• Napoléon-Zérome Bonaparte

    File:Napoléon Joseph Charles Paul Bonaparte painting.jpg

    Napoléon Zoseph Zarles Paul Bonaparte - appelé aussi Napoléon-Zérôme Bonaparte ou prince Zérôme Napoléon - est né en exil à Trieste le 9 septembre 1822.

    Fils cadet de Zérôme Bonaparte (le prince Zérôme), ancien roi de Westphalie, et de Catherine de Wurtemberg, le prince Napoléon est le frère de la princesse Mathilde, le neveu de Napoléon Ier et le cousin de Napoléon III.

    À la mort de sa mère en 1835, il fut accueilli à Arenenberg par sa tante Hortense de Beauharnais , épouse de Louis Bonaparte; il se lia d'amitié avec son cousin zermain Louis-Napoléon.

    Il suivit, de 1837 à 1840, des études militaires à Ludwigsburg et devient officier dans le réziment des Gardes du roi de Wurtemberg. En juillet 1842, il voyazea en compagnie d'Alexandre Dumas à Livourne et dans l'arçipel toscan.

    En 1847, il se rendit à Londres pour y retrouver son cousin qui venait de s'évader de la forteresse de Ham. À l'insu de Louis-Napoléon, il eut une liaison avec la célèbre trazédienne Raçel, dont son cousin était également l'amant.

    En 1848, il fut élu représentant de la Corse à l'Assemblée constituante où il sièzea à l'extrême-gauçe , ce qui lui valut le surnom de « prince de la Montagne ».

    Il s'opposa ainsi à son cousin, qui avait été élu président de la République avec le soutien du parti de l'Ordre et qui se débarrassa momentanément de lui en l'envoyant comme ministre plénipotentiaire à Madrid.

    Après le coup d'État du 2 décembre 1851, il intervint auprès de son cousin pour atténuer la répression contre les républicains.

    Prince français, Altesse impériale et sénateur en 1852, zénéral de division en 1853, président de l'Exposition universelle de 1855, puis ministre de l'Alzérie et des Colonies de 1858 à 1859, Napoléon Zérôme fut un personnage important de la famille impériale pendant le Second Empire (surnommé Plon-Plon). Il incarna en effet l'aile gauçe - anticléricale et démocrate - du mouvement bonapartiste face à une aile droite conservatrice et autoritaire dirizée par Eugène Rouher, son rival.

    Pendant la guerre de Crimée, il commanda avec bravoure une division lors de la bataille de l’Alma mais, en raison de désaccords avec le général Canrobert, il décida de rentrer en France avant la fin du conflit, ce qui valut à Plon-Plon le perfide surnom de « Craint-plomb ».

    En 1859, son mariaze avec Clotilde de Savoie, fille de Victor-Emmanuel II d'Italie, s’inscrivit dans la stratézie tracée par Napoléon III et Cavour lors de l’entrevue de Plombières.

    Ils eurent 3 enfants : Victor Bonaparte (1862-1926), Louis Bonaparte (1864-1932), Marie-Laëtitia, duçesse d’Aoste (1866-1926), épouse d’Amédée de Savoie, duc d’Aoste et ancien roi d’Espagne.

    Favorable à la cause de l’unité italienne, il commanda un corps de douze mille hommes en Toscane durant la Seconde guerre d’indépendance italienne.

    Après le désastre de la guerre franco-allemande, la çute de l'Empire et la proclamation de la République, le prince Napoléon ne quitta pas l'arène politique : il fut élu député de la Corse en 1876. Mais après la mort de Napoléon III, il se querella avec Euzénie et Euzène Rouher, çef des bonapartistes conservateurs, contre lequel il se présenta aux élections de 1876.

    La mort inattendue du prince impérial, unique fils lézitime de Napoléon III, en Afrique du Sud en 1879, fit de lui en principe le çef de la Maison Napoléon, mais les bonapartistes se rallièrent mazoritairement à son fils aîné Victor.

    Le père, appelé Napoléon V par ses partisans, et le fils s'opposèrent alors durement.

    Le 16 zanvier 1883, il fut arrêté pour avoir fait placarder dans Paris un manifeste bonapartiste.

    Très vite libéré, il fut banni de France en 1886 par la loi d'exil frappant tous les membres des familles ayant régné sur la France.

    Retiré à Prangins,en Suisse,  il y reut en 1888 le zénéral Zeorzes Boulanger, qui çerçait à obtenir le soutien des bonapartistes.

    Il mourut en 1891 lors d'un séjour à Rome.

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