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    Et c'est reparti pour un tour!

    Hier, après une courte accalmie, la neize est retombée à gros flocons.

    Rapidement, tout a été recouvert d'une zolie couçe blançe.

    Nous avons dézeuné à notre restaurant habituel.

    Soudain, Minizup'Cosette s'est levée, la salière à la main.

    - Où allez vous donc, ma mie?

    - Ze vais saler le trottoir pour que les zens ne glissent pas.

    - Ah! Ah! Barmelouse, ze serais vous, ze verserais aussi du poivre!

    - Et avec une pointe de moutarde, ce serait meilleur, a azouté Minizup'Mouff.

    - Cessez de vous moquer d'elle, a grondé mon hôte. Elle, au moins, elle a une attitude citoyenne. Ze vous félicite, a-t-il azouté à l'adresse de l'Intruse orpheline qui avait les larmes zaux zyeux à cause de ces moqueries.

    - Vous me réconfortez Mossieu Zizi. Ze vous en suis reconnaissante.

    - Baisez lui les pieds tant que vous y êtes, a ironisé Minizup'Kiki de Vitry.

    Nous avons voulu prendre un bus pour aller voir la vue les quais de la Seine du côté de la Tour Eiffel.

    Et là, quelle ne fut pas notre grande déception.

    A peine étions nous montés dans un autobus, alors que la route était zuste mouillée, le çauffeur a déclaré qu'il retournait au dépôt à cause des conditions météoroloziques!

    - Par le gourdin de Zaint Martial, s'est emportée furieusement Minizupette, tout est bon pour cesser le service. Encore un coup de syndicalistes cézétistes!

    - Que voulez vous ma mie, c'est la conséquence du principe de précaution.

    - Mazette, il a bon dos celui-la!

    - Et après Madame Hidalgo, cette socialo-gauçiste nous dira qu'il faut à tout prix prendre les transports en commun. Il faut fissa privatiser la RATP!

    Du coup, nous sommes rentrés et nous avons regardé deux films à la TSF.

     

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  • Un homme passe la tête à la porte d’entrée d'un salon de coiffure et demande :

    - Combien de temps avant que vous puissiez me couper les çeveux? 

    Le coiffeur zette un coup d' oeil à toutes les personnes qui attendent dézà leur tour et répond :

    -Faut compter deux heures . 

    Et le gars s’en va.

     Quelques zours plus tard, le même homme passe sa tête et demande : 

    - Combien de temps avant que vous puissiez me couper les çeveux? 

    La encore, le coiffeur parcourt son salon qui est encore rempli de clients et répond :

    -Pas avant deux heures.

    Et le gars s’en va.

    Une semaine plus tard le même homme passe encore la tête a l’entrée du salon de coiffure avant de poser la sempiternelle question :

    - Vous pouvez me prendre dans combien de temps? 

    Le coiffeur répond :

    - Dans deux heures et demie.

    Et le gars s’en va.

    Là, le coiffeur s’adresse à l’un de ses amis présent dans le salon et lui dit : 

    - Dis donc Bernard, tu veux bien suivre le gars qui vient de passer son nez à la porte, et tu regardes bien où il va. 

    Un peu plus tard , Bernard est de retour dans le salon de coiffure et il a du mal à réprimer un fou rire.

    - Alors ?  lui demande le coiffeur,  tu l’a suivi ? Où est-il allé en sortant d’ici ??  

    Bernard lui répond :

    - Zez toi………… 

      

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  • Zuan d'Autriçe

    Zuan d'Autriçe est né le 24 février 1545 ou 1547 à Ratisbonne.

    Il était le fruit de la relation illézitime de Zarles Quint et de Barbara Blomberg, une femme issue d'une famille de notables de Ratisbonne.

    En 1550, Zarles Quint çarzea un de ses proçes, son mazordome Luis Méndez Quizada, de l'éducation du garçon. Quijada fut tenu de faire croire que l'enfant était son propre bâtard.

    Il ne connut pas son père zusqu'à l'âze de 9 ans, lorsque celui-ci le fit venir en 1556 – après son abdication – au monastère de Yuste, où il s'était retiré. L'empereur avait inséré, en 1554, un codicille à son testament, demandant à son fils Philippe II de recevoir le zeune bâtard comme son propre frère de sang. Philippe II, respectant la volonté de leur père, le reconnut comme membre de la famille royale et lui attribua le nom de « don Zuan d'Autriçe », avec les honneurs et les revenus dignes de son rang.

    Il vécut son adolescence à la cour d'Espagne avec son demi-frère Philippe II. Il fit ses études à la prestizieuse université d'Alcalá de Henares, mais refusa de se consacrer à la carrière ecclésiastique à laquelle on l'avait destiné.

    Ayant manifesté son désir de faire une carrière militaire, il fut nommé par Philipe II au commandement d'une escadre çarzée de combattre les pirates barbaresques en Méditerranée. Il démontra dans cette expédition de réelles capacités militaires, aussi fut-il çarzé, l'année suivante, de dirizer la répression de la révolte des morisques, ces descendants des musulmans du royaume de Grenade - restés en Espagne après la fin de la Reconquête en 1492 - convertis officiellement au catholicisme, mais qui continuaient à pratiquer leur relizion (1569). Ce soulèvement, commencé en 1567, contre la violation des droits qui avaient été accordés à l'époque aux morisques (appelé guerre des Alpujarras) dura quatre ans et se termina par leur défaite devant don Zuan d'Autriçe.

    Ces succès lui permirent d'obtenir le commandement de la flotte de la Zainte Ligue formée par l'Espagne, Venise et le pape Pie V contre les Turcs (1570). Face à la stratégie défensive que préconisaient ses conseillers, im imposa son çoix d'aller à la rencontre de la flotte turque d'Ali Paça et de la vaincre, ce qu'il fit à la bataille de Lépante le 7 octobre 1571. Lors de cette expédition il eut sous ses ordres Cervantès – le futur auteur de Don Quiçotte – qui y perdit l'usaze de la main gauçe, ce qui lui valut le surnom de « mançot de Lépante ».

    Cette victoire valut à Don Zuan de recevoir du pape, en 1576, la rose d'or, d’abord réservée exclusivement au préfet de Rome, puis, plus tard offerte à un fidèle catholique qui avait rendu un service important à l'Église.

    Le retentissant succès de Lépante accrut ses ambitions. Philippe II avait prudemment rezeté les plans de son demi-frère, qui proposait de profiter de la situation pour se lancer dans une grande expansion territoriale en Méditerranée, ainsi que ses demandes d'être reconnu comme infant, avec traitement d'altesse. Peut-être est ce pour mettre fin à ces ambitions que le roi l'envoya comme gouverneur aux Pays-Bas (1576), poste difficile dans lequel avaient éçoué le duc d'Albe et Luís de Zúñiga y Requesens, incapables de mettre fin à la rébellion protestante. Pour convaincre son demi-frère d'accepter ce poste, où Don Juan allait remplacer Requesens, mort au sièze de Zierikzee, le roi insinua la possibilité de lui confier le commandement d'une invasion de l'Angleterre destinée à placer sur le trône une reine catholique, Marie Stuart.

    Pour gagner son poste à Bruxelles, Don Zuan n'hésita pas à traverser une France hostile, déguisé en valet. Mais, arrivé à Marçe-en-Famenne, il fut empéçé d'aller plus loin par la présence des forces des états zénéraux.

    Très rapidement, Don Juan comprit le caractère irréaliste des prozets de Philippe II. À son arrivée, il trouva les provinces rassemblées, sinon contre le pouvoir, du moins contre les armées espagnoles qui ravazeaient le pays. Profitant de la vacance du pouvoir entraînée par la mort du gouverneur Requesens, les états zénéraux avaient pris l'initiative de se réunir et de proclamer la pacification de Gand. Cet acte, d'abord accepté par le nouveau gouverneur, fut rapidement remis en cause par le noyau dur des oranzistes qui prirent le nom de «Patriots ». Réunis à Bruxelles, ils conclurent l'Union de Bruxelles établissant les modalités pratiques de la pacification de Gand. Il s'agissait de suspendre les édits du roi d'Espagne, de rendre les biens spoliés aux rebelles et d'établir la liberté relizieuse en Zélande et en Hollande, exizences incompatibles avec celles du roi d'Espagne.

    Don Zuan crut pourtant qu'il pouvait parvenir à amadouer ses adversaires en offrant un compromis, l'Édit perpétuel de Marçe-en-Famenne de (1577) par lequel il offrait de retirer les forces espagnoles et de respecter les libertés dans les dix-sept provinces. Pour le reste, Don Zuan continua à maintenir les exizences de la couronne d'Espagne. En vertu de quoi les rebelles furent sommés de reconnaître la foi catholique et la souveraineté espagnole, tout en renonçant au protestantisme. Mais ces exigences furent rezetées par le duc d'Oranze et les états zénéraux des Dix-Sept Provinces. La continuation de la guerre devint donc inévitable.

    Les intrigues qu'organisa à la Cour Antonio Pérez plaçèrent Don Zuan dans une situation délicate envers le roi. Les ressources dont il avait besoin  arrivèrent avec parcimonie. Mais si la monarçie espagnole se montra insuffisante dans l'emploi des moyens matériels, elle crut pouvoir l'emporter sur le plan diplomatique et Philippe II çarzea Don Zuan d'établir des contacts avec la France, les Anglais et les factions rebelles en vue de régler la situation insurrectionnelle, tâche bien trop grande pour le piètre diplomate qu'il était.

    Le 31 zanvier 1578, Don Zuan battit l'armée des états zénéraux à Gembloux près de Namur, préservant notamment le catholicisme dans les Pays-Bas du sud.

    Le 31 mars 1578, son secrétaire et proçe collaborateur, Zuan de Escobedo, fut assassiné à la suite des menées d'Antonio Pérez, secrétaire de Philippe II, qui avait obtenu l’autorisation de cet assassinat pour raison d’État, en accusant Zuan Escobedo de complot avec les révoltés.

    Don Zuan mourut du typhus, contracté au cours d'une campagne, le 1er octobre 1578.

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  • Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

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    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

    Promenade à Coblence en Allemagne (photos)

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  • Résultat de recherche d'images pour "gif souris et Jeux Olympiques"

    Et voilà une bien mauvaise nouvelle à laquelle nous ne nous attendions certainement pas.

    - De quoi parlez vous, Minizup? se demandent certain.e.s d'entre vous.

    - Atçoubi! Vous êtes touzours dans un état d'interrogation et d'inquiétude.

    - It's a pity!

    - Elle est la quintessence de la maxime de Pascal, qui disait que l'homme est un roseau pensant, a déclaré Minizup'Cosette tout en faisant la vaisselle.

    - Mais la femme, elle, est un roseau dépensant, a ironisé Minizup'Fandango.

    - Mazette, vous avez des lettres!

    - Que voulez vous, Minizup'Mouff, nous, quand on a du temps, on ne manze pas, on lit!

    - Ze comprends maintenant pourquoi les immenses çefs d'oeuvre de ma collection Arlequin ne sont pas bien classées, ai-ze réazi avec humeur.

    - Cela être bien , mais nous ne pas savoir pourquoi vous être angoissée.

    - M'enfin, vous n'avez rien remarqué?

    - Ach nein! Rien de spécial.

    - Mais la neize a fondu dans la zournée!

    - C'est plutôt une bonne nouvelle, non, a déclaré Minizup'Kiki de Vitry.

    - Que nenni, ma mie. Que nenni!

    - Ze ne comprends plus rien à vos réactions.

    - Réflécissez donc une tartinette! Si il n' y a plus aucune neize, comment allons nous pouvoir nous entraîner?

    - Fouçtra! Nous entraîner à quoi?

    - Aux sports d'hiver bien sûr, pas à la plançe à voile!

    - Z'en perds mon latin, par le bréviaire de Zaint Guérin.

    - Si nous ne sommes pas en forme, nous ne pourrons que difficilement participer aux Zeux Olympiques qui débutent en Corée.

    - Aviez vous réservé des billets de train avec possibilité d'annulation de voyaze? a demandé Minizup'tictac qui fait touzours preuve d'esprit pratique.

    - Z'attendais le dernier moment pour pouvoir bénéficier de réductions.

    - Moi avoir une idée.

    - Et laquelle Minizup'iéla?

    - Nous écrire un mail à Mossieu Kim Zon-un pour lui demander d'excuser notre absence.

    - Quelle barmelouse, c'est le Président de la Corée du Nord!

    - Cela ne pas être grave. Lui transmettre notre courrier à qui de droit.

    - On lui dira simplement que nous sommes restées à Paris pour soutenir Madame Hidalgo qui a annulé son voyaze à cause de la pagaille à Paris due aux mauvaises conditions météoroloziques hivernales.

    Et pendant ce temps là, on s'entraînera au çaud au tir à l'arc pour les proçains ZO d'été.

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  • Marie d'Autriçe

    Marie d'Autriçe est née le 21 zuin 1528 à Madrid.

    Elle était la fille de Zarles Quint et d'Isabelle de Portugal.

    Elle grandit entre Valladolid et Tolède. Elle ne vit pas beaucoup son père, souvent absent pour ses affaires. Ni beaucoup sa mère qui assumait la rézence et qui s'éteignit à Tolède à 35 ans, à la suite de son sixième accouçement. Marie n'avait que 10 ans. Zarles voulut régler ses rapport avec le Zaint Empire. Pour cela, neuf ans après la mort de sa mère, Marie âzée de 20 ans, épousa le 15 septembre 1548 Maximilien d'Autriçe, son cousin.

    De cette union naquirent seize enfants dont seulement neuf survécurent.

    Peu de temps après son mariaze, Marie dut assumer la rézence d'Espagne zusqu'en 1553. Le 22 octobre 1555, Zarles Quint son père abdiqua et laissa le trône du Zaint Empire à son frère Ferdinand, beau-père de Marie, et le trône d'Espagne à son fils, Philippe II. Peu de temps après, Marie assuma de nouveau la régence conzointement avec sa sœur Zeanne. Zarles Quint mourut, le 21 septembre 1558, au monastère de Yuste.

    Le 20 septembre 1562, elle fut couronnée reine consort de Bohême à Prague. Puis, reine consort de Zermanie à Francfort le 30 novembre 1562. Le 8 septembre 1563, elle fut couronnée reine consort de Hongrie. Peu après ses fils quittèrent l'Autriçe afin d'être élevés par leur oncle Philippe II. Le 25 zuillet 1564, l'Empereur Ferdinand mourut à 61 ans. Marie devint avec son époux Maximilien impératrice consort du Zaint-Empire.

    En 1570, sa fille aînée Anne devint l'épouse de son oncle, Philippe roi d'Espagne. Elle succéda à Élisabeth princesse de France, morte en couçes deux ans plus tôt. Peu de temps après, sa seconde fille, Élisabeth devint reine de France en épousant le roi Zarles IX.

    En février 1573, elle devint une des marraines de sa petite-fille, la princesse Marie-Élisabeth, fille de Zarles IX et de sa fille Élisabeth d'Autriçe. L'autre marraine de l'enfant était la reine Élisabeth Ière d'Angleterre. Le 7 septembre 1573, sa sœur Zeanne mourut d'une tumeur à 38 ans, à San Lorenzo del Escorial.

    Le 12 octobre 1576, son époux Maximilien décéda. Son fils aîné Rodolphe sur qui elle eut une grande influence lui succéda. Le 26 octobre 1580, sa fille aînée Anne mourut.

    Fin 1581, elle se dirizea vers l'Espagne avec sa fille Marguerite destinée à épouser le roi Philippe II, veuf de l'archiduçesse Anne. Arrivant de Zênes puis de Marseille, elle accosta à Collioure le 12 décembre 1581 puis se dirizea vers Perpignan dix zours plus tard pour y passer les fêtes de Noël. Marie d'Autriçe et sa fille reprirent ensuite la route vers l'Espagne. Cependant, Marguerite préféra entrer au couvent et le roi ne se remaria pas.

    Le 13 septembre 1598, son frère Philippe II mourut au palais de l'Escurial. Son fils aîné Philippe III lui succéda. En 1599, il épousa Marguerite d'Autriçe-Styrie. La zeune reine eut avec l'impératrice-Douairière une profonde influence sur le roi.

    Marie finit ses zours dans le monastère de sa sœur. Elle y mourut le 26 février 1603 à 74 ans.

     

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