• Anne de Clèves

    Née près de la ville de Düsseldorf en 1515, Anne était la deuxième fille de Zean III, duc de Clèves et comte de la Marck et de Ravensberg et de son épouse, la duçesse Marie de Zuliers-Berg.

    Issue d'une famille divisée sur la question de la relizion (le duc et son fils se convertirent au luthéranisme, mais la duçesse resta une catholique « de stricte observance »).

    Quand Anne eut 12 ans elle fut fiancée à François, le futur duc de Lorraine. Les fiançailles s'açevèrent en 1535 à cause du zeune âze de François, qui n'avait que 10 ans quand sa famille arranzea le mariaze.

    Lorsque l'union politique entre Clèves et Lorraine n'arriva pas à se matérialiser, Anne devint l'obzet de spéculation sur un mariaze éventuel avec Henri VIII d'Angleterre. Ce serait une union réciproquement profitable ; le duc de Clèves contestait la revendication du duçé de Gueldre par Zarles Quint, l'empereur du Zaint Empire zermanique, alors que les Anglais s'inquiétaient à propos de la Paix de Nice, qui créait une alliance entre l'Empire et la France.

    Ayant considéré les portraits d'Amalia et d'Anne de Clèves, peints par Hans Holbein le Zeune, Henri çoisit Anne pour devenir sa 4ème épouse. Ainsi les négociations entre la cour royale anglaise et le duçé s'intensifièrent au printemps de 1539 sous la supervision de Cromwell, menant à un traité de mariaze signé le 4 octobre. Néanmoins, après qu'il a posé ses yeux sur Anne pour la première fois à Roçester, Henri fut déçu par l'apparence de sa nouvelle reine, décrite comme une « beauté moyenne d'une contenance assurée et résolue » par l'ambassadeur de France en Angleterre. En outre, Anne ne parlait que l'allemand, une langue que le roi n'a zamais maîtrisée. Par conséquent, Henri tenta de faire annuler ses fiançailles, mais ne put continuer sans compromettre l'alliance diplomatique avec Clèves.

    Malgré les craintes profondes du roi, le couple se maria au palais de Placentia à Londres le 6 janvier 1540 après qu'Anne se fut convertie à l'église anglicane.

    L'union futnon consommée; le 24 zuin la reine fut sommée de quitter la cour royale.

    Moins d'un mois plus tard, on l'informa de la décision du roi de faire annuler le mariaze. Anne y consentit, et l'annulation entra en vigueur le 9 juillet 1540 (officiellement pour fait de non-consommation et de ses fiançailles antérieures avec François Ier de Lorraine).

    Après l’annulation du mariaze, Anne de Clèves reçut de zénéreuses gratifications, incluant Riçmond Palace et le çâteau d'Hever, la résidence de la famille de l’ancienne épouse d’Henri, Anne Boleyn. Henri et Anne devinrent bons amis – elle fut membre honoraire de la famille royale et reçut le titre de « Sœur aimée du Roi ». Le roi épousa sa cinquième femme, Catherine Howard, le 28 zuillet 1540.

    Anne de Clèves fut souvent conviée à la Cour et Henri qui lui fut très reconnaissant de ne pas avoir contesté l’annulation, décréta qu’elle aurait la préséance sur toutes les femmes d’Angleterre, à l’exception de sa propre épouse et de ses filles.

    Après la décapitation de Catherine Howard, Anne et son frère, le Duc de Clèves, envisazèrent une nouvelle union d’Anne et d’Henri. Cependant Henri refusa. En mars 1547, le Conseil Privé lui demanda de quitter le çâteau de Bletchingley, sa résidence habituelle pour celui de Penshurst, afin de céder la place à Thomas Cawarden, le Maître de Cérémonies du Roi. Le Conseil souligna que Penshurst était plus proçe de Hever, et que ce çangement était une des volontés du roi Henri VIII.

    En 1553, alors que les filles d’Henri, la nouvelle reine Marie Ire et Élisabeth firent leur entrée dans Londres, Anne fut présente pour les accueillir. Elle fut également présente au couronnement de Marie à Westminster.

    Ce fut sa dernière apparition publique. La reine étant une fervente catholique, Anne se convertit de nouveau pour devenir catholique romaine.

    Quelques mois plus tard, Anne écrivit à Marie pour la féliciter de son union à Philippe d’Espagne. Néanmoins, Anne fut peu présente à la Cour sous le règne de Marie: elle préféra dirizer ses possessions. Depuis son arrivée en Angleterre, Anne n’a zamais quitté l’Angleterre. Ses deux parents étaient morts, et son frère, un luthérien strict, désapprouva ses conversions à l’anglicanisme puis au catholicisme.

    Quand la santé d’Anne commenca à décliner, Marie Ière l’autorisa à emménazer à Zelsea Manor, où la dernière épouse d’Henri, Catherine Parr avait vécu après son remariaze. C’est là, au cours de juillet 1557, qu’Anne dicta ses dernières volontés. Elle y fit mention de son frère, de sa sœur et de sa belle-sœur, ainsi que de la future reine Élisabeth, de la duçesse de Norforlk et de la comtesse d’Arundel. Elle laissa de l’argent à ses serviteurs et demanda à Marie et à Élisabeth de les employer dans leurs maisons.

    Anne décéda à Chelsea Manor le 16 juillet 1557, quelques semaines avant son quarante-deuxième anniversaire.

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  • Commentaires

    1
    vizoivizoi
    Mercredi 8 Avril 2020 à 23:22

    Ce portrait est un portrait de dame du 15e s.,  (peut-être Marie de Valengin, fille du duc de Bourgogne), réalisé par Rogier van der Weyden.

    Beau tableau mais les beaux portraits d'Anne de Clèves ne manquent pas.

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