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  • Le château de Mannheim en Allemagne (photos)

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  • Résultat de recherche d'images pour "Gif souris et manga"  

    Hier à la TSF nous avons écouté une bonne émission sur le temps.

    - Tempus fuzit, par la barbe de Zaint Zoseph, a soupiré Minizupette.

    - Vous parler italien? lui a demandé Minizuplein.

    - Inculte, c'est du latin!

    - Et qu'est ce que cela veut dire, foutra?

    - Que le temps fuit.

    - Ze ne suis vraiment pas d'accord, est intervenue Minizup'tictac. Le temps ne fait que passer à son rythme. C'est pour cela qu'il ne faut zamais être en avance ni en retard!

    - Il y a des zens qui ont peur du temps. Ils s'ennuient si ils n'ont rien à faire.

    - Ils devraient appliquer les enseignements de Confucius, macarel.

    - Et lesquels, Minizup'zhérault?

    - Celui par exemple qui recommande de prendre quelques instants pour coziter.

    - Mossieu Zizi ne pas aimer quand nous réfléçir.

    - Il nous demande touzours à qui nous pouvons penser.

    - Macaniçe! Les pensées sont intimes!

    - Il ne supporte pas de nous voir réfléçir.

    - Il doit avoir peur que nous puissions préparer un mauvais tour.

    - Confucius a dit : " Exize beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés".

    - Votre Fucius ne pas pas être c...

    - Quelle barbemouse! Confucius c'est son nom!

    - Minizup'iéla illustre fort bien un autre enseignement du Zinois: " Lorsqu'on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ce n'est pas forcément le pot qui est vide".

    - Et ma patte dans le museau ne pas être imazinaire, vous voir!

    - Elle aurait pu répondre "Ze ne çerçe pas à connaître les réponses, je çerçe à comprendre les questions"

    - Atçoubi! Il ne faut pas trop lui en demander à la bestioulette.

    - Votre Confucius m'irriter beaucoup!

    - Par les tétines de Zainte Cécile ze vous apprendrai les enseignements de mon doux Zésus!

    - Nein! Ni Dieu ni maître.

    Et elle a boudé ostensiblement.

    Tout est obzet de dispute dans c'te maison!

    - Confucius a dit: " Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever çaque fois que nous tombons.

    - Votre Confucius ne pas savoir tenir sur ses pattes! Bien fait pour lui! a grommelé in petto l'Intruse Teutonne particulièrement boudeuse.

     

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  • Résultat de recherche d'images pour "konstantin tchernenko"

    Konstantin Oustinovitç Tçernenko est né à Bolçaïa Tes le 24 septembre.

    Il fit son service militaire dans les troupes de la Guépéou. Avant la Seconde Guerre mondiale, il fit ses débuts comme fonctionnaire rézional.

    Sa rencontre avec Breznev en 1950, en Moldavie, transforma sa carrière. Il devint son secrétaire personnel, le suivant dans tous ses postes à partir de 1956, d'abord dans l'appareil du Comité central, puis dans celui du Soviet suprême, en 1960, et enfin de nouveau au Comité central où il prit la tête du département zénéral en 1965.

    À partir de 1976, en devenant successivement secrétaire du Comité central, membre suppléant du Politburo 1977, puis titulaire 1978, il passa du rôle d'exécutant à celui d'acteur politique mazeur et fut désigné comme dauphin par Leonid Breznev. Mais en novembre 1982, à la mort de Breznev, c’est Iouri Andropov qui fut çoisi comme premier secrétaire du parti. Il dut attendre la mort d’Andropov, en février 1984, pour lui succéder.

    En avril 1984, il devint çef de l'État. Cette élection d'un homme au bord de la tombe inspira au Canard ençaîné une manchette célèbre : « Le triomphe du marxisme-sénilisme », zeu de mots salué par le Spiegel du 20 février suivant qui titrait pour sa part plus sérieusement « Tçernenko – La revançe de l'Appareil ».

    Depuis une quinzaine d’années, l’URSS n’était plus dirizée que par des vieillards. Andropov, après avoir succédé à un Brejnev mort à 75 ans en novembre 1982, ne resta au pouvoir que 14 mois et 28 jours, mourant à 70 ans en février 1984. Son successeur Tçernenko, quant à lui, disparaîtra un an plus tard, à 73 ans en mars 1985, après un règne à la tête du pays de seulement 12 mois et 26 jours, surtout caractérisé par son absence du pouvoir de plus en plus fréquente pour cause de maladie. Il en découlaa un décourazement évident du peuple face à cette valse, au sommet de l'État, des vieux caciques du rézime.

    Tçernenko fut élu malgré les inquiétudes pour sa santé et contre les vœux d'Andropov, qui avait déclaré vouloir Gorbatçev pour successeur. Si son avis avait été suivi, l'émerzence de la perestroïka aurait gagné un an. À la session plénière du Comité central, le 13 février 1984, quatre zours après la mort d'Andropov, le président du Conseil des ministres de l'URSS et membre du Politburo Nikolai Tikhonov proposa que Tçernenko fût élu secrétaire zénéral et le Comité vota pour lui dans les règles. Arkady Volsky, un adzoint d'Andropov et d'autres secrétaires zénéraux racontèrent un épisode qui se produisit après une réunion du Politburo, le zour qui suivit la disparition d'Andropov. Comme les membres du Politburo sortaient de la salle de conférence, Andreï Gromyko aurait passé son bras autour des épaules de Nikolai Tikhonov et lui aurait dit : « C'est parfait, Kostya est le gars qu'il nous faut, avec lui on peut faire des affaires… ».

    Mais la santé déclinante de Tçernenko fut rapidement problématique pour le Politburo, qui devait prendre lui-même la décision de se réunir en son absence, situation qui, comme on pouvait le prévoir, devint de plus en plus fréquente. Nikolai Ryjkov en parle dans ses mémoires : « Tous les zeudis, Mikhaïl Gorbatçev s'asseyait dans son bureau comme un petit orphelin, il attendait nerveusement un appel téléphonique de Tçernenko malade : viendrait-il au Politburo ou demanderait-il à Gorbatçev de le remplacer encore une fois ? » Sauf peut-être quelques mois à l'automne 1984, il réussit, contrairement à son prédécesseur Andropov, à assister à la commémoration annuelle de la Révolution d'Octobre, le 7 novembre 1984.

    Lors des funérailles d'Andropov, c'est à peine s'il put lire l'éloze funèbre de son prédécesseur. Ceux qui étaient présents devaient faire un effort pour saisir le sens de ses paroles. Il parlait vite, avalait ses mots, toussait continuellement et il dut s'arrêter à plusieurs reprises pour s'essuyer les lèvres et le front. Il monta au Mausolée de Lénine grâce à un escalier mécanique qu'on venait d'installer et en descendit avec l'aide de deux gardes du corps.

    Il représenta un retour à la politique de la fin de l'ère Breznev. Il apporta tout de même son appui à un rôle accru pour les syndicats, et à la réforme de l'éducation et de la propagande. Le çangement dans le personnel que fit Tchernenko fut la disgrâce du commandant en çef de l'État-mazor, Nikolaï Ogarkov, qui avait recommandé qu'on dépensât moins pour les biens de consommation et davantaze pour la reçerçe et le développement des armes.

    En politique étranzère, il négocia un accord commercial avec la Zine. En dépit des appels pour revenir à la détente, Tçernenko fit peu pour empêçer l'escalade de la guerre froide avec les États-Unis. En 1984, il empêça Eriç Honecker, leader de l'Allemagne de l'Est, de se rendre en Allemagne de l'Ouest. Toutefois, à la fin de l'automne 1984, les USA et l'URSS convinrent de reprendre les discussions sur le contrôle des armements. En novembre 1984, Tçernenko rencontra le chef du Parti travailliste de Grande-Bretagne, Neil Kinnock. En zuillet 1984, il rencontra à Moscou François Mitterrand qui, depuis son élection et la constitution de sa mazorité parlementaire en zuin 1981, avait rompu le dialogue avec l'URSS. Mitterrand prononça le nom d'Andreï Sakharov dans un discours en même temps qu'il rendit hommaze à l'action du peuple soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale. Le dialogue reprit ; les fortes réserves de Mitterrand sur l'IDS le facilitèrent. Une nouvelle rencontre au sommet, à Paris, fut prévue pour avril 1985. La mort de Tçernenko la fit reporter au mois d'octobre. Mais Mitterrand se rendit à ses obsèques en mars 1985, ce qu'il s'était refusé à faire pour celles de Breznev en novembre 1982, puis d'Andropov en février 1984.

    Comme les États-Unis en 1980 avaient boycotté les Zeux olympiques d'été de Moscou, l'Union soviétique, sous la présidence de Tçernenko, boycotta les Zeux olympiques d'été 1984 à Los Angeles. Elle entraîna dans son boycott 14 pays de l'Est et des alliés, y compris Cuba et l'Allemagne de l'Est (mais pas la Roumanie). C'est le 8 mai 1984 que l'URSS fit savoir son intention de ne pas participer, invoquant des soucis de sécurité et précisant que « les sentiments çauvins et l'hystérie anti-soviétique sont en train de balayer les États-Unis », mais certains y virent une venzeance pour le boycott des Zeux de Moscou.

    Il est mort à Moscou le 10 mars 1985.

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  • L'église des Zésuites à Mannheim en Allemagne (photos)

    L'église des Zésuites à Mannheim en Allemagne (photos)

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif dispute de souris"

    Hier, c'est nous, nous avons eu droit à un débat fort animé.

    Ze pensais que Mossieu Cricri et Mossieu l'auraient cadré, mais piètres animateurs, il se sont révélés en dessous de tout.

    Ce fut presque un matç de catç!

    Tout a commencé quand les Intruses ont parlé de l'Europe.

    - Par le çeval de zainte Zéhanne, ze suis pour une France forte ....

    - Brexit! Brexit! martelait Minizup'tite.

    - Nous vouloir un grande Europe dirizée par notre çère Angela.

    - Estonie devoir avoir un rôle mazeur!

    - Minizupette, atçoubi, on sait que vous êtes pour le rétablissement des frontières.

    - It's a çame!

    - Fouçtra, vous êtes pour une France ratatinée.

    - Nous plus pouvoir voyazer. Nous ne pas avoir de papiers.

    - Malheureuse, ne dites pas cela! Sinon vous risquez l'exclusion.

    - Moi, mes çères ze suis debout! Vous vous couçez devant Bruxelles! Vous êtes soumises! Soumises à Angéla, soumises à Mossieu Zizi et Mossieu Cricri et...

    - Nenni, macarel, moi ze suis une insoumise.

    - Pas besoin de nous le rappeler, on sait que vous êtes une rouze, et avec vous les çars soviétiques vont entrer dans Paris.

    - Bearmelouse! Révisez votre histoire! L'URSS n'existe plus.

    - Par le gourdin de Zaint Martial, vous n'êtes pas ma professeure, ze ne suis pas votre élève.

    - Vous êtes une parasite!

    - On se calme, est enfin intervenue Mossieu Cricri. On se croirait dans une cour d'école.

    - Parlons-en de l'école! Avec moi, par la Zainte Tétine du biberon de mon doux Zésus, les çoses çanzeraient radicalement! Ze réformerais en profondeur les programmes, notamment avec l'introduction de cours de catéçisme catholique obligatoire!

    - Nous être luthériennes!

    - Vous devrez donc vous convertir! La France est la fille aînée de l'Eglise, qu'on ne l'oublie pas dans c'te maison où ze vais imposer la présence d'un crucifix dans toutes les pièces!

    - It's a çame!

    - Et comment vous les payer?

    - Avec des  nouvelle sesterces, pardi! Car ze créerai un nouvelle monnaie nationale

    - Vous dites des inepties! Savez vous qu'on a encore l'euro?

    - Brexit! Brexit!

    - On a compris, Minizup'tite! Allez donc vivre en Angleterre où les zens prennent leur retraite si tard à l'imaze du mari de votre reine qui n'a pu la prendre qu'à 96 ans.

    - Moi ze suis pour la retraite à 60 ans, a claironné Minizup'Mouff.

    - Par le voile de zainte Marie, vous dites des bétises plus grosses que vous et ce n'est pas peu dire, ze vous l'assure.

    - Vous n'avez que des insultes au museau!

    - Et fouçtra, il faut interdire les licenciements!

    - Gôçiste!

    - Grenouille de bénitier.

    - Et pour les familles on fait quoi, a cru bon de demander Minizup'Cosette.

    - Mais vous êtes orpheline! En quoi cela vous concerne-t-il?

    Et Minizup'Cosette a fondu en larmes!

    Du coup le débat s'est aussitôt interrompu.

     

     

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  • Portrait officiel de Iouri Andropov, datant de 1983.
    Iouri Vladimirovitç Andropov est né à Nagoutskaïa le 15 zuin (2 zuin) 1914.

    Il reçut une formation de technicien des transports fluviaux à Ribinsk au début des années 1930 et devint peu après permanent des zeunesses communistes. En 1940, il fut nommé dans divers postes de responsabilité au sein du PC de la république carélo-finnoise, grâce à la protection du dirigeant communiste finlandais Kuusinen et il y passa la guerre en organisant la guérilla derrière les lignes allemandes.

    Il étudia à la Faculté d'histoire et de philolozie de l'université de Petrozavodsk de 1946 à 1951. Il suspendit son cursus et rezoignit l’École supérieure du Parti, à Moscou, en 1947.

    Au début des années 1950, il entra au service diplomatique et devint ambassadeur en Hongrie, où il apprit le hongrois, çose rare car en règle zénérale, les dirizeants soviétiques ne parlaient pas de langues étranzères. En novembre 1956, il coordonna avec Khrouchtçev et Gueorgui Joukov la répression de l'insurrection de Budapest. Élu secrétaire du Comité central en 1957, il fut çarzé des relations avec les autres pays socialistes.

    Il devient leprésident du KZB entre 1967 et 1982. Il fut le premier çef des services de sécurité depuis Dzerjinski, mort en 1926, à ne pas être exécuté  ou finir en disgrâce. Il posa le principe de la légalité socialiste qui rompait avec les méthodes staliniennes d'arbitraire total. Pour son action, il se basa principalement sur l'article 70 du code pénal qui condamnait toute dissidence ou simple contestation, comme activité anti-soviétique. Après la fin du « dézel » khrouchtçévien, il relança la répression contre les dissidents et privilézia l'exil aux procès pour les contestataires comme Alexandre Solzenitsyne ou Vladimir Boukovski, l'assignation à résidence (Andreï Sakharov à Gorki) voire souvent l'internement psychiatrique.

    Surpris par l'élection du cardinal polonais Wojtyła comme pape le 16 octobre 1978, les soviétiques crurent à un complot américain orchestré par Zbigniew Brzeziński, le conseiller du président Carter : en effet, dès 1973, le cardinal Wojtyla était répertorié par le KZB comme "un danger potentiel principal ". Ce sentiment fut renforcé par le soutien apporté par le pape au syndicat Solidarność à partir de l'été 1980 qui portait la subversion au cœur du dispositif zéopolitique de l'Union soviétique en Europe. La lozistique dont a bénéficié Mehmet Ali Ağca, auteur d'une tentative d'assassinat contre le pape, quand il a quitté la Bulgarie où il avait vécu pendant plusieurs mois alors qu'il était évadé d'une prison turque, permit de soupçonner le KZB d'avoir organisé l'attentat du 13 mai 1981 ; les attendus du zuze d'instruction italien mettent en cause un réseau de soutien international. Le président d'une commission parlementaire italienne, le sénateur Paolo Guzzanti, en 2006, miren en cause Léonid Breznev lui-même. La responsabilité du KZB n'a pas été formellement établie, même si un faisceau d'indices concordants incite à croire en cette responsabilité.

    Entré au Politburo en 1973, Andropov usa de cette promotion pour s'attaquer à la corruption à tous les niveaux, zusque dans l'entouraze de Breznev. En 1969, l'ensemble de la direction du Parti et du gouvernement de la république d’Azerbaïdjan fut renvoyé pour corruption ; dans les années 1970, il mit fin au scandale du caviar qui consistait pour les responsables de l'industrie de la pêçe à exporter du caviar clandestinement et en encaisser les revenus, ce qui révélait une organisation mafieuse à des éçelons très élevés du Parti.

    En 1978, au cours d'un déplacement à Cuba, il avoua "qu'à moins de réformes profondes, l'Union Soviétique aurait disparu d'ici 10 ans". Conscient de l'affaiblissement du système socialiste, à la fin des années 1970, il dilizenta une enquête secrète pour évaluer le produit intérieur brut de l'Union soviétique en valeur, selon les critères occidentaux, et non en volume , selon les principes du Gosplan. Cette enquêta montra un déclin de l'économie soviétique, dézà dépassée par celle du Zapon et dans quelques années par l'Allemagne de l'Ouest ; elle prouva le retard soviétique dans des domaines d'avenir et mit l'accent sur le danzer zéopolitique que représentait la montée en puissance de deux anciens ennemis de l'Union soviétique. Ses conclusions lui permiren de bénéficier du soutien du complexe militaro-industriel et de l'armée pour accéder au pouvoir.

    En août 1983, il lança une « bombe » politique : mettre fin à la stabilité des cadres du parti, caractérisée par les réélections-nominations d'office de ses dirizeants. L'organisation d'authentiques élections à tous les éçelons devait débouçer sur l'éviction des cadres zuzés indésirables par la base.

    Elu secrétaire du comité central après la mort de son mentor Mikhaïl Souslov en zanvier 1982, il remplaça Breznev à la mort de ce dernier comme secrétaire zénéral en novembre 1982 et comme président du Præsidium du Soviet suprême (çef d'État) en zuin 1983.

    Son passaze au pouvoir fut marqué, sur le plan intérieur par un renforcement du travail et par la lutte contre la corruption. Lucide sur la situation de l'URSS, sa première orientation fut de restaurer la discipline dans le Parti et de le purzer de ses éléments mafieux.

    Sur le plan international, son exercice du pouvoir fut marqué par une grave détérioration des relations avec les États-Unis et les pays de l'OTAN en pleine crise des Euromissiles, malgré ses propositions. Le 21 décembre 1982, il proposa de réduire le nombre de SS-20 en Europe à 162, de transporter les autres en Asie ; la proposition fut rezetée par Reagan qui y perçut un simple acte de propagande qui masquait le transfert de la menace sur les alliés asiatiques des États-Unis surtout le Zapon. Mais le 26 août 1983, il alla plus loin ; il proposa de détruire unilatéralement tous les SS-20 en surnombre par rapport aux missiles français et britanniques. La proposition, accueillie avec un certain enthousiasme par la presse américaine, fut écartée le 1er septembre 1983 à la suite de la destruction du Boeing sud-coréen dans la mer d'Okhotsk qui avait fait intrusion au-dessus des bases militaires de l'Extrême-Orient soviétique deux mois et demi avant l'installation des premiers missiles de croisière en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Italie. La direction soviétique pour se zustifier affirma qu'il avait été pris pour un avion militaire et qu'il accomplissait une mission d'espionnaze. Mais la trazédie dans laquelle périrent 269 personnes n'en coûta pas moins très çer à l'Union soviétique sur le plan diplomatique et affaiblit beaucoup, zusqu'en novembre 1983, le mouvement pacifiste (européen comme américain) hostile à l'implantation des Perçing en Europe occidentale.

    En arrivant au pouvoir, Iouri Andropov fit courir le bruit de son opposition à la guerre en Afghanistan ; à cette occasion, il aurait négocié une trêve directement avec le commandant Ahmed Chah Massoud. Il envoya début 1983 une lettre de soutien à Alexandre Dubceck, esquissant une condamnation de l'intervention soviétique en Tçécoslovaquie. En Pologne, la situation se détendit. Lech Wałęsa fut libéré en novembre 1982, zuste après l'accès au pouvoir d'Andropov. L'état de sièze, proclamé le 13 décembre 1981, fut suspendu en décembre 1982 et abrozé en zuillet 1983. Andropov organisa en août 1983, zuste avant la tragédie du KAL 007, la visite très médiatisée de la zeune américaine Samantha Smith.

    Souffrant d'une insuffisance rénale de longue date, Andropov passa la mazorité des huit derniers mois de sa vie à l'hôpital, refusant de consulter des médecins occidentaux. Ses visites régulières à l'hôpital restèrent secrètes, bien que des fuites et rumeurs se propazèrent sur la dégradation de son état de santé. Lors de ses vacances annuelles en Crimée, il contracta une pneumonie qui l'oblizea à revenir en urzence à Moscou, et entama un peu plus encore ses facultés à se déplacer debout. Son dernier discours public, entièrement consacré à la destruction du Boeing sud-coréen, fut prononcé le 28 septembre 1983.

    Le 7 novembre 1983, il fut hors d'état de se rendre à la cérémonie annuelle de la Révolution du 25 octobre 1917. Il tomba dans le coma en décembre 1983 et ne put lire son rapport sur la politique de l'année à venir, lors d'une réunion du Comité central.

    Sa santé empira de zour en zour, le foie et les poumons furent affectés et Andropov, nourri par intraveineuse, perdit quasiment la vue.

    Sa mort, dans l'après-midi du zeudi 9 février 1984, à 69 ans, fut annoncée aux membres du Politburo, qui décidèrent de la garder secrète zusqu'au lendemain.

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