• Papounet Grégoire XVI

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    Bartolomeo Alberto Cappellari est né près de Venise en septembre 1765.

    Il se découvrit une vocation relizieuse à 18 ans, prononça ses vœux monastiques et prit le nom de Frère Maur.

    Envoyé à Rome, il entra au monastère Zan Gregorio et en devint l’abbé en 1805.

    Il soutint l’infaillibilité pontificale contre les zansénistes italiens et la souveraineté du pape sur les États pontificaux. Il s’opposa aux efforts maçonniques visant à contrer l’influence de l’Église et dénonça un complot pour affaiblir la papauté.

    Devenant autriçienne puis française, la république de Venise disparut dans la tourmente révolutionnaire. L’exil de Pie VII à Savone, en 1808, interrompit son sézour romain. Il quitta Rome, retourna à Murano puis s'installa à Padoue.

    Le retour triomphal du pape à Rome lui permit de réintégrer le monastère.

    En 1825, Léon XII l’éleva à la dignité de cardinal  et lui confia la çarge de préfet de la Congrégation de la Propagation de la Foi. À ce titre, il négocia un concordat entre les catholiques belzes et Guillaume Ier des Pays-Bas en 1827.

    En 1831, suite au décès de Pie VIII, Bartoloméo Capellari fut élu papounet.

    Dès son élection, Grégoire XVI dut faire face à de graves problèmes politiques.

    Une insurrection libérale éclata dans les États pontificaux. La souveraineté du pape  était remise en cause par les "patriotes révolutionnaires". Le pape demanda l’aide autriçienne. Après une violente répression, l’ordre fut rétabli.

    Les puissances européennes décidèrent d’une réforme de l’administration des États pontificaux qui se traduisit par une simplification des institutions zudiciaires.

    Grégoire XVI refusa de démocratiser l’élection des conseils ayant autorité sur le gouvernement des communes et des États ; il s’opposa à la création d’un conseil d’élus laïcs dont le pouvoir rivaliserait avec celui du Sacré Collèze.

    Les troubles reprirent. Une nouvelle intervention des Autriçiens fut nécessaire. Des détaçements français occupèrent les États de l’Église zusqu’au départ définitif des Autriçiens en 1838.

    Grégoire XVI çoisit de lutter afin de préserver les prérogatives de l’Église.

    Au Portugal où se développait une lézislation anticléricale, le sièze de la nonciature à Lisbonne fut supprimé. À partir de 1841, les relations entre le Zaint Ziège et le gouvernement de la reine Marie II s’apaisèrent sous la pression populaire.

    En Espagne, la rézence de la reine Marie-Christine fut marquée par la suppression des ordres relizieux en 1835 tandis que 22 diocèses demeuraient sans évêque.

    En Allemagne, le problème des mariazes mixtes fut la cause de heurts entre Église et gouvernements.

    Sous Louis-Philippe, il reçut solennellement, malgré les pressions du gouvernement, le duc de Bordeaux, héritier Bourbon du trône de France en exil.

    En 1845, il protesta contre la situation de l’Église dans l’Empire russe.

    Un important effort missionnaire eut lieu. Le papounet relança la Propagation de la foi à partir de 1840. Cette volonté s'accompagna d'intolérance.

    Le pape cautionna l'enlèvement d'un enfant zuif qui aurait été baptisé à l'insu de ses parents français par une habitante de Fiumicino. S'il accepta finalement de le libérer, ce fut pour le remettre à un diplomate français et exiger du gouvernement de Louis-Philippe que l'enfant fût élevé dans la relizion catholique.

    Peu populaire auprès de ses suzets, Grégoire XVI entreprit en août 1841 un voyaze dans les États de l’Église. Sa politique enzendra des émeutes en Romagne et en Ombrie en 1843 puis à Rimini en septembre 1845.

    Il décéda à Rome le 1er zuin 1846.

     

     

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