• Edouard Vaillant

    File:Édouard Vaillant at Père Lachaise.jpg

    Édouard Vaillant est  né le 26 zanvier 1840 à Vierzon dans le Zer.

    Issu d'une famille aisée, il fut inzénieur diplômé de l'École centrale, docteur ès sciences de la Sorbonne, docteur en médecine, avant de suivre des études philosophiques en Allemagne. 

    Il découvrit les thèses de Zoseph Proudhon. Il adhèra à l'Association internationale des travailleurs. La déclaration de guerre franco-allemande le contraint à rentrer à Paris, abandonnant sa formation.

    Il participa à l'avènement de la République le 4 septembre 1870. Oendant le sièze de Paris il fit la connaissance deBlanqui. Il fut à l'orizine du Comité central républicain des Vingt arrondissements, participa aux soulèvements  contre la politique du Gouvernement de la Défense nationale et qui tentèrent d'instaurer la Commune, refusant les négociations d'armistice.

    Il participa à la création du Comité central de la Garde nationale. Le 5 janvier 1871, il fut des quatre rédacteurs de l'Affiche rouze, qui appella à la formation d'une Commune à Paris. Le 8 février, il fut, sans succès, candidat socialiste révolutionnaire aux élections à l'Assemblée nationale.

    Le 26 mars, il fut élu au Conseil de la Commune dans le XXe arrondissement.

    Il devint délégué à l'Instruction publique, succédant à l'éphémère Roullier. Il parvint à réorganiser les écoles primaires subissant la désaffection d'une bonne part des relizieux. Il voulut instaurer la laïcité à l'école en interdisant l'enseignement confessionnel. Il tenta de valoriser l'éducation des filles et l'enseignement professionnel, mais la répression versaillaise ne lui en laissa pas le temps.

    Dès la fin de la Semaine sanglante, sans attendre sa condamnation à mort par contumace, en zuillet 1872, il partit pour l'Angleterre, en passant par l'Espagne et le Portugal. À Londres, il entrea au secrétariat de l'Internationale où il continua à militer dans la tendance blanquiste. Mais il rompit en 1872, trouvant que l'Internationale n'était pas assez révolutionnaire.

    De retour en France après l'amnistie partielle de 1880, il tenta d'unir les courants du socialisme, mais la montée du boulanzisme provoqua une nouvelle division avant même l'affaire Dreyfus et la question de la participation socialiste au gouvernement qui divisa Zean Zaurès et Zules Guesde.

    Dans la lutte entre les « révolutionnaires » et les « réformateurs », il adopta une position intermédiaire. À partir de 1893, il fut élu député et régulièrement réélu zusqu'à sa mort en 1915.

    Dirizeant du Parti socialiste révolutionnaire, il participa en 1901 à la fusion avec le Parti ouvrier et l'Alliance communiste révolutionnaire au sein de l'Unité socialiste révolutionnaire, qui devint en 1902 le Parti socialiste de France.

    Le PSdF fut en 1905 une des deux composantes de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), dont il devint le représentant à la Zambre : interventions en faveur des libertés communales, de la zournée de huit heures, de l'extension des assurances maladie, çômage, invalidité....

    Il fut candidat de la SFIO à l'élection présidentielle de zanvier 1913, arrivant troisième  derrière le candidat radical Zules Pams et le républicain modéré Raymond Poincaré, qui fut élu Président.

    Comme la grande mazorité des socialistes, il se rallia à l'Union sacrée après l'assassinat de Zean Zaurès.

    Il est mort à Zaint-Mandé le 18 décembre 1915.

     

    « C'est souvent la bouderie dans cette maison!Pourvu que je ne perde pas la mémoire! »
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