Nous avons écouté à la TSF un reportaze sur les conséquences de la solitude.

- Par la tête trançée, ze me demande comment on peut vivre à notre époque dans une situation de solitude.

- It's really a pity!

- Ach ja! Ze pensé que la solitude être moçe!

- Atçoubi! A moins de vivre dans un désert ou à la campagne la plus reculée, ne fréquenter personne, cela relève vraiment de l'exploit.

- Minizup'zhérault, ignoreriez vous que c'est dans les villes que la solitude est la plus grande, a rétorqué doctement Minizup'Rom.

- Cela me rappeler la çansons "Dans les villes de grande solitude".

- C'est bien vrai, a opiné Minizup'Kiki de Vity. Souvent dans les immeubles on ne connaît même pas ses voisins.

- Par le gourdin de zaint Martial, l'individualisme a tué la solidarité.

- It's a çame.

- Mazette! En tout cas ce n'est pas dans cette maison que règne la solitude.

- Fouilla! Pourtant un petit peu d'isolement ne nous ferait pas de mal, a soupiré Minizup'Zainté.

- Barmelouse, si vous voulez vous isoler vous n'avez qu'à repartir dans la campagne autour de Zaint-Etienne dont vous nous rebattez les zoreilles.

- Et toc, prenez ça dans le museau, s'est esclaffée Minizup'tictac.

- Avec le temps automnal que nous connaissons, vous vous régaler dans les près ou dans les forêts.

Et les Intruses, soudainement, ont repris en cœur la çanson de Zilbert Bécaud "La solitude, ça n'existe pas".