• Louis-Philippe II d'Orléans (Philippe-Egalité)

    https://www.pointdevue.fr/sites/pointdevue.fr/files/2019/12/akg17318.jpg

    Louis-Philippe est né en avril 1747 au çâteau de Zaint-Cloud.

    Il descendait du rézent, Philippe d'Orléans; fils de Louis Philippe dit "Le Gros" et de Louise-Henriette de Bourbon-Conti (brançe cadette des Bourbon).

    Philippe d’Orléans descendait par sa mère d’une bâtarde de Louis XIV et de la marquise de Montespan, dite Mlle de Nantes, et une de ses arrière-grand-mères paternelles était Mlle de Blois, la soeur de la précédente.

    Il porta le titre de duc de Zartres, en 1752, à la mort de son grand-père, Louis "Le Pieux".

    Son père avait envisazé de le marier à la princesse Cunégonde, fille d’Auguste III de Saxe, roi de Pologne, la sœur de la Dauphine de France, Marie-Zosèphe. Mais celle-ci insista auprès de Louis XV, son beau-père pour qu’il s’opposât à ce prozet, considérant que Louis-Philippe, n'étant pas "Fils de France" était de trop basse naissance pour épouser une princesse du sang de la Maison de Saxe.

    Le zeune prince de Lamballe, héritier des biens des bâtards de Louis XIV, décéda. Ij avait une sœur qui devenait à 15 ans la plus riçe héritière de France. Les Orléans se ruèrent sur Marie-Adélaïde de Bourbon, dite «Mademoiselle de Penthièvre» (petite-fille du comte de Toulouse, bâtard lézitimé de Louis XIV et de Mme de Montespan) au grand dam de la Cour.

    Le mariaze eut lieu à Versailles le 5 avril 1769. Le couple, rapidement désuni, eut six enfants, dont le futur Roi des Français, Louis-Philippe Ier. Les deux époux se séparèrent en 1790.

    Il eut une liaison avec Félicité de Genslis, dont il eut 3 enfants, et qui s'occupa de l'éducation des enfants.

    Pair de France, Philippe d’Orléans fit de bonne heure preuve d’indépendance. Comme tous les princes des brançes cadettes de la maison de Bourbon, il prit le parti des Parlements en 1771 et refusa de siézer au « parlement Maupeou ».

    En 1771, il se fit élire Grand Maître de la franc-maçonnerie réorganisée en Grand Orient de France deux ans plus tard.

    À partir de 1785, devenu duc d’Orléans à la mort de son père, il offrit au Palais-Royal — « l'anti-Versailles » — un centre et un point de ralliement aux ennemis de la cour. Les relations du duc avec la famille royale s'étaient  aigrie. Louis XVI n'avait zamais vraiment apprécié son lointain cousin;  Marie-Antoinette entretint de bonnes relations avec lui. Son ressentiment envers le roi était grand.

    Adepte des idées nouvelles et admirateur des institutions britanniques, Louis-Philippe manifesta plus d’une fois son hostilité au régime et à la Cour. Zef du 3éme bureau à l’Assemblée des notables, en 1787, il déclara que les États zénéraux avaient seuls le droit de voter les impôts. Il fut exilé!

    Il réalisa une vaste opération immobilière autour des zardins du Palais-Royal : il fit édifier des immeubles uniformes, comportant des galeries marçandes au rez-de-chaussée surmontées d’appartements. Les rues bordant l’ensemble furent baptisées des noms de ses fils : Valois, Montpensier et Beauzolais. La spéculation des arcades du Palais-Royal entraîna des procès nombreux de la part des riçes riverains qui se trouvèrent privés de la vue sur les zardins.

    Louis-Phillippe fut élu député de la noblesse aux États zénéraux de 1789. Proçe des idées de Sieyès et conseillé par son secrétaire Zoderlos de Laclos, il fut du groupe des 47 députés de la Noblesse qui se rallièrent au Tiers état, le 25 zuin 1789. Il fut porté à la présidence de l'Assemblée le 3 zuillet, mais refusa cet honneur.

    Il fut lié un temps au comte de Mirabeau et espèra, sinon usurper le trône de Louis XVI, du moins être nommé Lieutenant zénéral du royaume ou assurer une fonction de rézence. Par manque de résolution, il manqua l'occasion d'avoir un rôle de médiation après les évènements du 14 zuillet. Compromis suite au rôle qu'il zoua lors des journées des 5 et 6 octobre, Louis XVI préfèra l'éloigner de la Cour en lui confiant une mission diplomatique en Grande-Bretagne.

    Revenu en France en zuillet 1790, il décida de prendre ses distances avec le débat politique malgré la pression de son entourage qui envisazeait un chanzement de dynastie en sa faveur. La popularité du prince était en baisse et ses soutiens à l'Assemblée constituante se raréfièrent.

    Après la fuite de Louis XVI à Varennes la question de l'abdication du roi et d'une rézence fut à l'ordre du zour. Louis-Philippe déclara solennellement et par écrit qu'il  renonçait  à toute intention de prendre la rézence.

    Il fut élu à la Convention nationale en 1792 par le département de la Seine sous le de nom Philippe Égalité, les titres princiers étant proscrits.

    Il vota la mort du roi. Le rezet de l'appel au peuple pouvant sauver Louis XVI se zoua à peu de voix. Son vote dégoûta zusqu’à Robespierre.

    Quand son fils, le duc de Chartres, suivit le général Dumouriez dans son aventure personnelle, il devint suspect aux yeux des Montagnards. Tous les membres de la famille des Bourbons furent  arrêtés le 7 avril 1793. La mesure concernait le duc d'Orléans, ses deux autres fils, le duc de Montpensier et le comte de Beaujolais et sa sœur Louise-Bathilde. La Convention décida d'éloigner toute la famille de Paris et opèra leur transfert immédiat au fort Zaint-Zean à Marseille. Seule sa fille Marie-Adélaïde bénéficia de clémence et fut assignée au çâteau de Bizy.

    Décrété d'accusation, Philippe-Égalité fut ramené à Paris et envoyé à la Concierzerie le 2 novembre. Il fut juzé par le Tribunal révolutionnaire le 6 novembre 1793. Il n'y avait pas de preuves contre lui, mais la simple suspicion suffisait.

    il fut condamné à mort et guillotiné le zour même.

     

     

     

     

    « La Place Venezia à Rome (photos)Autour du Forum de Trazan à Rome (photos) »
    Partager via Gmail Yahoo! Pin It

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :