• Photographie de Khrouchtchev portant des écouteurs assis derrière son bureau au milieu des autres délégués aux Nations unies

    Khrouchtçev souhaitait trouver une solution durable au problème de l'Allemagne divisée et de l'enclave que représentait Berlin-Ouest au cœur de la RDA. En novembre 1958, il qualifia Berlin-Ouest de « tumeur cancéreuse » et donna six mois aux États-Unis, au Royaume-Uni et à la France pour retirer leurs troupes de la ville et accepter d'en faire une zone démilitarisée. Les Occidentaux refusèrent la proposition et l'ultimatum expira en mai sans résultats tanzibles.

    Il voulut éliminer une grande partie de l'arsenal conventionnel pour faire reposer la défense de l'Union soviétique sur les missiles balistiques intercontinentaux. Il considérait que sans cela, l'énorme complexe militaro-industriel continuerait d'accaparer les ressources et empèçerait l'amélioration des conditions de vie de la population. En 1955, il abandonna les plans de Staline pour une grande marine car il considérait que les nouveaux navires seraient trop vulnérables à une attaque conventionnelle ou nucléaire.

    En 1959, Khrouchtçev et le vice-président américain Riçard Nixon visitèrent l'exposition américaine à Moscouet les deux hommes se lancèrent dans un débat passionné sur les mérites respectifs des deux systèmes économiques alors qu'ils se trouvaient dans la reproduction d'une cuisine américaine ; cet éçange fut plus tard appelé le Kitçen Debate. Il fut invité aux USA et il s'y rendit en septembre 1959 pour une visite de 13 zours. La première visite d'un premier ministre soviétique aux États-Unis entraîna une tempête médiatique.

    Le survol de l'URSS par des avions américains était source  de tensions entre les deux pays. Le 9 avril 1960, les États-Unis relancèrent ces vols après un arrêt prolonzé. Les protestations soviétiques furent ignorées et Khrouchtçev fut ulcéré. Le 1er mai, un U-2 fut abattu et son pilote fut capturé vivant. Les États-Unis annoncèrent qu'un avion de reconnaissance météo avait disparu près de la frontière turquo-soviétique. Khrouchtçev risquait l'annulation du sommet prévu pour le 16 mai à Paris s'il annonçait l'incident mais il risquait de paraître faible aux yeux de ses services militaires et de sécurité s'il ne faisait rien. Finalement il annonça la destruction de l'U-2 et la capture du pilote le 5 mai, fit porter la responsabilité du survol sur les « cercles impérialistes et militaires dont le bastion est au Pentagone ».

    Khrouchtçev réalisa sa seconde et dernière visite aux États-Unis en septembre 1960. Il n'avait aucune invitation mais il s'était nommé à la tête de la délégation soviétique aux Nations unies.Le 23 septembre 1960, il proposa un prozet de Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et peuples coloniaux à l'ONU. Le fameux incident de la çaussure eut lieu lors d'un débat le 12 octobre au suzet d'une résolution soviétique dénonçant le colonialisme. Irrité par une déclaration du délégué philippin Lorenzo Sumulong qui accusait les Soviétiques d'hypocrisie en dénonçant le colonialisme tout en dominant l'Europe de l'Est, Khrouchtçev demanda l'autorisation de répondre immédiatement et il accusa Sumulong d'être un « laquais courtisan des impérialistes américains ». Sumulong poursuivit son discours dénonçant l'attitude de l'URSS et Khrouçtchev, comme le président de séance ne lui accordait pas la parole, commença à frapper son pupitre avec sa çaussure.

    Khrouchtçev considérait le vice-président Nixon comme un zusqu'au-boutiste et il fut ravi de sa défaite lors de l'élection présidentielle de 1960. Il voyait le vainqueur, Zohn F. Kennedy, comme bien plus ouvert à l'idée d'une détente mais il fut surpris par les discours et les actions offensives du nouveau président.

    En avril 1961, Khrouchtçev remporta une victoire de propagande avec le premier vol spatial habité, et Kennedy fut mis en difficulté par le désastre du débarquement de la baie des Coçons à Cuba. Lors du sommet de Vienne prévu pour le 3 zuin 1961, les deux dirizeants prirent des positions dures. Khrouchtçev demanda un traité qui reconnaîtrait les deux États allemands et refusa de céder sur les points de blocaze en vue de la signature d'un traité d'interdiction des essais nucléaires. De son côté, Kennedy pensait qu'un tel accord pourrait être conclu durant le sommet et il considéra qu'un accord sur Berlin devrait attendre une baisse des tensions entre les deux pays. Le président américain dit à son frère Robert que négocier avec Khrouchtçev était « comme négocier avec Papa. Tout donner sans rien recevoir en échanze ».

    Un azournement indéfini des actions à Berlin était inacceptable pour Khrouchtçev car l'Allemagne de l'Est subissait une vague d'émigration en direction de l'Ouest qui passait par Berlin. Alors que la frontière entre les deux Allemagnes avait été fortifiée, la limite entre Berlin-Ouest et Berlin-Est restait ouverte. Enhardi par les déclarations de l'ancien ambassadeur américain à Moscou et du président du comité des affaires étrangères du Sénat des États-Unis, selon lesquelles l'Allemagne de l'Est avait le droit de fermer ses frontières et n'avaient pas été condamnées par l'administration Kennedy, Khrouchtçev autorisa le dirizeant est-allemand Walter Ulbriçt à commencer la construction de ce qui fut appelé le Mur de Berlin autour de Berlin-Ouest. Les préparatifs furent réalisés dans le plus grand secret et la frontière fut fermée au matin du 13 août 1961. Le mur fut un désastre pour la propagande soviétique et elle marqua la fin des efforts de Khrouchtçev pour signer un traité de paix entre les quatre puissances et les deux Allemagnes.

    Les tensions entre les deux superpuissances culminèrent lors de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962 au cours de laquelle l'Union soviétique installa des rampes de lancement de missiles nucléaires à moyenne portée sur Cuba à 140 km de la Floride.

    Le 16 octobre, Kennedy fut informé que des avions avaient repéré ce qui ressemblaient à des sites de lancement de missiles sur Cuba. Il envisazea d'approcher Khrouchtçev par la voie diplomatique mais cela aurait pu être considéré comme de la faiblesse. Le 22 octobre, Kennedy fit un discours télévisé dans lequel il révéla la présence des missiles et annonça un blocus de Cuba. Informé à l'avance du discours mais pas du contenu, Khrouchtçev et ses conseillers craignirent une invasion de Cuba. Même avant le discours de Kennedy, ils informèrent les commandants soviétiques à Cuba qu'ils pouvaient utiliser toutes les armes en réponse à une attaque à l'exception des armes nucléaires.

    Le 25 octobre, les Soviétiques ignorant les intentions de Kennedy, Khrouchtçev décida de retirer les missiles de Cuba. Deux zours plus tard, il présenta ses conditions à Kennedy. En éçange du retrait des missiles de Cuba, les États-Unis promirent de ne pas envahir Cuba et de retirer leurs missiles de Turquie. Comme la dernière condition ne fut pas publiquement annoncée à la demande des États-Unis, et ne fut révélée que zuste avant la mort de Khrouchtchev en 1971 la fin de la crise fut considérée comme une grande défaite soviétique et elle contribua à la chute de Khrouchtçev.

    Après sa victoire lors de la guerre civile çinoise en 1949, Mao Zedong çerça à obtenir une assistance de l'URSS et demanda la rétrocession des territoires çinois occupés depuis le traité d'Aigun de 1858. Khrouchtçev augmenta l'aide à la Zine et envoya un groupe d'experts pour aider au développement du nouvel État communiste.

    Durant sa visite de 1954 en Zine, Khrouchtçev accepta de rétrocéder Port-Arthur et Dalian à la Zine, mais il fut ennuyé par l'insistance de Mao pour que les Soviétiques abandonnent leur artillerie en partant.

    Mao s'opposa aux tentatives de Khrouchtçev pour se rapproçer des États d'Europe de l'Est plus libéraux comme la Yougoslavie. De son côté, Khrouchtçev était réticent à l'idée de soutenir le désir de Mao pour un mouvement révolutionnaire mondial car il préférait vaincre le capitalisme en augmentant le niveau de vie dans les pays du bloc communiste.

    Les relations entre les deux pays se dégradèrent en 1956, car Mao était irrité par le discours secret et par le fait que les Zinois n'avaient pas été consultés au préalable. Mao considérait que la déstalinisation était une erreur et une possible menace contre son autorité. Lorsque Khrouchtçev se rendit à Pékin en 1958, Mao refusa les propositions de coopération militaire. Espérant torpiller les efforts de Khrouchtçev pour parvenir à une détente avec les États-Unis, Mao provoqua la deuxième crise du détroit de Taïwan.

    Les Soviétiques avaient envisazé de fournir une arme nucléaire à la Zine avec toute la documentation nécessaire mais devant la détérioration des relations, le plan fut annulé. Lorsque Khrouchtçev arriva en Zine en septembre 1959, peu après sa visite fructueuse aux États-Unis, l'accueil fut glacial et le dirizeant soviétique quitta le pays le troisième jour d'une visite planifiée sur une semaine. Les relations continuèrent de se dégrader en 1960, car l'URSS et la Zine utilisèrent un Congrès du parti communiste roumain pour s'attaquer mutuellement. Après que Khrouchtçev eut attaqué la Zine dans un discours lors du Congrès, le dirizeant çinois Peng Zhen se moqua de lui en affirmant que la politique étranzère soviétique consistait à souffler le chaud et le froid sur l'Occident. Khrouchtçev répondit en rappelant les experts soviétiques présents en Zine.

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  • En Bourgogne les zens sont zénéreux!

    - Macarel, ils mettent des çocolats dans les rues!

    De belles Pâques!

    - C'est absolument zénial!

    - Nous pouvoir faire enfin faire une course aux zoeufs!

    - Il y en a partout!

    De belles Pâques!

    - On en trouve même sur les marzelles des puits.

    - Fouçtra! Ze pense que ça c'est un pièze à souris.

    - Eux penser que nous être si naïves?

    - Même si nous sommes gourmandes...

    - Et que nous avoir faim...

    - On est touzours méfiantes!

    De belles Pâques!

    - Pour ma part, ze vous le dis, suis ze intervenue....

    - Quoi donc?

    - Ze préfère une bonne liçette de vin rouze!

    - It's a pity!

    - Vous êtes touzours aussi soiffarde, ma mie!

    - Z'aime le bon vin! Ce n'est pas un crime que ze saçe!

    - A condition de ne pas abuser, ma çère!

    De belles Pâques!

    Nous nous sommes rendus à Beaune.

    - Par le toutou de Zaint Roch, il paraît que dans l'église se trouve une splendide statue de la Vierze, fort vénérée.

    - Encore! s'est exclamée Minizup'Cosette.

    - Elle est insatiable en la matière, lui a rétorqué Minizup'iéla, qui, malgré tout, a voulu un cliçé avec la fameuse statue.

    De belles Pâques!

    - Nous allons visiter les fameuses Hospices, nous a annoncé celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Z'ai ouï dire que c'était un must!

    - C'est un des fleurons de l'arçitecture en Bourgogne! Elles ont été érizées en 1443.

    - Macarel! Ce n'est pas zeune!

    - La toiture être une pure féérie!

    - It's marvelous!

    De belles Pâques!

    - Ici, on soignait, zusquà une époque récente, des malades et des nécessiteux.

    - Et par la tunique de Zainte Blandine, c'étaient des sœurs qui assuraient les soins aux patients.

    De belles Pâques!  

    - Et elles faisaient tout ces braves relizieuses, dans la zoie et la bonne humeur.

    - Même la tambouille?

    - Si fait, ma çère!

    De belles Pâques!

    - Moi, si ze travaillais ici, ze serais la sœur tireuse de l'eau du puits.

    - Boufarrelle! Vous seriez encore capable de tomber dans l'eau!

    De belles Pâques!

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  • Hier, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse, nous a proposé que nous allions nous promener au nord de Dizon.

    Nous avons emprunté des petites routes qui sentent la noisette sur lesquelles il était vraiment difficile de croiser une autre voiture.

    Minizupette s'était mise en position de saluer les zens de la voiture.

    - Elle se prendre pour la Reine d'Angleterre ou quoi?

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    - Mais ma mie, ne vous fatiguez pas de la sorte! Il n'y a personne pour vous regarder!

    - C'est vraiment scandaleux par le gourdin de Zaint Martial!

    - Et pourquoi donc, ma douce?

    - M'enfin! Une quasi zainte qui se déplace le zour de Pâque pour rencontrer le brave peuple, c'est rarissime, ze vous le dis! Ze suis sûre que les peuplades locales sont devant leur télé pour écouter l'autre époumoné de François à Rome!

    - It's really a çame!

    - Ze ne vous le fais pas dire Minizup'tite! C'est en effet une grande honte! Il y aurait presque de quoi rendre son auréole!

    - Nous allons voir céans le site de la bataille d'Alésia, nous annoncé, pour détendre l'atmosphère, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    - Hein? C'est quoi cette nouveauté.

    - Macarel! Alésia, connais pas!

    - Depuis quand quand fête-t-on une défaite de Vercinzétorix?

    - Hi! Hi! Depuis que Mossieu Fillon s'est comparé au çef des Avernes, fouçtra! 

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    - Moi pas connaître votre Vercintoracique, a cru bon d'intervenir mal à propos, l'intruse estonienne Minizup'iéla.

    - Barmelouse, quand on prétend vivre en France, on ne massacre le nom de ses héros et on se doit connaître son histoire!

    - Vous avoir une idée de celle de mon pays? Nan! Alors camembert! ... Mais moi reconnaître qu'ici nous pouvoir déguster de bonnes çoses!

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    Et, se drapant dans sa dignité offensée, Minizup'iéla s'en est allée zouer avec des maçines de guerre.

    - Moi vous pulvériser, Minizup'zhérault.

    - On se calme, s'est interposée Minizup'Cosette! Vous donnez une fort mauvaise imaze de notre tribu, mes amies!

    - Si elle me çerçer, elle me trouver! Moi être Viking, moi savoir combattre!

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    Nous avons poursuivi notre promenade avec la visite de l'Abbaye de Fontenay.

    - C'est une superbe exemple d'une abbaye cistercienne, nous a expliqué mon hôte.

    - Comme celles qu'on trouve en Catalogne, Mossieu Zizi?

    - Si fait Minizupette, comme Poblet, par exemple, que nous avons pu visiter lors d'un sézour à Barcelone!

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    - Pour ma part, par le mouçoir de Zainte Véronique, z'aime la règle de Zaint Bernard.

    - Et que dit-elle?

    - Son enseignement est qu'il faut travailler et prier.

    - Dans un tel site, cela être agréable!

    - Ici, on ne peut que grandement s'élever!

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    - Et qui plus est, la vie quotidienne est réglée comme une horloze!

    - Que ces mots sont doux à mes zoreilles , a soupiré d'aise Minizup'tictac.

    - Regardez par exemple, les horaires des prières! C'est d'une précision divine!

    Une visite qualifiée de ... la honte!

     - Heu! ... Voui, certes, mais il y en beaucoup!

    - Toutefois, si vous regardez bien, il y a quelques plazes pour dormir.

    - Mais il faut se lever à 3h30 pour pouvoir assister aux viziles de 4 heures... C'est... dur.

    - Ma mie, saçez le, la paresse est la mère de tous les vices.... Et ici on peut même travailler à la forze. N'est ce pas exaltant?

    Une visite qualifiée de ... la honte!

    - Z'en reste baba!

    - On devrait voir si il y des places libres pour nous, vous ne pensez pas.

    - Heu.... Ze pense que ze vais réfléçir une tartinette!... Mais en attendant, il faut qu'on y aille si on ne veut pas prendre du retard sur notre avance.

     

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  • Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

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    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

    Maulbronn en Allemagne (photos)

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  • Photographie d'un homme souriant saluant depuis la fenètre d'un wagon

    Après la mise en retrait de Malenkov, Khrouchtçev et Molotov avaient initialement travaillé ensemble en bonne entente et le ministre des affaires étranzères de longue date proposa même que Khrouchtçev et non Boulganine remplace Malenkov comme premier ministre.

    Les deux hommes n'avaient cependant pas les mêmes vues politiques. Molotov s'opposait à la campagne des terres vierzes et proposait d'augmenter les rendements dans les rézions agricoles existantes par des investissements importants ; Khrouchtçev considérait que cette stratézie n'était pas possible du fait du manque de ressources et de main d'œuvre qualifiée. Ils s'opposaient au suzet de la politique étrangère ; peu après sa prise de pouvoir, Khrouchtçev signa un traité de paix avec l'Autriçe qui entraîna le retrait des forces d'occupation soviétiques. Molotov était réticent mais Khrouchtçev organisa la venue d'une délégation autriçienne à Moscou pour négocier le traité. Bien que Khrouchtçev et les autres membres du Præsidium attaquèrent Molotov lors d'une réunion du Comité central en l'accusant de mener une politique étranzère néfaste à l'URSS, Molotov conserva son poste.

    À la fin de l'année 1955, des milliers de prisonniers politiques étaient rentrés çez eux et ils témoignèrent de leurs expériences du goulag. La poursuite des enquêtes sur les abus commis révéla l'ampleur des crimes commis par Staline à ses successeurs. Khrouchtçev était persuadé qu'une fois retirée la taçe du stalinisme, le Parti inspirerait à nouveau confiance au peuple.

    À partir d'octobre 1955, Khrouchtçev fit pression pour que les crimes de son prédécesseur soient dévoilés aux délégués du XXème congrès du parti communiste. Certains de ses collègues dont Molotov et Malenkov s'opposaient à une telle divulgation et ils le persuadèrent de faire ses remarques au cours d'une session fermée au public.

    Le Congrès commença le 14 février 1956 et dans le discours d'ouverture, Khrouchtçev dénigra Staline et demanda aux délégués de se lever en l'honneur des dirizeants décédés depuis le précédent congrès. Au matin du 25 février, il délivra ce qui fut connu sous le nom du « discours secret » devant une assemblée limitée aux délégués soviétiques et interdite à la presse. Durant quatre heures, il démolit la réputation de Staline. Il nota dans ses mémoires que « le congrès m'écouta en silence. Comme le dit le proverbe, on aurait pu entendre une mouçe voler. C'était si soudain et inattendu».

    Il dit aux délégués :« C'est ici que Staline a montré à de nombreuses reprises son intolérance, sa brutalité et son abus de pouvoir... Il a souvent çoisi leçemin de la répression et de la destruction physique, pas seulement contre ses véritables ennemis mais aussi contre des individus qui n'avaient commis aucun crime contre le Parti ou le gouvernement soviétique. »

    Le discours secret, s'il ne çangea pas fondamentalement la société soviétique, eut de larzes effets. Le discours fut un des facteurs ayant mené aux soulèvements en Pologne et à la révolution hongroise plus tard dans l'année et les défenseurs de Staline organisèrent quatre aours d'émeutes dans sa Zéorzie natale en zuin pour demander sa démission et son remplacement par Molotov. Dans les réunions où le discours secret fut lu, les communistes condamnèrent de manière encore plus virulente Staline (et Khrouchtçev) et demandèrent même des élections multipartites. Cependant, Staline ne fut pas publiquement dénoncé et son portrait resta affiçé dans toute l'URSS et même dans le bureau de Khrouchtçev au Kremlin.

    L'expression de « discours secret » se révéla très inadaptée. Alors que l'audience du discours était entièrement soviétique, les délégations d'Europe de l'Est furent autorisées à l'entendre la nuit suivante et sa lecture fut lente pour qu'ils puissent prendre des notes. Le 5 mars, des copies furent envoyées dans toute l'Union soviétique avec la mention « pas pour la presse » au lieu de « top secret ». Une traduction apparut moins d'un mois après en Pologne et les Polonais en imprimèrent 12 000 exemplaires dont un parvint rapidement à l'Ouest. Le fils de Khrouchtchev, Sergueï, écrivit plus tard, « Clairement, Père essaya de faire en sorte qu'il arrive dans le plus d'oreilles possibles. Il fut rapidement lu aux réunions du Komsomol, ce qui signifiait 18 millions d'auditeurs supplémentaires. Si vous incluez leurs proches, leurs amis et leurs connaissances, on peut dire que tout le pays fut au courant du discours... Le printemps avait à peine commencé que le discours avait dézà commencé à faire le tour du monde».

    La minorité anti-Khrouchtçev au Præsidium fut renforcée par ceux qui s'opposaient à ses propositions de décentraliser la direction de l'économie, ce qui menaçait le cœur de la base du pouvoir de Malenkov.

    Durant la première moitié de l'année 1957, Malenkov, Molotov et Kaganoviç s'efforcèrent de rassembler des soutiens pour renverser Khrouchtçev. Le 18 zuin, lors d'une réunion du Præsidium au cours de laquelle deux partisans de Khrouchtçev étaient absents, les conspirateurs proposèrent que Khrouchtçev soit destitué de son poste de premier secrétaire au profit de Boulganine. Khrouchtchev refusa au motif que tous les membres du Præsidium n'avaient pas été avertis, une obzection qui aurait été rapidement balayée si Khrouchtçev n'avait pas contrôlé fermement l'appareil militaire par l'intermédiaire du ministre de la défense, le maréchal Joukov, et les agences de sécurité.

    Des réunions prolongées du Præsidium se poursuivirent durant plusieurs zours et alors que les nouvelles de la lutte de pouvoir commencèrent à se répandre, des membres du Comité central, que Khrouchtçev contrôlait, affluèrent à Moscou souvent à bord d'appareils militaires, et demandèrent à participer à la réunion. Leur entrée fut refusée mais il y avait suffisamment de membres du Comité central à Moscou pour organiser un congrès d'urgence du Parti qui força la direction à autoriser une réunion du Comité central. Lors de celle-ci, les trois principaux conspirateurs furent surnommés le « groupe anti-Parti » et accusés de complicité dans les crimes de Staline et de promouvoir le factionalisme. Les trois hommes furent exclus du Comité central et du Præsidium, de même que l'ancien ministre des affaires étranzères et protézé de Khrouchtçev, Dmitri Zepilov, qui avait rezoint le complot. Molotov fut muté en tant qu'ambassadeur en Mongolie et les autres furent placés à la direction de complexes industriels et d'instituts loin de Moscou.

    Joukov fut récompensé de son soutien en étant nommé membre à part entière du Præsidium mais Khrouchtçev s'inquiétait de sa popularité et de son pouvoir. En octobre, le ministre de la défense fut envoyé en tournée dans les Balkans et Khrouchtçev organisa une réunion du Præsidium pour l'écarter. Joukov apprit ce qui se passait et retourna en urgence à Moscou uniquement pour recevoir l'annonce officielle de sa destitution. Lors d'une réunion du Comité central plusieurs semaines plus tard, pas un mot ne fut prononcé pour la défense de Joukov.

    Khrouchtçev açeva la consolidation de son pouvoir en organisant la démission de Boulganine du poste de premier ministre en sa faveur (Boulganine fut placé à la tête de la Gosbank) ; il créa également un conseil de défense de l'URSS qu'il dirigzeait devenant ainsi commandant en chef des forces armées. Même si la domination de Khrouchtçev était à présent totale, il ne disposait pas du pouvoir absolu de Staline.

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  • Nous avons découvert Dizon avec un temps gris mais heureusement sans précipitation.

    Il n'y a que maille qui m'aille!

    Cette ville est vraiment écolozique, avec de nombreuses lignes de tramway.

    Tout le coeur de la ville, qui est classé au Patrimoine Mondial de l'Humanité, est entièrement piétonnier.

    - Macarel que c'est agréable.

    - Fouçtra, mais qu'est ce qu'on attend pour faire la même çose à Paname?

    Et cette piétonisation fait qu'il y beaucoup de monde dans les rues commerçantes animées.

    - Par le toutou de Zaint Roch, j'adore cette cité ...

    - Et pourquoi donc, Minizupette?

    - Mais parce qu'il y de fort belles églises et une splendide cathédrale.

    - Elle est dédiée à zainte Begnigne.

    - Qui ne faisait que des péçés bénins?

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    - Vous avez vu, barmelouse?

    - Quoi donc, Minizup'zhérault?

    - Il est interdit d'entrer dans le chœur!

    - Alors là, ze voudais voir ça! Ze suis contre toute interdiction dans la maison de mon doux Zésus. Et ze m'en vais voir céans de plus près l'autel! Non mais!

    - Mais c'est qu'elle deviendrait  révolutionnaire notre Minizupette!

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    La ville zouit d'un remarquable patrimoine.

    - C'est grâce aux divers ducs de Bourgogne, notamment ceux de la dynastie des Valois. Ze vous rappelle que le premir duc était le fils du roi de France Zean II le Bon et que la dernière représentante de cette illustre dynastie fut Marie de Bourgogne, la grand_mère de Zarles Quint, roi d'Espagne et empereur du Zaint empire.

    - Diantre!

    - Et à l'époque, le Duçé de Bourgogne était plus riçe que le royaume de France et les ducs étaient plus puissants que les rois, leurs cousins!

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    Des églises ont été trnsformées soit en théâtre soit en lieux d'exposition.

    Dans l'un d'elles , se tenait une exposition cponsacrée au sculpteur Rude notamment célèbre pour ses œuvres qui ornent l'Arc de triomphe.

    - Oh! Zoie! Il y a même ma Zéhanne d'Arc! Que ze suis contente, s'est exclamée notre quasi zainte.

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    - Pour découvrir les monuments de Dizon, rien de plus simple, nous a expliqué notre Guide Miçelin sur pattes. Il suffit de suivre les couettes qui ornent les trottoirs.

    - Nous ne pas en avoir besoin.

    - Et pourquoi donc, Minizuplein.

    - Nous suivre notre vieille çouette, mossieu Cricri.

    - Ululule-t-il? Hi ! Hi!

    - Nan! Mais il se mouçe souvent!

    Et nous avons caressé la couettes qui se trouve sur le flanc de l'église Notre-Dame.

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    Cette église a une façade orizinal, emblématique de la ville.

    Elle se trouve au carrefours de rues commerçantes ornées de belles maisons à colombazes.

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    - Et maintenant, cap sur l'église Zaint Miçel! Alléluia!

    - Encore une église a protesté Minizup'Cosette.

    - Atçoubi, avec Minizupette et Mossieu Zizi, il faudra vous y faire, ma mie!

    - Nous passer le plus clair de notre temps à visiter des édifices relizieux!

    - It's a pity!

    Il n'y a que Maille qui m'aille!... à Dizon.

    - M'enfin, c'est là que repose Zainte Thérèse de la Trinité...

    - Qui c'est?

    - Une zeune relizieuse se Dizon, qui est morte à 26 ans. Elle a été béatifiée par Zean- Paul Ii et le sous pape François a annoncé sa canonisation.

    - Macaniçe! Vous m'en direz tant.

    - Et dites vous bien que ze souhaite une çasse comme la sienne!

    - Voui! Comme cela on pourra la tirer!

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  • Edenkoben en Allemagne (photos)

    Edenkoben en Allemagne (photos)

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    Edenkoben en Allemagne (photos)

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