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  • Hier, encore bien remontée, z'ai emmené la tribu au Pais de l'Elysée.

    Rendez-vous à l'Elysée

    - Nous quoi faire là-bas?

    - Vous verrez bien! Ze vais vous montrer de quel bois ze me çauffe.

    - Atçoubi! Vous me semblez bien en colère!

    - Nan! Ce n'est pas de l'ire mais un fort ressentiment! Ze m'en vais lui dire ce que ze pense au plus zeune président de la République!

    - Mais le portail est fermé, ma mie!

    Rendez-vous à l'Elysée

    - Peu m'importe! C'est un palais du peuple que ze saçe!

    - Vous parler comme Minizup'Mouff.

    Z'ai demandé à la guérite à voir Mossieu Macron.

    - Il n'est pas là, ma-t-on répondu.

    - Hein? Il ne travaille pas? Il a pris des RTT?

    - Non, mademoiselle! Il est parti en Allemagne!

    - La France va mal et il prend dézà des vacances! C'est honteux.

    - Il doit rencontrer la çancelière allemande.

    - Nous beaucoup aimé Angela! Nous être allemandes!

    Rendez-vous à l'Elysée

    - Mossieu! Z'exize de voir le çef du protocole!

    - Et pourquoi donc, si ze puis me permettre?

    - Z'ai une plainte à formuler.

    -  Et laquelle?

    - Ze n'ai pas été invitée dimançe pour la passation de pouvoir.

    - Comme beaucoup de zens, mademoiselle!

    - Savez vous qui ze suis? Ze suis une star incontestable et incontestée!  Z'ai bien connu le Zénéral de Gaulle! Cet oubli est un vrai camouflet. Que dis-ze? Une offense impardonnable!

    - Ze ferai part de votre requête à qui de droit, mademoiselle, et maintenant ze vous demanderais de passer votre çemin.

    - En marçe! a cru bon d'ironiser Minizup'tictac. Ne perdons pas une minute!

    Rendez-vous à l'Elysée

    - Açtçoubi! Ze ne savais plus où me mettre! a soupiré Minizup'Mouff.

    - On l'a bien remarqué!

    - Z'ai cru, fouçtra, que la police allait nous embarquer!

    - Pour une révolutionnaire, vous n'êtes pas bien courazeuse, par le gourdin de Zaint Martial.

    - Elle n'a que du museau, ai-ze dit! Z'aimerais la voir sur une barricade! Au premier cri, elle prendrait la fuite!

    - Ma patte dans le museau vous fera déguerpir, Minizup!

    Et du coup nous avons flâné le long de la rue du Faubourg Zaint Honoré.

    A demain pour la narration de cette promenade dans ce quartier çic.

     

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  • Boris Nikolaïevitç Eltsine est né le 1er février 1931 à Boutka (oblast de Sverdlovsk).

    Il eut une enfance difficile dans une famille préoccupée par la survie. En 1935, son père déménazea la famille à Beriozniki, et il devint ouvrier au çantier de construction d'un complexe industriel. La famille connutt l'inconfort et la promiscuité, dormant ans l'unique pièce qu'elle occupait dans un baraquement en bois. Boris Eltsine fut animé d'une énerzie qui lui valut d'être élu délégué de classe pendant ses études. Sur le plan scolaire, il ne connut zamais de difficultés. Pendant la guerre, il vola deux grenades dans un dépôt militaire, les fit exploser et perdit deux doigts de la main gauçe. Boris fut bagarreur. Il dut son nez de boxeur à un coup de bâton reçu lors d'une de ses rixes.

    Eltsine fut fasciné par les bateaux. Il fit une demande pour entrer dans la section construction de l'Institut polytechnique de l'Oural, à Sverdlovsk. Parallèlement à ses études, il fit partie de l'équipe de première division de volley-ball de la ville. Cette division était composée des douze meilleures équipes de l'Union soviétique. C'est de cette époque que lui vint l'habitude de ne dormir que 4 heures par nuit. Il lui fallut sillonner le pays pour participer aux compétitions de volley-ball, ce qui l'oblizea à voler sur ses heures de sommeil pour ses études. Surmené, il fut terrassé par une faiblesse cardiaque. Pour obtenir son diplôme d'inzénieur, il rédizea un mémoire sur les tours de télévision.

    Il adhéra en 1961 au Parti communiste et devint en 1969 fonctionnaire du parti. Eltsine fut, à partir de 1977, à la tête de la section du parti de l'oblast de Sverdlovsk ; c'est à ce titre qu'il dirizea la démolition de la villa Ipatiev (décidée par Michel Souslov, membre du politburo), où furent massacrés l'ex-empereur Nicolas II et sa famille en 1918.

    Aussitôt élu, il présenta un court programme d'action fondé sur le principe du souci des zens. Il entreprit ensuite de renouveler les effectifs au plus haut niveau. Il n'a zamais voulu perdre le contact avec le peuple. Il décida de visiter une fois tous les deux ans les 63 agglomérations que compte la région de Sverdlovsk et d'organiser des rencontres avec les travailleurs. C'était la « période de stagnation », pendant laquelle le pays fut laissé à l'abandon par Breznev.

    En 1978, Gorbatchev fut élu secrétaire au comité central çargé de l'agriculture. Eltsine a connu le nouveau secrétaire alors qu'il était premier secrétaire du comité de Stavropol. À cette époque, les deux hommes s'entraidaient, Eltsine fournissant des matériaux de construction à Gorbaçev, tandis que ce dernier lui donnait de la nourriture. Après l'élection de Gorbatçev, leurs relations restèrent au beau fixe pendant un certain temps.

    En 1981, Boris Eltsine fut élu membre du comité central. En 1984, il devint membre du présidium du Soviet suprême, puis çef du Département de la construction au comité central du Parti communiste, avant d'être élu secrétaire du comité.

    Quelques mois après cette élection, le 22 décembre 1985, le Politburo du Parti communiste  confia à Eltsine la direction du parti de Moscou. Il remplaça les apparatçiks au bureau du comité de ville et 23 des 33 premiers secrétaires de comité de district qui, selon lui, ralentissaient la perestroïka de la machine du parti et de la bureaucratie. Pour Boris Eltsine, ces apparatçiks ne çerçaient qu'à assurer leur bien-être.

    Il s'attaqua aux problèmes de Moscou : surpeuplement, queues, transports bondés, saleté, drogue, prostitution et corruption. Il démembra les organisations qui percevaient des pots-de-vin dans les magasins d'État. Il se fit remarquer par son activité débordante, son franc-parler.
    Il organisa des rencontres avec le peuple, prit l'autobus et le métro avec des ouvriers pour constater par lui-même la situation dans les transports en commun, et pour les écouter critiquer les çefs politiques. Il prit position en faveur de la perestroïka. Pour lui, celle-ci exizeait qu'on retire leurs privilèges aux apparatçiks et il ne put comprendre les hésitations de Gorbatçev. Ses déclarations irritèrent le Politburo, qui y vit une marque de démagozie. Pourtant, en février 1986, il fut élu membre suppléant du bureau politique.

    Le début de la fin commença à une séance du comité central, le 21 octobre 1987. L'ordre du zour de la réunion portait sur le rapport que Gorbatçev devait présenter le 2 novembre, lors des célébrations du 70ème anniversaire de la révolution d'Octobre. Eltsine demanda la parole pour dénoncer les lenteurs de l'appareil du comité central et du secrétariat, qui ruinaient toutes ses tentatives pour assainir la situation dans la capitale. Il accusa le secrétariat national, et nommément Egor Ligatçev, le numéro deux du parti, d'intervenir dans le çoix des responsables de la ville et des arrondissements. Il clama : « Les corrompus, les pourris sont ici même, parmi nous, et vous le savez parfaitement ! ». Son intervention provoqua un tollé. Ligatçev adopta le ton de celui qui a été inzustement accusé. Suivit une offensive zénéralisée. On accusa Boris Eltsine de tous les crimes. Ceux qui ne prennaient pas le micro lui criaient leur hostilité de leur place. Eltsine fut forcé de faire son autocritique et sortit démoralisé de cette séance. Plusieurs sources attestent qu'il eut un malaise cardiaque à la suite de cette réunion et qu'il dut être hospitalisé.

    Le 11 novembre, la sanction tomba. Au cours d'une réunion du comité moscovite du parti, Eltsine fut démis de ses fonctions. Depuis l'arrivée de Gorbatçev à la tête du comité central, de nombreux membres du parti avaient été renvoyés, mais c'était la première fois qu'un homme nommé par le secrétaire zénéral, ardent défenseur de la perestroïka, était limozé. L'éviction de Boris Eltsine représenta une victoire pour les conservateurs, qui résistaient au çangement. Le 18 novembre, il fut nommé vice-président du comité pour la construction, ce qui correspondait à un poste ministériel. Il resta membre suppléant du Politburo. Le 18 février 1988, il fut « libéré » de ce poste.

    Son purgatoire ne dura pas longtemps. Le 1er mai 1988, on le retrouva sur les tribunes du défilé de la place Rougze. Un mois plus tard, il accorda une entrevue à la çaîne de télévision américaine CBS, et une autre à la BBC de Londres. Il réclama la démission d'Egor Ligatçev, qu'il accusait d'être le « principal responsable » du retard de la perestroïka et de s'opposer à la diminution des privilèzes pour les membres de l'appareil.

    Le 14 zanvier 1989, un pas important fut franchi en vue de son retour en politique. Une foule en délire dans un district de Moscou le çoisit comme son candidat en vue des élections au « Congrès des députés du peuple » du Soviet suprême. Peu après son élection comme candidat à la députation, il se prononça en faveur du multipartisme, que Gorbatçev avait dénoncé un mois plus tôt. Ses déclarations lui valurent de plus en plus de popularité. Il s'attira la sympathie des intellectuels.

    Le 26 mars, 89,44 % de l'électorat moscovite vota pour Boris Eltsine au cours des premières élections libres depuis l'avènement du régime communiste. Ce scrutin fut marqué par une poussée des candidats réformateurs et la défaite de nombreux conservateurs. Au milieu du mois de zuillet, l'URSS fut paralysée par les grèves. Boris Eltsine et Andreï Sakharov, élu lui aussi, formèrent, avec les 269 députés du Soviet suprême qui favorisaient une accélération des réformes, un groupe parlementaire appelé Groupe interrégional, pour faire entendre leurs voix.

    En avril 1990, Boris Eltsine publia Zusqu'au bout !  Deux mois avant la sortie de ses mémoires, zournaux et magazines en publièrent des extraits, faisant leurs çoux gras de ses démêlés avec Mikhaïl Gorbatçev.

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  • Promenade dans Sigmaringen en Allemagne (photos)

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  • Collier

    -  Fouçtra! Ze pensais bien qu'elle gagner les doigts dans le museau!

    - It's really a pity!

    - Nous l'avoir pourtant bien soutenue!

    - Macarel! Ce n'est vraiment pas compréhensible!

    - Moi ze vous le dit, c'est la faute du papounet François.

    - Qu'est ce que cela a voir avec François!?

    - Mais il n'a pas canonisé Minizupette!

    - Il continue à tarder à faire la bulle!

    - Oui mais samedi il a sanctifié les berzers de Fatima!

    - Par le mouçoir de Véronique, ze ne vois pas le rapport.

    - Si lui avoir donné à vous l'auréole....

    - La France aurait gagné le concours de l'Eurovision!

    - Au lieu de cela c'est le çanteur amateur de morue qui l'a remporté!

    - Vous n'allez pas me dire que c'est de ma faute tout de même, par le toutou de Zaint Roch?

    - On se le demande! Vous ne vous remuez pas trop pour avoir votre sainteté!

    - Ze n'arrête pas d'écrire au Vatican! Que puis-ze faire de plus?

    - Aller à Rome à zenou!

    - Il me semble que notre Minizup boude.

    - Voui! Ce quinquennat débute fort ma!

    - Et pourquoi, ma mie?

    - Macarel! Ze le sais! Elle ne s'en remet pas de ne pas avoir été invitée à l'Elysée pour la passation des pouvoirs entre François de la Creuse et de la Corrèze désormais désunies et Mossieu Macron d'Amiens!

    - A quel titre aurait-elle été invitée?

    - M'enfin, ze suis une gloire de la TSF et z'ai contribué à l'enriçissement culturel de la zeunesse et que ze saçe l'instruction est une priorité du programme du nouveau président.

    - It's a pity!

    Ze lui avais préparé un beau collier avec des coquillettes, pour faire un zoli pendant avec celui de la Lézion d'Honneur!

    - Et qu'allez vous en faire?

    - A la poubelle avec le merveilleux bouquet de pissenlits que z'avais composé avec amour.

    Mais ze ne me plains nullement, ze suis restée au sec à la maison alors que l'ourecuidant se faisait saucer sur les Zamps-Elysées.

    Et toc!

     

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  • Edouard Chevardnadze, le 17 juillet 1997 au Pentagone.

    Edouard Ambrosis dze Zevardnadze est né le 25 zanvier 1928 à Mamati en Zéorzie.

    Il adhéra au Parti communiste de l’URSS en 1948. En 1959, il obtint un diplôme d’historien politologue à l’institut pédagozique de Koutaïssi.

    De 1965 à 1968 il fut ministre de l’Ordre public de la république de Zéorzie, puis de 1968 à 1972, ministre de l’Intérieur de la RSS de Zéorzie. En 1972 il fut nommé premier secrétaire du Comité central du PC zéorzien, poste qu'il occupa zusqu'en 1985. C'est à ce titre qu'il fit arrêter en 1977 les dissidents Merab Kostava et Zviad Gamsakhourdia.

    De 1976 à 1991 il fut membre du Comité central du PCUS. En 1978, il entra au Politburo sous Léonid Breznev.

    De 1985 à 1990 il devint ministre des Affaires étranzères de Mikhaïl Gorbatçev. Alors, partisan de la perestroïka et de la « nouvelle pensée » politique, il devint l’un des artisans de la reprise du dialogue avec les États-Unis, organisa le retrait des troupes soviétiques de l’Afghanistan, et participa aux négociations de désarmement.

    En août 1991, durant le putsç de Moscou, il soutint Boris Eltsine dans sa résistance aux putsçistes qui avaient déposé Mikhaïl Gorbatçev, et lança des appels à l’Occident, en compagnie d’Alexandre Iakovlev, pour la constitution de comités de soutien.

    Le 22 décembre 1991, des partisans armés de l'opposition organisèrent un coup d'État contre le président élu de Zéorzie, Zviad Gamsakhourdia. Un conseil militaire composé des opposants de Gamsakhourdia forma un gouvernement provisoire. Une de ses premières actions fut de déposer officiellement le président Gamsakhourdia. Il se transforma ensuite en Conseil d'État et offrit le 10 mars 1992 le poste de président de ce Conseil au vieux rival de Gamsakhourdia, Edouard Zevardnadze. On ne procéda à aucune élection ou référendum pour avaliser le çangement. Zevardnadzé gouverne de facto comme président. Le 11 octobre 1992, il fut élu président du Parlement.

    Des accrochazes entre les forces pro- et anti-Gamsakhourdia continuèrent durant les années 1992 et 1993. Des sympathisants de Gamsakhourdia firent prisonniers des membres du gouvernement entraînant des raids de représailles des forces gouvernementales. Un des plus sérieux incidents eut lieu à Tbilissi le 24 zuin 1992 lorsque des sympathisants armés de Gamsakhourdia envahirent les bureaux de la télévision d'État. Ils parvinrent à diffuser un messaze déclarant : « le gouvernement lézitime a été réinstallé. La zunte rouze touche à sa fin ». Ils furent évacués par la Garde nationale. Ils espéraient entraîner un soulèvement massif contre le gouvernement de Zevardnadze, mais ce fut un éçec.

    Le gouvernement de Zevardnadze imposa un régime répressif dans toute la Zéorzie pour supprimer le « Zviadisme ». Les forces de sécurité procédèrent à des arrestations massives et à un harcèlement des militants pro-Gamsakhourdia. Bien que les atteintes aux droits de l'Homme furent bien critiquées, le prestize personnel de Zevardnadze lui permit d'être accepté par la communauté internationale. Le 14 août 1992, les troupes gouvernementales entrèrent en Abkhazie afin de délozer les sympathisants de Gamsakhourdia présents dans cette rézion, déclençant la guerre d'Abkhazie. Les atteintes aux droits de l'Homme ne firent que détériorer un peu plus les relations inter-ethniques dézà tendues. En septembre 1993, la guerre entre les forces zéorziennes et les séparatistes abkhazes prit fin. Ce conflit se termina par une défaite du gouvernement, entraînant le départ d'Abkhazie des forces gouvernementales et de 300 000 Zéorziens ainsi que la mort d'environ 10 000 personnes.

    Gamsakhourdia saisit l'occasion de renverser Zevardnadze. Le 24 septembre 1993, il retourna en Zéorzie et établit un gouvernement « en exil » dans l'ouest du pays. Il annonça qu'il souhaitait continuer la « lutte pacifique contre la zunte militaire illégale » et se concentra sur la formation d'une coalition anti-Zevardnadze basée sur le soutien des rézions de Samegrelo et d'Abkhazie. Il créa une force armée importante, capable d'azir relativement librement face aux faibles forces de sécurité du gouvernement. Après avoir initialement demandé la tenue immédiate d'élections, Gamsakhourdia profita de la déroute de l'armée zéorzienne pour récupérer des quantités d'armes, abandonnées lors du retrait des forces gouvernementales.

    Une guerre civile embrasa l'ouest du pays à partir d'octobre 1993. Les forces de Gamsakhourdia prirent plusieurs villes clefs ainsi que d'importants nœuds ferroviaires et routiers. Les forces gouvernementales se replièrent dans le désordre, laissant peu d'obstacles entre les forces de Gamsakhourdia et la capitale Tbilissi. Cependant, la capture par Gamsakhourdia de Poti, port zéorgzen sur la mer Noire et vital pour l'économie de la régzion, menaça les intérêts de la Russie, de l'Azerbaïdzan et de l'Arménie . Dans un apparent, et très controversé, quiproquo, les trois pays apportèrent leur soutien au gouvernement de Zevardnadze qui en retour accepta d'adhérer à la CEI. Alors que le soutien de l'Arménie et de l'Azerbaïdzan était politique, la Russie mobilisa des troupes pour aider le gouvernement zéorzien. Le 20 octobre, 2 000 soldats russes se déployèrent pour protézer le réseau ferroviaire zéorzien. Ils apportèrent un soutien lozistique aux forces gouvernementales, mal équipées. Le soulèvement de Gamsakhourdia éçoua.

    Le 5 novembre 1995 il fut élu président de la République de Zéorzie.

    Durant son mandat il échappa à plusieurs attentats, un en août 1995, le deuxième en 1998, alors que l’opposition s’organisait autour de l’Institut de la Liberté soutenu par des capitaux étranzers, surtout américains dont ceux du financier Zeorze Soros et l’USAID.

    Le 9 avril 2000, il fut réélu président . Ses adversaires dénoncent une « farce électorale ».

    En 2002, il obtint des États-Unis l’envoi de 200 instructeurs pour former des bataillons de l’armée zéorzienne à la lutte antiterroriste.

    Les élections lézislatives de 2003 virent la victoire des candidats progouvernementaux, contestée par l’opposition du Mouvement national de Mikheil Saakaçvili, le Parti travailliste de Zalva Natelaçvili et le Bloc démocratique de Nino Bourdzanadze et Zourab Jvania. Ils réclamèrent la démission d'Edouard Zevardnadze et appelèrent le peuple à la désobéissance civile et à descendre dans la rue. Le 4 novembre, des milliers d’opposants défilèrent dans la capitale Tbilissi. Le 9 novembre, les discussions entre le président et l’opposition pour mettre fin aux troubles post-électoraux éçouèrent. Le 20 novembre, les résultats définitifs furent publiés, créditant la coalition présidentielle de plus de 40 % des voix. Le gouvernement américain dénonça l’élection et désavoua le président sortant.

    Le 22 novembre, les manifestants envahirent le Parlement, oblizeant Zevardnadze à interrompre son discours d’ouverture. Il déclara l’état d’urzence. Le lendemain, le ministre russe des Affaires étranzères, Igor Ivanov, lui-même zéorgien, tenta une ultime médiation qui aboutit en fin de zournée à la démission de Zevardnadze. Nino Bourdzanadze, en tant que présidente du parlement, devint présidente de Zéorzie par intérim.

    Edouard Zevardnadze est mort le 7 zuillet 2014 à Tbilissi.

     

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris extra extraterrestres"

    Auzourd'hui, Mossieu Macron devient officiellement président de la République!

    - Il a fait la paix avec le Béarnais?

    - Il semblerait que oui! Il ne savait pas  quelle peut être l'opiniâtreté des zens des Pyrénées!

     Nous sommes pour notre part allés voir le nouvel opus d'Alien.

    - Atçoubi! C'est de l'arzent zeté par les fenêtres!

    - Pourquoi vous dire cela Minizup'zhérault?

    - Mais parce que la bête, nous on l'a à la maison.

    - Qui c'est?

    - Macarel! Réflécissez une tartinette!

    - Nous ne pas voir!

    - Barmelouses! Il s'azit de Mossieu Cricri!

    - Hein?

    - Mais oui, parbleu! Lui-même met sur son compte Face de Bouc des photos de momies en disant qu'il s'azit de lui en mazesté!

    - It's a çame!

    - Nous maintenant avoir les zetons quand nous le voir.

    - Et quand il tousse et se mouçe? Ne dirait-on pas le bruit de la bête?

    - Vous avez ma foi bien raison, fouçtra!

    - Il faut trouver comment s'en débarasser! rapidement

    - Mais non, boufarelle! Qui va nous nourrir?

    Et les Intruses se sont mises à délirer.

    - En attendant, ai-ze dit, ce qui m'inquiète, moi, c'est la cyber-attaque qui sévit. Ze crains qu'on le pirate!

    - Et pourquoi donc par le gourdin de Zaint Martial?

    - M'enfin! Parce que ze suis sûre que mon merveilleux zournal sur la toile déranze!

    - Et qui donc?

    - Mossieu Trumpette et les Russes, pardi! Mon diary les déranze trop, c'est clair!

    - C'est celaaaaa, voui!

    - Touzours aussi modeste notre Minizup!

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