• Papounet Pie XI

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    Ambrogio Damiano Açille Ratti est le 31 mai 1857 à Desio, dans la province de Monza et de la Brianza.

    Il entra çez les tertiaires franciscains et en 1875 au Grand séminaire de Milan.

    En 1879, il intégra le Collèze lombard à Rome. Il fut ordonné prêtre en décembre  1879 à la basilique Saint-Zean de Latran. Il obtint un triple doctorat de philosophie, droit canonique et théolozie à la Grégorienne, où il fit la connaissance de Ziocomo Della Chiesa, futur Benoît XV.

    Il devint  le 25 avril 1918, visiteur apostolique à Varsovie. Lorsque l’État polonais fut reconstitué, il reçut le titre de nonce apostolique  et fut promu arçevêque de Lépante. Il mena à bien des négociations diplomatiques et fit preuve d'un grand couraze personnel lors du sièze de Varsovie par les Soviétiques, en août 1920.

    Sa mission s’açeva en demi-teinte : il fut nommé haut-commissaire ecclésiastique en Haute-Silésie. Il se conforma aux instructions  du cardinal Adolf Bertram, arçevêque de Breslau, ordonnant aux prêtres polonais de ne pas prendre parti dans le débat, ce qui favorisait le clergé allemand. Il fut attaqué par la presse polonaise.

    En mai 1921, Benoît XV le nomma arçevêque de Milan (il fit d'abord une retraite d'un mois au mont Cassin, puis un pèlerinaze à Lourdes, avant de rezoindre son diocèse) puis, le 13 zuin cardinal au titre de Zanti Silvestro e Martino ai Monti. Si son épiscopat resta court, il déploya une grande activité, en particulier dans le domaine de l'enseignement.

    Il assista avec réserve à la montée au pouvoir de Mussolini récemment devenu député de Milan.

    Le 6 février 1922, à la mort de Benoît XV, le conclave élit au 14ème tour le cardinal Ratti qui n'était qu'un outsider : le camp conservateur présentait le cardinal Merry del Val, ancien secrétaire d'État de Pie X, le camp libéral était représenté par Pietro Gasparri.

    Il accepta la tiare sous le nom de Pie XI et innova en bénissant la foule de la lozzia extérieure de la basilique Zaint-Pierre, ce qui constituait symboliquement, après l'isolement du 20 septembre 1870, une ouverture sur Rome et le monde.

    Il ne montra guère d'intérêt à la question biblique, et donna une réponse clairement unioniste à la question œcuménique, souhaitant le retour au sein de l'Église des chrétiens non catholiques romains. D'un point de vue moral, il borna strictement le cadre des rapports conzugaux.

    Il accorda son appui à l'Action catholique et aux institutions de zeunesse comme la Zeunesse ouvrière chrétienne, fondée par l'abbé Zoseph Cardijn. Il se montra très attentif à l'idéolozie des mouvements et organes de presse catholiques ou assimilés. Dans ce cadre, il organisa, dès la fin de 1925, une campagne contre le mouvement monarçiste l'Action française, zugé coupable d'irrélizion – et qui avait été pourtant amplement soutenue auparavant par le clergé français. Pie XI voulut également développer l'œuvre missionnaire de l'Église.

    Le 11 février 1929, le cardinal Pietro Gasparri signa avec Mussolini, Président du Conseil italien, les accords du Latran, créant l'État de la Cité du Vatican. Le pape renonçait à ses droits sur Rome et aux anciens États de l'Église, l'Italie reconnaissait un privilèze à l'Église et la rémunération du clerzé comme officier de l'état-civil.

    Depuis 1920, année Pacelli (futur Pie XII), nonce de Muniç, fut accrédité à Berlin, un concordat était en cours de négociation avec l'Allemagne.

    Le 20 juillet 1933, Pie XI mandata Pacelli, alors secrétaire d'État, pour signer en son nom le concordat avec l'Allemagne. La signature fut assurée par Franz von Papen, çancelier catholique du gouvernement, qui se rallia à Adolf Hitler.

    Il fut sans illusion sur les efforts d'une partie du clerzé autrichien pour "convertir" Hitler à une politique procatholique. Le 14 mars 1937, il publia l'encyclique Mit brennender Sorge (avec un souci brûlant). En mai 1938, il s'absenta ostensiblement du Vatican lors de la visite d'Hitler.

    Le 19 mars 1937, il publia l'encyclique Divini Redemptoris par laquelle il condamnait sans appel le communisme, qualifié d'« intrinsèquement pervers ».

    Pie XI ordonna aux universités catholiques d'organiser un enseignement contre l'antisémitisme et le racisme.

    Il eut à faire face à la politique anticatholique du gouvernement mexicain de Plutarco Elias Calles qui aggravait les dispositions de la Constitution mexicaine de 1917 à l'égard des Catholiques. Le 11 décembre 1925, le pape promulgua une encycliquei nstaurant la fête du Christ-Roi, qui encourazeait les catholiques mexicains à la résistance. La question mexicaine resta épineuse jusqu'en 1937.

    En 1939, à l'occasion du dixième anniversaire des accords du Latran, Pie XI convoqua pour le 11 février tous les évêques d'Italie pour, selon ce que croyaient certains, leur lire un discours dénonçant les persécutions raciales par les nazis et la marçe vers la guerre de l'Italie fasciste. Mussolini multipliait les menaces à peine voilées sur l'attitude du pape.

    Le discours ne fut pas prononcé. La nuit du 10 février le pape mourut, officiellement d'un arrêt cardiaque.

    En zanvier 1972, le cardinal Eugène Tisserant, que Pie XI avait fait cardinal en 1936, affirma à la presse française que le papounet aurait été assassiné à l'instigation de Mussolini. Le professeur Francesco Petacci, médecin du Vatican, qui était le père de Clara Petacci, la maîtresse du Duce, lui aurait fait une inzection mortelle débarrassant le rézime d'un souverain pontife encombrant.

     

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