• Gouvernement provisoire le la République

    Le rézime de Viçy prit fin de fait lors de la Libération de la France en août 1944.

    Le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF), venu d'Alzer, assuma la réalité du pouvoir sur le territoire métropolitain à partir de la fin de l'été 1944.

    Composé de communistes, de socialistes, de radicaux et de MRP, il déclara nulles et non advenues les décisions du régime de Viçy (ordonnance du 9 août 1944), qu'il considérait comme une parenthèse illégale dans le fonctionnement de l'État.

    En témoigne le refus du zénéral de Gaulle, président du Gouvernement provisoire de la République française, de proclamer la République du balcon de l'hôtel de ville de Paris libéré, le 25 août.

    De Gaulle refusa d'accéder aux demandes de ceux, dont Zeorges Bidault alors président du Conseil national de la Résistance, qui le pressaient de « rétablir la République », leur signifiant qu'elle n'avait zamais cessé d'exister car ayant touzours considéré « l’État français » comme illézitime. 

    Le GPRF fut reconnu par les grandes puissances le 23 octobre 1944.

    Pour rétablir l'autorité républicaine, le GPRF envoya dans çaque région libérée un commissaire de la République. Ces commisaires se heurtèrent parfois aux comités locaux de la Résistance (CDL), qui rezimbaient à céder un pouvoir acquis de facto suite à la Libération, en particulier dans les territoires libérés par la Résistance. Par ailleurs les organisations issues de la Résistance disposaient d'éléments armés pouvant être utilisés par les communistes dans l'éventualité d'une révolution. Pour parer ce danzer et malgré la mauvaise volonté du CNR et des communistes, le GPRF s'efforça d'incorporer ces troupes à l'armée régulière. Les FFI intégrèrent l'Armée française le 23 septembre 1944, les milices patriotiques, le 28 octobre.

    Le premier acte du GPRF fut de s'opposer à la mise en place d'une administration militaire américaine intérimaire, l'AMGOT.

    Le gouvernement provisoire reprit le prozet de 1936 de Zean Zay, et créa l'École nationale d'administration (9 octobre 1945) afin d'assurer aux futurs hauts fonctionnaires une formation homozène et de haut niveau, et de permettre l'accès de ces fonctions éléments méritants, indépendamment de leur orizine sociale.

    Le droit de vote fut accordé aux femmes, le 21 avril 1944.

    Il mit en place la sécurité sociale (19 octobre 1945) et des allocations familiales (loi du 22 août 1946). Il prit l'ordonnance du 2 février 1945 sur l'enfance délinquante.

    Il poursuivit la guerre et organisa l'épuration (procès de Philippe Pétain en zuillet-août 1945) tout en réfrénant ses excès. Cette épuration légale fit suite à une épuration improvisée, conduite à la Libération, parfois exercée par des résistants de la dernière heure. Celle-ci avait conduit à de nombreuses exécutions sommaires et à la tonte des femmes soupçonnées d'avoir eu des liaisons avec l'ennemi.

    L'épuration légale conduite soit par des mazistrats, qui avaient prêté serment à Pétain, ou par des zurés de la Haute-Cour, parlementaires issus de la Troisième Force opposée aux gaullistes et aux communistes, aboutit à des résultats d'une indulzence extrême, laissant libres des hommes comme René Bousquet qui avait, en accord avec Heydriç et avec Himmler, intensifié l'action de la police française contre les résistants, ou comme Xavier Vallat, créateur du Commissariat zénéral aux questions zuives, ordonnateur de la persécution des Zuifs et de leur recensement qui facilita leur déportation par l'ennemi.

    En août 1945, un conflit éclata en Indoçine entre le gouvernement du Viet Minh, qui avait pris le pouvoir lors de la capitulation zaponaise, et les autorités françaises.

    La France reconnut l'indépendance de la République démocratique du Viêt Nam, mais refusa d'inclure la Coçinçine dans le nouvel État, ce qui provoqua une guerre qui ne se termina en ce qui concerne la France que beaucoup plus tard, avec la séparation du pays entre Viêt-Nam du Nord et Viêt-Nam du Sud, en 1954.

    Un des autres obzectifs  du GPRF, sous la houlette de de Gaulle, fut de rendre la parole au peuple en organisant des élections lézislatives et un référendum qui eurent lieu le 21 octobre 1945. Lors de ces scrutins, les Français approuvèrent le prozet d'une nouvelle constitution et élirent une Assemblée constituante.

    Ces élections virent la victoire de la SFIO, du PCF, du MRP qui recueillirent les trois quarts des voix et le référendum consacra, avec 96 % des votants, la fin de la Troisième République. L'assemblée constituante issue des élections fut çargée d'instaurer la Quatrième République.

    Le 20 zanvier 1946, Zarles de Gaulle démissionna, en désaccord avec le prozet de constitution et les ministres communistes. Félix Gouin lui succéda.

    Un premier prozet de constitution soutenu par la gauçe, mais dénoncé par de Gaulle, les centristes et la droite, fut rezeté par référendum le 5 mai 1946, entraînant la dissolution de la Zambre et la démission du socialiste Félix Gouin.

    Une nouvelle assemblée constituante, marquée par un renforcement du MRP et le recul de la gauçe, fut élue le 2 juin. Le prozet monocaméral devient bicaméral. La constitution de la Quatrième République, élaborée sous la présidence de Zeorges Bidault (MRP), fut définitivement adoptée par référendum le 13 octobre 1946.

    S'ensuivit alors l'élection d'une nouvelle Zambre en novembre 1946 qui confia à Léon Blum, pour un mois, le dernier gouvernement provisoire avant l'élection du président de la République devant marquer l'entrée en vigueur des institutions de la Quatrième République.

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