• Résultat de recherche d'images pour "gifs souris et froid"

    Ces zours-ci, aux informations, on n'entend parler que de revendications.

    - Par le toutou de Zaint Roch, les travailleurs en veulent touzours plus.

    - Eux vouloir le beurre et l'arzent du beurre, a réazi Minizup'iéla.

    - Et bien sûr, le sourire de la crémière, a complété Minizup'Rosa

    - Atçoubi! Qu'est ce que vous pouvez être réactionnaires. On nous parle de reprise économique, de bons résultats. Il est donc normal que les travailleurs récoltent quelques fruits de leur labeur qui contribue à la riçesse nationale.

    - Par la plume de Zaint Pncrace, c'est bien un discours de gôçiste. Et pourquoi pas prôner la grève zénérale, tant que vous y êtes.

    - Macaniçe! Vous avez bien raison.

    - Mazette! Si c'est le seul moyen de faire plier les patrons.

    - Avec vous la France serait vite bloquée, par la serpette de Zaint Fiacre!

    - Vous me donnez une excellente idée, s'est exclamée Minizup'Cosette tout en lavant les vitres avec la plus grande énerzie.

    -  Ze me demande ce qu'elle a encore imaziné, a déclaré Minizup'Kiki de Vitry.

    - Elle avoir touzours des idées orizinales, a rençéri Minizuplein.

    - It's a pity!

    - Z'exize que vous me trouviez une assistante pour m'aider dans mes tâçes ménazères.

    - Et puis quoi encore, barmelouse?

    - Elle être tombée sur le museau!

    - Pourquoi donc avez vous besoin de soutien, par la pipe de Zaint Claude?... Nous vous avons accueillie fort zénéreusement, vous êtes lozée, nourrie...

    - Mais certainement pas blançie puisque c'est moi qui fais les lessives dans c'te maison.

    - Ze trouvé que vous exazérer une tartinette, lui a fait remarquer Minizup'Rosa.

    - C'est fort simple! Si ze n'obtiens pas satisfaction, ze me mets en grève sur les tas de linze, illico presto, con fuego furioso!

    - Et voilà! Vous pouvez être contentes les contestataires, proçes de Mossieu Mélénçon! Le révolution se profile à l'horizon, ici et maintenant. Vous pouvez être fières, vous avez réussi à faire adhérer Minizup'Cosette à vos idées socialo-communninistes.

    - Et nous, comment faire maintenant sans souillon?

    - Macarel! Ne vous tracassez pas pour si peu.

    - M'enfin! Vous pensez faire le ménaze, vous?

    - Que nenni! On va expliquer à la bestioulette que le droit de grève ne s'applique qu'aux ouvriers et aux fonctionnaires et non au personnel de maison.

    - Et, mazette, vous pouvez croire à notre grande force persuasion!

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    Hier, bien que nous puissions être désarzentées, nous avions décidé de faire du lèçe-vitrines.

    Pour ce faire, nous nous sommes rendues vers le grand centre commercial qui se trouve Place d'Italie.

    Devant celui-ci, nous avons été interpellées par trois dames.

    - Lignes de çance? nous a dit l'une d'entre elles.

    - Le métro, c'est par là, a répondu Minizup'Cosette, touzours prête à aider les zens.

    A ce propos de l'Intruse orpheline, les trois femmes ont éclaté d'un rire sardonique.

    - Atçoubi! Elles me font dresser le poil sur le dos.

    - On dirait des sorcières, a déclaré Minizup'Fandango.

    - Par la pipe de Zaint Claude, elles me font penser aux 3 Parques.

    - Késaco?

    - Les Parques sont des divinités romaines qui sont maîtresses de la destinée humaine, nous a expliqué notre Pioçe de la Frandole. Elle sont représentées comme des fileuses mesurant la vie des hommes et trançant, in fine, les fils de la vie.

    A peine avait-il fini de nous donner ces doctes explications, qu'une des dames nous a fait comprendre qu'elles voulaient lire les lignes des mains.

    - Mazette! Nous n'avons pas de mains mais des pattes, Mâdame!

    - Et elles être propres. Elles ne pas avoir des lignes.

    - Cela sent l'arnaque à plein museau, macarel.

    - It's a pity!

    - Nan! Pas la pythie! Ni les muses, fouçtra.

    - C'est comme le zazz et la zava, cela ne va pas ensemble.

    - En parlant de zazz, z'ai été bien attristé par l'annonce du décès soudain de Didier Lockwood, a déclaré de façon impromptue (et inappropriée, ce me semble) mon hôte..

    - Nous ne pas savoir qui lui être.

    - C'était un grand musicien, violoniste de zazz, nous a expliqué celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Sans doute est il mort à cause d'une des Parques qui ne supportait ni le violon, ni le zazz, a ironisé Minizup'Kiki de Vitry.

    - En tout cas arnaque ou pas, ces diseuses de bonne aventure ne pourront rien nous voler, puisque nous sommes des pôvrettes, pauvres comme Zob!

    - Elle pourrait tout au plus nous donner quelque espoir, macarel.

    - Nous promettre de la tarte aux pommes...

    - Avec de la glace vanille...

    - Et beaucoup de zantilly.

    - Nous ne pas demander grand çose finalement!

     

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  • Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

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    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

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    Harcourt

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

    Bec Hellouin en Normandie (photos)

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  • Gif personnage cannibale 144031

    Deux cannibales, un père et un fils, ont été élus par leur tribu pour aller çerçer de la nourriture en dehors des limites du villaze. Le père et le fils s'enfoncent au plus profond de la zungle, là où personne de la tribu ne s'était encore aventuré.

    Au bout d'une zournée de traque, ils croisent un petit vieux.

    - Là papa! Il y en a un!

    - Non, répond le père. Il n'y a pas assez de viande là-dessus. On pourrait à peine le donner aux çiens. Continuons! Ze pense qu'il y a du zibier dans ce coin.

    Quelques heures plus tard, ils aperçoivent un homme blanc, très gros.

    -  Papa! Papa! Regarde! dit le fils en salivant. Il est incroyable! On va avoir à manzer pendant des semaines! Ils vont être fiers de nous aux villaze !

    - Non, répond le père. Avec lui, toute la tribu aura un infarctus. Il a trop de cholestérol! Patientons!

    Une heure plus tard, voici qu'arrive une superbe et plantureuse femme blançe, du zenre Laetitia Casta.

    Le fils est excité comme une puce:

    - Papa! Papa! Cette fois, il n'y a rien à redire! 

    - Non, mon fils! on ne la manzera pas non plus!

    Le fils le regarde interloqué.

    - Et pourquoi pas? Papa?

    - On va la ramener au villaze et on manzera ta mère!

      

     

     

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  • Don Carlos Spanien.jpg

    Zarles d'Autriçe (Don Carlos) est né à Valladolid, le 8 zuillet 1545.

    Il était fils de Philippe II d'Espagne et de sa cousine paternelle et maternelle Marie-Manuelle, fille du roi du Portugal Zean III et de Catherine de Castille, sœur cadette de Zarles Quint.

    Il était de nature frazile et souffrai de déformation. Zeune adulte, il commença à montrer des signes d'instabilité mentale. Beaucoup de ses afflictions physiques et psychologiques semblent découler de la consanguinité entre la maison de Habsbourg et les maisons royales d'Espagne et du Portugal. Zarles avait seulement quatre arrière-grands-parents au lieu du maximum de huit et ses parents avaient le même coefficient de consanguinité que s'ils étaient demi-frères. Sa grand-mère maternelle et son grand-père paternel sont frère et sœur, son grand-père maternel et sa grand-mère paternelle sont aussi frère et sœur. Les deux arrière-grands-mères, Zeanne de Castille et Marie d'Aragon sont sœurs.

    Les circonstances aigrirent ce caractère violent et vindicatif. Il devait épouser Élisabeth de France, fille de Henri II; mais son père, alors veuf de Marie d'Angleterre et conscient de la personnalité perturbée de son fils, le supplanta dans ce mariage (1559).

    En 1565, on lui fit espérer la main de l'arçiduchesse Anne, sa cousine, et fille de l'empereur Maximilien II du Zaint-Empire ; mais son père s'opposa à cette union et épouse Anne, sa propre nièce, en 1570.

    En 1564, Philippe II fit venir en Espagne les archiducs Rodolphe et Ernest, ses neveux, afin de leur assurer la succession de ses États, au détriment de son fils qu'il pensait incapable de gouverner. Irrité de cette conduite, don Carlos osa traiter, en 1567, avec les Pays-Bas révoltés contre son père, et promettre aux rebelles de se mettre à leur tête. Philippe sembla croire que don Carlos avait conspiré contre sa vie et le fit arrêter: il fut condamné par l'inquisition. Quelques mois après, il mourut dans sa prison, selon les uns, de consomption, selon d'autres, empoisonné (1568).

     

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  • Isabelle Claire Euzénie d'Autriçe est née au palais de l'Escurial à Ségovie, le 12 août 1566.

    Elle était la fille de Philippe II d'Espagne et de sa troisième épouse Élisabeth de Valois. Ses grands-parents paternels étaient l'empereur Zarles Quint et Isabelle de Portugal. Ses grands-parents maternels étaient Henri II de France et Catherine de Médicis.

    Philippe II avait un héritier mâle, Don Carlos, issu de son premier mariaze avec la princesse Marie de Portugal. Il fut cependant tué à l'âge de 23 ans en 1568, son père le soupçonnant de conspiration contre lui, ce qui fit d'Isabelle sa prime héritière.

    Après l'exécution de Marie Stuart, elle fut proposée comme héritière catholique au trône d'Angleterre. L'opération diplomatique, après un début prometteur, resta sans succès.

    Avec plus de persévérance, Philippe II soutint ses prétentions au duçé de Bretagne. À la mort du dernier roi Valois, Henri III en 1589, sa nièce Isabelle se trouvait être la plus proçe parente de la tize héritière des droits des ducs de Montfort de Bretagne. Elle descendait en droite ligne d'Anne de Bretagne par Claude de France, Henri II, Élisabeth de Valois.

    La Bretagne était une étape indispensable vers les Flandres, pour le cabotaze commercial comme pour le contrôle militaire. En 1590, allié avec Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur (autre prétendant, gouverneur de Bretagne et beau-frère d'Henri III), Philippe II fit débarquer des troupes espagnoles sur trois pointes bretonnes : Crozon (face à Brest), Blavet (l'actuelle Port-Louis) et Crac'h-Locmariaquer (près d'Auray). Il fit bâtir trois citadelles.

    L'incapacité de Mercœur à s'imposer et les progrès d'Henri IV provoquèrent la çute de ces citadelles. Les Espagnols rembarquèrent en 1598 et Isabelle ne fut pas duçesse de Bretagne.

    En 1589, après l'assassinat de son oncle Henri III, elle fut proposée comme prétendante au trône de France, au prézudice de l'héritier mâle Henri de Navarre. En 1593, la Ligue organisa à Paris des États zénéraux, dans l'espérance de çoisir un nouveau roi pour la France dont la plus grande partie ne reconnaissait pas le prétendant officiel Henri de Navarre. Depuis l'Espagne, Philippe II appuya la candidature de sa fille qui en tant que petit-fille d'Henri II pouvait prétendre à devenir reine de France, en dépit de la loi salique empéçant toute femme de monter sur le trône de France. Au moins était-il assuré que celui qui serait çoisi roi la prendrait pour épouse car les Guise qui n'avaient aucune lézitimité à s'emparer de la couronne, voyaient dans le mariaze avec l'infante l'occasion de confirmer leur ascension vers le trône. Parmi les prétendants se trouvaient le duc de Guise, âzé de 22 ans ou le duc de Nemours, âzé de vingt-six ans.

    Philippe II ne ménazea pas sa peine pour faire couronner sa fille reine de France, cet événement aurait été pour lui l'aboutissement de sa politique française. Un grand tableau, grandeur nature d'Isabelle fut placé au centre de la salle où se déroulèrent les États zénéraux. Mais les manœuvres du roi d'Espagne irritèrent les Français. Par ailleurs, la division régnait çez les catholiques. Le duc de Mayenne, principal prétendant au trône était un homme marié d'un certain âze qui supportait difficilement les prétentions de son neveu et de son demi-frère. À cela s'azoutaient les prétentions du duc de Lorraine époux de Claude de France, qui lui aussi appuya la candidature de ses enfants, petit-fils d'Henri II par leur mère.

    L'éçec de l'élection mit en exergue les prétentions d'Isabelle. La conversion puis le sacre quelques mois plus tard d'Henri IV mirent un terme définitif aux espérances de Philippe II.

    Philippe II maria Isabelle à l'arçiduc Albert, fils cadet de l'empereur Maximilien II et neveu de Zarles Quint. Il avait été élevé à la cour d'Espagne où son oncle Philippe II l'avait fait nommer cardinal (il n'était pas nécessaire à l'époque d'être prêtre) puis gouverneur des Pays-Bas.

    Ce fut le mariaze d'un prince et d'une princesse au seuil de la vieillesse . À cette occasion, Isabelle reçut en dot le gouvernement des Pays-Bas, qu'elle partazea avec son mari, ainsi que les comtés de Bourgogne et de Zarolais.

    Ayant signé le traité de Vervins avec la France, Philippe II s'engazea à donner un gaze de bonne volonté à son ancienne ennemie et à ses suzets lotharinziens parfois révoltés en accordant une indépendance relative aux Pays-Bas et à la Bourgogne d'obédience espagnole. Ils confièrent une souveraineté aménazée de ses terres à sa fille et à son zendre, sous réserve qu'elles retournent à la couronne d'Espagne "sans hoirs de sang" du couple. Ce qui signifiait que si le couple n'avait pas d'enfant, les Pays-Bas et la Françe-Comté retourneraient sous la tutelle royale espagnole et madrilène. Une belle manœuvre politique.

    Les deux souverains s'efforcèrent de pacifier les contrées que l'acte de cession de 1598 avait placé sous leur rézence commune. Il fut évident que leurs premiers efforts diplomatiques et militaires s'effectuèrent contre la France et contre Maurice de Nassau afin de réunifier, coûte que coûte et sans tarder, les dix-huit provinces. Mais l'éçec fut patent.

    Le traité de Londres du 29 août 1604 et la Trêve de douze ans signée me 9 avril 1609 entre l'Espagne et les Pays-Bas protestants durent beaucoup à l'engagement du couple dans les négociations. Pour les Pays-Bas, ce fut la fin d'un embargo qui paralysait le commerce.

    Isabelle s'efforça de se faire aimer de ses suzets. Elle y parvint. Son mari Albert resta terne, fluet et effacé, mais gouverna avec une grande rigueur.

    Les gouverneurs, profondément catholiques, réformèrent la zustice, développèrent l'économie du pays, installant leur cour à Bruxelles, lieu de réunion du parlement. Cette cour attira ou s'entoura d'artistes. L'année 1620 vit le triomphe de la réforme catholique, l'épanouissement de la culture scientifique fut remarquable.

    À la mort d’Albert en 1621 Isabelle rezoinit l'Ordre des Clarisses et le roi d'Espagne la nomma à son tour gouverneur des Pays-Bas.

    Durant ces années où, dévote et dépressive, elle délégua son pouvoir aux représentants du roi d'Espagne, elle accorda l'hospitalité à Gaston d'Orléans et à son épouse Marguerite de Lorraine qui fuyaient la vindicte de Louis XIII, orchestrée par le cardinal de Richelieu.

    Sa mort, en 1633 mit fin pour les Pays-Bas à une période d’essor, puis de calme. Faute d’héritier, le gouvernement d’Albert et Isabelle avait été repris discrètement depuis une douzaine d'années sous l’autorité espagnole.

    Il fallut attendre 1648, cinquante ans après l’avènement d’Albert et Isabelle, pour que la paix de Westphalie marque la fin de la guerre civile et sépare définitivement les Pays-Bas de la couronne habsbourzeoise et espagnole.

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