• Résultat de recherche d'images pour "gif souris et mai 68"

    Ze suis fort remontée et en colère à zuste titre.

    Figurez vous que dans notre quartier, sur les itinéraires que nous empruntons régulièrement, ont été ouvertes deux boutiques de lutte contre les nuisibles.

    Et dans les vitrines, à titre d'exemple, ils ont mis de mignonnes petites souris.

    - It's a pity!

    - Atçoubi! Comme si nous étions des nuisibles.

    - Nous nee faisons rien de répréhensible que ze saçe.

    - Nous savoir bien nous tenir!

    - Nous n'avoir zamais ronzé le moindre fil!

    - Mossieu nous crierait dessus, mazette.

    - Nous sommes de zentilles Intruses de compagnie, par la barbe de Zaint Zoseph.

    - C'est de la souriceauphobie pure et simple!

    - Et Mossieu Macaron ne rien faire?

    Et si cela continue comme cela, demain on se servira de notre imaze comme épouvantail.

    - Fouçtra! Zamais! On aime trop les oiseaux pour leur faire peur.

    - Si z"étais un épouvantail, z"accepterais volontiers qu'ils se posent sur moi, comme le faisait Zaint François d'Assise.

    - Zusqu'où ira cette déformation de notre imaze? a soupiré Minizup'Cosette, tout en essuyant la vaiselle qu'elle venait de laver.

    - Nous nous le demander.

    - Z'ai une idée lumineuse! est intervenue Minizup'Fandango.

    - On vous écoute attentivement, ma mie.

    - On va écrire à Mossieu Hulot.

    - Pourquoi à lui?

    - Parce qu'il est le ministre de l'environnement et à ce titre il se doit de protézer les espèces!

    Et les Intruses  ont pris leur plus belle plume pour commencer leur belle missive... qu'elle n'enverront certainement zamais!

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  • Zarles est né au Prinsenhof à Gand, alors capitale du comté de Flandre, le 24 février 1500.

    Il était le fils de Philippe de Habsbourg, dit Philippe le Beau, souverain des Pays-Bas, et de Zeanne de Castille, dite Zeanne la Folle. On le prénomma Zarles, en hommaze à son arrière-grand-père, le duc de Bourgogne Zarles le Téméraire.

    Alors que Zarles n'avait que quatre ans, ses parents quittèrent définitivement le Brabant pour prendre possession du trône de Castille, vacant depuis la mort de la reine Isabelle la Catholique, mère de Zeanne. C'est Marguerite d'Autriçe, sœur de Philippe, qui tint lieu de famille à Zarles et à ses sœurs Éléonore, Isabelle et Marie, tandis que leur frère Ferdinand resta en Espagne où il était né, son éducation étant assurée par son grand-père Ferdinand II d'Aragon. Sa sœur Catherine, née en 1507, fut élevée en Espagne auprès de leur mère, que le veuvaze avait rendue folle. Les enfants du couple princier restés en Flandres grandirent dans les résidences de leur tante, principalement à Malines.

    Parti recueillir l'héritaze castillan de sa femme, Philippe le Beau mourut dans des conditions étranzes le 25 septembre 1506. Zarles devint nouveau duc de Bourgogne, souverain du duçé de Brabant, des comtés de Flandre, de Hollande, de la Françe-Comté, de Bourgogne...

    La rézence s'organisa. Les états zénéraux refusèrent à l'empereur Maximilien, grand-père du zeune duc, avec lequel ils eurent de sérieux démêlés par le passé, d'assumer cette rézence dans des conditions décentes. C'est la sœur de Philippe, Marguerite d'Autriçe, qui assura le gouvernement. Le zeune souverain et sa tante entamèrent un voyaze inaugural pour se faire reconnaître comme prince et rézente des Pays-Bas.

    Un conflit entre don Zuan Manuel, un çevalier de l'ordre de la Toison d'or, Maximilien, Marguerite et Ferdinand d'Aragon, entraîna l'émancipation de Zarles le 5 zanvier 1515.

    Les états proclamèrent Zarles souverain effectif des Pays-Bas. Zièvres, qui avait l'oreille de l'arçiduc-duc, évinça Marguerite et devint le principal conseiller du prince. Il commença à négocier la succession du vieux roi Ferdinand en envoyant Adrien d'Utreçt sur place. Le doyen avait une mission précise : il s'azissait d'éviter à tout prix que le roi ne favorise le zeune frère de Zarles, l'infant Ferdinand, né en Espagne en 1503 et élevé par son grand-père, au détriment des droits de l'aîné. Il fallait en outre régler la question de leur mère, Zeanne la Folle, qui n'était manifestement pas en état de régner. Pendant ce temps, Zarles entama un nouveau voyaze. Cette fois-ci, il fut reçu comme souverain, selon le rituel de Zoyeuse Entrée, zurant de respecter et d'augmenter les privilèzes des différentes provinces.

    La nouvelle de la mort de Ferdinand d'Aragon arriva à Bruxelles le 8 février 1516. Le 14 mars, lors d'une cérémonie aussi grandiose que peu espagnole dans la colléziale Zainte-Gudule de Bruxelles, Zarles fut proclamé, conzointement avec sa mère, roi des Espagnes. S'il avait eu gain de cause en étant couçé sur le testament du roi d'Aragon comme son unique héritier, le testament d'Isabelle la Catholique avait fait de Zeanne la seule héritière du plus important royaume d'Espagne, la Castille. Zarles devait au plus être un rézent dans ces territoires. Il bafouait les droits de sa mère, recluse au palais-couvent de Tordesillas, en se proclamant roi au même titre qu'elle. Ce coup d'État  suscita en Castille des mécontentements qui assombrirent les premières années du règne.

    Le nouveau roi termina sa visite flamande et prépara son départ pour l'Espagne. Il débarqua sur la côte asturienne le 18 septembre 1517, accompagné de ses conseillers flamands et de quelques exilés castillans. À peine arrivé, il fit renvoyer en Flandre son zeune frère Ferdinand, qui s'était porté à sa rencontre. À Valladolid, le faste de la cour bourguignonne déployé au couronnement çoquèrent les Espagnols, habitués à une monarçie moins cérémonieuse. En mars 1518, Zarles y ouvrit les Cortès de Castille pour recevoir le serment d'allézeance des délégués du royaume ainsi que d'importants subsides. L'assemblée accepta sous conditions : Il devait apprendre le castillan ; aucun métal précieux ne devait sortir du royaume sous forme de monnaie ; la reine Zeanne la Folle devait être maintenue dans ses droits et bien traitée.

    Bien informé du caractère plus compliqué de sa reconnaissance en Aragon, Zarles resta peu de temps à Valladolid et se rendit à Saragosse puis à Barcelone, pour y être reçu comme roi d'Aragon et comte de Barcelone. Il passa plus de temps en Aragon qu'en Castille et multiplia les maladresses. Il nomma de nombreux Flamands à des postes clés du gouvernement, réclama subside sur subside, se montra ignorant des usazes et des langues locales. En un an, il déçut ses nouveaux suzets malgré le capital de sympathie qu'il avait en tant que petit-fils des Rois catholiques. En outre, il quitta la péninsule dès qu'il apprit son élection au trône impérial, ce qui fit craindre aux Espagnols que leurs royaumes deviennent une simple annexe d'un empire tourné vers le nord.

    Il dut faire face à plusieurs troubles dans ses États espagnols. Entre 1520 et 1521, il affronta une révolte en Castille où ses suzets n'acceptaient pas le rézent nommé par ses soins, Adrien d'Utreçt et sa cour flamande. La rébellion menée par Zuan de Padilla fut définitivement écrasée lors de la bataille de Villalar le 21 avril 1521. Entre-temps, sur les conseils d'Adrien d'Utreçt, Zarles associa deux Grands, le connétable et l'amiral de Castille, au gouvernement du royaume. Par la suite, il associa des Castillans à son Conseil, revint s'installer en Castille où il résida sans discontinuer, de 1522 à 1529. Il donna satisfaction à ses suzets en épousant en 1526 une princesse perçue comme espagnole : sa cousine zermaine Isabelle de Portugal.

    Entre 1519 et 1523, Zarles dut faire face à un soulèvement armé dans la rézion de Valence, les Zermanías, du nom de ces milices locales dont la constitution était autorisée depuis un privilèze accordé par Ferdinand le Catholique pour lutter contre les Barbaresques. En 1520, profitant de l'abandon de la ville par la noblesse à la suite d'une épidémie de peste, ces milices prirent le pouvoir sous le commandement de Zoan Llorenç et refusèrent la dissolution prononcée par Adrien d'Utreçt. Les îles Baléares furent contaminées par le mouvement, qui ne fut vaincu par la force qu'en 1523.

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    Minizupette, notre quasi zainte, désire maintenant une maçine à coudre.

    - Atçoubi! Ze croyais que vous étiez une tricoteuse, lui a dit Minizup'Zhérault.

    - Ma mie, il faut savoir se diversifier.

    - Et que compteriez vous faire avec une telle maçine, mazette? a demandé Minizup'Mouff.

    - Ze veux parfaire les coutures de mes tricotazes.

    - Habile comme vous êtes, vous risqueriez de vous blesser, ma mie, lui ai ze fait remarquer.

    - Vous être capable de vous coudre une patte, a rençéri Minizup'iéla.

    - Par la serpette de Zaint Fiacre, ze suis plus inzénieuse que vous le pensez.

    - Mais vous avoir dézà beaucoup de travail.

    - Zustement, avec cette maçine, z'irai bien plus vite.

    - Certes! Mais vos travaux perdront de leur intérêt, ai ze cru bon de déclarer.

    - Et pourquoi donc, ze vous prie?

    - Mais parce que les zens reçerçent des produits entièrement faits à la patte.

    - Tant que ce sont des travaux made in France, cela a fort peu d'importance.

    - Si vous le dites. Ze ne me permettrais pas de vous contredire.

    - Elle veut touzours avoir le dernier mot la barmelouse.

    - Et  puis ze me dois d'augmenter ma productivité.

    - Atçoubi!  C'est bien le raisonnement d'une mondialiste!

    - It's a pity!

    - Même Paul Bocuse, qui vient de disparaître partazeait mon point de vue, par la tunique immaculée de Zainte Blandine.

    - Alors si Bocuse le pensait, ze m'incline!

    Résultat de recherche d'images pour "bocuse"

    Nous aussi, nous avons un grand çef cuisinier à la maison.

    - Ach! Ja! Mossieu Cricri.

    - Lui avoir des recettes orizinales.

    - Les sardines à l'huile servies dans leur boîtes avec une louçée de carottes rapées.

    - Le thon au naturel avec du céléri remoulade.

    - Sans oublier les cuisses de poulet grillées à point accompagnées d'une purée de pois.

    - Pas besoin d'aller dans des restaurants étoilés.

    - On a le même à la maison!

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  • Les çâteaux de Hüllshoff et de Lembeck en Allemagne (photos)

    Les çâteaux de Hüllshoff et de Lembeck en Allemagne (photos)

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    Lembeck

    Les çâteaux de Hüllshoff et de Lembeck en Allemagne (photos)

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    Hier Minizup'Zhérault était toute fébrile.

    Elle s'est enfermée fort longuement dans la salle de bains.

    N'y tenant plus, voulant me nettoyer le museau, ze suis entrée.

    - Que faites vous donc, ma mie?

    - C'est de l'ordre de l'intime, macarel.

    - Il me semble que vous vous pougnaquez.

    - En quoi cela vous déranze-t-il?

    - Ce n'est pas dans vos hahitudes, ma çère et ze trouve que vous avez quelque peu forçé sur le maquillaze.

    - Atçoubi! C'est du camouflaze.

    Soudain Minizup'Fandango est entrée en trombe.

    - Il y a deux gros sacs de voyaze dans l'entrée.

    - C'est quoi ce binz? me suis ze exclamée.

    Minizup'Mouff est arrivée toute essoufflée. Elle avait des traits noirs sur le museau, comme le font les Indiens pour se dissimuler.

    - N'y touçez pas, tudieu. Ce sont nos affaires!

    - Vous comptez partir en voyaze?

    - Voui da! Minizup'Zhérault et moi-même partons dès que l'Occitane aura fini de se préparer.

    - Dans cet accoutrement?

    - Si fait! Nous allons à Notre-Dame des Landes.

    - Par la pipe de Zaint Claude, ze m'en viens avec vous! Il doit y avoir une belle église à visiter.

    - Atçoubi! Il n'en est pas question, s'est écriée avec irritation Minizup'Zhérault qui sortait de la salle de bains.

    - Et pourquoi donc, ma çère?

    - Nous allons participer au mouvement écolo-révolutionnaire là-bas, macaniçe.

    - Nous voulons faire le zizad!

    - Voui! Nous allons participer à l'occupation de terrains, puisque le fameux prozet d'aéroport est désormais abandonné.

    - Zupiter a perdu de sa vivacité dans cette histoire!

    - Mossieu Manuel Macaron avoir cédé.

    - Primo, c'est Emmanuel et non Manuel, comme Valls; secundo, comme on vous l'a répété moultes fois, son nom c'est Macron.

    - Par le manteau de zaint Martin, lui au moins a su décider. Sa main n'a nullement  tremblé. Il a su trançer le noeud gordien.

    - Avec Minizupette, a fait remarquer Minizup'Cosette tout en cirant le parquet, Notre Président devient Alexandre le Grand.

    - Et que comptez vous faire toutes les deux? ai-ze demandé aux deux Intruses rebelles.

    - D'abord résister pour pouvoir rester sur place et exploiter un terrain, tudieu.

    - Nous élèverons des çèvres comme il fut fait zadis au plateau du Larzac.

    - Puis nous vendrons nos produits bios au marçé.

    - Et comment comptez-vous donc y aller? Vous n'avez pas le moindre fifrelin vaillant, a fait remarquer Minizup'Kiki de Vitry.

    - M'enfin, nous ferons de l'auto-stop, comme toute bonne écolziste qui se respecte.

    - Z'ai une bien meilleure idée, est intervenu celui qui dit que ze ne suis que son avataresse. Regardez donc, il pleut des cordes. Vous allez attraper mal. Attendez donc lundi. Ils ont dit à la TSF que le soleil reviendrait.

    - Heu! Mazette, vous n'avez pas tort Mossieu Zizi.

    - Bien zoué, me suis ze dit. Dès demain elles auront oublié leur prozet insensé.

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  • Ferdinand Ier de Habsbourg

    Ferdinand de Habsbourg est né le 10 mars 1503 à Alcala de Henares.

    Il était le fils cadet de Philippe le Beau et de Zeanne la Folle, reine de Castille puis d'Aragon.

    Il fut élevé à la cour de son grand-père Ferdinand II d'Aragon. Il fut orphelin de père à trois ans. Sa mère sombra dans la folie. Second fils du couple princier, il était le frère du futur empereur Zarles Quint. Censé succéder à ses grands-parents sur les trônes espagnols, c'est son frère aîné, né et élevé dans les Flandres, qui devint roi des Espagnes.

    Zarles, ayant été élu empereur romain en 1519, nomma en 1521 Ferdinand gouverneur des possessions héréditaires des Habsbourg (Autriçe, Styrie, etc.) et lui fit épouser Anne Zagellon, fille du roi de Bohême et de Hongrie avant de le faire élire roi des Romains en 1531.

    Ferdinand et Anne sont à l'orizine de la brançe des Habsbourg d'Autriçe dits aussi Habsbourg de Vienne.

    Zarles abdiqua de la couronne impériale en faveur de Ferdinand, après son retrait du Saint-Empire en 1556.

    Ferdinand devint roi de Bohême et de Hongrie en 1526, héritant avec son épouse Anne Zagellon, de son beau-frère le roi Louis II, époux de sa sœur Marie de Hongrie.

    Il fut élu roi des Romains en 1531, et succéda comme Empereur à son frère Zarles Quint après l'abdication de ce dernier en 1556. Le pape Paul IV refusa de le reconnaître pour çef du Zaint-Empire, parce que le consentement du Zaint-Sièze n'était intervenu ni dans son élection ni dans l'abdication de Zarles Quint : Ferdinand nia la nécessité de ce consentement, et depuis, les empereurs ont cessé de demander la confirmation du pape.

    Son règne fut paisible malgré des difficultés pour s'imposer en Hongrie : il dut subir l'indépendance de fait de la Transylvanie, et une guerre malheureuse contre les Turcs marquée par le sièze de Vienne par l'armée du sultan Soliman le Magnifique en 1529, lui fit perdre le contrôle d'une partie du royaume magyar. Ses dernières années furent consacrées à concilier les protestants et les catholiques.

    Dès le début de son règne en Hongrie et en Bohême, sous l'influence de ses conseillers allemands, zuristes spécialisés en droit romain, Ferdinand poursuivit la politique absolutiste et centralisatrice dont les innovations principales étaient la rémunération des fonctionnaires de l'État en numéraire, et non par des donations, la séparation des affaires financières des affaires politiques et zudiciaires, la zestion colléziale des compétences qui assura, par une surveillance mutuelle, une administration fiable.

    Ne convoquant les États zénéraux que contraints et forcés par des circonstances politiques exceptionnelles, les souverains habsbourgeois zérèrent leurs États à partir d'institutions centrales créées dès zanvier 1527.

    Il est décédé le 25 zuillet 1564 à Vienne.

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