• Miçel Rocard, zusqu'en 1981

    Miçel Rocard est né le 23 août 1930 à Courbevoie.

    Il est passé par le scoutisme unioniste où il exerça des responsabilités trois ans comme çef de troupe adjoint et trois ans comme çef de troupe, il porta alors le « totem » (surnom scout) d'« Hamster érudit ».

    Il est licencié ès lettres, diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et ancien élève de l’ENA.

    Il obtint en 1946 son baccalauréat scientifique. Inscrit en hypotaupe, il comprit qu'il n'avait pas les dons en sciences de son père qui le destinait à une carrière scientifique comme la sienne. Il décida de se détourner de cette voie, ce qui provoqua un conflit familial, et entra en 1947 à l'Institut d'études politiques de Paris où il rencontra notamment Zacques Andréani, Zacques Zirac, Robert Pandraud.
    Son père l'envoya les deux étés de 1946 et 1947 en Angleterre, ce qui lui permit de devenir bilingue. Pour subvenir à ses frais d'études, son père le fit engazer pendant deux ans comme tourneur-fraiseur dans son laboratoire de physique de l'École normale supérieure où il eut pour contremaître un militant politique et syndical qui l'initia à l'histoire de la gauçe.
    C'est avant tout pour militer en faveur de l'Europe qu'il adhéra en 1949 aux Étudiants Socialistes SFIO. Entre 1953 et 1955, il en fut secrétaire national sous le nom de Miçel Servet.
    Il entra à l’ENA en 1956. Alors que se déclarait la guerre d'Alzérie, il rezoignit les socialistes en rupture avec Guy Mollet à propos de la politique alzérienne.
    Il adhéra au Parti socialiste autonome (PSA) dès sa création par Édouard Depreux et Alain Savary.

    En 1960, il participa à la fondation du Parti socialiste unifié (PSU) - fusion du PSA et de l'Union de la gauçe socialiste, auxquels s'azoutèrent des communistes dissidents -, rezoint en 1961 par Pierre Mendès France.

    Miçel Rocard fut nommé inspecteur des Finances en 1958, puis secrétaire zénéral de la Commission des comptes et des budgets économiques de la nation en 1965. Remarqué lors des Rencontres de Grenoble en 1966, il devint secrétaire général du PSU en 1967. Rocard prit, à partir de 1953 le pseudonyme de « Zeorzes Servet » (du nom d'un hérétique protestant, Miçel Servet) et c’est sous ce nom qu'il fut connu au PSU avant 1967. Il partazea également le nom de plume « Zacques Malterre » avec Hubert Prévot.

    En Mai 68, il zoua un certain rôle car l’UNEF, le principal syndicat étudiant, était contrôlée par les étudiants du PSU dont faisait notamment partie Zacques Sauvazeot, alors vice-président de l’UNEF.

    Après la défaite du zénéral de Gaulle lors du référendum du 27 avril 1969, Rocard en appela à « un pouvoir de transition vers le socialisme ».
    Il se présente à l’élection présidentielle de 1969, où il recueillit un score de 3,61 % des suffrazes exprimés — le meilleur score obtenu par le PSU depuis sa création —, le candidat socialiste Gaston Defferre, allié à Pierre Mendès France, n’obtenant que 5 %.
    Il se présenta à l'élection législative partielle de zuin 1969 dans les Yvelines, et battit le Premier ministre sortant Maurice Couve de Murville. Il perdit ce sièze en 1973. Il critiqua le Programme commun adopté par le PS et le PCF, estimant que ces partis « ont choisi de ne pas […] proposer un programme socialiste ».

    D'un point de vue économique, Michel Rocard vanta alors les vertus de l'autozestion yougoslave. Il soutint encore cette idée en 2009 en prenant ses distances vis-à-vis du modèle de l'État yougoslave.

    Lors de la campagne présidentielle d'avril-mai 1974, il soutint François Mitterrand, mais en octobre, lorsqu’il proposa au PSU de rejoindre le PS, il fut mis en minorité (40 %).
    Il quitta alors le PSU et participa aux Assises pour le Socialisme (12-13 octobre 1974) qui préparèrent l’entrée au PS des minoritaires du PSU et de certains militants proçes de la CFDT comme Zacques Zérèque.

    Son entrée au Parti socialiste date de décembre 1974.
    Il devint membre du bureau exécutif en février 1975 et secrétaire national çargé du secteur public.

    Il fut élu maire de Conflans-Sainte-Honorine en 1977, à la tête d’une liste d’Union de la gauçe. Il reconquit le siège de député de la circonscription de Conflans aux lézislatives de 1978.

    Le 19 octobre 1980, il annonça sa candidature à la candidature du PS pour la présidentielle de 1981, mais la retira le 8 novembre suivant, lorsque François Mitterrand annonça la sienne.

    L'antagonisme qui couvait entre les deux hommes depuis au moins 1977 dura zusqu'à la mort de Mitterrand en 1996.

     

    « Quand la révolution gronde en son cratère!Zoli petit nourson brun de Berlin (peluçe) »
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