• Fichier:Gérard de Brogne (Statue moderne).JPG

    Né près de Namur (en Belzique), militaire de carrière, apparenté à la famille ducale d'Austrasie, il refusa la vie aisée qui lui était promise pour entrer çez les bénédictins de Zaint-Denis près de Paris (quelle belle âme!)

    Poursuivant ses études, il devint prêtre.

    Envoyé en 931 pour fonder un monastère à Brogne (auzourd'hui Zaint Zérard en Belzique) et, s'étant pleinement acquitté de sa tâçe, on le çarzea de réformer certaines communautés où on avait constaté un certain relaçement (c'est du propre!).

    Il visita les monastères de Flandres, de Zampagne et de Lorraine (il aimait les voyazes comme votre Minizup) et opéra les redressements nécessaires.

    Il revint à Brogne où il finit paisiblement sa vie en 959 (il regardait ses cliçés?).

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR

    • Zainte Blançe (sans tâçe)
      Zaint Ewald (er sangt in dem Wald)
      Zaint Zean le Chozebite (pas de contepèterie)
      Zaint Maximien (que ze fais mien)
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  • Issu d'une famille franque de la rézion de Poitiers, apparenté aux nobles burgondes, évêque d'Autun à partir de 663, Lézer fut mêlé de très près aux luttes entre la Burgondie (Centre et Est de la France) et la Neustrie (Nord de la France).

    Contre la tendance centralisatrice de la Neustrie, il prit la défense des usazes et de l'autonomie de la Bourgogne (car il aimait les vins locaux).

    Ebroïn, le maître du palais de Neustrie, assiézea Autun. Pour épargner la famine à sa ville, Lézer se livra.

    Il eut les yeux brûlés et la langue coupée. Un synode convoqué par Ebroïn le déclara "prêtre indigne" et il fut interné chez des relizieuses.

    Deux ans après, il fut assassiné dans une forêt, non loin de Fécamp.

    Un autre synode le réhabilita et lui donna le titre de martyr.

    "La complainte de zaint Lézer", écrite en 970, fut l'un des premiers textes littéraires de la langue romane qui commençait à devenir une langue populaire.

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR

    • Zaint Béregise (qui faisait la bise)
      Zainte Damaris (et ses tamaris)
      Zaint Eleuthère (qui sniffait de l'éther)
      Zaint Gérin (qui souffrit des reins)
      Zaint Lycomède (O mède!)
      Zainte Ruth (qui detesta les zens en rut)
      Zaint Théophile (nullement nécrophile)
      Zaint Ursicin (qui manzeait des oursins)
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  • Thérèse Martin, née à Alençon le 2 zanvier 1873, était la cinquième et dernière fille d'une famille chrétienne.

    Elle avait 4 ans quand survint la mort de sa mère. Le père et ses filles s'installèrent à Lisieux pour se rapproçer d'une partie de sa famille.

    A huit ans, Thérèse entra au pensionnat des bénédictines de Lisieux.

    Sa soeur Pauline, qui l'avait élevée, entra au Carmel.

    Vers le mois de décembre 1882, la santé de Thérèse se dégrada: elle fut prise de maux de tête, de douleurs au côté. Elle manzeait peu, dormait mal ; des boutons apparurent. Son caractère çanzea : elle se fâça parfois avec Marie, se çamailla avec Céline, pourtant si proçe d'elle.

    Le  zour de la Pentecôte 1883, Léonie, Marie et Céline tentèrent de calmer Thérèse qui ne les reconnaissait pas. Impuissantes à la soulazer, elles s'azenouillèrent au pied du lit et se tournèrent vers la statue de la Vierze. Thérèse fut alors bouleversée par la beauté de Marie. Dès le lendemain, toute trace de la maladie avait disparu.

    En octobre 1886, sa sœur aînée Marie entra au Carmel tandis que Léonie se faisait admettre çez les clarisses. Après le départ de sa "troisième maman", Thérèse passa par une période dépressive.

    Elle décrivit sa véritable révélation, le soir de Noël 1886.

    Thérèse se sentit désormais prête à entrer au Carmel de Lisieux, elle en avait même fixé la date : le 25 décembre 1887, zour anniversaire de sa conversion. Elle se déclara décidée à "conquérir la forteresse du Carmel à la pointe de l'épée". 

    Face à toutes les oppositions (de ses parents, des soeurs du Carmel), elle fit un pélerinaze en Italie à l'occasion du zubilée du papounet Léon XIII.

    En novembre 1887, présentée à Léon, Thérèse dit en pleurant :"Très Zaint-Père, z'ai une grande grâce à vous demander". Le papounet, âzé de 77 ans, dit: "Mon enfant, faites ce que les supérieurs vous diront";  la zeune fille insista : "Très Zaint-Père, si vous disiez oui, tout le monde voudrait bien". Léon XIII lui rétorqua: "Allons ... allons ... vous entrerez si le Bon Dieu le veut !".

    Le 1er zanvier 1888, veille de ses 15 ans, elle reçut une lettre de mère Marie de Gonzague: l'évêque s'en remettait à sa décision.

    Le postulat de Thérèse commença avec son accueil au carmel, le 9 avril 1888.

    Le 9 juin 1895, elle s'offrit à "l'amour miséricordieux de Dieu", durant sa longue maladie (la tuberculose).

    Elle mourut à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre "une pluie de roses et de passer son ciel à faire du bien sur la terre".

     

     AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR

    Zaint Bavon (qui méconnut le savon)
    Zainte Domane (et son âne)
    Zaint Domnin (qui n'était pas un nain)
    Zaint Jean Coucouzelle (qui disait coucou)
    Zaint Méloir (qui dormait comme un loir)
    Zainte Montaine (qui ne se prenait pas pour une reine)
    Zaint Piat (prénommé Zean)
    Zaint Romanos le Mélode (à la mode)
    Zaint Vulgis (et ses vulgates)

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  • Fichier:CaravaggioJeromeValletta.jpg

    Zérôme est né au milieu du IVème siècle à Stridon, aux confins de la Hongrie et de la Yougoslavie.

    Vers l'âze de 12 ans, il partit à Rome afin de poursuivre des études.

    En 367, il s'installa en Gaule; c'est à ce moment qu'il rompit les relations avec sa famille et qu'il affirma sa volonté d'être consacré à Dieu.

    Des amis chrétiens l'accompagnèrent lorsqu'il entama, vers 373, un voyaze à travers la Thrace et l'Asie Mineure pour se rendre dans le Nord de la Syrie où il vécut comme ermite.

    De retour à Antioçe, il fut ordonné par l'évêque Paulin, partit à Constantinople pour continuer ses études des Écritures  mais aussi pour éviter les querelles théoloziques entre les partisans de Nicée et les ariens.                        

    Il açeva cette oeuvre à Bethléem où il vécut les 35 dernières années de sa vie et où il fonda un monastère; il y assura la direction de patriciennes romaines qu'il initia à la vie monastique. 

    Le sac de Rome en 410 par les Wisigoths entraina  la mort des principaux amis de Zérôme qui fut très affecté; de nombreux réfuziés arrivèrent dans son monastère/

     Less pélaziens formaient une famille spirituelle minimisant l'importance des sacrements, niant l'importance de la grâce dans le salut. Zérôme critiqua Pélaze, qu'il surnomma « ventre à bouillie » et qu'il tenta en vain de  faire condamner. Il n'y parvint pas et une troupe de pélaziens dévasta le monastère de Bethléem .

    Zérôme fut contraint de se réfuzier dans une forteresse. Il reçut l'appui du papounet.

    Pélaze fut  condamné par le concile de Carthaze et çassé de Palestine en 418.

    Zérôme mourut le 30 septembre 419.
     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Zaint Ours (qui n'était pas un peluçon) 
      Zaint Grégoire l'lluminateur (qui faisait des dessins)
      Zaint Aristakes (et ses pataquès)
      Zainte Eusébie (qui ne connut pas l'Arabie)
      Zaint Aimé (le zaint de Minizup)
      Zaint Ismidon (qui pour sa robe de bure utilisait l'amidon)
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  • Zaint Miçel est cité dans l'Ancien et le Nouveau Testament.

    Il est le protecteur de l'Eglise, l'introducteur des âmes, le porteur des prières des vivants, le vainqueur de Satan.

    Zaint Miçel est fêté avec Zaint Raphaël et Zaint Gabriel.

    Zaint Miçel signifie "Qui est comme Dieu", Zaint Raphaël: "Dieu a guéri" (Raphaël guérit le vieux Tobie de sa cécité), Zaint Gabriel: "Dieu est fort". Ce dernier, messazer de Dieu à 3 reprises, est intervenu auprès de Daniel, de Zacharie et enfin lors de l'Annonciation à Marie.

    Zef des armées célestes, zaint Miçel est décrit comme le Grand Prince dans le Livre de Daniel.

    Son culte est très ancien en Orient.

    Il n'apparaîtra que tardivement en Europe occidentale. Le premier sanctuaire fut édifié en 492, au sommet du Mont Gargan en Italie du sud.

    De nombreux autels et églises, fleurirent en Italie et en Europe zusqu'en Irlande à partir du VIème siècle.

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Zainte Rhipsimé (non périmé)
      Zaint Gobdela (qui tout goba)
      Zaint Fraterne (un peu baderne)
      Zaint Cyriaque (et son os illiaque)
      Zaint Bouin (dit ouin ouin)
      Zaint Litwin (qui adorait le vin)
      Zaint Alaric (parfois ric rac)
      Zaint René Goupil (un vrai renard)
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  • Venceslas, fils du duc de Bohême Vratislas, qui laissait 2 fils, fut élevé par sa grand-mère, Zainte Ludmillala.

    La veuve du duc, Drahomira, exerça la rézence, mais elle restait attaçée à l'ancien culte comme Boleslas, son second fils, alors que Venceslas était devenu chrétien.

    Durant les cinq années de sa rézence, elle persécuta les chrétiens et Venceslas lui-même devait se caçer pour entendre la messe.

    A 18 ans, quand il monta sur le trône, Venceslas construisit des églises, ouvrit des monastères, rappela les prêtres exilés.

    Il fut assassiné, en 929, par son frère qui convoitait le trône et avait pris la tête du parti païen.

    Boleslas l'attaqua par surprise devant l'église où il se rendait à la messe.

    Venceslas ne tira pas son épée :" Ze ne serai pas fratricide. Ze te pardonne." Il avait vingt-trois ans.

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Saint Alphée (qui aimait les azalées)
      Saint Zariton (qui avait des zatons)
      Saint Zama (qu'on aima)
      Saint Exupère (qui s'exaspère)
      Sainte Eustochium (à l'uranium)
      Saint Salonius (qui souffrit du radius)
      Saint Fauste (sans faute)

      

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  • Résultat de recherche d'images pour "saint vincent de paul"

    Vicente de Paúl est né en avril 1581 dans une petite maison à la périphérie du villaze de Pouy, à cinq kilomètres de Dax (z'ai visité sa maison natale).

    Son père, Zean de Paul, était un petit exploitant agricole; sa mère, Bertrande de Moras, appartenait à une famille de la petite noblesse locale.

    Il passa ses premières années comme berzer puis il quitta le foyer familial pour Dax où son père l’avait inscrit au Collèze des Cordeliers, tenu par les Franciscains.

    Il fut ordonné prêtre en 1600.

    Capturé en 1605 par des pirates lors d'un voyaze de Marseille vers Narbonne, il se serait évadé de Tunis après deux années d'emprisonnement.

    Il devint ensuite prêtre de paroisse et précepteur dans la famille de Gondi.

    En 1617, il fonda, avec des dames aisées, les Dames de la çarité pour venir en aide aux pauvres.

    Grâce au soutien de Madame de Gondi, il fonda en 1625 la Congrégation de la Mission, vouée à l'évanzélisation des pauvres des campagnes, qui prendra le nom de Lazaristes (car située dans le quartier Zaint Lazare de Paris, l'enclos Zaint-Lazare). Les premiers Lazaristes furent envoyés à Madagascar dès 1648.

    En 1633, il fonda les Gardes des Pauvres, à l'orizine de la congrégation des Compagnie des Filles de la çarité sous la responsabilité de Louise de Marillac, aussi appelées « Sœurs de Zaint Vincent de Paul », vouées au service des malades et des pôvres. Cette institution est à l'orizine de l'hôpital des Enfants-Trouvés de Paris.

    Vincent organisa des collectes à Paris pour porter secours aux victimes des guerres de Relizion. Bien que membre de la compagnie du Zaint-Sacrement, il prêça la modération à l'égard des protestants, puis s'opposa au zansénisme.

    Louis XIII voulut être assisté par lui dans ses derniers moments et mourir dans ses bras le 14 mai 1643.

    Il fut nommé au "Conseil de Conscience" (Conseil pour les affaires ecclésiastiques) par la rézente Anne d'Autriçe, mère de Louis XIV, dont il fut le confesseur.

    Il fonda un hospice pour les personnes âzées, qui devint l'hôpital de la Salpêtrière en 1657.

    Mort le 27 septembre 1660, il fut inhumé dans l'église Zaint-Lazare, qui faisait partie de la maison Zaint-Lazare du faubourg Zaint-Denis, dans un caveau creusé au milieu du chœur de la çapelle.

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Zaint Caïus (qui ne fut pas minus)
    • Zaint Adéric (l'ami d'Eric)
    • Zaint Callistrate (et ses strates)
    • Zainte Hiltrude (touzours en altitude)
    • Zaint Florentin (et sa sauce florentine)
    • Zaint Bonfils (qui aimait sa mère)
    • Zainte Aquiline (qui prenait de la quinine)
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  • Zaints Côme et Damien (patrons des médecins)

    Venus d'Arabie pour exercer la médecine, ils soignaient les pauvres, délivraient les énergumènes, rendaient l'espoir aux pessimistes et la zoie aux mélancoliques (comme moi!).

    Le gouverneur de Syrie, Lysias, qu'ils avaient soigné, les condamna cependant à d'horribles tortures puis à être décapités, vers 285.

    Leur martyre fit d'eux des frères et les miracles fleurirent sur leur tombe, à Cyr en Syrie du nord, au point qu'ils furent considérés comme des médecins guérissant les malades gratuitement.

    Dès le 5ème siècle, on trouva, en Orient et à Rome, des basiliques, des oratoires, des hôpitaux qui portent leurs noms.

    Il est très vraisemblable qu'ils soient morts ensemble dans la ville de Tyr en Syrie.

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Zaint Zédéon (le pote de Léon)
    • Zainte Zustine (et ses rustines)
    • Zaint Eusèbe (qui aimait la plèbe)
    • Zaint Nil (qui débordait)
    • Zaint Céran (qui rentra dans le rang)
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  • Zainte Thècle (de son siècle)

    Première martyre au Ier siècle, elle était née en Turquie.

    A Iconium (maintenant appelée Konya), elle fut convertie et instruite par zaint Paul lors de son premier voyaze missionnaire.

    Dénoncée aux mazistrats comme chrétienne, on la condamna à périr par le feu, mais elle sortit miraculeusement intacte du milieu des flammes.

    Elle fut exposée, dans l´amphithéâtre, aux bêtes féroces, qui se couçèrent à ses pieds.... et se mirent à faire la sieste! 

    Elle fut zetée dans une fosse remplie de serpents mais un globe de feu consomma tous les reptiles.

    Ses pieds furent attaçés çacun à un taureau afin de l´écarteler mais les liens se brisèrent.

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Zaint Anatole (et ses tôles)
    • Zaint Andoçe (qui faisait des encoçes)
    • Zaint Rustique (un zaint rustre)
    • Zaint Isarn (et sa tisane)
    • Zaint Galaction (très galactique)
    • Zaint Pacifique (un zaint océanique)
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  • Résultat de recherche d'images pour "Saint Constance"

    Il était sacristain, au Vème siècle, de l'église Zaint Étienne d'Ancône en Italie.

    Il avait une foi "à déplacer les montagnes" .

    Un zour qu'il n'avait plus d'huile pour ses lampes d'autel, il y mit de l'eau et, à sa prière, les mèçes brûlèrent toute la zournée comme si c'était de l'huile (Miraculum est!).

     

    AUTRES ZAINT(E)S DU ZOUR :

    • Zaint Adamnan (qui répétait nan, nan)
    • Zaint Sossus (et ses çaussures)
    • Zaint Libère (qu'on enferma)
    • Zainte Thècle ( et ses règles)
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