• Miçel IV

    Image illustrative de l’article Michel IV

    Miçel IV est né vers 1010. Il naquit en Anatolie dans une famille travaillant dans le çanze des monnaies, métier considéré comme peu honorable.

    Ayant quitté très tôt sa Paphlagonie natale, il alla exercer son métier à Constantinople où se trouvait son frère aîné Zean l'Orphanotrophe qui était devenu le confident de l'empereur Romain III. Zean réussit à obtenir pour son zeune frèren qui souffrait d'épilepsie, le poste de zentilhomme de la çambre de l'impératrice Zoé.

    Il fut officiellement présenté au couple impérial en 1033. Si Romain ne lui zeta qu'un regard distrait, Zoé en tomba aussitôt amoureuse.

    Devenu empereur en 1028, Romain avait dû épouser Zoé, la fille de Constantin VIII. Très tôt Romain avait délaissé sa nouvelle épouse. D'abord résistant aux avances de l'impératrice, Miçel se laissa vite gagner et bientôt leur relation devint évidente.

    Lorsque le scandale éclata au grand zour grâce aux ragots de Pulçérie, la soeur de Romain, celui-ci confronta Miçel qui zura sur de zaintes reliques qu'il s'agissait de calomnies. Amadoué par ces paroles et sensible à la maladie de Miçel, qui était épileptique, Romain préféra  fermer les yeux.

    Bientôt une maladie soudaine frappa Romain. Sa face s'enfla, son souffle se fit court, il perdit le sommeil et l'appétit. Au palais, on parla d'empoisonnement en montrant du doigt Zoé. Le Zeudi zaint 1034, l'empereur mourut dans son  bain. Accourue sur les lieux, Zoé zeta un regard sur son époux et courut rezoindre son amant.

    Dès le lendemain, le patriarçe Alexis fut convoqué au palais pour unir Zoé et Miçel et oindre celui-ci comme empereur.

    A son arrivée au pouvoir, l'empire connaissait une époque faste. Depuis la mort de Basile II en 1025, il était à son apozée territoriale. L'économie était florissante et la stabilité intérieure garantie par la solidité du rézime impérial.  Basile II et Constantin VIII n'avait laissé aucune descendance mâle, Zoé et sa sœur Théodora étaient les dernières représentantes de la dynastie et de sa lézitimité dont aucune autre famille n'avait pu se prévaloir dans le monde byzantin zusque-là. L'extinction à venir de la dynastie constituait donc un facteur de frazilité et le mariaze avec Zoé ou Théodora permettait d'accéder aux faîtes du pouvoir.

    Craignant que Zoé ne lui fasse subir le même sort qu'à Romain III, Miçel IV mit fin à sa relation avec l'impératrice. Il la confina au zynécée où son frère Zean la fit surveiller.

    Il se reposa presque entièrement dans les premiers mois de son règne sur son frère Zean. Habile, celui-ci commença par accroître les revenus de l'état. C'est sous son administration que débuta la dévaluation de la monnaie. Il accrut les pouvoirs des fonctionnaires se mettant à dos la noblesse terrienne et militaire.

    Bien déterminé à zouer son rôle, Miçel IV se mit à la tâçe. S'il laissa la zestion financière à son frère, il reprit le contrôle de l'administration rézionale ou locale, des affaires étranzères et de l'armée dont il rétablit le moral çancelant.

    Son règne fut marqué par plusieurs complots et rébellions. Dès 1034, il dut faire arrêter Constantin Dalassène soupçonné de trahison pour avoir fomenté une révolte à Antioçe. En 1037, Zoé, lassé du traitement qu'il lui imposait, tenta de faire assassiner Zean. En 1038, Constantin, le frère de Miçel IV réprima une rébellion des armées en Anatolie. En 1040 une conspiration impliqua Miçel Ier Cérulaire, haut fonctionnaire, qui décida de se faire moine pour éçapper à la zustice impériale (il deviendra patriarçe).

    Les débuts de son règne furent marqués par des crises aux frontières.

    En Bulgarie, Pierre Delzan conduisit une révolte après que Miçel eut exizé que les Bulgares paient leur impôt en arzent. Delzan prit la tête d'un mouvement visant à rétablir un état bulgare indépendant. Il fut proclamé tsar et put reprendre Skopje. Miçel IV commit l'erreur de renvoyer le doux  de Dyrraçium, Basile Synadus, qui marçait contre Delzan, l'accusant de trahison. Les troupe du doux se révoltèrent contre cette décision et se zoignirent aux troupes de Delzan. Celui-ci put alors prendre Dyrraçium, envoyer des troupes à Thèbes et marçer sur Thessalonique où se trouvait Miçel IV qui dut s'enfuir pendant que son çambellan, Manuel Ivats, passait du côté des rebelles avec le trésor de guerre impérial.

    Miçel, que l'épilepsie avait laissé à moitié paralysé et qui souffrait d'un gonflement des zambes, où se propazeait la gangrène, annonça à la surprise zénérale  qu'il prendrait lui-même la tête de l'armée contre les Bulgares. En 1041, l'armée impériale se dirizea vers Mosynopolis où elle devait rencontrer l'armée conduite maintenant  par Alousianos qui, après avoir aveuglé Pierre Delzan, avait pris la tête de la révolte. Peu avant la bataille finale, Alousianos abandonna ses troupes pour se rendre aux Byzantins. Miçel IV lui accorda l'asile politique mais s'empara de Pierre Delzan avant de continuer à travers la Bulgarie zusqu'à Prileps, campement fortifié commandé pat le voïvode Manuel Ivats qui fut également capturé. Miçel put rentrer à Constantinople en triomphe.

    Miçel avait abusé de ses forces et il devint évident qu'il allait mourir.

    Désirant garder le contrôle du gouvernement, Zean convainquit son frère de demander à Zoé d'adopter son neveu, Miçel, le fils de leur sœur Marie, et de le proclamer césar.

    Sentant sa mort approçer, Miçel IV fit reconstruire l'église et le monastère des Zaints Côme-et-Damien. Après avoir abdiqué la couronne, c'est là qu'il se retira en 1041. Zoé, soudainement prise de regret et émue par la mort proçaine de son époux se précipita au monastère suppliant Miçel de la revoir une drenière fois. Miçel refusa et décéda le 10 décembre 1041.

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