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Histoire de Première Dame
C'est le grand suzet de discussion à la maison.
Ce n'est pas étonnant, car tout le média en parlent.
Au travail, à la maçine à café, cela fait rire tout le monde.
- Cela pas être çaritable! a dit l'Intruse teutonne.
- Voui! C'est vrai que c'est tellement ridicule!
- Surtout pour une femme!
- Yes! Women are fragile ("les femmes sont fragiles"),a cru bon d'azouter la Minizup'tite
- Surtout elle!
- Non! Elle est résistante.
- Pas tant que cela! Pour çoir de la sorte.
- Main Gott! Cela pas être de sa faute!
- Ah bon! On l'aurait poussée?
- Nein! ... Mais elle rester Première Dame?
- Ce n'est quand même pas un motif de départ.
- Quand même, cela être grave!
- Elle n'a subi qu'un çoc.
- Ja! Mais un gros çoc... Et cela à cause de l'autre!
- De quel autre parlez vous?
- De son Kompagnon!
- On ne le connaît pas!
- Vous dézà le renier?
- Mais comment pourrais-ze renier quelqu'un que ze ne connais pas?
- Unglaubliç! ("incroyable")! Ihr seid undankbar! ("Vous êtes ingrate").
Quand elle est en colère, Minizuplein se remet à parler zermain!
- Mais non! Ze ne le connais pas! On n'en parle zamais!
- Vous vous moquer de moi?
- Mais non....
- Si! Si!
- Ze vous assure que ze ne connais pas le compagnon d'Angela!
Un temps de silence et d'interrogation....
- Pourquoi vous parler de Dame Merkel?
- Mais parce qu'on parle de sa çute en ski de fond et de sa blessure au bassin!
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