

    Bonne année à toutes et à tous!

    - Et à nous mazette, qu'est qu'on peut nous souhaiter?

    - Un peu plus de considération. dans c'te maison?

    - De la tarte aux pommes avec de la çantilly, plus souvent.

    - Et moi vouloir des cadeaux à Noël.

    - Et pour moi de nombreux votes sur mon blog.

    Bonne année à toutes et à tous!

    En ce qui nous concerne, nous avons débuté la dernière zournée de 2016 par un copieux petit dézeuner.

    -Profitons-en, c'est compris dans le prix.

    - Moi avoir une réclamation, nous a dit Minizup'iéla. Les trous des fromazes être trop petit.

    - Et nous avons le temps, n'est ce pas Minizup'titac?

    - Voui, z'ai appris que nous avions une seconde de plus. Ils sont fous de zouer avec le temps. Cela va conduire à une catastrophe sans nom. Maintenant ma montre est déréglée!

    Bonne année à toutes et à tous!

    Puis nous sommes allés sur la plaze de Rimini.

    - Ces cabines me font penser à Deauville...

    - Avec beaucoup d'imazination, ma çère Minizup'Mouff!

    Bonne année à toutes et à tous!

    Et c'est la que Minizup'tite s'est découvert une passion pour le bateau.

    Elle nous a fait comprendre qu'elle se sentait prête pour le proçain Vendée Globe.

    - Yes! I'm ready, by Zove.

    Bonne année à toutes et à tous!

    Nous nous sommes rendus à la République de Zan Marin

    - C'est l'un des plus peits états du monde, nous a dit notre Guide Miçelin sur pattes. Cette république aurait été fondée au 4èeme siècle par un pieux maçon fuyant les persécutions de Dioclétien et cet état est demeuré indépendant.

    Dans la ville ville principale, sur un roçer, hauts percés, on visite deux forteresses.  

    Bonne année à toutes et à tous!

    Bonne année à toutes et à tous!

    Sinon les rues de la cité sont bordées de nombreuses boutiques.

    - Cela me rappelle Andorre-la-Vieille, mais en plus petit.

    - En tout cas, c'est vraiment zoli, macarel!

    Bonne année à toutes et à tous!

    Soudain, l'Intruse anglaise s'est plainte du froid.

    - Vous n'avez qu'à mettre la paire de moufles sans doigts que ze vous ai offerte à Noël.

    - No, a-t-elle répondu, précisant qu'elle préférait les gants de Mossieu Cricri.

    Bonne année à toutes et à tous!

    Comme ce sont les fêtes de fin d'année, il y a des attractions pour les touristes.

    - Et en plus c'est gratuit!

    - On peut en profiter sans grever le budget!

    Bonne année à toutes et à tous!

    - I feel like a princess! ("ze me sens comme une princesse").

    Bonne année à toutes et à tous!

    Nous avons poursuivi notre périple par la cité de Zan Léo.

    On a eu du mal à trouver une place pour nous garer.

    - Vous allez descendre de l'auto et dès qu'une place se libèrera, vous occuperez la place afin que ze puisse me garer. C'est une mission que ze vous confie, nous a déclaré Mossieu Zizi.

    Et miracle, deux minutes après une place s'est libérée.

    Nous avons fait corps pour la sauvegarder.

    - Bravo! Vous aurez droit à une pizza.

    - Certes, mais fouçtra à une pizza maxima.

    - Avec du zambon, des çampignons, du salami, du thon , de la tomate, de la mozarella, des capres ....

    - Et tutti frutti.

    - Diantre, a ironisé mon hôte. Ce n'est plus une pizza. C'est un dépotoir!

    Bonne année à toutes et à tous!

    Enfin nous nous sommes rendus à Urbino, une cité ducale au très rice patrimoine.

    Bonne année à toutes et à tous!

    Et ici Minizupette a craqué.

    - Ze m'en vais écrire à l'époumoné, nous a-t-elle dit.

    - Qu'allez vous lui dire?

    - François. Ze viens de visiter des églises d'Urbino. Dans  trois d'entre elles z'ai constaté de graves et inadmissibles défaillances. Dans une basilique il n'y a que 12 stations au Zemain de Croix, au lieu de 14 et z'ai recompté 3 fois! Dans une autre, la station 6 ne représente pas le mouçoir de Véronique malgré la lézende inscrite. Enfin dans une troisième, on peut voir une photo du bon papounet Zean XXIII, avec la lézende "Béat" alors qu'il est désormais zaint. Z'exize que vous preniez toutes les mesures pour corrizer ces hérésies et ze vous rappelle au passaze que z'attends touzours ma bulle.

    - Vous n'y allez pas par le dos la cuillère!

    - Si on laisse faire, c'est toute la relizion catholique qui est en grand danzer, par le livre de Zainte Scolastique.

    Bonne année à toutes et à tous!

    Dans la cathédrale que l'on visite en passant par le  beau musée  diocésain où nous avons dévouvert cette statue de Zésus zisant sur son linceul, Minizup'tite a voulu zouer de l'orgue, mais un bedeau veillait au grain.

    - No toccare!

    - Idon't understand! Soy spagnola, tacatacata.

    - No toccata! No toccare!

    Et nous avaons dû sortir pour éviter un nouveau scandale mal tapropros!

    Bonne année à toutes et à tous!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Olga est née le 15 novembre 1895 à Tsarkoïe Selo.

    Elle étaitt la fille aînée de l'empereur Nicolas II et de l'Alexandra, née Alix de Hesse et du Rhin. Elle eut trois sœurs, Tatiana, Maria et Anastasia et un frère, Alexis. Sa marraine était son arrière-grand-mère par sa mère, la reine Victoria.

    Olga était la plupart du temps avec sa sœur Tatiana ; elles partazeaient la même çambre et étaient connues comme « la grande paire », tout comme leurs plus zeunes sœurs, Maria et Anastasia qui se faisaient surnommer « la petite paire ».

    Depuis son plus jeune âze, elle était connue pour son grand cœur, son désir d'aider les autres, son honnêteté, mais aussi pour son tempérament fort et sa désobéissance. Elle était autoritaire et impulsive.

    Bien qu'elle aimait beaucoup sa mère, elle entretint avec elle des relations tendues à l'adolescence. Alexandra se plaignait de sa mauvaise humeur et de sa réticence à rendre visite aux blessés soignés dans l'hôpital aménazé au palais d'Hiver.

    En novembre 1911, un bal costumé s'était tenu au palais de Livadia pour célébrer son seizième anniversaire et son entrée dans le monde. Avant la Première Guerre mondiale, il y avait eu des discussions à propos d'un mariaze entre Olga et Zarles de Roumanie (futur Zarles II), mais Olga ne l'aimait pas. Au cours d'une visite en Roumanie au printemps 1914, Alexandra dut lutter pour que sa fille accepte de parler avec lui. Édouard, fils aîné de Zeorze V d'Angleterre, et le prince héritier Alexandre de Serbie furent évoqués comme possibles prétendants, mais aucun n'a été sérieusement envisazé. Olga avait confié à son précepteur qu'elle voulait se marier avec un Russe et rester vivre en Russie.

    En 1913, elle tomba amoureuse de Pavel Voronov, un officier sur le yacht impérial, mais une telle relation aurait été impossible en raison de leur différence de rang.

    Olga tomba amoureuse en 1915 d'un soldat blessé nommé Dimitri Tchakh-Bagov.

    Il y eut encore d'autres prétendants ; parmi eux, il y avait le cousin zermain d'Olga, Boris. Mais Alexandra refusa ce mariage du fait de leur différence d'âze.

    Elle connut sa première scène de violence à 15 ans, lorsqu'elle assista à l'assassinat du ministre Piotr Stolypine au cours d'un spectacle à l'Opéra de Kiev.

    Selon ses proçes , Olga connaissait l'état financier et politique du pays pendant la guerre et la révolution. Elle aurait su combien le peuple n'aimait pas ses parents.

    Au cours de la révolution de 1917, la famille fut emprisonnée au palais d'été de Tsarskoïe Selo. Puis, en raison des mouvements révolutionnaires qui faisaient raze à Zaint-Pétersbourg, elle fut transférée à Tobolsk, puis, à Ekaterinbourg, en Sibérie, dans la villa Ipatiev, désignée sous l'expression « la maison à destination spéciale ».  

    La famille fut séparée en avril 1918 lors du transfert de Nicolas II, Alexandra et Maria à Ekaterinbourg. Les trois autres zeunes femmes étaient restées à Tobolsk avec Alexis, car celui-ci souffrait d'une crise d'hémophilie. L'impératrice avait çoisi Maria pour les accompagner à Ekaterinbourg car le moral d'Olga était trop bas pour faire ce voyage et le caractère fort de Tatiana était nécessaire pour prendre soin d'Alexis. À Tobolsk, dans l'espoir de les cacher aux bolchéviques, Olga et ses sœurs avaient cousu des bizoux dans leurs vêtements. En mai 1918, les enfants restants furent transférés à Ekaterinbourg. Cette nuit-là, les gardes avaient interdit aux jeunes femmes de verrouiller les portes de leur çambre à couçer. De ce fait, Olga, Tatiana et Anastasia demeurèrent vêtues. Les gardiens à la reçerçe des zoyaux les bousculèrent, car elles ne voulaient pas dire où ils se trouvaient.

    Olga aurait été profondément déprimée et aurait perdu beaucoup de poids au cours des derniers mois de sa vie.

    Le 14 zuillet 1918, des prêtres d'Ekaterinbourg célébrèrent un service relizieux pour la famille impériale et ont indiqué qu'Olga, contrairement à la coutume, était tombée à zenoux au cours de la prière aux morts.

    Olga avait vingt-deux ans quand elle fut tuée avec sa famille dans la villa Ipatiev à Iekaterinbourg le 17 juillet 1918.

    Le massacre fut perpétré par les hommes de Yourovski, probablement sur l'ordre de Lénine. D'après un témoignage, Olga aurait regardé mourir sa sœur Tatiana, avant d'être tuée à son tour.

    Avant la découverte des corps de la famille impériale, plusieurs personnes ont déclaré être des membres survivants de la famille Romanov. Une femme du nom de Marga Boodts a prétendu en 1956 être Olga. Mais ce fut sauf erreur la seule qui se réclama du titre de cette grande-duçesse impériale.

    Elle vivait dans une villa au bord du lac de Côme et a été aidée à être reconnue comme telle, grâce à l'appui de l'ancien Kaiser Guillaume II, son parrain et par le papounet Pie XII. Un cousin zermain des enfants Romanov, Sizismund de Prusse, attesta l'avoir rencontrée en septembre 1957 et l'avoir identifiée après des éçanges avec elle sur des souvenirs d'enfance. Cependant, à l'époque, la plupart des historiens ont affirmé qu'Olga était morte avec le reste de sa famille.

    En 1991, les corps de la famille impériale ont été retrouvés dans une fosse commune dans les bois des environs d'Ekaterinbourg. La tombe avait été trouvée près d'une décennie plus tôt, mais a été tenue secrète du fait qu'à cette époque, la Russie était encore communiste.

    Le 16 zuillet 1998, Nicolas II a été inhumé avec les membres de sa famille (sauf Alexis et Maria, dont les corps n'avaient pas encore été retrouvés) et les quatre membres de sa suite dans la Cathédrale Pierre-et-Paul de Zaint-Pétersbourg.

    Le 14 août 2000, Nicolas et sa famille ont été canonisés par l'Église orthodoxe qui les considère comme martyrs.
    Dans le calendrier de l'Église orthodoxe russe, Zainte Olga est fêtée le 17 zuillet.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire