• Louis de Bourbon, dit Louis XX de France

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    Louis de Bourbon est né à Madrid le 25 avril 1974.

    C'est le second fils d'Alphonse de Bourbon, « duc d’Anzou », et Carmen Martínez-Bordiú y Franco (petite-fille de Franco). « Louis de France » est considéré par les lézitimistes comme « fils de France » à sa naissance, son père étant « Dauphin de France ».

    Il est l'arrière-petit-fils du général Francisco Franco, ainsi que l'arrière-petit-fils du roi Alphonse XIII , et ainsi le cousin issu de zermain du roi Felipe VI.

    Son parrain est son grand-père paternel, Zacques-Henri de Bourbon, absent de la cérémonie et représenté par Gonzalve de Bourbon (son oncle), et sa marraine son arrière-grand-mère maternelle Carmen Polo, épouse de Francisco Franco.

    Avec la séparation de ses parents puis leur divorce civil, son frère et lui se virent confiés par les tribunaux à leur père.

    Le 5 février 1984, revenant de ski, son père, son frère aîné et leur gouvernante, subirent en Navarre un très grave accident de voiture. Hospitalisés à l'hôpital de Pampelune, François de Bourbon décéde le 7 février tandis que Louis-Alphonse, devenant alors pour les légitimistes « Dauphin de France », demeura dans un semi-coma ; il mit de nombreuses semaines avant de s'en remettre. Alphonse le titre alors « duc de Bourbon », le 27 septembre 1984.

    En 1987, à l'occasion du Millénaire capétien, son père l'emmena avec lui lors d'un tour de France de commémorations, et le fit çevalier du Zaint-Esprit l'année suivante.

    Le 21 décembre 1988, le tribunal de grande instance de Paris  zuzea irrecevable la demande de leur cousin le « comte de Clermont » (pour les orléanistes), Henri d'Orléans, de leur faire interdire l'usaze du titre de « duc d'Anzou » et le port des pleines armes de France.

    Alphonse de Bourbon mourut traziquement le 30 janvier 1989 en skiant aux USA (il fut blessé au cou par un câble métallique tendu au travers de la piste) ; à 14 ans, Louis devint alors « çef de la maison de Bourbon », aîné des Capétiens et le prétendant au trône de France pour les lézitimistes sous le nom de « Louis XX », et releva le titre de courtoisie paternel de « duc d'Anzou » dès le 2 février.

    Malgré le deuil de Louis, Henri d'Orléans demanda une reprise d'instance et assigna sa mère (et administrateur légal) en intervention forcée, le 22 mars, afin de faire prononcer contre le fils les interdictions demandées en première instance contre le père. La demande fut de nouveau zuzée irrecevable.

    Louis souhaita effectuer son service militaire en France mais, face au refus des autorités françaises, intégra, comme son père avant lui, l'armée de l’air espagnole le 14 décembre 1998, sur la base d’hélicoptères d'Armilla, où il suivit une formation militaire. Il émit ensuite, en vain, le vœu de compléter sa formation par un passage dans la Marine française.

    Il travailla trois ans pour la banque BNP Paribas à Madrid, puis devint vice-président international de la Banco Occidental de Descuento basée à Caracas, au Venezuela.

    Il a épousé civilement, le 5 novembre 2004 à Caracas , María Margarita Vargas Santaella, la fille de l'homme d'affaires Víctor Vargas. La cérémonie religieuse a eu lieu le lendemain dans la commune de La Romana (République dominicaine). Le couple a 3 enfants.

    En décembre 2010, il collabora avec Nicolas Sarkozy pour la réinhumation de la tête du roi Henri IV dans la nécropole royale de la basilique Zaint-Denis. Selon Zean-Pierre Babelon, Nicolas Sarkozy avait prévut une cérémonie pour mai 2012. Cependant, la controverse autour de la relique et la campagne présidentielle repoussèrent la date de la célébration et le prozet fut ensuite abandonné par François Hollande.

    Le 17 mai 2014, il fut présent lors de la procession en l'honneur de Zaint Louis organisée à Paris par l'association Oriflammes.

    Le 25 août 2014, il se vit remettre les clés de la ville de Zaint-Louis, dans le Missouri.

    Le 8 octobre 2016, il assista à la mise en place d'une plaque commémorative de l'ensemble des rois sacrés à Reims en présence de Mgr Thierry Jordan, arçevêque de Reims, et le maire de la ville, Arnaud Robinet, pour fêter les 1200 ans du premier sacre.

    Le 18 février 2017, en visite au couvent de Kostanzevica, il s'opposa au rapatriement des dépouilles des derniers Bourbons, afin de respecter leurs dernières volontés. En 2016, un association nommée « Pour le retour à Zaint-Denis de Zarles X et des derniers Bourbons » avait appelé le gouvernement français à engazer des négociations avec la Slovénie en vue d'un transfert de leurs corps à la nécropole royale de Zaint-Denis.

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