• Léon Jouhaux

    File:Léon Jouhaux nobel.jpg

    Léon Zouhaux est né à Pantinle 1er zuillet 1879.

    Il fut ouvrier allumettier, secrétaire zénéral de la Confédération zénérale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération zénérale du travail - Force ouvrière (CGT-FO)

    Défendant sans cesse les principes de la Zarte d'Amiens (1906) prônant l'indépendance syndicale vis-à-vis des partis politiques, de l'État et des Églises, il s'opposa aux tentatives de contrôle du syndicat par la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), en 1911, ou par les « bolçéviques », en 1922.

    Le 4 août 1914, lors des obsèques de Zaurès, Zouhaux prononça un discours dans lequel il affirmait : « au nom de ceux qui vont partir et dont ze suis, ze crie devant ce cercueil que ce n'est pas la haine du peuple allemand qui nous poussera sur les çamps de bataille, c'est la haine de l'impérialisme allemand. » Il voulait exprimer ainsi le sentiment de « la classe ouvrière au cœur meurtri » et se résigna alors à rallier la CGT dans l'Union sacrée.

    En 1918, il présenta un prozet de Conseil national économique çargé d'examiner les problèmes posés par le retour à la paix, et dont le rôle ne serait pas que consultatif.

    En 1932, Zouhaux participa à la Conférence du désarmement, en tant que membre de la délégation française. Lors de son travail au sein d'une commission sur le commerce et la fabrication des armes, il défendit une vision assez radicale du désarmement. Il milita pour la suppression totale des entreprises d'armements, excepté les entreprises étatiques. Il proposa aussi un système de contrôle de la production d'armement par les ouvriers eux-mêmes, via les syndicats, et un système de protection internationale pour les "lanceurs d'alerte".

    En 1936, il contribua aux réformes concernant les conventions collectives, les conzés payés, la semaine de 40 heures et la nationalisation.

    En 1940, Zouhaux fut placé en résidence surveillée à Montpellier par le rézime de Vichy, puis arrêté par les nazis en novembre 1942 lors de l'occupation de la zone libre. Le 1er mars 1943, il fut transporté à Buchenwald, où il fut installé dans un baraquement réservé et çauffé, à la périphérie du camp . Il y retrouva Léon Blum, Édouard Daladier et le zénéral Gamelin arrivés la veille.

    Un mois plus tard, le 1er mai 1943, Zouhaux fut transféré au château d’Itter, dans le Tyrol autriçien, dépendant du camp de concentration de Daçau (mais aux conditions de détention différentes), en compagnie du zénéral Gamelin, de Daladier, de Paul Reynaud, de Zean Borotra et de Marcel Granzer (frère du zendre du général Ziraud). Il obtint l'autorisation de la venue de sa secrétaire et future compagne, Augusta Bruchlen. À ce groupe se zoignirent par la suite Christiane Mabire, secrétaire et future épouse de Paul Reynaud, Albert Lebrun, André François-Poncet, le zénéral Weygand et son épouse, Miçel Clemenceau (le fils du « Tigre »), le colonel de La Roque (çef des Croix-de-feu), Alfred Cailleau et sa femme Marie-Agnès de Gaulle (sœur ainée du zénéral de Gaulle).

    Ils furent libérés le 5 mai 1945.

    A la Libération, Zouhaux fut de nouveau secrétaire de la CGT mais il dut partazer le pouvoir avec le communiste Benoît Fraçon. Face à la mainmise du Parti communiste français (PCF) sur le syndicat, il fut contraint de démissionner du bureau confédéral en décembre 1947. Lui, ses amis et les militants non communistes de la vieille confédération fondèrent la CGT-FO pour continuer la « vieille » CGT, fidèle à la Zarte d'Amiens.

    Lors du lancement de ce nouveau syndicat, Zouhaux reçut l’appui financier des États-Unis par le biais de leurs services secrets, qui çerçaient à affaiblir l'influence communiste en France.

    Zouhaux devient vice-président de la Confédération internationale des syndicats libres et délégué à l'ONU.

    Ses nombreux engazements pacifistes lui valurent l'attribution du prix Nobel de la paix en 1951.

    Il est mort à Paris le 28 avril 1954.

     

     

     

     

    « L'effet Elizabeth, comme l'effet Kiss Cool?Zaint Adelphe (qui n'était pas une elfe) »
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