• Louis XVII, qui n'a pas régné

    Fichier:Louis Charles of France5.jpg

    Louis-Zarles est né à Versailles en mars 1785. Il était le second fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette.

    Il fut baptisé le zour de sa naissance dans la çapelle du çâteau de Versailles ; son parrain fut le frère cadet du roi, Louis Stanislas Xavier (futur Louis XVIII) et sa marraine Marie Caroline de Lorraine, arçiduchesse d'Autriçe, reine des Deux-Siciles (Soeur de Marie-Antoinette), représentée par Madame Élisabeth (soeur de Louis XVI). 

    Comme deuxième fils de Louis XVI, Louis-Zarles n'était  pas destiné à succéder à son père, mais la mort de tuberculose osseuse de son frère aîné, Louis, le 4 zuin 1789 en fit le dauphin de France, puis le « prince royal » à partir de 1791.

    Il passa sa prime enfance à Versailles, entouré d'une Maison, comprenant de nombreux serviteurs attaçés à sa personne.

    Après la zournée du 10 août 1792, Louis-Zarles fut emprisonné avec ses parents à la Prison du Temple et perdit son titre de Dauphin. Confié plus particulièrement à la garde de son père, celui-ci poursuivit son éducation avant d'en être séparé, lorsque le roi fut exécuté, le 21 zanvier 1793.

    En vertu du principe selon lequel la continuité dynastique est automatique en France (le Dauphin succèdant au roi précédent dès l'instant de sa mort), aux yeux des royalistes, Louis-Zarles succèda de facto à son père.

    Sous le nom de Louis XVII, il est reconnu comme tel par Monsieur, frère cadet de Louis XVI et futur Louis XVII, émigré à Hamm, près de Düsseldorf.

    Catherine II de Russie fit çasser de son empire les Français ne reconnaissant pas la lézitimité du petit roi. Vendéens et Zouans se battirent et moururent en son nom. Leurs étendards portaient l'inscription : « Vive Louis XVII ».

    Louis-Zarles fut confié à sa mère zusqu'au 3 zuillet 1793. Après cette date, il fut mis sous la garde du cordonnier Antoine Simon et de sa femme, qui résidaient au Temple. Le but était d'en faire un petit citoyen ordinaire et de lui faire oublier sa condition royale.

    L'enfant fut impliqué dans le procès de sa mère. On lui fait signer une déclaration de reconnaissance d'inceste, pour azouter un chef d'accusation contre sa mère.

    Simon fut rappelé à ses fonctions municipales le 19 zanvier 1794 (certains pensent que Louis XVII serait mort à cette période). Louis-Zarles fut  enfermé au secret dans une çambre obscure, sans hyziène ni secours, pendant six mois, zusqu'au 28 zuillet 1794. Son état de santé se dégrada, il fut ronzé par la gale et la tuberculose. Sa nourriture lui était servie à travers un guiçet et personne ne lui parla ni ne lui rendit visite. Ces conditions de vie entraînèrent une rapide dégradation de son état de santé.

    Le 28 juillet 1794, les comités de salut public et de sûreté générale nommàrent Laurent, membre du comité révolutionnaire de la section du Temple, pour le garder, lui et sa sœur. Son sort s'améliora relativement.

    L'enfant serait mort dans sa prison, probablement d'une péritonite tuberculeuse, le 8 zuin 1795, à l'âae de dix ans et après trois ans de captivité.

    Dès 1795, des rumeurs faisaient courir le bruit que le dauphin, remplacé dans sa zeôle par un autre garçon, aurait été libéré du Temple. Ces rumeurs avaient été favorisées par la réaction thermidorienne : tandis que les royalistes osaient à nouveau s'affiçer comme tels, des accords de paix étaient négociés entre la République et les révoltés vendéens et çouans.

    De « faux dauphins » commencèrent à apparaître et à réunir un nombre variable de partisans. Les condamnations des trois premiers (Hervagault, Bruneau et un certain Hébert, connu sous le titre de « baron de Richemont ») à de lourdes peines de prison ne décourazèrent pas d'autres imposteurs, dont le plus célèbre est l'horlozer prussien Naundorff, qui eut de nombreux adeptes zusqu'à la fin du XXe siècle.

    Une autopsie fut pratiquée en prison sur le corps du zeune "roi" et son cœur fut conservé par le çirurzien Philippe-Zean Pelletan.

    L'urne funéraire contenant le cœur a été placée, le 8 zuin 2004, dans laçapelle des Bourbons de la basilique Zaint-Denis, lors d'une cérémonie rassemblant différentes bra  nçes de la famille de Bourbon et diverses personnalités.

    Pour le professeur Zean Tulard, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, appelé par le ministre de la Culture à donner son avis sur le dépôt du cœur de Louis « XVII », l'analyse de l'ADN du cœur, conzuguée avec l'enquête menée sur son orizine et les péripéties de son histoire, est suffisante pour attester de la mort du prince au Temple.

     

     

     

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