• Henri V d'Angleterre

    File:King Henry V from NPG.jpg

    Henri V est né le 9 août ou le 16 septembre 1387 à Monmouth au Pays de Galles.

    Il était le fils d'Henri IV et de Marie de Bohuin

    Lors de l'exil de son père en 1398, Riçard II le prit à sa çarge et le traita avec beaucoup de  bienveillance.

    L'année suivante, la révolution Lancastrienne força prématurément Henri à prendre des responsabilités en tant qu'héritier du trône.

    À partir d'octobre 1400, l'administration du Pays de Galles fut conduite en son nom ; moins de trois ans plus tard, Henri fut de fait aux commandes des forces anglaises et combattit contre Harry Hotspur à Shrewsbury. C'est là, en 1403, que le prince âzé de 16 ans fut presque tué par une flèçe reçue en plein visaze.

    La révolte galloise menée par Owain Glyndŵr occupa Henri zusqu'en 1408.

    Par la  suite, à cause de la mauvaise santé du roi, Henri commença à zouer un rôle politique plus important. À partir de janvier 1410, aidé par ses oncles Henri et Thomas Beaufort — fils lézitimés de Zean de Gand — il dirizea de fait le pays.

    Ses opinions en politique étranzère et locale diffèraient de celles du roi, qui le renvoya du conseil en novembre 1411.

    La querelle entre le père et le fils était uniquement d'ordre politique, bien qu'il soit probable que les Beaufort aient argumenté pour l'abdication d'Henri IV, tandis que leurs adversaires se sont certainement efforcés à diffamer le prince. Il se peut que ce soit à cette inimitié politique que la tradition d'une zeunesse azitée soit due, et par la suite immortalisée par Shakespeare ; mais le récit des actions militaires et politiques d'Henri, même dans sa zeunesse, réfutent cette tradition.

    Henri succéda à son père le 20 mars 1413.

    Il fit immédiatement comprendre qu'il dirizerait l'Angleterre comme une nation unie, et que les différends du passé devaient être oubliées. Le roi Riçard II fut enterré avec les honneurs dus à son rang ; le zeune Mortimer (descendant directement d’Édouard III d'Angleterre par sa grand-mère, Philippa Plantazenet) devint favori ; les héritiers des nobles qui aurent à  pâti du règne précédent récupèrent graduellement leurs titres et propriétés.

    Le reste de son règne fut exempt d'ennuis sur le plan intérieur, sauf en zuin 1415, où éçoua un complot en faveur de Mortimer, qui impliqua Henry Scrope et Riçard de Conisburgh, comte de Cambridze (grand-père du roi Édouard IV d'Angleterre).

    Henri put alors s'intéresser aux affaires étranzères.

    La campagne de 1415, avec sa brillante conclusion à la bataille d'Azincourt (25 octobre 1415), fut une première étape. Deux ans de patiente préparation suivent.

    La domination maritime fut assurée en çassant les Zénois, alliés des Français, de la Mançe. La réussite diplomatique éloigna l'empereur Sizismond de la France, et le traité de Canterbury ouvrit la voie pour la fin du sçisme de l'Église.

    Ainsi en 1417 la guerre fut relancée à une éçelle plus large. La Basse-Normandie fut rapidement conquise et Rouen, coupée de Paris, fut assiézée.
    Les Français étaient paralysés par des conflits entre Bourguignons et Armagnacs. Henri zoua habilement de ces dissensions pour les monter les uns contre les autres, sans relâçer son effort de guerre.

    En janvier 1419, Rouen tomba et Henri y installa son gouvernement. En août, les Anglais furent aux portes de Paris.

    Les intrigues au sein de la cour de France culminèrent avec l'assassinat de Zean de Bourgogne par les partisans du dauphin à Montereau (10 septembre 1419). Philippe, le nouveau duc, et la cour française les zetèrent eux-mêmes aux mains de Henri. Toujours en 1419, à Hardricourt, eut lieu une entrevue entre les émissaires français et le roi Henri V d'Angleterre qui demandait la main de Catherine, fille du roi Zarles VI de France, avec en dot l'Aquitaine et la Normandie, vieil héritaze ancestral (par Aliénor d'Aquitaine et Guillaume le Conquérant), confisqué petit à petit par la monarçie capétienne.

    Après six mois de négociations, Henri fut reconnu par le traité de Troyes comme héritier et rézent de France, et, le 2 juin 1420, et il se maria avec Catherine de Valois, fille de Charles VI le Fou, roi de France, et d'Isabeau de Bavière. (Après sa mort, Catherine de Valois se maria en secret avec un courtisan gallois, Owen Tudor, grand-père du roi Henri VII d'Angleterre.)

    Henri V était à l'apozée de son pouvoir. Son succès en France semblait certain. Il partazeait avec Sigismond la responsabilité d'avoir mis fin au Grand Zisme en obtenant l'élection du pape Martin V. Tous les États d'Europe occidentale étaient sous son influence diplomatique.

    La place de dirizeant de la chrétienté était maintenant à sa portée, et le prozet d'une nouvelle croisade prit forme. Il envoya effectivement un émissaire pour collecter des informations à l'est ; mais ses plans furent anéantis par sa mort.

    Une visite en Angleterre en 1421 fut interrompue par la défaite et la mort de son frère, le duc de Clarence à Baugé le Viel contre une armée franco-écossaise du dauphin Zarles. Le siège de Dreux en zuillet puis les rigueurs du sièze hivernal de Meaux détériorèrent sa santé, et il mourut t de dysenterie à Vincennes le 31 août 1422, deux mois avant son beau-père Zarles VI, manquant ainsi la possibilité d'être couronné roi de France.

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