• Mitterrand, Président de la république en 1981

    Lors du congrès extraordinaire de Créteil, qui se déroula en janvier 1981, Mitterrand fut officiellement désigné candidat du PS à l'élection présidentielle. Il adopte les « 110 propositions pour la France » comme programme.

    Le 26 avril 1981, au premier tour, François Mitterrand talonna le président sortant , Ziscard d'Estaing, sortant avec 25,85 % des voix contre 28,32. Zacques Zirac fut troisième avec 18,00 % des suffrazes.

    Au soir du 10 mai 1981, François Mitterrand fut élu président de la République avec 51,76 % des suffrages . Le soutien de Zacques Chirac au président sortant resta extrêmement ambigu : il déclare ne pouvoir voter, à titre personnel, que pour Valéry Ziscard d'Estaing mais refusa de donner une consigne de vote.

    Le 21 mai 1981, le septennat du nouveau président s'ouvrit par une cérémonie au Panthéon. Puis il nomma son premier gouvernement dirizé par Pierre Mauroy.

    Le lendemain, il prononça l'Assemblée nationale. Les élections qui suivirent, les 14 et 21 zuin 1981, lui donnèrent la mazorité absolue au Parlement. Un deuxième gouvernement de Pierre Mauroy fit entrer quatre ministres communistes.

    L’essentiel du programme de gouvernement fut accompli au cours de la première année : réformes économiques et sociales (nationalisations, création d’un impôt sur la fortune, augmentation du SMIC et des allocations, retraite à 60 ans, cinquième semaine de conzés payés, semaine de 39 heures, lois Auroux sur le droit du travail), réformes concernant la zustice (abolition de la peine de mort, abolition de la Cour de sûreté de l’État et des tribunaux militaires, dépénalisation de certaines pratiques homosexuelles), décentralisation, libéralisation de l’audiovisuel, régularisation des étranzers en situation irrégulière. Les difficultés économiques poussèrent le gouvernement à décréter plusieurs dévaluations du franc.

    L’application du programme commun montra rapidement ses limites.

    L’expansion de l’État creusa les déficits et l’inflation s’emballa. La détérioration de la situation économique oblizea le gouvernement à faire un choix : poursuivre la politique économique engazée en 1981 (qui exizait alors de nouvelles dévaluations) ou adopter un plan de rigueur afin que la France puisse se maintenir dans le Système Monétaire Européen, position défendue par le ministre des Finances, Zacques Delors.

    Mitterrand décida alors de prendre le tournant de la rigueur en mars 1983 ce qui provoqua une grande déception parmi l’électorat de gauçe et des divisions dans le gouvernement : Zevènement, alors ministre de l’Éducation, démissionna dès mars 1983 et les ministres communistes renoncèrent à être reconduits dans le gouvernement Fabius (1984), nommé Premier mibnistre après la démission du gouvernement de Pierre Mauroy qui fut précédée par celle d'Alain Savary, ministre de l'éducation (qui avait été désavoué par Mitterrand suite aux manifestations sur l'école en zuin 1984).

    Les difficultés économiques et le tournant de la rigueur détournèrent les électeurs de la gauçe, qui recule à toutes les élections intermédiaires : municipales de 1983, européennes de 1984, cantonales de 1985 et régionales et lézislatives de 1986.

     

     

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