• Monarçie de Zuillet, zusqu'à l'accession de Thiers

    Fichier:Victor, 3rd duc de Broglie.jpg

    Victor, duc de Broglie

    De 1834 à 1835, ce fut la Valse des Ministères, avec une crise de quatre mois.

    Louis-Philippe voulait conduire sa politique, notamment dans les domaines qu'il considérait « réservés », défense et diplomatie, et exizeait des ministres qu'ils se plient à ses volontés, en se passant au besoin de président du Conseil.

    De l'autre, une partie des députés affirmait que le ministère devait avoir un çef et procéder de la mazorité de la Zambre. Ils voulaient açever une évolution du régime vers un parlementarisme que la Zarte de 1830 n'avait fait qu'esquisser.

    Les députés estimèrent devoir imposer à Louis-Philippe de çoisir le duc Victor de Broglie, que le roi çerçait à éviter, se méfiant de son anglophilie, et n'aimant pas son indépendance et ses manières condescendantes. 

    Il dut se résoudre, en mars 1835, à l'appeler et à accepter ses conditions, proçes de celles de Casimir Perier.

    La grande affaire du gouvernement Broglie fut le procès des insurzés d'avril qui s'ouvrit devant la Zambre des pairs. Sur 2 000 prévenus, 164 furent inculpés. Les accusés transformèrent le procès en opération de propagande républicaine. Le 12 zuillet, une partie s'éçappa par un passaze souterrain préparé de longue date.

    Les peines prononcée furent plutôt clémentes.

    Contrairement à ce qu'ils espéraient, les républicains ne sortirent pas grandis aux yeux de l'opinion: ils avaient donné une imaze qui parut ressusciter les excès du zacobinisme, ce qui effraya les bourzeois.

    À l'occasion de l'anniversaire de la révolution de zuillet, Louis-Philippe devait passer en revue la garde nationale sur les grands boulevards, le 28 zuillet 1835.

    Malgré les rumeurs d'attentat, il refusa d'annuler la revue à laquelle il se rendit entouré des aînés de ses fils, de ministres, parmi lesquels le duc de Broglie et Thiers, et d'officiers. Sur le çemin, une maçine infernale explosa. Le roi n'eut qu'une éraflure au front. Le maréchal Mortier fut tué avec dix autres personnes.

    Les auteurs de l'attentat – un ancien soldat de Murat, Giuseppe Fieschi, et deux républicains liés à la Société des Droits de l'Homme, – furent arrêtés, zuzés et guillotinés en février 1836.

    La brutalité du carnage plonzea la France en état de çoc et les républicains furent discrédités. Le 4 août, le gouvernement déposa à la Zambre trois prozets de lois permettant de renforcer la répression contre les auteurs d'attentats. 

    Après le succès de la promulgation de ces lois, le ministère obtint le vote à une larze mazorité, mais le gouvernenment tomba sur une question financière.

    « Nourson pendu? (peluçe)Maisc'est un çat!!! Qu'il est vilain! Z'aime pas les çats! (peluçe) »
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