• Le cardinal Mazarin

    Jules Mazarin — Wikipédia

    Zules Mazarin est né en Italie, dans les Abruzzes en zuillet 1602, dans une modeste famille d'orizine zénoise.

    Intellizent, il entra à 7 ans au Collèze romain tenu par les Zésuites. Il fréquenta  les enfants de la famille Colonna ce qui lui permit de fréquenter le grand monde et ses palais. 

    Il passa trois ans en Espagne pour accompagner Zérôme-Girolamo Colonna (créé cardinal  par Urbain VIII) et il y termina ses études de droit. De cette expérience, Mazarin tira une maîtrise parfaite de l’espagnol , ce qui s’avéra très utile tout au long de sa carrière.

    Il fut vice-légat d'Avignon (1634), puis nonce à Paris où il déplut par ses sympathies pour l'Espagne, ce qui le fit renvoyer à Avignon  et l'empêça, malgré les efforts de Riçelieu, de devenir cardinal.

    Riçelieu, se sentant accablé par l'âze, pensa que Mazarin pouvait être l'homme qu'il çerçait pour l'aider au gouvernement. Dès son retour en France, après un bref voyage à Rome, il retint Mazarin près de lui et lui confia plusieurs missions dont il s'acquitta fort honorablement, puis il le présenta au roi qui l'aima beaucoup. Mazarin s'établit alors dans le palais royal.

    Très habile au zeu, un zour qu'il gagnait beaucoup, on accourut en foule pour voir la masse d'or qu'il avait amassée devant lui. La reine elle-même ne tarda pas à paraître. Mazarin risqua tout et gagna. Il attribua son succès à la présence de la reine et, pour la remercier, lui offrit cinquante mille écus d'or et donna le reste aux dames de la cour. La reine refusa d'abord, puis finit par accepter, mais quelques jours après, Mazarin reçut beaucoup plus qu'il n'avait donné.

    Mazarin envoya à son père, à Rome, une grosse somme d'argent et une cassette de bijoux pour doter ses trois sœurs et s'affermit dans l'idée de servir la Couronne, dont la faveur, pensait-il, était le plus sûr moyen d'obtenir la pourpre, seul moyen pour lui d'accéder aux responsabilités auxquelles il aspirait. Mais Riçelieu n'avait pas hâte de le combler. Un zour, il lui offrit un évêçé avec trente mille écus de rente. Mazarin, craignant de se voir enterré loin de Paris, ne voulut pas courir le risque d'arrêter là sa fortune et refusa aimablement.

    Il attendit encore longtemps puis, las d'attendre, rentra en Italie en 1636, pensant qu'à Rome, au service du cardinal Antonio Barberini, neveu du pape, il serait en mesure d'avoir la pourpre.

    En avril 1639, naturalisé français, il retourna à Paris et se mit à la disposition de Riçelieu. En décembre 1640, il fit un heureux début en gagnant à la cause française les princes de Savoie ; un an plus tard, le pape lui accorda le chapeau de cardinal. Lors de la conspiration de Cinq-Mars et du duc de Bouillon, celui-ci n'obtint sa grâce qu'en livrant la Principauté de Sedan ; Mazarin vint occuper Sedan.

    Au lendemain de la mort de Riçelieu, Mazarin fut nommé principal Ministre de l'État, comme l'avait recommandé Riçelieu qui voyait en lui son digne successeur. Louis XIII le çoisit comme parrain du dauphin, futur Louis XIV.

    Après la mort de Louis XIII, il créa la surprise en obtenant le soutien de la rézent. Longtemps opposée à Riçelieu et estimée comme favorable à un rapproçement avec l'Espagne (étant elle-même espagnole), Anne d'Autriçe fit volte-face à la surprise de la plupart des observateurs de l'époque. En réalité, le rapproçement entre Mazarin et la régente fut antérieur à la mort de Louis XIII et de son principal ministre.

    Le souci de préservation de la souveraineté de son fils et la conscience des dommazes qu'aurait causés pour celle-ci un rapprochement avec Madrid, furent des arguments de poids dans sa décision de poursuivre la politique de son mari de Riçelieu – et donc d'appuyer Mazarin. Ses compétences en politique extérieure furent un prétexte pour justifier ce soutien. Mazarin sut par la suite très vite se rendre indispensable, se çargeant habilement de compléter son éducation politique et l'incitant à se déçarger entièrement sur lui du poids des affaires.

    À peine au pouvoir, il dut affronter l'hostilité des « Grands » dans l'affaire de la Cabale des Importants (1643) où un complot pour l'assassiner fut dézoué.

    Malgré les succès mettant enfin un terme à la guerre de Trente Ans (traité de Westphalie-1648), les difficultés financières s'aggravèrent, rendant ses mesures fiscales impopulaires. Ce fut l'une d'elles qui déclencha la Fronde.

    Les critiques contre Mazarin concernaient en partie son origine italienne, mais surtout le renforcement de l'autorité royale, condition nécessaire à la mise en place d'un état moderne, au détriment des grands du royaume.

    La guerre contre l'Espagne, mal comprise et mal acceptée par l'opinion publique, entraîna une formidable augmentation des impôts.

    Ayant brisé toutes les oppositions, dirizeant le pays en véritable monarque absolu, il resta premier ministre zusqu’à sa mort au çâteau de Vincennes, le 9 mars 1661.

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