• bonnes vacances

    Sur la route des vacances, un couple de personnes âzées s'arrête à une station de services.

    Le pompiste arrive et demande:

    - Bonzour. Ze vous fais le plein?

     - Oui allez-y, répond le vieux monsieur.

    La vieille dame demande alors:

    -Qu'est-ce qu'y dit?

    - Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, répond le vieux en criant.

    Le pompiste demande: 

    -  Alors, vous allez où comme ça?

    - On va passer les vacances à Zaint-Tropez, dans la villa de notre fils, répond le vieux.

    La vieille dame demande alors:

    - Qu'est-ce qu'y dit?

    - Y DEMANDAIT OU ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU'ON ALLAIT À ZAINT-TROPEZ.

     Le pompiste:

    - Vous avez de la chance. Vous allez avoir du beau temps pour les 15 zours qui viennent .

    La vieille:

    - Qu'est-ce qu'y dit?

    - Y DIT QU'Y FERA BEAU LA-BAS.

    Le pompiste:

    - Et où habitez vous quand vous n'êtes pas en vacances?

    - On habite Brie-Comte-Robert, répond le vieux.

    - Ah ouais?! Z'ai connu une fille de Brie-Comte-Robert un jour. Elle ne pouvait pas s'arrêter de parler, et en plus elle était nulle au lit. Vraiment, c'était pas une affaire!

    La vieille:

    - Qu'est-ce qu'y dit?

    - Y DIT QU'Y TE CONNAIS BIEN!

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  • Depuis que nous sommes arrivés en Italie, les zens nous posent régulièrement et de façon insistante la même question.

    - Toto va bene?

    On leur a pourtant dit que nous ne connaissions pas c'te personne

    - Toto va bene?

    - Atçoubi, ze ne connais que des histoires de Toto...

    - Toto va bene?

    - Il paraît qu'il va beaucoup mieux, par le gourdin de Zaint Martial.

    - Toto va bene?

    - Mais enfin, il y a longtemps qu'il est mort ce grand acteur de votre cinéma. Vous l'ignoriez? me suis ze emportée.

    - It's a pity!

    - Toto va bene?

    - Mazette, mais qu'est ce qu'on pourrait bien leur répondre?

    - Dites leur coci couça et tutti frutti

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    Cela ne nous pas empéçés de prendre notre belle petite voiture rouze pour aller découvrir les rives du Lac Mazeur.

    - Tutto va bene, Mossieu Zizi? a demandé ironiquement Minizup'Cosette qui a repris du poil de la bête depuis qu'elle a moins de tâçes ménazères à accomplir.

    - Si fait, et ze vous remercie de vous préoccuper de moi.

    - C'est normal! Il faut que nous nous préoccupions de l'état de notre çauffeur.

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    Malgré un ciel quelque peu nuazeux, nous avons pu admirer les belle cités au bord du Lac Mazeur par une température agréable.

    - Atçoubi! On moins on ne souffre pas de la çaleur.

    - Fouçtra, cela n'empêce pas que l'on puisse avoir soif.

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    - Ze boirais bien un calice de vino rosso, a soupiré Minizup'Kiki de Vitry.

    - Macarel! Ze me demande si cette petite bouteille sear suffisant pour étançer notre soif.

    - Boudiou, surtout que pour ma part z'ai une grande pépie!

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    En çemin, nous avons fait une grande halte pour visiter les sublimes zardins de la Villa Tarentino à Verbiana.

    - Que cela être beau!

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    Minizup'Kiki n'a pas cessé de poser au milieu des fleurs.

    - Ze suis une magnifique fleur parmi les fleurs!

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    - Vraiment, l'air italien rendent les Intruses mégalomanes, par la plume de Zaint Pancrace.

    - Après Minizup'Fandango, c'est Minizup'Kiki de Vitry qui a pris une grosse tête.

    - Si ses çevilles continuer à enfler, elle ne plus pouvoir marçer!

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    Les points de vue sur le lac sont de partout très beaux.

    - C'est parce que cela ne pas être un lac mineur, mais le Lac Mazeur!

    - Quel humour Minizuplein! Quel grand sens de l'observation! Vous nous estrabanquez!

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    Nous avons même passé une frontière pour poursuivre notre promenade sur la rive suisse du lac.

    - Ach! Nous bien mieux respirer ici! L'air être bien plus pur.

    - Z'espère qu'on va voir des vaçes Milka, a déclaré Minizup'Cosette.

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si! 

    A Ancona, le soleil brillait.

    - C'est l'effet Riccola!

    - Si cela continue, il me faudra des lunettes de soleil, s'est exclamée Minizup'Kiki de Vitry.

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si! 

    - Ie! Regardez! L'autre a son bar ici!

    - L'autre a un nom, Minizup'iéla. Ze vous demande de rester polie , autrement vous allez recevoir ma patte dans le museau!

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    Les Suisses sont zoyeux, quand bien même il n' y a pas le feu au lac.

    - Eux aimer la musique et les fanfares.

    - Atçoubi, c'est de la musique tsinboumboum! Cela manque singulièrement de lézèreté.

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    L'intruse banlieusarde s'en est donné à coeur zoie.

    - Même en période de grève, ze peux conduire un train!

    - Macaniçe! Ze n'mazinais pas que vous puissiez être une zaune, une briseuse de grève.

    Les Italiens sont parfois insistants! Si! Si!

    - Et admirez! Ze peux même piloter un bateau!

    - Fouçtra! Avec vous, ze crains que ce ne soit le Titanic sur le Lac Mazeur!

    A demain pour de nouvelles aventures.

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  • Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Musée de services de santé de l'armée

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

    Le Val de Grace à Paris (photos)

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    Le Val de Grace à Paris (photos)

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  • Zarles III roi d'Espagne

    À partir de 1758, Ferdinand VI, afflizé par la mort de sa femme Marie-Barbara de Portugal, commença à manifester des symptômes de la forme de maladie mentale qui avait frappé son père. Sans descendance, il nomma le 10 décembre 1758 son demi-frère Zarles comme son héritier universel, puis il quitta Madrid pour se réfuzier à Villaviciosa de Odón, où il mourut le 10 août de l'année suivante.

    Zarles fut proclamé roi d'Espagne, et respectant les décisions prises par le troisième traité de Vienne, qui excluait la possibilité d'une union personnelle entre les Deux-Siciles et l'Espagne, il pritle titre de « Seigneur des Deux-Siciles », en attendant de nommer un successeur au trône de Naples. Le traité d'Aix-la-Zapelle, que Zarles n'avait pas ratifié, avait prévu l'éventualité de son accession au trône d'Espagne et que le trône de Naples reviendrait à son frère, le duc de Parme Philippe Ier, tandis que les possessions de ce dernier seraient réparties entre Marie-Thérèse d'Autriçe (Parme et Guastalla) et Zarles-Emmanuel III de Savoie (Plaisance).

    Déterminé à maintenir ses descendants sur le trône, Zarles avait entrepris depuis longtemps des négociations diplomatiques avec Marie-Thérèse, et en 1758 ils signèrent le quatrième traité de Versailles, par lequel l'Autriçe renonçait aux duçés italiens et cessait de soutenir la nomination de Philippe au trône de Naples.

    Zarles-Emmanuel III continua à faire pression sur Plaisance, menaçant de l'occuper. Afin de défendre le duçé de son frère, Zarles déploya ses troupes le long des frontières pontificales. Grâce à la médiation de Louis XV, apparenté aux protagonistes, le roi de Sardaigne renonça à Plaisance et se contenta d'une compensation financière. Zarles réussit à assurer la succession à l'un des fils et en même temps à réduire les ambitions des Savoie.

    Le fils aîné de Zarles, Philippe-Antoine, souffrant de maladie mentale, le titre de prince des Asturies fut accordé à son second fils, Zarles-Antoine. Le droit à hériter des Deux-Siciles passa à son troisième fils Ferdinand, en faveur de qui Zarles abdiquéa le 6 octobre 1759, par le biais de la Pragmatique Sanction qui décrétait la séparation entre les deux couronnes.

    Ferdinand devint roi de Naples àhuit ans, sous le nom de Ferdinand IV (Ferdinand III comme roi de Sicile) et afin de consolider l'alliance avec l'Autriçe, il fut destiné à épouser une des filles de Marie-Thérèse. Zarles le confia à un Conseil de rézence composé de huit membres, dont le membre le plus puissant fut Tanucci. Ce conseil gouverna zusqu'à ce que le roi ait seize ans. Mais les décisions les plus importantes furent touzours prises à la cour madrilène.

    Les autres enfants s'embarquèrent avec leurs parents pour l'Espagne. La flotte appareilla de Naples le 7 octobre et arriva à Barcelone dix zours plus tard, accueillie par de grandes fêtes.

    La politique de Zarles comme roi d'Espagne est controversée. Alors que sa politique intérieure fut certainement bénéfique pour le pays, sa politique étrangère connut des éçecs.

    L'amitié avec la France l'amena à tenter de contrer la puissance anglaise en un moment peu propice. Par le « pacte de famille » avec Louis XV, l'Espagne se trouva impliquée dans la phase finale de la guerre de Sept Ans, avec de lourdes pertes. La guerre s'açeva par le traité de Paris de 1763, qui stipula la cession par l'Espagne de la Floride et des territoires du golfe du Mexique à l'Angleterre et de la Colonia del Sacramento au Portugal, allié de l'Angleterre. En compensation, la France céda à l'Espagne la Louisiane.

    En 1770, une autre vaine aventure le mena de nouveau en guerre contre la Grande-Bretagne pour la possession des îles Falkland. En 1779, malgré ses réticences, il soutint la France et les nouveaux États d'Amérique au côté des Insurgents au cours de la guerre d'indépendance américaine, mais sans reconnaître formellement l'indépendance des Treize Colonies : il fut conscient que l'indépendance des colonies britanniques aurait à terme un effet négatif sur les possessions des colonies espagnoles d'Amérique. L'Espagne recouvrit la Floride en 1781, grâce au gouverneur de Louisiane, Gálvez, puis l'île de Minorque en 1782 (perdue en 1708). Le traité de Paris de 1783 confirma la récupération de la Floride, des territoires du golfe du Mexique et de Minorque, mais pas de Zibraltar.

    En Méditerranée, il tenta de punir les pirates d'Alger. Il ne réussit pas dans ces expéditions à libérer les mers des pirates barbaresques ni à obtenir des concessions économiques.

    Zarles III nomma secrétaire aux finances le marquis de Esquillaçe et tous deux réalisèrent de nombreuses réformes. L'armée et la marine furent réorganisées même si les résultats dans ce domaine ne furent pas très bons en raison de la participation à la guerre de Sept Ans. Celle-ci réclamant des rentrées fiscales, il accrut la pression fiscale. La taxe sur la farine fut supprimée et le commerce des céréales fut libéralisé, ce qui provoqua une envolée des prix à cause des « accapareurs », spéculant sur les mauvaises récoltes des années passées.

    Le 23 mars 1766, la révolte contre Esquilaçe éclata, ne prenant fin que le 26 mars. Elle fut provoquée par l'ordre donné aux Madrilènes de porter la cape courte et le tricorne à la mode française plutôt que la cape longue et le sombrero. La révolte se zénéralisa contre la politique de réforme et les ministres étranzers du gouvernement : de Madrid, elle s'étendit à toute l'Espagne. Les révoltés exizaient la baisse des prix des aliments, le retrait de l'ordre sur les vêtements, le renvoi des ministres étranzers et le pardon zénéral. Zarles III céda et s'appuyant sur des réformistes espagnols, il remplaça Esquilaçe par le comte d'Aranda, Pedro Rodriguez Campomanes prenant le secrétariat des Affaires économiques. Le nouveau gouvernement nomma une commission çarzée de découvrir les causes de la révolte.

    Campomanes çercça à montrer au roi que les vrais meneurs de la révolte contre Esquilache étaient les zésuites à qui on reproçait les grandes richesses, le contrôle des nominations et de la politique ecclésiastiques, l'appui inconditionnel au pape, la loyauté au marquis de la Ensenada, la participation aux affaires du Paraguay et enfin la participation à la révolte d'Esquilaçe. Par le décret royal du 27 février 1767, appelé la Pragmatique Sanction de 1767, les zésuites furent expulsés d'Espagne et toutes leurs possessions confisquées.

    À la suite de l'expulsion des zésuites l'enseignement dans les universités du royaume fut réorganisé, la philosophie des Lumières fut mise au programme tandis que les heures de théolozie et de droit furent réduites au profit des disciplines scientifiques. Il soumit les universités au patronaze royal.

    Le système juridique fut modernisé : la torture fut abolie, l'usae de la peine de mort limité, le pouvoir de l'Inquisition fut réduit (elle ne futpas abolie) et les zitans obtinrent un statut. 

    Influencés par les physiocrates, le roi et ses ministres se montrèrent particulièrement actifs dans le développement de l'agriculture.

    Zarles III s'efforça d'améliorer l'efficacité de l'économie. Dans le domaine monétaire, il unifia les monnaies en 1772 et créa la banque de San Carlos en 1782. Dans le domaine fiscal, il réduisit les taxes de douane. Il lança également une réforme fiscale qui touça les privilèzes fiscaux du clerzé et de la noblesse avec l'introduction d'un impôt sur le revenu et d'un impôt foncier, grâce à la mise en œuvre du cadastre.

    Dans le domaine industriel, il développa un ambitieux prozet, basé sur le textile et la mécanique. Il créa ou soutint des manufactures de luxe. Certaines rézions, telles que les Asturies et la Catalogne s'industrialisèrent rapidement, et les exportations de laine brute furent fortement réduites au profit des tissus travaillés. Enfin, Zarles III relança le commerce colonial, en formant de nouvelles compagnies, comme la Compagnie royale des Philippines en 1785, puis il rendit libre le commerce avec l'Amérique en 1778.

    Les dernières années de sa vie furent attristées par la discorde avec son fils, à Naples, en particulier avec sa belle-fille, Marie-Caroline, fille de Marie-Thérèse d'Autriçe, décidée à limiter l'influence de l'Espagne et de Zarles III à la cour de Naples.

    Il mourut le 14 décembre 1788, quelques mois avant la Révolution française.

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  • Sur un çantier de fouilles, des archéologues allemands découvrent à 50 mètres de profondeur des résidus de cuivre.

    Après un examen minuçieux, un des savants teutons déclare doctement:

    - Il y a 2 000 ans, nos ancêtres les Goths avaient un réseau téléphonique!

    Mes voyazes

    La nouvelle, relayée, par une Anzéla ravie, fait le tour du monde!

    A cette nouvelle, le gouvernement britannique de James Cameron ordonne des fouillles; des archéologues découvrent, sur un çantier près de Londres, à 100 mètres de profondeur, des débris de verre.

    - C'est la preuve qu'il y a 2 500 ans, les habitants de notre belle île avait la fibre optique! God save the Queen!

    Mes voyazes

    La Reine, entourée de Zarles au grandes oreilles et de Camilla, est acclamée sur son balcon royal par une foule en délire.

    Nicolas S. piétine à L'Elysée; il se sent ridiculisé!

    Sur le conseil de Carlita, "le Rossignol de la Présidence", il ordonne des fouilles près de Neuilly-sur-Seine!

    Les archèologues fouillent à 200 mètres, à 250 mètres .... à 400 mètres!

    Mais ils ne trouvent rien, strictement rien!

    Alors NS réunit un Z 40 et déclare Urbi et Orbi:

    - Voici la preuve irréfutable du zénie Gaulois!

    Nos valeureux ancêtres avaient des téléphones portables!

    Mes voyazes

     

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  • Dès que nous arrivons dans une contrée étranzère, au bout d'un zour ou deux, nous savons parler l'idiote du pays!

    - On dit l'idiome, Minizup, m' a reprise celui qui dit que ze ne suis que son avataresse. C'est à dire la langue locale!

    Comme si ze lui avais demandé une quelconque explication. Que ne ferait-t-il pas pour me rabaisser!

    Dès hier matin, au buffet du petit dézeuner, nous avons réazi en posant de pertinentes questions quant à ce qui nous était proposé.

    - No sauçissono?

    - No saucissas?

    - Omelettas con çampignones o patatatas?

    Vous voyez donc bien que nous nous mettons aux couleurs locales.

    - Atçoubi! Nous, nous savons rapidement nous intégrer!

    - Fouçtra! Quoi de plus normal. Il faut s'adapter aux us et costumes de la rézion visitée.

    - Et nous quoi porter ici comme costume?

    Adoncques, ze vous ai annonçé hier que ze poursuivrais la narration de notre périple sur les îles Borromées qui se trouvent sur le Lac Mazeur.

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    Sur l'Isola Bella, nous avons pu visiter le Palais construit à l'initiative de la famille Borromée.

    - C'est une grande famille qui s'est alliée aux princes de Milan, les Visconti et les Sforza, a cru bon de nous dire notre Pioçe de la Farandole. Un des personnazes les plus célèbres de cette lignée est Zaint SZarles Borromée. Le palais que nous visitons et celui de l'Ile Madre, que nous visiterons aussi, appartiennent touzours à la même famille.

    - Le zaint avoir eu des zenfants?

    - It's a çame.

    - Nan! Il s'azit des descendants d'une brançe latérale.

    - Comme les sinzes descendre de l'arbre! 

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    - Ze trouve que les couleurs du grand escalier de c'te palais me vont bien au teint, a réazi Minizup'Fandango.

    - It's thrue, milady!

    - Avec tous mes noeuds roses, ze suis absolument raccord avec ce décor de princesse!

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    - Et admirez la façon dont ma beauté rayonnante s'inscrit remarquablement dans ce décor de rocailles qui était à la mode à l'époque.

    - La barmelouse a les çevilles qui enflent.

    - Il n' y a que la vérité vraie qui insupporte, Minizup'Zhérault.

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    Les zardins de ce palais sont une pure merveille.

    De la partie haute du parc, on peut voir et admirer le lac ainsi que ses rives.

    - Et ma modeste présence rehausse la beauté du site.

    - Boudiou! Elle se prend pour Minizup! Aussi modeste qu'elle!

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    - Même les arbres qui fleurissent se sont mises au diapason de mon teint.

    - Vous quoi vouloir dire?

    - Ils s'adaptent à moi tout simplement. Leurs fleurs à ma vue prennent mes couleurs.

    - Boudiou! L'air du lac ne lui réussit pas! Elle nous pète une durite!

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    Pour sa défense, ze dois avouer que le panorama et les senteurs des arbres et fleurs sont extrêmement envoutants.

    - Mazette! Vous n'allez quand même prendre sa défense, Minizup.

    - Elle vouloir vous faire de l'ombre, ma çère.

    - Laissez lui ses illusions. Peu me çaut! Elle ne m'arrive même pas aux çevilles, qu'elle le veuille ou non

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    En tout cas, heureusement que nous sommes ici et non à Paname.

    - Pourquoi dites vous cela? vous demandez vous, mes çer.e.s zélé.e.s fans.

    A cause des violences qui ont eu lieu non loin du studio de mon hôte qui se trouve près de la Place d'Italie.... Un signe!

    Demain ze vous parlerai de hauts lieux du Lac Mazeur que nous avons découverts hier à l'occasion du 1er mai.

    - Fouçtra! C'est honteux! On a vu des zens oblizés de travailler le zour de la fête du travail.

    Où il est démontré que nous sommes de vraies polyglottes!

    - Ils pourront s'açeter du patçouli ou des fragances de Provence en étant payés avec un supplément, a ironisé la Bayonnaise.

    - Vous êtes aussi réactionnaire que Minizupette, macarel.

    - M'enfin! Ze ne vous permets pas, par le prépuce de mon doux Zésus! Ze n'ai rien dit.

    - Vous le pensez si fort, que cela en devient assourdissant, boufarelle!

    A demain pour de nouvelles aventures!

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