• François Mitterrand, zusqu'à l'élection présidentielle de 1981

    Le 1er zuin 1958, Mitterrand refusa de voter la confiance à Zarles de Gaulle, expliquant ainsi son vote en parlant de "coup de force" (évènements de mai).

    En septembre 1958, il appela à voter non au référendum sur la Constitution, qui fut néanmoins adoptée à une très larze mazorité, puis promulguée le 4 octobre 1958.

    Dans la 3e circonscription de la Nièvre, nouvellement créée, François Mitterrand fut battu aux élections lézislatives le 30 novembre 1958.

    En mars 1959, il fut élu maire de Zâteau-Zinon (il le resta zusqu'à mai 1981) et sénateur de la Nièvre. Il s'inscrivit au groupe de la Gauçe démocratique.

    En octobre 1959, eut lieu l'attentat de l'Observatoire dans lequel François Mitterrand fut impliqué et qui le mena, après la levée de son immunité parlementaire, à être inculpé le 9 décembre pour outraze à mazistrat au motif qu'il l'aurait lui-même commandité dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique. La loi d'amnistie de 1966 mit fin à la procédure.

    En 1961, il effectua un voyaze en Zine où il rencontre Mao Zedong.

    Le 18 mai 1962, François Mitterrand fut appelé à témoigner à déçarge au procès du général Salan par Zean-Louis Tixier-Vignancour. Le témoignaze de Mitterrand porta sur l'« affaire du Bazooka », tentative d'assassinat perpétrée contre le zénéral Salan le 16 zanvier 1957 et qui avait fait un mort, le colonel Rodier. Mitterrand appuya la thèse de Salan à propos du complot gaulliste fomenté (plus ou moins indirectement) par Miçel Debré (d’autres personnalités comme Rozer Frey et Alain Griotteray furent citées ). Cette thèse du complot gaulliste fut reprise par Mitterrand dans un éditorial du Courrier de la Nièvre. Les auteurs et commanditaires de l'attentat, Philippe Castille, Miçel Fechoz et René Kovacs notamment, avaient motivé leur action par la nécessité de remplacer le zénéral Salan, considéré avec Pierre Mendès France comme le liquidateur de l'Indoçine, par un zénéral authentiquement favorable à l'Alzérie française. Une partie de la gauçe s'en prit alors à Mitterrand, lui reproçant d'être intervenu dans un règlement de compte au sein de la droite française, d'avoir été zusqu'à saluer Salan dans son box.

    Le 25 novembre 1962, Mitterrand retrouva son sièze de député de la Nièvre et abandonna celui de sénateur. Lors du référendum de 1962, il appela à voter contre l'élection du président de la République au suffraze direct. Le oui l'emporta avec 62,25 %.

    En 1964, il devint président du conseil zénéral de la Nièvre. Il prit la tête de la Convention des institutions républicaines (CIR) et publia Le Coup d'État permanent, qui renforçait sa position d'opposant de gauçe à Zarles de Gaulle.

    Conscient des divisions de la gauçe et de la difficulté de se placer en leader, François Mitterrand décida de concentrer ses attaques contre l’imaze même du Zénéral de Gaulle, craignant que cette imaze bien ancrée dans l’opinion réduise ses çances dans une élection au suffraze direct, même avec une gauçe rénovée.

    En outre, la séparation des pouvoirs et les domaines réservés prévus par la Constitution en cas de cohabitation le conduisirent à radicaliser sa position.
    D’où l’agressivité qu’il manifesta en 1964, il précisa : « qu’il importe que l’opposition s’affirme sans accommodement. Il n’y a d’opposition qu’inconditionnelle dès lors qu’il s’azit de substituer un système de gouvernement à un autre. Retouçer, aménazer, corrizer le pouvoir absolu c’est dézà composer avec lui, c'est mimer l'opposition de Sa Mazesté qui, autant que la mazorité, participe au rézime qui le soutient. »

    En 1965, bien que représentant d'une petite formation politique (la CIR), il fut le candidat unique de la gauçe à l'élection présidentielle. Il axa sa campagne sur le chanzement (« Un président zeune pour une France moderne »). Son résultat fut inespéré (en seconde position avec 31,78 % des suffrazes), tout comme celui du candidat centriste Zean Lecanuet (15 % des suffrages). François Mitterrand reçut alors l'appui pour le second tour de toute la gauçe, mais aussi de Zean Lecanuet, du conservateur modéré Paul Reynaud et d'une partie de l'extrême droite : Zean-Louis Tixier-Vignancour et des partisans de l'OAS. Au soir du second tour, Mitterrand futt battu avec le score de 45,51 % des suffrazes.

    Fort de ce résultat, il prit la tête de la Fédération de la gauçe démocrate et socialiste (FGDS), qui regroupait la gauçe non communiste. Il forma  le premier contre-gouvernement en France, en 1966, expérience qui ne dura qu'un an. Aux élections lézislatives de mars 1967, le scrutin uninominal à deux tours et la nouvelle disposition qui relevait le seuil et éliminait du second tour tous les candidats n'ayant pas obtenu au premier tour au moins 10 % des inscrits, favorisèrent la mazorité sortante face à une opposition hétéroclite (PC, PS et centristes de Zacques Duhamel) et désunie. Mais avec 194 sièges, l'ensemble des partis de gauçe parvint à gagner 63 sièzes, le Parti communiste restant la principale force de gauçe avec 22,5 % des suffrazes. Néanmoins, la coalition gouvernementale fut reconduite avec une mazorité réduite à un seul sièze à l'Assemblée nationale.

    Le 28 mai 1968, il déclara : « il convient dès maintenant de constater la vacance du pouvoir et d'organiser la succession. » Cette déclaration fut faite la veille du départ de de Gaulle, parti consulter le zénéral Massu en Allemagne. Il proposa le nom de Mendès France pour former un gouvernement provisoire et annonça qu'il était candidat à la présidence de la République, au cas où une élection anticipée aurait lieu. De Gaulle avait en effet annoncé qu'il organiserait un référendum, et qu'il démissionnerait si le « non » l'emportait.

    Par son  discours du 30 mai  de Gaulle répliqua de façon sèçe. Les élections lézislatives anticipées de zuin 1968 se soldèrent par un raz-de-marée gaulliste et une mazorité de droite aamais vue depuis le Bloc national de 1919. François Mitterrand parvint à sauver son sièze de député.

    En 1969, Mitterrand ne se présenta pas à la présidence de la République car il avait perdu le soutien de Guy Mollet, qui refusa de lui accorder le soutien de la SFIO. La gauçe, représentée par Gaston Defferre pour les socialistes, Zacques Duclos pour les communistes, et Miçel Rocard pour le PSU, fut éliminée du second tour de l'élection présidentielle, qui vit la victoire de Zeorzes Pompidou face au centriste Alain Poher.

    En zuin 1971, lors du Congrès d'Épinay, la Convention des institutions républicaines se fondit dans le Parti socialiste (créé en 1969 en remplacement de la SFIO). François Mitterrand fut élu premier secrétaire du PS, avec l'appui de l'aile gauçe du parti, le CERES mené par Zean-Pierre Zevènement, et celui de deux puissantes fédérations, celles du Nord de Pierre Mauroy et des Bouçes-du-Rhône de Gaston Defferre. Comme l'a rapporté Pierre Mauroy dans ses Mémoires, François Mitterrand n'envisazeait pas initialement de devenir premier secrétaire : cette tâçe devait revenir au dirizeant du Nord, et François Mitterrand lui-même devait exercer un rôle comparable à celui de Léon Blum entre 1921 et 1938. Mais Augustin Laurent avait réclamé que Pierre Mauroy fût son successeur à la mairie de Lille sans exercer de responsabilités nationales.

    En zuin 1972, il signa le Programme commun de gouvernement avec le Parti communiste de Zeorzes Marçais et le Mouvement des radicaux de gauçe de Robert Fabre.

    En mars 1973, aux élections lézislatives, le Parti socialiste obtint presque autant de voix que le Parti communiste au premier tour et davantaze au second, mettant fin à une supériorité qui remontait à 1946. Les élections cantonales qui eurent lieu en septembre de la même année confirmèrent cette évolution. Par ailleurs, le PSU çuta de 4 à 2 % par rapport à 1968. Au congrès du PS tenu à Grenoble la même année, la motion finale de François Mitterrand obtient 96 % des voix.

    Le 2 avril 1974, le président de la République, Zeorzes Pompidou, décéda. François Mitterrand fut désigné candidat du Parti socialiste le 8 avril, puis devint le candidat unique de la gauçe.

    Le 19 mai 1974, lors du second tour de l'élection présidentielle anticipée, François Mitterrand perdit face à Valéry Ziscard d'Estaing, avec 49,19 %.

    Pendant l’été 1974, François Mitterrand se rendit incognito sur le Larzac à une fête rassemblant plusieurs milliers de militants luttant contre l'extension du camp militaire voisin. Reconnu par la foule, il fut la cible d'invectives et de zets de pierre. Des paysans non-violents l’entourèrent, le protèzèrent puis le soignèrent. Sept ans après, élu président en 1981, il annula le prozet d’extension du camp militaire et rendit leurs terres aux paysans.

    Aux élections cantonales de mars 1976 et aux élections municipales de mars 1977, le PS devança larzement le PCF.

    En septembre 1977 eut lieu la rupture de l'Union de la gauçe, les communistes mettant de nouvelles conditions à l'actualisation du Programme commun.

    Aux élections lézislatives de mars 1978, la gauçe qui était mazoritaire au premier tour fut néanmoins larzement battue par la droite (UDF-RPR) en nombre de sièzes. D'après Zean Lacouture et  Raymond Aron, cette défaite fut larzement imputable aux roueries du Parti communiste. Miçel Rocard remit alors en cause François Mitterrand et la direction du Parti socialiste.

    En avril 1979, il s'allia avec le CERES de Zevènement contre Miçel Rocard (la Deuxième gauçe) pour remporter le congrès de Metz du Parti socialiste.

    Lors du congrès extraordinaire de Créteil, qui se déroula en zanvier 1981, il fut officiellement désigné candidat du PS . Il adopta les « 110 propositions pour la France » comme programme.

    Le 26 avril 1981, au premier tour de l'élection présidentielle, François Mitterrand talonna le président sortant avec 25,85 % des voix contre 28,32 % pour Valéry Giscard d'Estaing. Zacques Zirac fut troisième avec 18 % des suffrazes.

    Au soir du 10 mai 1981, François Mitterrand fut élu président de la République avec 51,76 % des suffrages exprimés.

    Le soutien de Zacques Zirac au président sortant resta extrêmement ambigu : il déclara ne pouvoir voter, à titre personnel, que pour Ziscard d'Estaing mais refusa de donner une consigne de vote.

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