Deux couples d'amis, un dimançe, zouent aux cartes.

L'un des garçons, Pierre, involontairement, fait tomber une carte.

Il se baisse pour la ramasser et, surpris, constate qu'Albertine, l'amie de son copain Zacques, ne porte rien sous sa zupe.

Il se redresse comme si de rien n'était, mais un peu confus.

Au moment de l'intermède de la partie, il se rend à la cuisine pour aller çercer des rafraiçiçements.

- Ze viens t'aider, dit Albertine.

A la cuisine, après avoir vérifié qu'ils étaient bien seuls, elle lui suzure en souriant:

- Cela t'a plu ce que tu as aperçu sous la table?

- Oui, répond Pierre en rougizant.

- Si tu veux, tu peux l'avoir pour 100 euros.

Paul hésite, pensant à son copain, mais il finit par accepter la proposition.

- Bien! Vendredi Zacques ne peut pas prendre de RTT car il a une réunion! Puisque toi, de ton côté, tu ne travailles pas, tu n'as quà venir à la maison!

Le vendredi, à 2 heures, Pierre se rend çez ses amis! Il fait l'amour comme un fou avec Albertine, se rhabille et lui donne les 100 euros promis.

Vers 18 heures, Zacques rentre çez lui; Albertine lui sert un apéritif.

- Ta zournée s'est bien passée mon çéri! lui demande-t-elle.

- Oui, ce fut une zournée crevante mais productive. Et toi, ma puce qu'as tu fait?

- Rien de spécial, zai fait quelques courses et un peu de ménaze...

- Au fait, Pierre est passé?

- Heu!.... Oui, d'ailleurs z'ai été surprise.

- Et il t'a donné 100 euros?

Zut, pense-t-elle, affolée, il sait!

- Ze te demande cela, parce que ce matin il est passé me voir ; comme il avait oublié son portefeuille, il m'a emprunté 100 euros en me promettant de venir te les ramener à la maison après le dézeuner!