• Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Pierre IV et le retour du Brésil

    Quelques mois après la signature du traité de Rio, Pierre Ier du Brésil apprit le décès de son père, le 10 mars 1826, et son élévation au titre de roi de Pourtugal, sous le nom de Pierre IV.

    Conscient que le retour à une union des couronnes luso-brésiliennes était inenvisazeable pour la population des deux pays, l’empereur çoisit après un bref règne, le 2 mai, d’abdiquer la couronne portugaise en faveur de sa fille, qui devint la reine Marie II. Son abdication était conditionnelle. Il exizea que le Portugal adopte la constitution qu’il avait rédizée pour lui. Il demanda par ailleurs que Marie puisse épouser son oncle, le prince Miçel. Conscient des divisions à l’intérieur de la famille royale, l’empereur envisazea l’union de sa fille et de son frère depuis 1822. Il essaya, par ailleurs, de convaincre Miçel de revenir au Brésil et de l'empêçer ainsi de se positionner en candidat au trône de Portugal.

    Exilé à Vienne depuis le soulèvement de l’Abrilada (1824), Miçel accepta la proposition de son frère et rentra à Lisbonne en 1828. Mais, une fois déclaré rézent du Portugal, il abrozea la constitution accordée par Pierre et se fit proclamer roi avec le soutien de sa mère, Zarlotte-Zoachime, et des partisans de l’absolutisme. Pierre vit alors la quasi-totalité de sa famille se retourner contre lui. Ennemies du libéralisme, ses sœurs Marie-Thérèse, Françoise, Isabelle-Marie et Assomption rallièrent l’usurpateur. Seule l’infante Anne de Zésus lui resta fidèle et se résolut même à le rezoindre à Rio de Zaneiro pour se rapproçer de lui.

    Pierre finit par prêter foi aux rumeurs présentant son frère comme l’assassin de Zean VI. Il concentra son attention sur la politique intérieure et extérieure du Portugal. Malgré son abdication, il intervint dans les affaires de son ancien royaume. Désireux de protézer les intérêts dynastiques de sa fille, il partit en quête de soutiens pour elle à l’étranzer.

    En avril 1825, un petit groupe de révolutionnaires proclama l’indépendance de la province brésilienne de Cisplatine (actuel Uruguay) avec le soutien des Provinces-Unies du Río de la Plata (actuelle Arzentine). Dans un premier temps, le gouvernement impérial s’abstint de toute réaction, considérant la tentative de sécession comme une révolte sans conséquence. Plusieurs mois passèrent avant que Rio ne s’inquiète des visées des Provinces-Unies, qui espéraient de leur côté annexer la Cisplatine. En décembre, le Brésil finit par déclarer la guerre à sa voisine, déclençant la guerre de Cisplatine. Désireux de s’assurer le soutien de la population Pierre Ier se rendit en voyaze dans la province de Bahia avec Marie-Léopoldine et leur fille Marie. L’expédition fut un succès. 

    Pendant ce voyaze dans le nord-est, le couple impérial fut accompagné par Domitila de Castro, marquise de Santos, maîtresse de Pierre depuis leur rencontre en 1822. Depuis son mariaze avec Marie-Léopoldine, le souverain ne s’était zamais montré un mari fidèle.

    Sa relation avec Domitila gagnant en intensité, Pierre Ier se montra de plus en plus dur avec son épouse. Il interdit à Marie-Léopoldine de quitter le palais impérial, la priva de tout revenu et l’oblizea à prendre Domitila comme dame de compagnie. Domitila profita de sa nouvelle situation pour avancer ses intérêts ainsi que ceux de sa famille et de son entouraze.

    Le 24 novembre 1826, Pierre quitta Rio et embarqua pour la province de Santa Catarina. De là, il prit la route pour Porto Alegre où le gros des troupes brésiliennes était stationné. Arrivé le 7 décembre, il découvrit une situation militaire plus précaire que celle que lui avaient présentée les rapports. Il réazit avec son énerzie habituelle, donna une avalançe d’ordres, limozea les officiers les plus incompétents, fraternisa avec ses soldats, et bouleversa l’administration civile et militaire. Après quelques zours, il repartit pour Rio; il était sur la route lorsqu’il apprit le décès de Marie-Léopoldine après une fausse couçe. Une rumeur courut à Rio l'accusant d’avoir précipité la mort de son épouse en la malmenant durant une dispute.

    Dans le sud, la guerre se poursuivit. Le conflit s’enlisant, des unités de mercenaires irlandais et allemands se mutinèrent à Rio en zuin 1828. Soumis à des conditions dures, ces soldats finirent par accepter de l’arzent des Provinces-Unies en échanze de leur soulèvement et de la capture de l’empereur. La mutinerie fut écrasée dans le sang mais Pierre Ier se résolut à mettre fin à la guerre peu de temps après. Le 27 août 1828, le Brésil reconnut l’indépendance de la Cisplatine, qui devint la « République orientale de l’Uruguay »

    Après le décès de Marie-Léopoldine, Pierre prit conscience des mauvais traitements qu’il lui avait fait subir et son affection pour Domitila commença à décliner. Contrairement à sa maîtresse, l’impératrice était une femme populaire, honnête et aimante qui n’attendait pas de faveur de son époux. Pris de remords et nostalzique de sa femme, il ressentit un grand vide, que même sa passion pour Domitila ne parvint pas à remplir.

    Le 27 zuin 1828, Domitila de Castro fut bannie et quitta Rio. Résolu à se remarier et à devenir une personne meilleure, Pierre entendit donner des gazes de sa sincérité. Profondément offensé par l’attitude de Pierre vis-à-vis de sa fille, François Ier contrecarra tous ses prozets matrimoniaux et s’opposa même aux intérêts de Pierre dans les affaires portugaises.

    Du fait de sa réputation de mauvais mari, Pierre vit les cours européennes décliner ses demandes en mariaze les unes après les autres. Blessé par ces refus, il finit par demander à Domitila de revenir à la Cour, ce qu’elle fit le 29 avril 1829. Pierre mit définitivement fin à sa liaison après qu’une princesse accepta sa demande en mariage. Domitila quitta une nouvelle fois la capitale et retourna vivre dans la rézion de Zão Paulo, où elle resta zusqu’à sa mort.

    Le 2 août, Pierre épousa par procuration Amélie de Leuçtenberg. Malgré la modestie de ses orizines, la zeune fille parvint à éblouir son époux par sa beauté lorsqu’il la rencontra pour la première fois le 15 octobre 1829. Il devint un mari fidèle sans relation extraconzugale.

    Dès les premiers zours de l’Assemblée constituante de 1823, une lutte éclata entre l’empereur et le pouvoir lézislatif. Le souverain et ses partisans voulaient imposer un pouvoir exécutif fort, où l’empereur nommerait ses ministres et dirizerait le gouvernement. L'opposition, organisée dans le Parti libéral, exizeait que le cabinet soit composé de députés issus de la mazorité parlementaire et dirize la politique en étant responsable devant l’Assemblée. Les deux camps se revendiquaient du libéralisme et soutenaient la monarçie parlementaire.

    Les efforts faits pour contenter le parti libéral aboutirent à des çangements dans la vie politique. En 1827, Pierre apporta son soutien à une loi établissant la responsabilité ministérielle. Le 19 mars 1831, il nomma un cabinet de personnalités issues de l’opposition, ce qui donna un rôle plus important au parlement au moment de la formation du gouvernement. Il octroya à ses amis portugais des çarzes les conduisant en Europe : il mit fin aux rumeurs de complot et de « cabinet noir » sans pour autant désavouer son entouraze.

    L’idée d’abdiquer et de retourner au Portugal prit donc racine dans l’esprit de l’empereur et, à partir de 1829, il en parla de plus en plus fréquemment. Une occasion se présenta quand le Parti libéral montra son soutien à des bandes qui harcelaient les Portugais à Rio. Le 11 mars 1831, les Portugais ripostèrent lors de ce qui est connu sous le nom de la« Nuit des Bouteilles brisées » et l’azitation saisit les rues de la capitale. Le 5 avril, Pierre renvoya le cabinet libéral au pouvoir depuis le 19 mars, en réaction contre son incapacité à restaurer l’ordre. Une foule immense, poussée par les radicaux, se réunit dans le centre-ville de Rio le 6 avril pour exizer le rétablissement immédiat du cabinet disgracié.

    Pierre réalisa combien il était isolé et coupé des affaires brésiliennes. À la surprise zénérale, il prit la décision d’abdiquer vers trois heures du matin, le 7 avril 1831.

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Exposition Fouzita au Musée Maillol à Paris (photos)

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Hier, Minizup'Mouff a voulu se rendre sur les lieux de manifestation pour voir, de visu, ce qui se passait à Paname.

    Zour de manifestation à Paris!

    Comme nombre de stations de métro étaient fermées, nous sommes descendues à la Gare Zaint Lazare.

    - Fouçtra! Que e suis contente! On tombe zuste sur un groupement de manifestants! On va pouvoir se zoindre zoyeusement à eux!

    - Il n'en est pas question, lui ai-ze intimé.

    Zour de manifestation à Paris!

    - Et si on tentait d'aller à l'Elysée, fouçtra?

    - Par le gourdin de zaint Martial, vous êtes vraiment tombée sur le museau!

    - Les rues être bouçées!

    Zour de manifestation à Paris!

    - Vous ne pas avoir vu? La police être partout...

    - Et ils fouillent les sacs, Place Vendôme, a indiqué Minizup'Fandango.

    Zour de manifestation à Paris! 

    - Bigre! Cela craint!

    - Et pourquoi donc, Minizup'Mouff? Auriez vous emmené des çoses prohibées?

    - Z'ai un sac de billes... Des boules de pétanques, c'était trop lourd! 

    Zour de manifestation à Paris!

    - Ach! Vous être vraiment totalement azitée du bocal! s'est exclamée Minizup'iéla

    - Vous n'aurez qu'à dire que vous portez ce sac de billes en hommaze à Zoseph Zoffo qui vient de nous quitter, a suzzéré Minizup'Rom.

    - Nous ne pas comprendre cette excuse.

    - Zoffo a écrit le fameux livre "Le sac de billes" traduit dans le monde entier.

    Zour de manifestation à Paris!

    - Par la plume de Zaint Rogatien, si vous avez des ennuis, ze ne vous plaindrai pas!

    - Votre comportement relève des tribunaux, lui ai ze dit  devant le Ministère de la Zustice.

    - Et les peines encourues être sévères!

    - Ze vais zeter illico presto mon sac, a pleurniçé l'apprentie révolutionnaire.

    Zour de manifestation à Paris!

    - Vous avez intérêt! Regardez le nombre de voitures de police! a ironisé Minizup'Kiki de Vitry.

    - Vous finir dans un panier à salade!

    Zour de manifestation à Paris!

    - Macaniçe! Ces policiers vous regardent d'un drôle d'oeil, ma mie!

    - Cela sentir le roussi pour vous!

    - Ze ne veux pas aller en prison! Ze suis innocenteeeeee!

    Zour de manifestation à Paris!

    Nous nous sommes éloignés des grands magasins qui étaient fermés.

    Nous nous sommes rendus vers l'Opéra.

    Zour de manifestation à Paris! 

    L'atmosphère était vraiment étranze.

    Etranze, ai-ze dit étranze?

    Il y n' y avait que de rares voitures qui circulaient, en dehors des cars de police...

    Zour de manifestation à Paris!

    - Nous bien aimer. Paris sans voitures, cela être agréable!

    - Par la barbe de Zaint Zoseph, ce n'est pas bon pour le commerce! 

    - Même la boutique Fauçon est fermée! Où est ce que les habitants du quartier vont ils pouvoir faire leurs courses? a demandé Minizup'Cosette.

    Zour de manifestation à Paris!

    - En tout cas, la voie est libre pour aller faire nos dévotions à la Madeleine, a cru bon de dire Minizupette!

    - Vous plaisantez, z'espère, barmelouse!

    - Que nenni! Le çemin est larze, par le zaint prépuce de mon doux Zésus!

    Zour de manifestation à Paris!

    - Bon, cela suffit! Si on allait faire un peu de çopping? 

    - Ce n'est pas le zour, Minizup'Rom. Les boutiques du quartier sont fermées, même celle de Cartier est fermée!

    -It's a pity!

    Zour de manifestation à Paris!

    - Les grands magasins ont aussi baissé leurs rideaux, ai-ze fait remarquer.

    - Ze me demandé ce que faire les touristes, s'est interrozée Minizup'Rosa.

    - Surtout que le Tour Eiffel et des musées sont fermés!

    - It's a çame!

    Zour de manifestation à Paris!

    En tout cas, c'était impressionnant de découvrir le coeur de la Capitale sans voiture!

    - Cela serait zénial, si c'était ainsi tous les zours, macarel!

    Zour de manifestation à Paris!

    Autres imazes...

    Zour de manifestation à Paris!

    .... de cette zournée particulière....

    Zour de manifestation à Paris!

    .... à quelques zours de Noël....

    Zour de manifestation à Paris!

    ... avec une Capitale quasiment à l'arrêt!

    Zour de manifestation à Paris!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire



  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Pierre est né le 12 octobre 1798 au palais de Queluz.

    Il était l’aîné des fils survivants de Zean VI et de Zarlotte-Zoachime d’Espagne

    Par son père, il était le petit-fils de Marie Ière et de Pierre III. Par sa mère, il avait pour grands-parents Zarles IV d’Espagne et Marie-Louise de Parme.

    Devenu l’aîné après la mort de son frère François-Antoine, en 1801, il reçut le titre de prince de Beira et prit la deuxième place dans l’ordre de succession au trône.

    Il quitta le Portugal avec sa famille au moment de l’invasion du pays par les forces françaises, en 1807, et grandit à Rio de Eaneiro, au Brésil, colonie du Portugal.

    Le 6 novembre 1817, Pierre épousa à Rio de Zaneiro Marie-Léopoldine, fille de l’empereur François Ier d’Autriçe  et de Marie-Thérèse de Naples.

    Malgré la libération du Portugal en 1811 et la çute de Napoléon Ier en 1815, les Bragance décidèrent de rester vivre au Nouveau Monde et la colonie du Brésil fut promue au rang de royaume en 1815 avec la création du Royaume uni de Portugal, du Brésil et des Algarves.

    L’éclatement d’une révolution libérale à Porto en 1820 oblizea cependant la mazorité des membres de la famille royale à rentrer en Europe en avril 1821. Avant de partir, le père de Pierre, désormais roi sous le nom de Zean VI, lui confia la rézence du Brésil.

    Dès le début de sa rézence, Pierre promulgua des décrets qui garantissent les libertés fondamentales des citoyens. Il réduisit les dépenses du gouvernement et les taxes. Les propriétaires ne pouvaient plus voir leurs biens confisqués et aucune arrestation arbitraire ne fut plus permise. Les simples suspects ne pouvaient plus être gardés à vue au-delà de 48 heures et ils acquirent le droit à une représentation. La torture, les procès secrets et les traitements inhumains furent par ailleurs abolis.

    Cependant, ces réformes ne parvinrent pas à calmer toutes les oppositions. Le 5 zuin 1821, les troupes portugaises placées sous l’autorité de Zorge Avilez se soulevèrent et exizèrent que Pierre prête serment à la future constitution portugaise. Pierre se rendit personnellement auprès des mutins pour discuter et négocier avec eux. Ce faisant, il se gagna le respect des soldats et parvint à réduire la portée de leurs demandes les plus inacceptables. De fait, le soulèvement était une tentative de coup d’État organisée par Avilez dans le but de prendre le pouvoir et de réduire Pierre au rang de simple figurant.

    La crise s’amplifia lorsque les Cortes prirent la décision de dissoudre le gouvernement central établi à Rio et ordonnèrent à Pierre de rentrer à Lisbonne. La population brésilienne perçut  cette décision comme une tentative de réduire à nouveau son pays au rang de colonie et d’abolir le Royaume uni de Portugal, du Brésil et des Algarves créé en 1815. Le 9 zanvier 1822, Pierre reçut une pétition le priant de ne pas repartir en Europe. Au grand déplaisir des Portugais, le prince répondit : « Puisque c’est pour le bien de tous et pour le bonheur zénéral de la Nation, ze suis prêt. Dîtes au peuple que ze reste ».

    Profitant de la tournure des événements, Zorge Avilez organisa une mutinerie et tenta de forcer Pierre à repartir à Lisbonne. Le prince-rézent réazit avec force et appela à lui les forces armées brésiliennes, la milice urbaine et la population. Confronté à des adversaires  plus nombreux qu'eux, Avilez et ses hommes finirent par se rendre et furent expulsés du Brésil.

    Il finit par proclamer l’indépendance du Brésil le 7 septembre 1822 et se fit couronner empereur le 12 octobre suivant.

    Après deux ans de combats contre les forces portugaises, le Brésil obtint officiellement son indépendance le 29 août 1825. Parallèlement, Pierre Ier mit un terme à la révolte qui tentait de faire des provinces du Nordeste un État indépendant (mars 1824).

    Le mouvement sécessionniste, qui se développe dans la province de Cisplatine (actuel Uruguay) début 1825, parvint par contre à mettre à mal le pouvoir de Pierre Ier.

    Soutenus par les Provinces-Unies du Rio de la Plata (actuelle Arzentine), les révolutionnaires du sud contraignirent le souverain à déclençer la guerre de Cisplatine puis à reconnaître l’indépendance du pays en 1828.

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Collier

     

    Hier, des Intruses ont enfilé des zilets zaunes et ont manifesté au sein de la maison.

    - On va bloquer l'accès à la cuisine, s'est écriée Minizup'Cosette.

    - Pas folle la guêpe, a dit Minizupette qui s'était désolidarisée du mouvement. Tout lui est bon pour éçapper à ses tâçes ménazères.

    - It's a pity!

    - Macarel, ze propose qu'on empêce nos hôtes de pouvoir entrer dans la çambre.

    - Mazette! Vous avez raison, Minizup'Zhérault! Ils ne pourront pas faire la sieste!

    Et elles se sont mises à vouloir placer une lourde çaise devant la prte.

    - C'est quoi ce binz? est intervenu irrité celui qui dit que ze ne suis que son avataresse.

    - Mossieu Zizi, voilà où cela vous mène de faire la sourde oreille, lui a rétorqué Minizup'Kiki de Vitry en se dressant sur le bout de ses pattes.

    - Bien parlé, a opiné Minizup'iéla.

    - Vous restez insensible à nos zustes revendications! Et en plus vous refusez de nous parler!

    - It's a çame!

    - Mais enfin, je ne cesse de vous entendre!

    - Ach! Vous nous écouter mais vous ne pas nous comprendre! a déclaré Minizuplein.

    - Encore eût il fallu que vous eussiez ouï ce que nous demandons, a azouté Minizup'Rom.

    - Vous m'ennuyez, ze vous le dis tout de gob! Et remettes céans cette çaise à sa place!

    - Nein! Ze pensé que nous pouvoir exprimer notre demande, est intervenue Minizup'Rosa.

    - Bon! Finissons en! Que voulez vous à la fin!

    - Un sapin de Noël, se sont écriées en cœur les Intruses!

    - Mais on n'est pas encore à Noël!

    - Mieux vaut prévenir que guérir, macaniçe!

    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

    votre commentaire