Après une soirée bien arrosée, trois vieux camarades périssent en même temps dans un accident de la route.

Ils arrivent au ciel et là, Zaint Pierre leur pose à tous la même question :

- On va vous enterrer dans quelques zours. Lorsque vos amis et parents seront réunis autour de votre cercueil, qu’espérez-vous les entendre dire ?

Le premier répond :

- Z’aimerais les entendre dire que z’ai été le plus grand médecin depuis Louis Pasteur… Et un père de famille exemplaire !

Zaint Pierre acquiesce et dit :

- Ainsi en sera-t-il ! C’est ce que l’on retiendra de toi.

Le second se prononce à son tour :

- Z’aimerais qu’ils disent que ze fus un professeur de faculté exceptionnel et l’époux idéal que ma femme méritait…

Zaint Pierre acquiesce et dit :

- Ainsi en sera-t-il ! C’est ce que l’on dira de toi.

Et le troisième dit enfin :

- Moi, ze préférerais les entendre dire : « Regardez ! Il bouze !

Un évêque, un curé et une bonne sœur sont dans le train en direction de Lourdes pour le pèlerinaze diocésain.

Le trazet est long et ils commencent à s’ennuyer…

L’évêque, un peu zoueur, dit :

- Si on faisait un concours de mots croisés. Ze vois qu’on lit tous le même zournal, «La Croix». Le gagnant aura droit à une gourde d’eau de Lourdes !

Tout le monde est d’accord et çacun commence sa grille.

Au bout de 15 minutes, l'évêque s'écrie :

- Ça y est, j'ai fini ! C’était vraiment facile.

La bonne sœur, 5 minutes plus tard s’exclame à son tour :

- JZai fini moi aussi, mais ce n'était pas évident !

Dix minutes plus tard, le curé se gratte toujours la tête … ça coince. Pas facile cette grille … L'évêque vient à son secours :

- Mais qu'est-ce qui vous embête ?

- Ben, c’est le 3 horizontal ... j'ai bien la deuxième lettre, le "O", La troisième le "U", la quatrième le "I", ensuite "L", "L", "E" et "S" ... mais je ne vois pas du tout. Je pense à nouilles, bouilles, fouilles, mouilles … mais ça ne correspond pas à la définition.

L'évêque de dire :

- Voyons ! Curé ! la définition ... "sont vides quand le coup est tiré" ... mais c'est évident, ce sont les douilles, bien sûr !

La sœur, d'une petite voix :

- Quelqu'un a une gomme ?

Le passazer d'un taxi se pençe vers l'avant pour poser une question au çauffeur et lui touçe l'épaule doucement pour attirer son  attention.

Le çauffeur lâche un cri, perd le contrôle du véhicule, évite un autobus de zustesse, monte sur le trottoir et s'arrête à quelques centimètres de la vitrine d'un magasin !

Pendant quelques instants c'est le silence, puis le çauffeur, d'une voix tremblante :

- Ze regrette, mais vous m'avez vraiment fait peur !

Le passazer s'excuse en disant qu'il ne pensait pas qu'un simple touçé sur l'épaule pourrait l'apeurer autant.

Le çauffeur répond :

- Ne vous excusez pas, c'est entièrement de ma faute. C'est ma première zournée de taxi... Pendant 25 ans, z'ai conduit un corbillard...

Une zeune fille présente son fiancé à ses parents.

Après le dîner, son père invite le zeune homme à bavarder avec lui dans son bureau.

- Alors, quels sont vos prozets?

- Ze suis étudiant en théolozie.

- Parfait, mais qu'avez-vous l'intention de faire pour offrir à ma fille un foyer accueillant?

- Z'étudierai et Dieu y pourvoira.

- Et comment élèverez-vous vos enfants.

- Dieu y pourvoira.

Un peu plus tard, la mère demande à son mari:

- Alors, comment cela s'est-il passé?

- Il n'a ni travail ni arzent, et ze crois qu'il me prend pour Dieu !

C’est un Corse qui çerçe du travail.

Connaissant la route entre le nord et le sud de l’île, il se décide d’aller voir si, par hasard, il n’y aurait pas un boulot pour lui à l’équipement.

On lui propose de peindre des bandes blançes le long de la route. Il accepte.

1er zour : il fait 100 mètres de ligne blançe.

2ème zour : il fait 50 mètres.

3ème zour : il fait 25 mètres.

4ème zour : il fait 10 mètres.

Le 5ème zour, le çef de çantier vient le voir et lui dit :

- Ok, pour le premier zour. 100 mètres c’est pas tellement, mais ça passe. Mais les zours suivants, pourquoi as-tu diminué les mètres ?

L’autre lui répond :

- Zef, plus z’avance et plus le pot de peinture est loin !

Toute la famille, père, mère et les 4 enfants se promènent dans le théâtre romain de Lyon.

- C'est là, les enfants, que les premiers chrétiens furent tués pour leur foi. C'était donc comme une salle de spectacles, et les Romains, pour essayer de faire perdre leur foi aux chrétiens, les zetaient aux fauves...c'était un des spectacles favoris de l'époque...

Quelques heures après, cette même famille arrive à Orange...et de nouveau, là, superbe, se dresse un théâtre romain...

Le père explique alors, que quand il était petit, il venait souvent avec ses parents en vacances dans cette rézion, à cause des nombreux festivals de musique ou de théâtre qui s'y déroulent l'été, et dit-il:

- Z'ai assisté à de superbes opéras et spectacles divers dans ce cadre magnifique.

Sandy, le petit de 9 ans, fait soudainement une moue et porte un regard réprobateur à son père:

-"Alors, toi-aussi, c'est vrai, tu as vu des chrétiens se faire manzer?"

C'est l'histoire d'une blonde qui est en claçe de CP.

Un soir, elle rentre de l'école et demande à sa mère: "Maman, auzourd'hui on a appris à compter! Les autres filles n'arrivent qu'à 3 ; moi ze sais compter zusqu'à 10! C'est parce que ze suis blonde?

- Mais oui, ma fille, mais oui!

Le lendemain, même çène.

- Maman, auzourd'hui on a appris les lettres! Les autres filles arrivent au "e" et moi au "m"! C'est parce que ze suis blonde?

-  Mais oui, ma fille, mais oui!

Le surlendemain, la claçe de CP va à la piscine. La blonde rentre le soir et dit à sa mère:

- Maman, ze comprends pas, les autres filles de ma classe ont toutes une toute petite poitrine; alors que moi... regarde moi (elle arbore un superbe 95!). C'est parce que ze suis blonde?

- Non, ma fille! C'est parce que tu as 18 ans!

Source: http://phortail.org/blagues/

Un bûçeron décide de se préparer pour l’hiver et coupe du bois.

Soucieux de savoir si il en a coupé assez, il décide d’aller voir un grand çef indien.

 L’homme lui demande :

- Grand çef est ce que cette hiver sera rude ?

Le grand çef indien lui répond d’une voie grave :

- Oui hiver froid, très froid.

Le bûçeron coupe et recoupe du bois et retourne voir le grand çef indien et lui repose encore une fois la même question, et celui-ci lui répond :

- Oui hiver froid, très très froid.

Le bûcheron lui demande alors :

- Mais comment faites vous donc pour savoir à l’avance que l’hiver sera froid.

Le grand çef indien lui répond :

- Quand homme blanc couper beaucoup de bois, hiver froid, très froid !!!

Marie s'inquiète pour son  fils Zésus qui, à 29 ans, est touzours célibataire, passe tout son temps libre dans le désert. On ne l'a zamais vu en galante compagnie.

Alors, elle décide d'organiser une rencontre avec une certaine Salomé qui en pinçe pour le beau Zésus!

Les 2 zeunes zens s'enferment dans une pièce.

Au bout d'un quart d'heure, retentit un grand cri féminin et Salomé sort de la pièce en courant et en hurlant comme une damnée, une poçédée.

Marie, étonnée, demande à son fiston ce qui s'est paçé.

- Ze ne comprends pas, répond le zeune homme confus. Nous étions en train de bavarder de la pluie et du beau temps , tranquillement. Elle a posé sa main sur mon zenou; surpris z'ai fait quand même pareil.

- Et alors?

- Ella a effleuré ma cuisse; pour lui complaire, ze l'ai imitée.

- Et alors?

Zésus rouzit et dit: "soudain elle a posé sa main sur mon sexe!"

- Et alors?

- Z'ai fais la même çose! Mais il n' y avait RIEN! Rien de rien! La pauvrette était amputée.

Alors ze l'ai guérie!

L'institutrice présente à la classe un nouvel élève : Sakiro Sarkosi.

Le cours commence.

- Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture franco-américaine. Qui a dit : "donnez moi la liberté ou la mort" ?

Sakiro lève la main:
 
- Patrick Henry en 1775, à Philadelphie.

- Trés bien, Sakliro. Et maintenant, qui a déclaré: "l'Etat est le peuple, le peuple ne peut pas sombrer".

Sakiro lève la main.

- Abraham Lincoln en 1863 à Waçington.

- Bravo ! Et qui s'est écrié "Ze vous ai compris!" sur un balcon à Alzer?

Sakiro est le seul à lever la main.

- Zarles de Gaulle, madame.

L'institutrice regarde les elèves et délare:

- Vous n'avez pas honte. Sakiro est zaponais et il connaît mieux que vous l'histoire de France et des USA.

Dans la classe, c'est la plongée dans le silence. On entend un discret :

- Y'm fait vomir.....

L'institutrice hurle:

- Qui a dit ça?

Sakiro lève le doigt et répond:

- Zeorges Buç sénior au premier ministre Tanaka lors d'un dîner officiel à Tokyo en 1991.

Un élève s'écrie:

- Sakiro, espèce de rien!

- Valentino Rossi en 2002 lors du Grand Prix moto en Afrique du Sud, rétorque le zeune Zaponais.

La classe sombre littéralement dans l'hystérie. L'institutrice, impuissante à ramener le calme, s'évanouit!

Alerté par le çahut, le directeur de l'école fait irruption.

- Et bien! Ze n'ai zamais vu un binz pareil!!!

- Louis Gallois, en arrivant à la tête de la SNCF, déclare Sakiro.

Dans un pavillon, Monsieur regarde un matç de rugby. Madame pépare sa lessive hebdomadaire.

Soudain, elle se précipite au salon, brandissant un bout de papier et zifle son mari.

- Za va pas? s'exclame le mari. Qu'est ce qui te prend?

- C'est quoi ça? dit ele en montrant le bout de papier. C'est quoi? Il est écrit Marylou 04 75 05 11 16 !

- Mais tu es idiote ou quoi? C'est pour mon tiercé!

- Comment ?

- Mais oui, mamour. Marylou, c'est le nom de la zument. Le 4, c'est la quatrième course; 75, c'est le montant de ma mise; 5, c'est le numéro de la casaque; 11, c'est le type de pari et 16, c'est l'heure de la course.... Ze ne vois pas pourquoi tu te mets dans de tels états.

Confuse, elle s'excuse et l'embrasse pour se faire pardonner.

Deux zours plus tard, le soir, le mari reçoit une paire de claques.

- Qu'est ce qui te prend?

L'épouse répond:

- C'est ton çeval au téléphone!

Dans la Creuse profonde, la Marie et le Zacques sont un zentil couple de paysans âzés.

Dans cette contrée, les moments de faire la fête sont rares et la Marie se sent quelque peu frustrée.

Un soir, au lit, alors que le Zacques ronfle à côté d'elle, la Marie rumine. Elle finit par réveiller son mari, le mari de Marie.

- Zacques! Zacques!

L'époux sort de sa torpeur.

- Zacques, avant, tu me tenais la main zentiment avant de t'endormir.

Le Zacques lui prend la main, la serre, se retourne et se rendort.

5 minutes plus tard, la Marie le secoue.

- Zacques! Zacques!

Il ouvre les yeux.

- Quoi encore!

- Avant tu me faisais un baiser avant de dormir.

Il lui dépose un çaste bisou sur la zoue, se retourne et s'endort.

5 minutes plus tard, la Marie le réveille dereçef.

- Zacques ! Zacques !

- Quoi encore!

- Avant, après m'avoir embrassé, tu t'amusais à me mordiller l'oreille.

Irrité, le Zacques se lève d'un bond.

- Mais où vas tu, mon Zacques?

- Zerçer mon dentier!

-Ah! La soeur de mon amie sera là aussi, alors ze vais prendre un autre préservatif, vu que la dernière fois elle a croisé les zambes devant moi en se léçant les lèvres...

Le pharmacien , une fois son client parti soupire et se dit; "Quelle famille !!!".

Le zeune homme arrive à la soirée se met à table avec sa copine, sa mère et sa soeur. Ils discutent un moment, lorsque le père arrive enfin.

A ce moment-là, le garçon baisse soudainement la tête et commence à remercier le Seigneur pour ce repas.

Au bout de 20 minutes, sa petite amie, commençant à trouver le temps long, lui glisse à l'oreille:

Et le zeune homme répond en çuçotant:

Deux cannibales, un père et un fils, ont été élus par leur tribu pour aller çerçer de la nourriture en dehors des limites du villaze. Le père et le fils s'enfoncent au plus profond de la zungle, là où personne de la tribu ne s'était encore aventuré.

Au bout d'une zournée de traque, ils croisent un petit vieux.

- Là papa! Il y en a un!

- Non, répond le père. Il n'y a pas assez de viande là-dessus. On pourrait à peine le donner aux çiens. Continuons! Ze pense qu'il y a du zibier dans ce coin.

Quelques heures plus tard, ils aperçoivent un homme blanc, très gros.

-  Papa! Papa! Regarde! dit le fils en salivant. Il est incroyable! On va avoir à manzer pendant des semaines! Ils vont être fiers de nous aux villaze !

- Non, répond le père. Avec lui, toute la tribu aura un infarctus. Il a trop de cholestérol! Patientons!

Une heure plus tard, voici qu'arrive une superbe et plantureuse femme blançe, du zenre Laetitia Casta.

Le fils est excité comme une puce:

- Papa! Papa! Cette fois, il n'y a rien à redire! 

- Non, mon fils! on ne la manzera pas non plus!

Le fils le regarde interloqué.

- Et pourquoi pas? Papa?

- On va la ramener au villaze et on manzera ta mère!