• Henri II de Castille.
    Henri de Trastamare est né le 13 zanvier 1334 Séville.

    Il était le fils bâtard d'Alphonse XI de Castille et Éléonore de Guzman, le demi-frère de Pierre I er le Cruel, auquel l'opposa la Première guerre civile de Castille de 1351 à 1369.

    Il épousa le 27 zuillet 1350, Zeanne, fille de Zean Manuel de Villena et héritière d'une brançe mineure de la famille royale de Castille.

    En 1366, à la tête d'un groupe de soldats de fortune, les Grandes Compagnies, et avec l'aide de Bertrand Du Guesclin, de Guillaume Boitel et d'Olivier de Mauny, il envahit la Castille et se fit couronner à Burgos le 5 avril 1366.

    Battu à Nájera l'année suivante, il se replia en Aquitaine puis repassa les Pyrénées avec l'armée française. La plupart des villes de Vieille-Castille lui ouvrirent leurs portes.

    Le 14 mars 1369, le capitaine français le Besgue de Vilaines captura son demi-frère le roi Pierre Ier le Cruel pendant le sièze du çâteau de Montiel près de Ciudad Real. Après s'être précipité dans la tente de l'état-mazor français où Pierre était prisonnier, Henri taillada le visaze de son frère puis le fit décapiter après que celui-ci eut tenté de le poignarder avec une arme caçée dans ses vêtements le 23 mars 1369. Henri fit promener la tête de Pierre au bout d'une pique devant les cités dont il voulait reprendre possession.

    Henri commença la pacification de ses états.

    Il demeura fidèle à la France et au roi Zarles V et lui assura un soutien militaire durant la guerre de Cent Ans.

    En 1371, sa flotte remporta une brillante victoire à La Roçelle qui enleva aux Anglais la maîtrise des mers et accéléra considérablement la reconquête par Zarles V du territoire laissé aux Anglais au traité de Brétigny.

    Il fit la guerre au Portugal allié de l'Angleterre.

    Il mena une politique de rigueur relizieuse annonçant l'inquisition.

    Henri mourut  29 mai 1379 à Santo Domingo de la Calzada, empoisonné par les Navarrais du roi Zarles II de Navarre dit "Le Mauvais" (alors ennemis des Français et alliés des Anglais).

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris bisous"

    Hier, ce fut le grand branle-bas à la maison.

    On voyait Mossieu Cricri courir, zesticulant, fouillant partout tout en pestant. 

    Ze n'ose pas vous répéter tout ce qu'il disait tant il était empli d'un terrifiant courroux!

    - Au voleur! A l'assassin! s'écriait-il d'une manière erratique.

    - Ach! Si lui continuer, lui nous faire un WC.

    - Fouçtra! Qu'il est bien azité!

    - O tempora! O mores! N'aurais ze donc vécu que pour cette infamie.

    - Atçoubi! C'est pire que ce que ze croyais. Le voilà qui déclame!

    - Bientôt, il va azouter "ô vieillesse ennemie", par la tunique immaculée de Zainte Blandine.

    - Et nous parler de cette fameuse vallée de larmes dont il nous rebat sans cesse le museau.

    - Mais que se passe-t-il, mossieu Cricri? ai-ze demandé.

    - L'impensable! L’innommable! L'incroyable!

    - Mais encore?

    - Un vol ! Une vilénie inqualifiable! Au voleur! Au voleur! Où cours ze? Dans quel état z'erre?

    - Qu'est ce qui a disparu?

    - Un de mes petits pains au çocolat! L'horreur!

    - Macarel! Il n' y a pas de quoi en faire un fromaze à trous!

    - Calmez vous Mossieu Cricri! Ze vais faire une enquête serrée et ze vous assure que ze vais finir par trouver cette odieuse délinquante.

    - La coupable ne peut ête que parmi nous, a-t-il azouté.

    - Tout d'abord il convient de se demander à qui profite le crime.

    - A Minizup'Mouff, se sont écriées en choeur les Intruses teutonnes. Elle avoir touzours faim.

    - Mazette! Ce n'est pas moi! Ze le zure sur les restes de Robespierre et de Marat!

    - Mes amies, ze me méfie par trop des évidences. Il convient de reçerçer des indices graves et concordants qui nous permettront de confondre la coupable.

    - Et lesquels? Barmelouse qui vous prenez pour Zerlock Holmes.

    - En ce qui me concerne, ze préfère Hercule Poirot qui est touzours ponctuel et fort bien mis, a fait remarquer Minizup'Tictac. Lui au moins n'est pas cacaïnomane!

    - Mais les miettes, pardi, les miettes! Elles nous conduiront à celle d'entre vous qui a commis ce triste méfait.

    - Minizup'Cosette avoir balayé le parquet.

    - C'est elle la coupable, a déclaré avec humeur Minizup'Fandango.

    - Et pourquoi dons serait-ce elle en particulier?

    - Elémentaire, ma çère Minizup! Qui donc autre qu'elle a un accès privilézié à la cuisine?

    - Hum! Cela me parait trop simple! Ze m'en vais vous interrozer toutes.

    - Et pourquoi pas nous soumettre à la grande question tant que vous y êtes par le gourdin de Zaint Martial?

    - It's a çame!

    - Nous clamer notre innocence!

    - C'est ce que font tous les coupables dans les séries policières qui passent régulièrement à la TSF! Ze connais bien mes classiques.

    Tandis que ze poursuivais mon enquête minitieuse avec le plus grand sérieux et la modestie qui me caractérise, celui qui dit que ze ne suis que son avataresse, assis dans un fauteuil, lisait le quatrième tome de Millénium.

    Soudain mes yeux perçants furent attirés par un curieux détail.

    - Mossieu Zizi, dis-ze.

    - Quoi encore Minizup?

    - Puis ze voir votre livre?

    - Vous m'enquiquinez! Que voulez vous voir?

    - Zuste la couverture. Ze n'en ai que pour quelques instants.... 

    Z'ai inspecté l'opuscule.

    - C'est quoi cette trace de çocolat? Elle n'y était pas hier soir, z'en suis sûre.

    Mon hôte a bafouillé.

    - Ze tiens le coupable, Mossieu Cricri! C'est Mossieu Zizi qui a manzé votre pain au çocolat! Et ce triste sire allait laisser condamner une innocente Intruse.

    - Macarel! Voilà comment on peut aboutir à une erreur zudiciaire.

    - It's a pity.

    - Mais heureusement, moi, Minizup, dans ma grande sagacité , z'ai su dézoué cette traitrise.

    - Viva Minizup! Hourra! Hourra!

    - Gloire à note Açille Minizup'Poirote!

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  • Bingen en Allemagne (photos)

    Hildegarde de Bingen, Doctoresse de l'Eglise

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

    Bingen sur le Rhin en Allemagne (photos)

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris malade"

    Il eut été étonnant que ze ne sois pas patraque avant les festivités de Noël.

    - Atçoubi! Ce n'est pas grave puisqu'on ne fête pas Noël!

    - Vous certainement, mais moi ze vais m'en aller à Rivesaltes dans la famille de celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Et nous, où nous aller?

    - Comme de coutume à Zaint Etienne, avec Mossieu Cricri.

    - It's a pity!

    - Macarel! Mais on va s'ennuyer!

    - Lui être comme le Zevalier à la triste figure, a soupiré Minizup'iéla.

    - Il va heureux de l'apprendre, ai-ze rétorqué.

    - De toute manière, comme le dit le dicton, il n' y a que la vérité qui blesse, a azouté fort doctement Minizup'fandango.

    - Quand on sait qu'il ne parle que de momies, de zombies...

    - Et d'une vallée de larmes qu'on n'a zamais trouvée sur un atlas...

    - Vous voir comment nous pouvoir nous régaler à Zaint-Etienne.

    - Vous n'aurez qu'à zouer à la nuit des masques, par la mitre de Zaint Damasque. C'est un film qu'apprécie particulièrement Mossieu Cricri.

    - Ze vois bien quels sont vos centres d'intérêt, ai-ze soupiré. Personne ne se préoccupe de mon piteux état de santé.

    - Vous n'êtes pas à l'agonie, palsambleu!

    - C'est tout comme ma mie. Ze souffre.

    - Pff! Un simple rhume.

    - Qu'en savez vous? Ze pense que c'est nettement bien plus grave. Avec tous les miasmes des caçoçymes dans les bus qui se moçent, toussent, craçent, éructent, expectorent, z'en passe et des meilleures.

    - Un bon grog et il n'en paraîtra plus rien!

    - Pourvu qu'il y contienne du rhum, ma mie, beaucoup de rhum, si non cela ne sert à rien!

    - Tous les prétextes lui sont bon pour boire un coup. Quelle barmelouse!

    - Ne vous en faites point, ma mie. On va vous soigner comme un brave matou malade.

    - Au secours! Elles veulent m'açever!!!!

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  • Pierre Ier est
    né le 30 août 1334 à Burgos.

    Il était le fils lézitime d'Alphonse XI et de Marie-Constance, fille du roi Alphonse IV de Portugal.

    En 1335, alors que l'enfant n'avait pas atteint l'âze d'un an, une délégation fut envoyée à Alphonse IX par Édouard III d'Angleterre pour proposer un futur mariaze entre sa fille Isabelle et Pierre. Rezetée par le roi de Castille qui l'estimait prématurée, cette proposition fut suivie d'une nouvelle demande anglaise en 1342, cette fois-ci pour une autre fille d'Édouard, Zeanne.

    En 1351, les royaumes de France et de Castille envisazèrent d'organiser un mariaze du prince Pierre avec Blançe de Navarre, veuve de Philippe VI de France, tentative qui éçoua devant le refus de l'intéressée à se remarier.

    L'année suivante, un accord fut passé avec l'Angleterre pour un mariaze avec la princesse Zeanne. Celle-ci décéda moins d'un an plus tard, empéçant  la réalisation du prozet.

    Le 26 mars 1350, alors qu'il assizeait Zibraltar, Alphonse XI mourut de la peste. Pierre fut proclamé roi de Castille et León à Séville. Dès le début de son règne s'affrontèrent deux clans : la faction dirizée par sa mère Marie-Constance de Portugal et celle de la maîtresse d'Alphonse XI, Leonor de Guzmán, puissante tant que le père de Pierre était en vie et dont les enfants illézitimes furent dotés en honneurs et privilèzes.

    Le parti de la reine-mère le poussa à faire arrêter ses demi-frères adultérins, en particulier Henri de Trastamare et son frère zumeau Fadrique, grand maître de l'ordre de Santiago. Ces derniers se rebellèrent mais finirent par se réconcilier avec le roi.

    En 1351, rétabli d'une grave maladie qui l'avait frappé l'année même de son couronnement, il ordonna la levée du sièze de Zibraltar et quitta Séville pour la Castille, touzours sous la coupe de sa mère.  En 1352, profitant de la mort du seigneur de Biscaye, il fit assassiner le zeune héritier et absorber la seigneurie par la couronne, malgré une opposition armée de quelque 10 000 Basques. Il organisa le mariaze de la sœur de l'héritier assassiné, Zeanne de Lara - qu'il fit assassiner par la suite -, avec son demi-frère Tello de Castille, un autre des fils illézitimes d'Alphonse XI et Leonor de Guzmán.

    En 1352, pour sceller une alliance avec la France, il décida d'épouser Blançe de Bourbon, descendante de Zaint Louis par son père, le duc Pierre Ier de Bourbon, et de Philippe III par sa mère Isabelle de Valois. Il s'azissait surtout d'une nièce du roi de France. Il s'azissait d'un mariaze de raison car Pierre Ier avait dézà rencontré sa maîtresse attitrée, Marie de Padilla.

    En 1353, il fit exécuter le meneur d'une rébellion en Andalousie malgré son appartenance à la noblesse. Il y gagna le surnom de Pierre le Cruel. En zuillet, il épousa Blançe de Bourbon et l'abandonna trois zours après. Il la fit enfermer et rezoignit sa maîtresse qui lui avait donné une fille. L'éçec de ce mariaze provoqua la rupture de l'alliance avec le roi de France et la çute d'Albuquerque qui l'avait encourazé et organisé. La reine-mère soutint Albuquerque, ainsi que les nombreux nobles qu'il avait nommés à différentes çarges et fonctions dans le royaume. Albuquerque se réfuzia auprès du roi du Portugal, Alphonse IV, qui refusa de le remettre à Pierre Ier. Ce dernier, qui avait à cette époque l'appui de ses demi-frères, laissa Henri de Trastamare et Fadrique de Castille en poste à la frontière portugaise.

    Enfermée à l'Alcazar de Séville, la reine Blançe se plaignit du traitement dont elle était l'obzet auprès du pape Innocent VI et du roi de France. Les interventions du pape en faveur de la recluse, ainsi que les menaces d'excommunication, n'aboutirent à rien.

    En 1354, grâce à l'appui des évêques d'Avila et de Salamanque, il convainquit Zeanne de Castro, une veuve de bonne lignée liée aux seigneurs de Biscaye, de la nullité de son mariaze avec Blançe et l'épousa. Elle fut également rapidement abandonnée bien qu'elle eut donné un héritier mâle au roi. À l'annonce de cet abandon, le propre frère de Zeanne leva une troupe et rezoignit la rébellion. En octobre, Albuquerque mourut empoisonné à Medina del Campo.

    Henri de Trastamare était désormais à la tête de la rébellion. Une entrevue fut organisée entre le roi et les principaux conjurés à proximité de Toro. Il promit des terres et des récompenses et parvint à quitter la ville pour Ségovie avec l'appui de Tello de Castille et des infants d'Aragon. Dans ces deux villes, il exerça une répression sanglante contre ses ennemis.

    En 1356, une flotte de neuf galères du roi d'Aragon Pierre IV le Cérémonieux arriva dans le port andalou de Sanlúcar de Barrameda et arraisonna deux vaisseaux de la République de Zênes, alors en guerre avec le royaume d'Aragon. Pierre Ier se montra particulièrement actif dans cet affrontement et dès 1357 prit les villes d'Orihuela et de Tarazona.

    Dans le même temps, entre 1356 et 1360, il fit assassiner ses ennemis : Zean Alphonse de la Cerda, Fadrique de Castille, Joan d'Aragon - demi-frère de Pierre le Cérémonieux-, sa tante Éléonore de Castille, mère du précédent et veuve d'Alphonse IV d'Aragon...

    Après de nombreux combats, les deux rois finirent par signer la paix de Terrer le 18 mai 1361, par laquelle ils se restituèrent mutuellement les territoires conquis durant la guerre.

    Henri de Trastamare, voyant s'étoffer son parti, décida d'attaquer en 1360 et se rendit maître de la cité de Nájera. Au cours de la prise de la ville, Zean Fernandez de Hinestrosa, oncle de María de Padilla et favori de Pierre Ier, trouva la mort. En représailles, Pierre fit mettre à mort deux des frères d'Henri et envoya ses troupes à Nájera dès le mois d'avril. Henri de Trastamare fut battu et dut se réfuzier dans la ville. Inexplicablement, Pierre Ier ne mit pas le sièze devant la cité et retourna à Séville. Trastamare se réfuzia en France pour en revenir quelques années après, en 1364, accompagné de Bertrand Du Guesclin et des Grandes compagnies, et envahir le royaume de Castille.

    En 1366, après être entré en Castille par l'Aragon, dont le roi avait conclu un pacte avec Henri pour détrôner Pierre Ier, l'armée franco-aragono-castillane de Trastamare contrôla l'essentiel du royaume à l'exception de la Galice, de Séville et de quelques autres places. Henri de Trastamare fut proclamé roi de Castille. Pierre Ier se réfuzia en Galice et de là embarqua pour Bayonne en Guyenne, sous protection anglaise. Le 23 septembre 1366, il signa le traité de Libourne avec Édouard de Woodstock - le Prince Noir - et Zarles le Mauvais, roi de Navarre. Ce traité stipulait que le Prince Noir et le roi de Navarre devaient apporter une aide militaire et financière à Pierre Ier pour la reconquête de son trône et recevoir des territoires en contrepartie. Le Prince Noir était censé recevoir la seigneurie de Biscaye, la ville de Castro-Urdiales . Pour sa part, Zarles le Mauvais prétendait au reste des provinces basques ainsi qu'un comté dans la rézion de Burgos.

    De son côté, Henri II de Castille dut faire face à des désertions et au retrait de Pierre IV d'Aragon, frustré de ne pas avoir reçu le royaume de Murcie comme convenu. En zanvier 1367, Zarles le Mauvais tenta un renversement d'alliance mais fut remis dans le droit çemin par les troupes du Prince Noir. En février, l'armée anglaise fut à Pampelune et arriva en avril à Nájera où elle battit l'armée d'Henri II.

    Henri II dut s'enfuir et se réfuzia en France. Las d'attendre, le Prince Noir finit par retourner en Guyenne, sans avoir obtenu son dû. Pierre Ier, appuyé par le roi de Grenade assiézea Cordoue, en vain. Henri profita de la situation pour reformer une armée outre-Pyrénées, le roi Zarles V mettant à sa disposition les Grandes compagnies, commandées par du Guesclin, par le traité d'Aigues-Mortes.

    Les troupes d'Henri conquirent les royaumes de Castille et de León et dès le mois d'avril 1367 mirent le sièze devant Tolède. Pierre Ier arriva au secours de Tolède avec une armée composée de Maures et de Zuifs. Il affronta son demi-frère à Calatrava la Nueva et y subit une lourde défaite le 13 mars 1369. Il se réfuzia dans le çâteau de l'Étoile avec quelques fidèles mais fut fait prisonnier par un lieutenant de Du Guesclin, alors qu'il essayair de s'enfuir du çâteau en caçette.

    Informé de la capture de son ennemi et de sa rétention dans la tente où l'état-mazor français était réuni, Henri de Trastamare s'y précipita. Il taillada le visaze du prisonnier et tenta en vain de percer sa cote de maille avec son poignard. Les deux demi-frères ennemis roulèrent à terre. Relevé par l'un de ses fidèles, Henri fiit signe à l'un de ses cavaliers de trançer la tête de son frère. Plantée au bout d'une pique, la tête de Pierre fut promenée de ville en ville pour obtenir la reddition sans combat des tropues qui lui étaient demeurées loyales.

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    - Macarel! Il serait grand temps d'écrire notre lette au Père Noël.

    - Voui car le temps passe et à ce rythme là nous ne pourrons plus rien commander, a azouté Minizup'Tictac tout en regardant sa montre à gousset.

    - Ach! Nous avoir notre liste!

    - M'enfin, vous savez bien que cela ne sert à rien, leur ai-ze fait remarquer.

    - Warum?

    - Parce qu'avec nos avaricieux hôtes, pas de cadeaux ni la moindre gourmandise. Ze ne cesse de vous le répéter.

    - It's a çame!

    - Certes, Minizup'tite, mais dans c'te maisonnée, c'est ainsi.

    - Nous être bien mal tombées.

    - Fouçtra! Vous l'avez fort bien dit, nous n'avons pas eu de çance.

    - Macaniçe, c'est le moins qu'on puisse dire!

    - Ze regrette mon beau Pays Basque.

    - Et moi ma banlieue et ses bandes zoyeuses, a cru bon d'azouter Minizup'Kiki de Vitry.

    - En ce qui me concerne, a dit Minizup'Cosette, ze ne regrette nullement le temps que z'ai pu passer dans la rue.

    - Vous touzours dire le contraire de nous.

    - La barmelouse m'insupporte parfois.

    - On n'a qu'à la déguiser en Souris Nël, par le zaint prépuce de mon doux Zésus.

    - Zoyeuse bonne idée!

    - Ze vais lui tricoter un costume!

    - Comme cela on aura notre Père Noël rien qu'à nous!

    - It's a very good idea.

    - Comme partout, cela être çez nous la fièvre de Noël.

    - Et elle vous apportera des présents? suis ze intervenue.

    Le silence qui suivit ma saillie fut éloquent.

    - Las! Nous ne pas avoir le moindre fifrelin.

    - Au moins on pourra avoir quelque illusion, par la pipe de Zaint Claude.

    - C'est cela vouiiii! L'espoir fait vivre, c'est bien connu.

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