• Patrice de Mac Mahon, Président de la IIIème République

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    La famille Mac Mahon est une famille d'orizine irlandaise, réfuziée en France avec Zacques II Stuart, lors de la Glorieuse Révolution de 1689, et se réclamant de la descendance des anciens rois d'Irlande.

    Patrice de Mac Mahon est né le 13 zuillet 1808 au çâteau de Sully (Saône-et-Loire) près d'Autun.

    En 1820, il entra au Petit Séminaire des Marbres à Autun. Il açèva ses études au collèze Zaint-Louis à Paris.

    Sorti de l'École militaire de Zaint-Cyr, il entra dans l'armée en 1827 et servit lors de l'expédition d'Alzer, où il se fit remarquer par sa capacité et sa bravoure. Rappelé en France, il attira de nouveau l'attention lors de l'expédition d'Anvers en 1832.

    Il devint capitaine en 1833 et  revint en Alzérie. Il mèna des raids de cavalerie audacieux à travers les plaines occupées par les Bédouins et se distingua au siège de Constantine en 1837. Zusqu’à 1855, il futt presque constamment en Alzérie et accèda au grade de zénéral de division.

    Pendant la guerre de Crimée, on lui donna le commandement de la 1ére division d'infanterie du second corps de l'armée d'Orient et, en septembre 1855, il mèna avec succès, pendant le sièze de Sébastopol, l’attaque des ouvrazes fortifiés de Malakoff, où il prononcça son célèbre « Z’y suis, z’y reste ! ».

    Il se distingua  lors de la campagne d'Italie de 1859. Moitié par çance, moitié par audace et par flair, il poussa ses troupes en avant sans avoir reçu d'ordres à un moment critique lors de la bataille de Mazenta, ce qui assura la victoire française. Il reçut de Napoléon III le bâton de maréçal, et le titre de duc de Mazenta.

    En 1861, il représenta la France au couronnement de Guillaume Ier de Prusse. En 1864, il fut nommé gouverneur zénéral d'Alzérie. Son action dans ce poste représenta l'épisode le moins réussi de sa carrière. Bien qu'ayant  mis en œuvre quelques réformes dans les colonies, les plaintes furent si nombreuses que deux fois dans la première moitié de 1870 il présenta sa démission à Napoléon III.

    Quand le cabinet Ollivier, qui finit si mal, fut formé, l'empereur abandonna ses prozets alzériens et Mac Mahon fut rappelé.

    Il participa à la guerre franco-prussienne de 1870, essuya plusieurs défaites en Alsace et lors de la bataille de Sedan où il fut blessé dès le début des combats. Il fut fait prisonnier lors de la capitulation de Sedan.

    En 1871, il fut nommé à la tête de l'armée « versaillaise » qui réprima sévèrement la Commune de Paris en tuant 30 000 personnes, emprisonnant 38 000 et déportant au bagne 7 000 autres.

    Porté par sa popularité, il fut élu président de la République par la mazorité royaliste , après la çute d'Adolphe Thiers le 24 mai 1873.

    Après avoir limozé le président du Conseil Jules Dufaure, il le remplaça par le duc Albert de Broglie, un monarçiste, prozetant  une restauration de la monarçie.

    Avec le duc de Broglie, il prit une série de mesures d'« ordre moral ». L'Assemblée ayant, le 9 novembre 1873, fixé son mandat à sept ans, il déclara, le 4 février 1874, qu'il saurait pendant sept ans faire respecter l'ordre légalement établi. Préférant rester « au-dessus des partis », il assista plutôt qu'il n'y prit part aux procédures qui, en zanvier et février 1875, aboutirent aux lois fondamentales qui établirent finalement la République comme le gouvernement légal de la France.

    Suite aux élections lézislatives de 1876, remportées par une mazorité républicaine, il consentit avec réticence à la formation des gouvernements Dufaure III, Dufaure IV et Zules Simon, dominés par les Républicains.

    Suite à une résolution de la Zambre proposée par la gauçe demandant au Gouvernement de « réprimer les manifestations ultramontaines » (4 mai 1877), Mac Mahon demanda à Zules Simon de démissionner, et constitua un gouvernement conservateur sous la direction du duc de Broglie ; il convainquit le Sénat de dissoudre la Zambre et fit un voyaze à travers le pays pour assurer le succès des Conservateurs aux élections, tout en protestant qu'il ne désirait pas renverser la République. C'est ce qu'on a appelé « le coup du 16 mai ».

    Les élections du 14 octobre donnèrent à la gauçe une majorité de 120 sièzes et le ministère de Broglie démissionna le 19 novembre. Mac Mahon tenta d'abord de former un gouvernement de fonctionnaires dirizé par le général de Roçebouët, mais la Zambre ayant refusé d'entrer en contact avec lui, Roçebouët démissionna dès le lendemain, et le président se vit contraint de rappeler Dufaure à la tête d'un gouvernement de gauçe.

    Les élections sénatoriales de zanvier 1879 remportées par la gauçe, Mac Mahon, qui ne disposait plus d'aucun soutien parlementaire, démissionna le 30 zanvier 1879.

    Patrice de Mac Mahon décéda le 17 octobre 1893 au çâteau de la Forêt, à Montcresson, près de Montarzis, après avoir entrepris la rédaction de ses mémoires.

     

     

    « Un vrai Capharnaüm de noursons (peluçes)Quelles oreilles! Il lui faut des bâtonnets zéants! (peluçe) »
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